Franck PASTOR

Je pense que c'est bien résumé 🙂 Je suppose que tu veux une nouvelle cassette pour avoir une paire de roues déjà complètement montées et prêtes à l'emploi, en complément de ton actuelle paire de roue. Sinon ce ne serait pas nécessaire, il suffirait d'employer l'ancienne cassette. Je n'ai jamais entendu parler de problèmes d'incompatibilité centerlock ou vis en ce qui concerne les marques de freins; que les disques soient centerlock ou vis, ça ne change rien au fonctionnement même du freinage. Par contre, souvent, quand on change de roue la position du disque sur la nouvelle roue n'est pas exactement la même que sur l'ancienne (y compris quand l'ancienne et la nouvelle roue sont de même modèle, comme j'ai pu l'expérimenter !). A fortiori si le système de fixation du disque est différent, j'imagine. Et donc dans ce cas il faut recentrer l'étrier. Mais c'est l'affaire d'une minute.

Oui, il faut un adaptateur pour passer de l'axe traversant au blocage rapide, mais on en trouve facilement. Un de mes vélos en est d'ailleurs équipé. Par exemple ceux-là: https://www.amazon.fr/Swiss-100x5-100x15-Embouts-Conversion/dp/B07CRVD73F https://www.cycletyres.fr/adaptateurs-9mm-mavic-pour-moyeu-instant-drive-360-centerlock-4801.html#table_description Je ne comprends pas bien la question sur le centerlock. C'est juste un système de fixation différent du disque sur le moyeu. Le disque n'est plus fixé par des vis, mais par un écrou du genre de celui qui fixe une cassette, ce qui accélère grandement l'opération si on a l'outil adéquat (le même que celui qui permet de serrer une cassette). Ça ne joue pas sur la « taille » du disque : on en trouve de toutes les tailles dans les deux cas. Par contre, ces systèmes de fixation sont évidemment incompatibles entre eux. Soit un disque est prévu pour être monté avec un écrou centerlock, soit il est prévu pour être monté avec des vis. Il faut donc prendre garde d'acquérir des disques prévu pour ton type de fixation. Ceci dit, on trouve dans le marché des adaptateurs qui permettent de monter des disques pour six vis sur un moyeu centerlock. L'opération inverse n'est apparemment pas possible. https://www.mantel.com/be-fr/adaptateur-shimano-6-trous-a-centerlock&utm_source=google&utm_medium=shopping?gclid=CjwKCAiAzKqdBhAnEiwAePEjkpUzvbXa4KpqWePXAF0xC2aXcg60xhbs0KLBhipQjF3ZunWDYNutERoC8koQAvD_BwE

Pour toi, peut-être. Pas pour moi. Ensoleillé ou non, le froid est douloureux pour moi (aux mains et surtout aux pieds), quoi que je fasse pour m'en protéger. Je n'aime pas non plus la pluie, mais elle ne me fait pas mal, elle, et je la supporte plus facilement, tant que ce n'est pas un déluge biblique qui me tombe sur la tête. Évidemment, les deux combinés donnent neige et verglas, et là il n'est plus question que je sorte le vélo…

Tu es très proche de la France, tu dois avoir des origines mixtes 😉 Moi je suis généralement en long à partir de 15°, voire plus s'il pleut ou s'il y a beaucoup de vent. Je me rappelle une sortie automnale en Ardenne avec Jérémie Laplac, Liégeois de souche comme tu sais, et pas plus épais que moi. J'avais un maillot à manches longues et un imper par-dessus. Le temps était gris et humide et après quelques heures je grelottais de froid et je claquais des dents. Jérémie était en maillot à manches courtes, sans imper, et aussi à l'aise qu'un poisson dans l'eau…

