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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Dommage que je n'ai pas pu faire ce truc, car c'est un col pour moi et mes braquets. 😄 Avec mon braquet minimal à 24/34 j'ai déjà pu affronter quelques bestiaux de ce genre. Ceci dit, jamais aussi haut en altitude.
  2. J'étais largement sorti de ma zone de confort le week-end dernier, et il y avait quand même une atmosphère conviviale dans le groupe, non ? Ce n'est donc pas incompatible. Non, désolé, ce genre de club qui laisse carrément tomber ceux qui n'arrivent pas à suivre, je ne risque pas d'y adhérer. Et pas seulement parce que je risque de faire partie des largués. Même si j'étais devant, je n'arrive tout simplement pas à concevoir l'idée même de laisser volontairement quelqu'un de mon groupe dans la pampa. Ils se sont trompés de genre de club ces types-là, c'est de la compétition qu'ils devraient faire.
  3. Pas de convivialité, laissent dans la nature ceux qui ne veulent pas suivre, n'empruntent pas de côte digne de ce nom… Bon, je sais au moins qu'il faut que j'évite ce club-là !
  4. Le «surtout» dépend énormément du cycliste considéré. Si un cycliste a déjà un niveau de force élevé et pousse de gros braquets, mais pédale systématiquement à faible cadence (et on en voit souvent de ces cyclistes-là…), ce n'est pas la force qu'il devrait travailler en priorité… Et vice versa. On peut faire des progrès dans les deux domaines, mais on se heurtera toujours à nos limites, en particulier celles imposées par notre patrimoine génétique. (C'est là que malheureusement certains vont céder à la tentation du dopage.) Dans mon cas, j'ai travaillé spécifiquement la force à une époque… ce qui m'a causé des bursites à répétition. Depuis, j'entretiens mon capital: vélocité naturellement élevée (j'ai toujours eu une bonne coordination), force restant faible… Ma génétique a parlé. Mon domaine de progrès serait surtout aujourd'hui d'apprendre à rouler en groupe et supporter des changements de rythme répétés.
  5. Qu'il soit attribué à 10 km de l'arrivée quand ces 10 km se passent dans une montée, c'est négliger une part trop grande de la course. Ils devraient revoir cette règle en prévoyant des exceptions pour les arrivées au sommet…
  6. C'est aussi mon avis… je n'en reviens pas ! La seule explication que je puisse imaginer, c'est qu'ils ont dû décider de l'attribution de ce prix avant que Carapaz s'échappe seul dans l'ascension finale.
  7. À voir les cadences de pédalage ahurissantes utilisées par les pros aujourd'hui dans le mur final, c'est pas seulement la force qui est développée chez les pros. De plus en plus, les grands coureurs poussent leurs gros braquets à haute cadence en côte. Ce qui veut dire que lesdits gros braquets sont quand même moins gros qu'avant… Des braquets du genre 39/28, 39/30 sont devenus courants, alors qu'à l'époque de Guimard, c'était du 42/24 à tout casser. Je me suis souvent demandé ce que Guimard pensait de cette évolution. Apparemment rien… on dirait que ça lui a complètement échappé! 😃
  8. Avec les courbatures que je ressens encore un peu après l'intense partie de manivelles de ce dimanche, j'ai pensé qu'il valait mieux ne pas «forcer la machine» trop tôt. Donc, aujourd'hui, 63 km au rythme de la promenade, et c'était de circonstance puisque j'ai suivi le parcours dit «Promenade verte» (60 km) qui passe près de chez moi et fait le tour des espaces verts de la Région de Bruxelles-Capitale, dans sa périphérie (donc à l'intérieur de la Région et non en Flandre). https://environnement.brussels/thematiques/espaces-verts-et-biodiversite/la-promenade-verte Plus le temps passe et plus l'état de ce parcours s'améliore, bien qu'il reste encore trop de tronçons en piteux état et d'autres qui ne sont pas encore complètement aménagés (d'où quelques détours obligés en plein milieu du trafic urbain). Mieux vaut encore avoir des pneus solides pour le faire, et être prudent en permanence. Mais les espaces verts traversés valent le déplacement, surtout quand il fait beau comme aujourd'hui. 😄
  9. Ben justement… Quand on fait du vélo en Belgique par tous les temps, on fait du sport pluvieux, boueux, et sur mes routes d'entrainement, du sport sablonneux en bonus . 🙁 Pour la maintenance des plaquettes, il n'y a rien à faire que savoir les changer quand elles sont usées, et je le redis, c'est enfantin. Même pour moi, le gaucher avec deux mains droites. 😃
  10. Il n'y a pas très longtemps, ma jante arrière s'est nettement voilée. Aucun problème pour continuer à rouler (d'ailleurs je ne m'en suis aperçu qu'après être rentré chez moi), alors qu'avec les patins ça aurait peut-être frotté continûment, voire bloqué la roue si le voile avait été vraiment très prononcé. À chaque inconvénient ses avantages, et vice versa. 😉
  11. Je ne suis pas assez calé dans les divers modèles de disques pour en juger ou même en dire grand'chose. Mes disques à moi, comme je l'ai dit plus haut, sont encore ceux montés d'origine sur mes roues: des SM-RT70 (gamme SLX), donc au moins deux gammes en dessous de XTR ou Dura-Ace. https://bike.shimano.com/fr-FR/product/component/shimano105-r7000/SM-RT70.html Ils ne me causent pas de soucis particuliers, sauf qu'ils présentent maintenant tous les deux un léger voile, visible à la rotation à vide de la roue, voile qui est peut-être la source des bruits résiduels qui se produisent encore parfois à l'arrière, quand je passe en danseuse. Les deux vélocistes que j'ai consultés m'ont affirmé séparément qu'ils ne sont pas suffisamment voilés pour nécessiter un changement ou même un dévoilage. Comme ils ne sont pas usés autrement (les épaisseurs n'ont pas varié), je les laisse donc en place pour le moment.
