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Thierry GEUMEZ

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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ

  1. Je me suis également laissé avoir. L'inconfort vient des repose-poignets minimalistes. Sur les "vrais" prolongateurs, l'appui se fait plus près des coudes.
  2. "Il me semble... " ??? Je suis très frustré, Bernard ! Tu sais à quel point j'aime les chiffres 😉 Je suppose que tu te réfères aux carénages maison dont tu avais équipé tes roues de tous les jours pour les faire ressembler à des lenticulaires en vue de prendre part à un CLM ?
  3. Oui, ça fait déjà un bout de temps que je le lis. Beaucoup de menus et de sous-menus et lorsque je pense être arrivé à la fin, je me rends compte que j'en ai oublié au moins la moitié 😉
  4. Possédant depuis peu le même GPS, j'ai connu le même souci la seule fois où j'ai créé un parcours et je suis donc intéressé par les réponses éventuelles. Autre curiosité, le compteur affiche pendant des secondes qui me semblent interminables un message qui prend tout l'écran à chaque tranche de 8,05 km (5 miles) parcourus. Je ne sais comment supprimer cette fonctionnalité superflue. Soyons satisfaits : les concepteurs ont imaginé tout ce dont nous pourrions avoir besoin... ou pas 😊
  5. Voilà, tu as bien expliqué la différence. Ce ne sont pas des moyens physiques exceptionnels qui justifient l'achat de matériel coûteux, parce qu'un simple cyclo gagne aussi à rouler sur un vélo performant. Mais les gains restent toujours très mesurés, qu'on soit coureur pro ou cyclo du dimanche. La vraie question est : est-ce important de gagner une minute sur un parcours ? Pour un coureur, c'est peut être gagner une course plutôt que finir dans le peloton alors que pour le cyclo, c'est arriver 1 minute plus tôt chez lui pour prendre l'apéro 🤣
  6. Economiser 10W fait gagner moins de 1 km/h. Sur un vélo CLM, il faut déjà près de 450W pour rouler à 50 km/h (sans doute un peu moins pour les meilleurs spécialistes dont la position a été étudiée en soufflerie). Sur un vélo de course "normal", c'est plutôt 500W. La différence vient en premier lieu de la position, notamment des coudes rentrés qui réduisent la surface frontale.
  7. +2 La position : dans les pentes de plus de 5%, je rattrape beaucoup de cyclos sans donner un coup de pédale, uniquement parce que j'adopte une position aéro (le poids ne peut être invoqué, je pèse 65-66 kg). Les roues : lorsque je suis passé des campa eurus aux bora one 35, rien ne m'a permis de dire si j'avais gagné quoique ce soit, les différences liées à la forme du moment étant supérieures au gain théorique procuré par les jantes un peu plus hautes (0,3 km/h). La différence serait sans doute un peu plus marquée avec des 50 ou des 60, mais au détriment de la maniabilité et de la nervosité, et avec une sensibilité parfois problématique au vent latéral.
  8. Pour mes selles Spe Romin, il était préconisé de mettre les 2/3 avants de niveau, ce qui plaçait le bec presque 1 cm plus bas que le croissant. J'avais tout comme toi tendance à glisser vers l'avant. J'ai donc redressé progressivement jusqu'à trouver l'équilibre. Mais j'ai dû également avancer légèrement la selle. En effet, la selle ayant un creux, celui-ci recule lorsqu'on relève le bec. Ce phénomène est beaucoup moins sensible avec les selles plates.
  9. Bienvenue sur le forum, Cédric. Il est toujours difficile de conseiller valablement une taille sans connaître la morphologie et les préférences de la personne. Et les géométries des cadres varient selon les marques. A priori cependant, un 54 est un peu grand pour toi et tu devrais probablement mettre une très petite potence pour obtenir une position correcte.
  10. Entraînement à l'ancienne ou technologique, mental de champion, ... Tu as oublié les jambes, Sylvain ! 😜
  11. Je partage entièrement ta réflexion philosophique, Gérôme ! Après quoi courons-nous finalement, sinon l'immortalité ?
  12. Comment briser cet enchaînement fatal ? Ceci dit, les symptômes du variant "omicron" ressemblent souvent à ceux d'un refroidissement "ordinaire". De quoi confondre l'oeuf et la poule...
  13. J'ai supposé que les Leonidas te paraîtraient plus "communes". En même temps, ça me coûte pareil : elles sont virtuelles 😛
  14. Oui Grand Schroumpf ! Je suis à tes ordres, mon Grand Schtroumpf bien-aimé ! Cadeau :
  15. Comment dire... tu vas bientôt devoir apprendre à rouler à reculons si tu continues à t'entraîner si peu, Michel ! Voilà, je n'ai pas dit ton âge 🥰