Sortie de trois heures cet après-midi sur mon Santos Cross Lite (toujours sans compteur), vers le nord-est de Bruxelles (Zaventem, Diegem, Machelen, Vilvorde) et retour à Bruxelles par Neder-Over-Hembeek et quelques bosses intéressantes, dont le Trassersweg (répertorié dans l'encyclopédie Cotacol des 1000 côtes les plus intéressantes de Belgique). https://climbfinder.com/fr/montees/trassersweg-neder-over-heembeek Temps assez doux mais ambiance très humide (il avait plu le matin et j'ai pris une petite pluie au passage), et les routes étaient bien sûr dégueulasses, mais le Cross Lite, avec son moyeu Rohloff à 14 vitesses intégrées, n'a pas bronché. Ça tombe bien, je l'ai acquis entre autres pour pouvoir mieux rouler dans ces conditions : plus de grincement ou couinement de la chaine (et pour cause, c'est une courroie en carbone qui a pris sa place), plus de problème de passage de vitesses (les câbles sont gainés sur toutes leurs longueurs et les vitesses ainsi que le mécanisme d'indexation sont dans le moyeu, donc bien à l'abri). Le pied, quoi. 😎 Passage également par le village de Diegem-Lo, de la commune de Machelen, un ilot de maisons et même une église complètement isolés du reste de la commune et du monde par l'aéroport de Zaventem d'un côté et les différentes voies rapides du ring de Bruxelles de l'autre. Pollution sonore, visuelle et aérienne garanties de tous côtés ! Qu'il y ait encore des gens qui vivent dans cet endroit désolé est tout simplement hallucinant. Jugez-en vous-même avec cette vue aérienne… https://www.interveste.nl/blog/tag/diegem-lo/

Ah, ça explique bien des choses. Ça doit être de lui que tu tiens ta philosophie du vélo : un seul braquet et prendre un max de vent debout !

Ils sont normaux, eux ! Ce sont pas des Belges de souche, qui roulent en court toute l'année et dont les tribus ancestrales devaient venir des régions proches du cercle polaire.

Ou alors tout bêtement des pignons usés, si la cassette n'a pas été changée en même temps que la chaîne.

Peut-être après ça certains schtroumpfs râleront-ils un peu moins sur le temps qu'il fait en Gelbique ? 😇

Contrairement à certains, je ne suis pas encore à la retraite et j'ai un enfant à charge… Et non, je ne sors pas aujourd'hui. Malade ce matin, et ma fille chez moi cet après-midi. J'avoue que pour le temps qu'il fait, il valait mieux que ça se produise aujourd'hui.

La seule chose qui me manque du sud, ce sont les montagnes. Je ne sais pas si tu vis dans un micro-climat en Suisse, mais du temps où j'étais Grenoblois il m'arrivait assez souvent de sortir sous la pluie, et on y connait aussi les jours continus de ciel gris. Je ne sais pas quelle idée tu te fais de la région grenobloise mais question climat ce n'est pas la Provence, loin de là. Je dirais même que le climat belge es plus propice au vélo, puisqu'on y a moins souvent de la neige et du verglas. On a en échange nettement plus de vent (mais rarement des tempêtes!) et un peu plus de pluie. Et quand je dis « un peu », ce n'est pas un euphémisme, ça veut vraiment dire pas grand'chose de plus. Et la pluie n'arrête pas le cycliste motivé, contrairement à la neige ou au verglas, ou ces derniers jours un emploi du temps professionnel trop chargé…

Si tu appelles ça rigide, une consultation chez ton dentiste s’impose… 😇 (je suis déjà dehors)

Sur un de mes vélos : sur un support fixé sur la potence. Il me sert de GPS. J'ai chuté avec, en septembre dernier. Le smartphone n'avait pas bronché sur son support, il était intact. Ce sont mes côtes qui sont entrées en contact avec le sol… Sur mon gravel, je le mets dans une sacoche de cadre, fixée sur le coin formé par la potence et le tube «horizontal» (en fait bien incliné). Par principe de précaution, je ne mets RIEN de rigide dans les poches de mon maillot, depuis que j'ai rencontré quelqu'un devenu paraplégique après être tombé sur le dos lors d'une randonnée pédestre en montagne. Il avait une ferraille quelconque dans son sac à dos…

Exactement la réflexion que je m'étais faite en voyant cette photo.