  12. À Lustin on trouve une autre ruelle Toussaint, aussi une Cotacol: passage à 30 % :-) Je la ferai un de ces jours !
  13. TRÈS clairement :-/
  14. Ils montent à Revel par Domène tout-à-l’heure ;-)
  15. Il se trouve que j’étais moi aussi très souvent sur mon grand plateau (46) et sur le 34 le reste du temps. Je n’ai tombé le petit plateau de mon triple (24) que dans la montée au début pentu qui allait de Cousolre à Bersilies-l’abbaye, que j’ai d’ailleurs eu l’honneur de franchir le premier derrière Eric :-) C’est la côte que tu m’avais dit trouver « raide », la seule sans doute. Sur le plat, j’avais très souvent 46/17, 46/19, assez souvent 46/15. Très compatible avec une moyenne de 28 km/h. Je ne suis donc pas d’accord avec ce que tu dis sur mes braquets. Ils me permettent bien de suivre, si je sais anticiper les actions du groupe. Le problème est que justement je ne le sais souvent pas, comme tu l’as je pense correctement diagnostiqué, et que je suis alors surpris et un trou se forme. Et alors pour le boucher, que le braquet soit petit ou gros, il fait mal...
  16. J'ai pourtant senti énormément de changements de rythme, moi ! 😬 Tu es sans doute bien plus habitué et donc tu t'en rends beaucoup moins compte que moi. Tu es aussi certainement plus expérimenté que moi pour garder les roues. Je décrochais assez souvent de quelques mètres suite à un changement imperceptible de pente, un évitement d'obstacle, une intersection, etc, et il me fallait cravacher pour retrouver l'abri du groupe. Bon, c'est passé, ce fut instructif et rigolo (après coup), mais à la prochaine sortie entre nous faudra que ça grimpe bien plus souvent que ça roule ! 😆
  17. Je me retrouve à analyser l'étape de demain qui passe pour ainsi dire devant chez mes parents… Curieux tracé, avec une longue transition entre les deux dernières montées principales, Revel—Croix-de-Pinet et Saint-Nizier, et une moins longue mais quand même conséquente (et souvent venteuse) entre le bas de la descente de Saint-Nizier et Villard-de-Lans-Côte 2000, la (très courte) montée finale. Ça ne laisse pas beaucoup de marge pour distancer un leader en forme comme Roglic avec une équipe aussi forte que la sienne, d'autant que la montée de Saint-Nizier, bien que longue (dans les 15 km) est assez roulante. À moins qu'il connaisse vraiment un jour sans. Il peut quand même se passer des choses intéressantes, à défaut de choses vraiment décisives. Comme en 1989. Séquence nostalgie: la 18e étape de ce Tour, qui avait le même final, Saint-Nizier et Côte 2000. En trois parties: https://www.youtube.com/watch?v=ux8jCpq1Myc https://www.youtube.com/watch?v=p5Ch23AuziY&t=1185s https://www.youtube.com/watch?v=krqvu6k6_5g&t=28s
  18. Quand même, pour que je me sente un minimum à l'aise, il faudrait que ce groupe de type niveau 2 de ton club emprunte de temps en temps des côtes dignes de ce nom, ce que le tien ne fait pratiquement jamais. Bonjour l'angoisse. 🙁 Et même le groupe 1 de ton club, selon Olivier, serait réticent à passer une bosse genre Smeysberg… Pas glop ! 🙁 🙁 Enfin, c'est vrai que si je vais dans un club, ce sera justement pour travailler autre chose que le passage des côtes…
  19. Jérémie était repassé pour l'occasion sur un vélo route titane très léger avec des freins à patins, et comme ils sont moins efficaces que les freins à disques auquel il s'est habitué sur ses vélos de gravel et de randonnée, il lui fallait anticiper plus que d'habitude. On peut prédire sans trop de risques de se tromper qu'il va s'arranger pour que son prochain vélo spécifiquement route sera lui aussi en disques… 🆒 Du moins s'il en rachète un, parce qu'il semble de plus en plus se tourner vers les pistes, chemins et sentiers. Pour ce qui est d'Eric, tu peux ajouter dans la liste de chiffres qu'il n'a eu besoin que d'un seul bidon, tandis que nous autres en avions deux chacun, et que ce n'a pas été superflu pour nous, bien au contraire…