  16. Le fond de commerce de tous les coachs et ce qui fait vendre des bouquins d'entraînement, c'est le rêve ou l'illusion des sportifs de devenir des champions. Tu fais bien de rappeler qu'il faut la capacité de supporter de grosses charges d'entraînement et que cela n'est pas donné à tout le monde. Comme le répétait Jean-Pierre Coffe : pour faire un bon repas, il faut d'abord de bon ingrédients 😊 Si ce que j'ai lu est exact, Indurain s'entraînait au feeling et ne voyait pas trop l'utilité d'un cardiofréquencemètre...
  17. Les courses ont l'avantage de mieux préparer aux courses que les entraînements effectués seul, parce qu'on va plus loin dans la douleur. Mais j'ai été amené à m'interroger sur leur pertinence pour les longues cyclosportives avec du dénivelé, du moins à mon niveau. Il y a 20-25 ans, je roulais le mercredi avec un groupe rapide. Il y avait des accélérations, des attaques, un final au sprint. Selon les conditions du jour et l'humeur des participants, la moyenne tournait autour de 35-37 km/h pour un parcours plutôt facile (toujours le même) de 54 km comportant 3 longs faux-plats où se faisait souvent la sélection. En dehors de cette sortie, j'effectuais seul des parcours plus longs et plus vallonnés en vue de me préparer à quelques cyclos ardennaises. Lors de ma première Vélomédiane Claudy Criquielion (environ 172 km pour 3300 m de D+, j'ai suivi au début un groupe qui me semblait d'un niveau proche du mien et j'ai été victime de crampes à partir de la mi-parcours. J'ai donc galéré pour terminer., les crampes menaçant de ressurgir dans chaque côte. En fait, j'avais adopté plus ou moins le rythme qui m'était familier lors de mes sorties du mercredi, sans tenir compte (à ma décharge, c'était ma première fois) de la distance et du dénivelé complètement différents. J'ai passé mes vacances dans les Cévennes en 1998 et j'ai fait cette année mon meilleur temps sur la même Criquielion, environ 45 minutes de mieux que lors de ma première participation. Même expérience cette année 2021 pour Liège-Bastogne-Liège cyclo, déplacé en septembre pour cause de covid. Je revenais de vacances dans la région du Mt Ventoux que j'ai gravi à trois reprises et j'ai géré cette cyclo sans coup de mou à la fin. Les longues ascensions préparent donc mieux (que les coursettes)... aux parcours comportant beaucoup de dénivelé !
  18. Même sur du plat, ce n'est pas toujours évident, et encore moins sans capteur de puissance. J'ai l'habitude d'aller sur un chemin de halage bétonné orienté ouest-est et le vent vient souvent de l'ouest. Le cardio ne permet pas un bon dosage sur les efforts de courte durée et le vent ne permet pas de se référer à la vitesse. Le home trainer est la meilleure option de ce point de vue. Mais un entraînement légèrement imprécis est-il improductif ? En course ou sur une cyclo, pouvons-nous demander à nos compagnons de jeu d'accélérer ou ralentir, ou pouvons-nous raboter les bosses pour que nous restions dans notre plage d'intensité optimale ?
  19. D'où mes doutes par rapport aux zones proposées par Garmin par défaut. La zone 1 correspond à 50-60 % de la FC max, soit 27-41 % en calculant à partir de ma réserve cardiaque. Ce n'est même pas une allure de récupération 🤪
  20. D'accord avec toi. Prendre un pourcentage de la FC max est plus facile à calculer mais calibrer son effort à partir de cette échelle suppose que le coeur ne batte plus pour les efforts nuls Idéalement, il faudrait établir (puis corriger au fur et à mesure des progrès suite à l'entraînement) une échelle de correspondance individuelle entre le rythme cardiaque et les différents pourcentages de la PMA. Dommage que la précision des mesures ne suffise pas à faire d'un âne un crack des hippodromes
  21. Thierry GEUMEZ

    Giant

    Bonjour Gilles, Tous les vélos seront durs à emmener au moment de ta reprise. Pense plutôt à te projeter dans l'après reprise, lorsque tu auras 1.000 ou 2.000 km dans les jambes.
  22. Il est au centre de la photo
  23. Riri ? Le seul que je connaisse dans la catégorie que tu décris, c'est Eric Hennuy. Lors de notre dernière sortie (avec Michel Dury, Franck Pastor et Jérémie Laplac), Eric s'est mis devant nous alors que nous étions déjà bien échauffés, les mains en haut du guidon, en sifflotant, sans la moindre volonté de nous mettre en difficulté, et nous nous sommes retrouvés décrochés de 200 mètres lorsqu'il s'est retourné... au bout d'un kilomètre. Il ne joue vraiment pas dans la même cour que nous !
  24. Arguments pertinents 😉 Je mets mon smartphone dans une poche arrière... parce que je ne n'ai pas d'autre place pour le ranger. La capacité d'emport m'a toujours semblé problématique pour les longues sorties. Il m'est arrivé d'utiliser un tout petit sac à dos mais il retient la transpiration et il bouge trop lorsque je me mets en danseuse. Je compte utiliser à l'avenir une petite sacoche de guidon.
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