Tu ne dois pas trop suivre, parce que les Pays-Bas ne sont pas mauvais non plus (Van der Poel évidemment, Van der Haar, Nieuwenhuis, Van Kessel) et qu'un certain Tom Pidcock est anglais. Il n'y pas si longtemps la Tchéquie avait une bonne école aussi (Simunek, Stybar…) Quant aux filles, ce sont les Néerlandaises qui dominent outrageusement (Van Empel, Pieterse, Alvarado, Brand, Betsema, Van Alphen, Van der Heiden et j'en oublie…), et pas une Belge ne tire son épingle du jeu en ce moment. Il paraît loin le temps où Sanne Cant était championne du monde (2016, 2017, 2019). La meilleure Belge est actuellement Marion Norbert-Riberolle, une… Française, naturalisée Belge l'année dernière. Ce qui me la rend tout de suite sympa, je ne sais pas pourquoi. 😇 Toujours chez les filles, la Hongroise Blanka Vas avait gagné quelques belles épreuves l'année dernière, mais se fait plutôt discrète ces derniers temps, L'Américaine Clara Honsinger également. En attendant, la Luxembourgeoise Marie Schreiber se montre compétitive (en attendant le retour de Christine Majerus), et l'Italienne Silvia Persico vient de terminer quatrième à Val di Sole, juste devant la Canadienne Maghalie Rochette.

J'ai un éclairage à piles accroché à l'arrière de la sacoche de selle de mon vélo de route, qui fait bien le job, et une dynamo Son 28 dans le moyeu avant de mon vélo gravel-randonneur : https://berthoudcycles.fr/fr/692-moyeu-dynamo-son-28-32trs-noir-ref303211303212.html J'aime l'idée d'un vélo autonome énergétiquement parlant, donc le concept même de dynamo me parle. Et elle est impressionnante de qualité, cette dynamo Son 28: elle est parfaitement silencieuse, son éclairage, forcément moins puissant qu'un système à batterie/piles, est quand même d'une puissance surprenante, le ralentissement (pourtant réel) qu'elle engendre quand elle est enclenchée n'est pas sensible quand on pédale, et l'éclairage continue à fonctionner pendant plusieurs minutes une fois le vélo arrêté (le feu arrière plus longtemps que l'avant). Et elle est insensible à la pluie. Quelle différence par rapport à la bonne vieille dynamo latérale bien bruyante que j'utilisais sur mon vélo d'étudiant, qui ralentissait nettement le vélo, qui permettait moins de voir que d'être vu (c'était toujours ça) et qui dérapait sur la jante dès qu'il pleuvait…

Courte sortie de type balade de 26 km cet après-midi, avec le gravel, en alternant bitume et chemins en terre, vers Tervuren et retour. La météo avait annoncé des températures légèrement positives, mais il y avait des plaques de verglas ici et là, heureusement toujours évitables, et mes doigts de pied et de main m'ont fait bien mal… même maintenant, une heure après être revenu dans mon appartement bien chauffé, ils sont encore sensibles. Le vent «relatif» joue certainement son rôle, parce que dès que je m'arrêtais, la sensation de froid diminuait drastiquement. Décidément, le vent et moi, ça ne marchera jamais entre nous.