  20. Avec mes étriers TRP j'ai des disques Shimano et des plaquettes Swissstop. C'est apparemment une bonne combinaison pour éviter le bruit au freinage (en dehors des conditions humides). Lorsque que j'aurai à changer mes disques, ce sera pour des Swissstop également, pour voir si homogénéiser les marques de disques et plaquettes apporte vraiment quelque chose. Les bruits dû aux frottements intempestifs, donc hors freinage, c'est autre chose, et j'ai eu ce problème au début: bruits de frottements systématiquement après un freinage intensif, et en danseuse. J'ai réussi à me libérer presque complètement de ce phénomène irritant. Apparemment essentiellement dû au fait que la purge du système avait été faite avec d'autres modèles de disques et plaquettes que ceux que j'avais choisis lors de mon acquisition de ce vélo. Depuis que des purges supplémentaires ont été faites, les bruits hors freinage ont pour ainsi dire disparu. Restent des bruits qui se produisent peu fréquemment en danseuse sur de fortes pentes, et le fait qu'il faille parfois recenter les étriers après avoir démonté et remonté une roue. Ça me fait d'ailleurs souhaiter que mon prochain vélo soit à axes traversants puisque ça réduit voire élimine ces derniers problèmes, mais je l'ai déjà dit. En attendant, je profite quand même du fait qu'avec des blocages rapides, ça reste tout aussi rapide et enfantin de démonter une roue qu'avec des freins sur jantes, et presque autant de la remonter (il faut juste bien viser avec le disque pour qu'il passe entre les étriers). Je me répète là aussi mais le seul véritable inconvénients du freinage à disques hydraulique, à mon avis, c'est celui-ci: l'écart entre les plaquettes est beaucoup plus délicat à régler qu'avec des freins à patins ordinaires, du moins ceux à tirage latéral double pivot. À noter que c'est bien plus aisé avec des freins à disques mécaniques paraît-il, puisqu'il suffirait là aussi, comme pour les freins sur jantes, de tourner une vis ou une molette pour changer l'écartement des plaquettes. Mais avec ce système le freinage ne serait plus aussi performant ni aussi progressif.
  21. Encore bien plus affreux selon moi: ces chaussettes d'été qui remontent de plus en plus haut vers les genoux… 📢 D'ailleurs, si vous connaissez une marque qui continue à vendre des chaussettes cyclistes ne remontant (comme il se doit) que jusqu'aux chevilles y compris, faites-le moi savoir, s'il vous plaît !
  22. Ça sert à freiner, en fait. Si, si. 😃 Plus efficacement que les freins à patins, et apparemment pas seulement sous la pluie. Reste à enfin éduquer certains qu'il faut acquérir d'autres habitudes de freinage. On peut facilement imaginer le résultat quand un cycliste tient absolument à freiner avec des freins à disques de la même façon qu'avec des freins à patins… 🙄 Tiens, au juste, au sujet du bruit que feraient les disques: hier j'étais de sortie avec quatre autres copains du forum, et j'étais le seul avec des freins à disques. Comme le faisait remarquer Jérémie, qui avait ressorti un vieux vélo de route ultra-léger à freins à patins pour l'occasion: on a entendu pas mal de bruits de freinage, mais ça ne venait jamais du mien. 🆒 Je dois bien préciser que s'il avait plu, ç'aurait été une autre musique: ces freins chantent assez fort sous la pluie, mais comme c'est le bruit de l'efficacité, je ne risque pas de m'en plaindre.
  23. Georges Maillet l'avait déjà faite sur ce même fil, il y a un bail. 😛 Et comme je le lui avais fait remarquer à l'époque: juste devant chez moi il y a eu pendant plusieurs semaines un VTT, accroché au même lampadaire chaque jour, qui présentait justement la même configuration…
  24. Très intéressant ! Je me coucherai moins ignorant ce soir, merci. 😄
  25. Qu'est-ce qui peut donc bien provoquer ces courbatures, contractures et autres douleurs résiduelles après un effort de ce genre ?
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