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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ
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Influence dingue sur la performance... et sur le mental !
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Ce serait pourtant le signe qu'il y a une limite à ta mauvaise foi 😜
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Votre sortie du jour 2025
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
🙏 😇 -
Votre sortie du jour 2025
Thierry GEUMEZ a répondu à un(e) sujet de Sylvain KARLE dans L'entrainement et la santé
Je suis toujours fasciné par les montagnes ! -
Bah, Indurain ne voulait pas porter de cardiofréquencemètre et ça ne l'a pas empêché de gagner des courses. Moi, je n'ai pas le niveau d'Indurain et les instruments me permettent de mieux gérer mes modestes capacités 😉 Sinon, les instruments permettent aussi d'objectiver une performance et de ne pas s'en remettre seulement à des sensations 🤣
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Tu parles de l'attitude des cyclos solidaires alors que Marquez décrit le comportement des coursiers ou ex-coursiers qui jouent à la course.
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On s'arrache parfois vraiment la gueule pour s'accrocher coûte que coûte. Le pire, quand on a sauté, c'est si le groupe relâche ensuite légèrement l'allure et qu'on se met à croire qu'on peut revenir. On donne alors tout ce qu'on peut mais si le groupe repart... ça fait mal ! 🤪 Il faut que ça reste un jeu et admettre qu'on n'est pas le plus fort 😉
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Tout-à-fait ! C'est la différence entre les sorties solos et les sorties en groupe. Lorsqu'on saute, sans qu'on sache combien de watts ont manqué, les gains ne sont plus marginaux.
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Dans la mesure où tes compères ont vieilli en même temps que toi et que vous vous copiez concernant d'adoption de tel ou tel matériel, il est impossible d'apprécier une amélioration des perfs. Vous vous comparez mais vous ne mesurez rien 😉
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Tout-à-fait, sauf si je veux éviter à mon nouveau vélo de subir les affres de l'hiver 🤔
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Tes seules mesures, d'après tes dires, c'est ton aisance relative à suivre ton groupe de potes. Bizarre pour un scientifique. La question n'est pas de savoir si des roues plus légères, des chambres à air plus légères, etc, procurent un avantage, tant il est évident qu'elles en procurent. Ce que tu ne dis pas, c'est combien de watts elles permettent d'économiser. Parce qu'il faut bien relativiser les choses à un moment donné : combien d'euros payés pour combien de watts économisés. Ensuite chacun décide selon ses critères personnels.
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J'avais acheté des Grand Prix 4 saisons 28 mm pour mon vélo actuel mais ça ne passait pas au niveau de l'étrier arrière fixé trop bas. J'aurais mal au ventre de les mettre à la poubelle😜 A-t-on idée de mettre des pneus "hiver" sur une F1 ? 😇
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Question : les pros qui n'utilisent pas les TPU sont-ils dans l'erreur ?
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Mon "vélo idéal" (pour le moment) est à la rencontre de ma soumission à des codes d'appartenance à la caste des cyclistes sportifs et des limites de ma morphologie et de mon portefeuille, le tout sous le regard critique de mon juge intérieur formé par mon éducation et la société dans laquelle je vis. La géométrie du Colnago V5 RS me convenait mais c'était vraiment trop cher par rapport à l'Origine Axxome GTR pour un gain de vitesse probablement nul. J'ai hésité à acheter une tige de selle en carbone mais ai pris le modèle en alu, 50 gr plus lourd, en réfléchissant aux euros et aux gains marginaux. J'ai pris le groupe Campa Chorus pour des raisons d'ergonomie des leviers, parce que la transmission électrique ne me tente pas et aussi parce qu'hégémonie de Shimano me fait ch.er. Pour les roues, j'ai slalomé entre divers arguments contradictoires et ai voulu tester un produit asiatique vendu par des asiatiques, parce que Marquez est un bon vendeur et parce que je suis influençable, quoiqu'on puisse en penser. Mon plaisir ne vient donc pas exclusivement de mes calculs 😜 Je te trouve vraiment réducteur par moments 😇
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Pour quoi faire ? Parce que c'est amusant, pardi !
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J'ai constaté la même chose : le cintre plus haut et/ou plus rapproché accentue mes douleurs dans le bas du dos, surtout dans les côtes. Mais une position basse et allongée accentue les douleurs dans la nuque... Il faut toujours choisir !