Ce sont les températures positives prévues cet après-midi qui te découragent, toi l'amateur de froid polaire ? Moi je crois que je fais faire pareil que Thierry : il devrait y avoir moins de risque de verglas qu'hier et puis j'ai une selle Brooks à roder… 😎

Pour ma part, si je me risquais à sortir en ce moment, je penserais à mes côtes 😖 et surtout au trafic automobile environnant…

Dire qu'il y en a un (il se reconnaîtra) qui me traite régulièrement de fou furieux quand je sors sous la pluie, alors que lui sort le matin en ce moment malgré le risque de verglas. 😏 Et du verglas, il y en avait ce matin dans les rues de Bruxelles… autant dire que même si j'avais pu sortir (et je ne le pouvais pas à cause du boulot), je ne l'aurais pas fait. Je suis peut-être cinglé, mais pas suicidaire. 😎

C'est parfaitement au point techniquement, rien à redire pour le moment. Mon expérience semble confirmer que le rendement de ce moyeu est globalement comparable à celui d'une transmission classique, comme cette étude tend à le prouver: https://www.cyclingabout.com/speed-difference-testing-gearbox-systems/ On sent clairement une différence de rendement entre certains rapports (le contraste entre les vitesses 7 et 8, par exemple, est notable, et pas seulement à cause du bruit que fait la vitesse 7), mais ça n'a rien de choquant ni de vraiment handicapant, du moins selon mon expérience actuelle. Mais c'est clairement pour un usage non compétitif (même si on se limite au niveau club). Donc ce n'est probablement pas pour toi. Déjà, c'est plus lourd (environ 500 g au total) qu'une transmission classique, et ensuite le changement de vitesses est quand même plus contraignant : que ce soit avec ma manette rotative ou des leviers intégrés genre route, il faut systématiquement alléger la charge sur la pédale, plus qu'avec une transmission classique. Et il lui faut un matos solide autour, notamment au niveau de la roue arrière, pour supporter les contraintes liées à ce moyeu : 32 ou 36 rayons, cadre et jantes en métal… Tout cela rajoute au poids. Le vélo le plus léger que j'ai vu équipé du moyeu Rohloff (le Santos Race Lite, prévu pour la route) pèse déjà 10 kg à nu. http://www.sintchristophorus.nl/test-santos-race-lite-met-rohloff-en-tandriem/ (en néerlandais) Mais pour un usage relativement tranquille et passe-partout, par tous les temps, genre gravel ou trajet domicile-boulot, c'est le rêve, ce système : on peut changer de vitesses à l'arrêt (par exemple aux feux rouges), le moyeu et la courroie sont insensibles aux intempéries et ne requièrent aucun entretien pénible : nettoyage éventuel à la brosse et à l'eau quand c'est sale, et une purge du moyeu tous les ans, c'est tout. Adieu aux tâches et aux bruits dus à la chaine et adieu aux dégraissants divers. La plage de petits développements permise avec ses 14 vitesses est plus que suffisante, limite roborative, même pour moi et mes besoins en tout petits braquets. Avec le plateau de 50 et le pignon de 22 que j'ai actuellement, j'ai un plus petit rapport équivalent à 24/38, c'est dire, et j'aurai encore plus petit quand je passerai à un plateau de 46 dents. À moi les murs les plus improbables ! :-)) En contrepartie, je devrai certes me contenter d'un grand rapport équivalent à 46/15, mais ça ne me gêne pas puisque je ne vais pas l'employer pour mes sorties route rapides, par exemple avec toi ou les autres Belges de Vélo101… j'ai un autre vélo pour ça 😉 Et puis, surtout, c'est particulièrement fiable et durable. Une courroie peut faire plus de 40000 km et le Rohloff peut durer une éternité, sauf s'il y a défaut de conception (ce qui est paraît-il excessivement rare). Ce dernier point reste à confirmer dans mon cas, puisque je viens de l'acheter, mais je n'ai pas de raison pour le moment d'en douter.

