Je ne suis pas plus aérodynamique ou plus téméraire que les "honnêtes" cyclos en descente (Sylvain et moi étions au coude à coude lors de la sortie du Jura), j'ai surtout le souci constant de la bonne trajectoire. En suivant scrupuleusement le tracé de la route, Michel était obligé de freiner, et donc de relancer plus souvent et plus fort, alors que j'essayais de m'économiser en coupant les virages autant que possible.