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Thierry GEUMEZ

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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ

  1. Il y a longtemps que je ne roule plus en 23 mm... Dans mes souvenirs, je mettais 2089 ou 2098 (un début de dyslexie ?) mais sûrement pas 2070.
  2. Il faudrait des capteurs pour analyser notre comportement comme l'a suggéré Nicolas. En y réfléchissant, c'est la crainte instinctive (et fondée) de basculer vers l'avant qui me retient de trop freiner de l'avant dans les descentes. Cette peur est moins présente sur le plat. Il est vrai également qu'une amorce de blocage de l'arrière se rattrape plus facilement. Mais le freinage préalable de l'arrière pour "asseoir" le vélo et juguler la "plongée" de la fourche, je n'y crois pas, ce n'est valable qu'à moto ou en vtt si la fourche est suspendue
  3. Ouais, pas mal... Il ne frotte même pas les oreilles
  4. Ça n'a pas d'importance pour celui qui n'y accorde pas d'importance. Et on n'achète pas de compteur si ça colle avec notre philosophie. Si ton employeur se trompe et te paie 2.550 € au lieu de 2.600, quelle importance ?
  5. Étant donné que le pneu s'écrase un peu sous notre poids, je monte sur le vélo pour effectuer cette mesure.
  6. Ma référence à la télémétrie était une réponse à ton souhait de mesurer nos actions sur les freins pour analyser notre comportement qui demeure autrement "instinctif". L'ABS viendra bien avant cette technologie utilisée depuis longtemps dans les sports moteurs 😊 Le freinage à vélo n'est pas le facteur primordial de la performance à vélo. C'est sans doute la raison pour laquelle tant de cyclistes, surtout ceux qui roulent majoritairement en plaine, lui accordent une importance toute relative.
  7. Le "tassement" dépend quand même beaucoup des débattements de suspension. Importants en moto-cross, modérés sur les motos de vitesse, encore plus réduits sur les monoplaces... et nuls sur les vélos de route. Les techniques de freinage sont donc un peu différentes selon les disciplines.
  8. Après les disques et les di2, la prochaine avancée en cyclisme sera la télémétrie
  9. La réflexion de Nicolas est intéressante. En dehors de l'encrassement différent entre l'avant et l'arrière, il évoque des manières différentes d'utiliser le frein avant et le frein arrière. Mais cela dépend des parcours et des cyclistes. Personnellement, j'utilise toujours les deux freins simultanément mais avec une répartition avant/arrière qui dépend des circonstances et je constate comme dit plus haut que l'usure est égale. Je ne sais pas ce qui se passera (dans quelques années ?) avec des disques mais j'ai un a priori favorable pour du 160/140.
  10. Gros bicylindre... 😉
  11. Tu veux dire que tu souhaites passer en 160 à l'arrière ?
  12. Le transfert de masse dépend de la décélération, peu importe si celle-ci est provoquée par le frein avant ou le frein arrière... mais il est vrai que la limite (du transfert) vient d'abord du frein arrière puisque ce dernier aura tendance à bloquer le premier. Sur certaines voitures (de compétition), le pilote peut faire varier la répartition avant /arrière du freinage. Sur les sols secs et adhérents qui autorisent un fort transfert de masse vers l'avant, le pilote augmentera la puissance des freins avants. A contrario, sur les sols très glissants, il est impossible de freiner fort sous peine de glisser et il y a donc peu de transfert de masse. Le pilote équilibre alors la puissance de freinage entre les deux trains.
  13. David, il faut rester pragmatique ! Si tu freines tout le temps avec une répartition 80/20, le frein avant travaille en moyenne 4 fois plus que le frein arrière. Il faut prendre en compte les innombrables freinages non maximaux pour lesquels la répartition avant/arrière varie selon les cyclistes.
  14. J'ai fait de la moto pendant 20 ans, dont quelques journées sur circuit. Lors du freinage en bout le ligne droite, la roue arrière est à la limite de se lever et se met parfois à dribbler.
  15. Ce n'est pas ça !!! Lors d'un freinage violent tel qu'en compétition, presque tout le poids est transféré vers l'avant, il n'y a donc plus de poids sur l'arrière et le moindre freinage sur l'arrière bloque instantanément la roue. Il va sans dire, mais je le dis quand même et j'insiste, qu'un léger coup de frein sur une roue arrière délestée entraîne très peu de chauffe du frein arrière.
  16. La principale raison qui explique une plus grande température sur le frein arrière, c'est que le cycliste freine peu de l'avant !
  17. Je viens de vérifier sur mon vélo : l'usure avant/arrière est également répartie.
  18. On en revient toujours à la même réalité : le transfert de masse vers l'avant lors des freinages empêche le frein arrière de travailler autant que le frein avant. sauf si le cycliste évite volontairement d'utiliser le frein avant de manière optimale. En moto GP, certains pilotes n'utilisent pas du tout leur frein arrière !
  19. Les sensations ne sont pas toujours fiables, Michel. Voir les discussions sur les sensations de rendement d'un vélo, d'une paire de roues carbone, etc, Je ne dis pas qu'il ne faut pas s'écouter mais il est intéressant de mettre en parallèle les données objectives, mesurées, et ses sensations. Quant à l'ehpad, laissons cela aux vieux 😛 (j'espère sincèrement avoir la chance de mes parents : 92/93 ans et ils vivent toujours dans leur maison, ma mère fait la cuisine, le ménage, etc, et mon père le jardin et encore du vélo).
  20. +1000 !
  21. Je pense comme toi que le comportement du cycliste en est la principale cause.
  22. Lors des freinages, il y a un transfert du poids vers l'avant, 100 % lorsque le vélo est sur le point de basculer vers l'avant. C'est aussi pour cette raison qu'on bloque plus facilement la roue arrière. C'est lorsque l'adhérence est très faible que la répartition avant/arrière est presque équilibrée, parce qu'il n'y a pratiquement pas de transfert de masse.
  23. Je n'ai jamais été un élève modèle, donc j'ai souvent oublié de faire mes devoirs cyclistes, préférant rouler selon mon humeur du moment. Mais la situation a un peu changé depuis que j'utilise un Garmin Edge 830. Mr Garmin établit un rapport détaillé de chacune de mes sorties, estime mon VO2 max, ma FTP, la charge de travail en aérobie basse, aérobie haute et anaérobie. Et cela influence ma façon de rouler. Par exemple, j'ai enchaîné plusieurs sorties à intensité faible à moyenne sur terrain peu accidenté parce que le froid n'incite pas à faire des efforts violents et le résultat ne s'est pas fait attendre : régression du VO2 max de 50 -> 49 (valeur estimée mais pas mesurée, je sais qu'elle est surestimée d'environ 10%) et le conseil de Garmin "vous devriez intégrer davantage d'aérobie haute pour progresser". Je vais donc refaire des bosses lorsque la météo sera plus clémente. Etant donné que tu as des cols à portée de main, tu as déjà un entraînement correct et ta marge de progression est probablement plus faible. Ceci dit, un âne qui fait des exercices n'a aucune chance sur un hippodrome. Mon ambition est seulement de ralentir un peu le déclin 😉
  24. Et 90 bpm à 0 km/h ! Sylvain n'a pas l'air très en forme...
  25. Sortie de 48 km cet aprèm, sous un beau soleil et une température mesurée de 0°C (pas des degrés ressentis, ou simulés, je ne sais plus, Michel comprendra). Soit près de 2 heures, les longues virées attendront un climat plus doux.
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