Finalement j'ai pris mon courage à deux mains et suis sorti aujourd'hui, mais avec mon gravel, malgré le froid et le temps gris : j'avais remarqué que la flaque d'eau qui orne le toit de la terrasse des voisins n'était plus verglacée (habitant un 2e étage, j'ai une vue plongeante sur ce toit). Parcours assez vallonné avec bien sûr quelques sections en terre, dans la forêt de Soignes, puis Hoeilaart, Overijse, Tervuren. Et pour finir j'ai suivi le tracé de l'ancienne voie de chemin de fer Tervuren-Bruxelles, partiellement reconvertie en promenade piétonne et cycliste. Là aussi, les sections bitumées alternent avec les sections en terre. En cours de route, mauvaise surprise : la neige s'est mise à tomber. Heureusement à petits flocons, qui ne tenaient pas au sol. Mais ça a gâché un peu le plaisir de la sortie. Pour le reste, pas grand'chose à signaler. Le changement de vitesses Co-Motion pour mon moyeu Rohloff a parfaitement fonctionné cette fois. Le moyeu lui-même et la courroie qui l'entraîne n'ont toujours pas bronché, et ma position sur ce vélo semble maintenant presque parfaite : les réglages qui restent à faire seront probablement de l'ordre de quelques millimètres. Je vais probablement faire changer le plateau de 50 dents pour un de 46 dents, et donc un rapport de base de 46/22 : j'ai remarqué que j'étais rarement sur le 50/22, soit la vitesse 11 du moyeu, mais plutôt la vitesse 10, lors des passages plats, alors qu'il faudrait idéalement que cette vitesse 11 corresponde justement au braquet le plus employé sur le plat, étant donné que c'est celle qui met en jeu le minimum de mécanismes dans le moyeu (puisqu'il tourne alors à la même vitesse que le pignon). La selle Brooks s'est fait complètement oublier pendant les deux premières heures, pour ensuite me rappeler péniblement son existence pendant la dernière heure. Visiblement elle n'est toujours pas rodée après environ 250 km… Si j'en crois le Schtroumpf, il faut faire dans les 1000 km pour roder une selle en cuir. Ça va paraître long !

Bon sang, je meurs d'envie de sortir le vélo, mais voir de ma chambre une flaque d'eau complètement gelée sur le toit de la terrasse de la maison voisine m'en décourage. Risquer de jouer Holiday on Ice entre deux bagnoles dans les rues bruxelloises n'est pas une perspective encourageante…

Bien sûr que si, j'en ai une (et même, sur mon gravel, un éclairage avant-arrière associé à une dynamo Son 28 intégrée au moyeu avant, qui éclaire encore plusieurs minutes après l'arrêt 😎) ! Mais d'expérience, ce n'est pas toujours suffisant. Ce qu'en dit Bruno correspond à mon expérience, tant comme conducteur que comme cycliste. La nuit, au fur et à mesure qu'une voiture s'approche de derrière, le conducteur repère d'abord l'éclairage, puis les réflecteurs quand la lumière des phares les atteint, et le cycliste en dernier. Si celui-ci est habillé en couleurs sombres, le conducteur peut ne l'identifier comme cycliste que très tard, voire seulement au moment de le dépasser. Problématique s'il doit s'écarter pour le doubler… C'est encore plus vrai en ville, et particulièrement en période de fêtes comme maintenant : les lumières de toutes sortes, fixes ou clignotantes, pullulent, et où il n'est pas toujours évident de deviner si la lumière qu'on voit devant soi vient d'un vélo. Bref, il faut absolument cumuler les précautions. Loupiote(s) + réflecteurs + couleurs voyantes.

Je me fiche complètement de paraître sale, je veux être vu, c'est tout. J'ai eu un peu trop souvent des voitures pilant derrière moi, je n'ai pas envie d'augmenter le risque avec des vêtements non voyants. D'ailleurs, c'est très rare que les projections de boue recouvrent l'entièreté du dos de la veste, en général elles se contentent des fesses. 🙂 D'autre part, la sacoche de selle que j'utilise en mauvaise saison a un volume de 4 litres, et elle est donc assez longue pour bien dépasser de la selle et donc servir de garde-boue «partiel». 😎