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On peut aussi apprécier la poésie sans être obligé de croire au Père Noël ! Le souci des "non scientifiques", c'est qu'ils sont incapables de calculer les résistances à l'avancement et de quantifier les gains plausibles, réalistes, octroyés par tel ou tel matos. Ils en sont donc réduits à se fier à des sensations (les leurs ou celles des publicitaires ou de certains journalistes). Je ne critique ni ne conteste les sensations parce qu'elles sont des sources d'informations importantes et aussi des sources de plaisir (et parfois de déplaisir). Mais les sensations sont essentiellement subjectives et égocentriques. La démarche scientifique est une tentative (toujours imparfaite, incomplète) de sortie de la subjectivité et de l'égocentrisme. A comparer avec l'héliocentrisme en vigueur à l'époque de Galilée et l'attitude de Rome à cet égard. Refuser de confronter ses sensations à des instruments ou à des calculs, c'est en quelque sorte vouloir demeurer dans la conviction qu'on est le centre du Monde. Pédalons dans la joie mais... un watt est un watt !
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14% ??? Pogi en utilise certainement en cachette 😉
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Je suis également surpris de voir combien je me suis assagi avec l'âge (seuls les jeunes sont immortels). C'est flagrant en voiture. Bon, la bête en moi a encore de rares sursauts 😇
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Je n'ai roulé à ce jour qu'un peu plus de 200 km avec les chambres TPU, c'est un peu court pour avoir un avis sur la durabilité du produit et sa résistance à la crevaison. Ma première impression d'une légère perte de confort s'est estompée, à moins qu'un possible effet placebo se soit atténué. Je ne détecte plus non plus la plus grande vivacité de la direction en danseuse... on s'habitue à tout 😇 Impossible bien sûr de ressentir ou de mesurer une amélioration de mes "performances", on est dans ce qu'il faut bien appeler des gains "marginaux", ceux qui peuvent changer le classement d'une course mais pas la moyenne d'un cyclo, et je propose de retirer les guillemets à "marginaux" parce qu'ils sont vraiment marginaux en ce qui me concerne 😂
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Lors des cyclosportives sur parcours accidentés, on voit toute la palette des comportements et des attitudes. Ceux qui ont peur dans les descentes ont les mains sur les cocottes et le buste redressé pour éviter de prendre de la vitesse et ils ne se rendent pas compte que cette attitude rend le vélo moins stable. Quand on les dépasse, ils ont toujours l'impression qu'on roule trop vite, voire qu'on est complètement fous !
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Je reviens sur mes deux expériences mentionnées plus haut. Après avoir échappé de justesse à la chute, je me suis arrêté chaque fois pour inspecter le vélo, détecter le jeu dans la direction ou une roue qui aurait provoqué le guidonnage mais tout était correct et je me suis posé des questions. Pour comprendre, j'ai expérimenté volontairement le guidonnage à petite vitesse (25-30 km/h) sur terrain plat en poussant le guidon de gauche à droite pour amorcer les oscillations et je me suis rendu compte à quel point un vélo est élastique. Je me suis également aperçu que les oscillations et les déformations s'arrêtent d'elles-mêmes à basse vitesse si on ne les entretient pas. Il faut donc rouler à des vitesses "favorables" pour que le vélo entre en résonance, sinon ce sont les tremblements du cycliste qui provoque le guidonnage. Tu l'expliques clairement : il faut avoir des réflexes bien ancrés (et aussi un peu de chance) pour se sauver la mise. J'ajouterai que la peur favorise l'apparition et l'entretien du guidonnage parce qu'elle pousse le cycliste à se redresser (mouvement de recul naturel face à la situation qu'on redoute), ce qui réduit l'appui sur la roue avant et rend le vélo moins stable, et parce que la peur provoque une crispation qui annule l'effet amortissant des bras. La peur est incontrôlable face à un phénomène subit qu'on a pas pu anticiper mais elle peut s'apprivoiser dans le calme, quand on maîtrise la situation, afin d'acquérir les bons réflexes et d'éviter les crispations. Par exemple à petite vitesse comme je le décris plus haut.
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Lorsqu'un guidonnage survient, il faut rester souple pour amortir les oscillations mais la peur nous conduit plutôt à nous crisper.
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J'ai connu 2 guidonnages du même genre que celui de Pierre : le premier en descendant le Ventoux sur un vélo d'emprunt à 20 ans et le second peu de temps après avoir repris le cyclisme à 36 ans. Chaque fois vers 60 km/h. Je suis certain que mes crispations ont joué un rôle dans les deux cas. Par la suite, j'ai connu des amorces de guidonnage dans des situations de freinage d'urgence et là encore mes bras étaient tendus, mais les oscillations n'ont pas duré. Tous les vélos sans exception sont susceptibles de guidonner dans certaines situations mais le cycliste, par son attitude et sa position, peut les amortir ou les favoriser.
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Vitesse "excessive" par rapport à quoi ? La vitesse que Gérard Crespo n'ose pas dépasser ?