Geoffroy CACHAT

En Haute-Savoie, de la neige en plaine sur toutes les routes. Il va falloir attendre demain que ce soit bien déneigé partout et que les dernières chutes du jour soient tombées.

Ayant lamentablement échoué à maintenir une cadence qui ne m'aurait de toutes façons pas permis de faire 10.000km mais au moins les 100.000m de D+, je suis partant pour ce nouveau crû, si le grand maître veut bien m'intégrer au challenge en version 10/100.

Sublimissime ! (mais un bémol très personnel sur la couleur de la guidoline et des porte-bidons, trop voyante pour moi 😁)

Bonjour JP, Oui les 970m de D+ sont très proches de la réalité : 990m admis communément.

Bonjour, Je suis utilisateur d'une Garmin Fenix 6Pro depuis 2 ans et demi, et je n'ai jamais rien trouvé à lui redire pour la pratique vélo. L'autonomie est toujours meilleure qu'un GPS Velo de même marque (sauf la dernière génération solaire), certes avec parfois moins de fonctions enclenchées que sur ces derniers. Je me contente d'écran plus simples pour des sorties endurance par exemple ou de suivi d'entrainement avec découpage chronométrique ou alarmes de zones la plupart du temps. Le captage du signal GPS est toujours rapide. Je l'ai déjà utilisée pour de suivis de parcours, en vélo ou rando pédestre et elle fonctionne très bien, voire aussi pour rejoindre un lieu que je ne connaissais pas (en vacances par exemple). Niveau ergonomie, il faut s'habituer au non tactile mais personnellement, cela ne me dérange absolument pas. Il existe aussi de très nombreux niveaux de personnalisation.

J'ai vraiment de la peine pour elle car elle a, je pense, encore beaucoup à vivre et apporter au cyclisme et aurait mérité mieux pour cette saison, comme ses homologues masculins. J'espère qu'elle a fait insérer une clause libératoire au cas où une équipe de premier plan ait une envie de recrutement ou un besoin, et que ce transfert soit autorisé.

Audrey Cordon-Ragot signe chez ZAAF Cycling Team, nouvelle équipe espagnole de niveau Continental, avec une autre bretonne, Lucie Jounier. Un moindre mal pour la double championne de France en titre et sa jeune cadette. Il faut maintenant espérer que cette équipe puisse avoir de belles invitations pour les courses féminines "côtées" sinon elle ne sera probablement pas au départ du TdF Féminin.

Elles ne seront plus obligatoires pourtant après le 31/03 😆 Pas de stage en Italie pour mon club cette année, nous recentrons notre budget sur un meilleur accompagnement sur les cyclos sur lesquelles nous allons nous inscrire. Ce qui veut dire que je serai peut être disponible pour ce week-end alsacien, à condition de convaincre Madame (dont la totalité de la famille est alsacienne et s'y trouve).

Inscrit pour cette édition, sur le grands parcours (235km) de Brugge à Oudenaarde ! Hâte de découvrir et arpenter les monts pavés. Nous serons a priori 5 du club à faire le déplacement, l'un d'entre nous enchainera la semaine suivante avec son 6° Paris Roubaix Challenge.

Quand je vais en stage en Italie en club au mois de mai (ce pourquoi je n'ai pas répondu au sondage car je ne sais pas si je serai dispo, mais suis intéressé), nous procédons ainsi. Il y a déjà 5 groupes de niveau au départ (avec parcours adéquats), mais dans tous les groupes il peut y avoir des écarts. Tout le monde roule ensemble sur les plats et faux plats, les moins forts dans les roues de plus forts qui tirent le groupe. En montée, les plus forts partent devant et, soit attendent au sommet, soit redescendent chercher les moins forts. Rien de plus simple. Comme ça tout le monde arrive ensemble à la pause café et à la fin de la sortie.

Je confirme ce tout dernier point. Pour avoir eu les deux aussi, cela est plus agréable avec 52-36/11-34 en 12V sur le Wilier Filante, qu'avec mon 50-34/11-32 que j'utilisais sur le Focus (revendu). Elle est identique à la 11-30 en 11V que je préférais (mais trop limitée pour mon gabarit dans les ascensions à fort pourcentage), avec simplement le 34 en rab. C'est le trou entre 14 et 16 sur la 11-32 qui est préjudiciable je trouve. Du reste, le C68 est très beau ...

Oui, je parle bien des Look, la marque que j'ai toujours utilisée.

Idem trois ans avec, et jamais un couinement au niveau des cales/pédales. Je les utilise avec la version grip mais même amochées, celles-ci n'ont jamais fait le moindre bruit...

Oui, malgré tout, je ne pouvais pas manquer cette occasion à domicile sur route fermée et tout ce qu'il y a autour ... Même si j'ai la possibilité de faire le parcours en club chaque week-end ou presque depuis la maison. Nous serons au moins 5 du club à participer "à la maison".

Jay Vine signe chez UAE pour 2023 alors qu'il semblait engagé chez Alpecin ... Encore un potentiel super lieutenant pour Pogi !

Alors tu devrais arriver à t'économiser correctement sur les 90 premiers kilomètres. Les 14km de la Ramaz comportent un seul "passage difficile" de 2km (pourcentage moyen de 10%) dans lequel il fera chaud si la météo est dans les normales saisonnières, mais le reste est plutôt régulier et permet de monter à un rythme de croisière sans trop forcer, avec un final "facile" après la traversée de Sommand. A l'inverse, Joux Plane est plus irrégulier (début difficile, mi pente raisonnable et deuxième moitié plus difficile encore) et il est, je trouve en tant que rouleur, pas facile à appréhender car pas évident d'y trouver un rythme. C'est vraiment le col que je n'aime pas vraiment rouler, bien que sa longueur ne soit pas extrême (<12km). En fait, dans ce col, chaque erreur de gestion d'effort se paie, pas moyen de se refaire la cerise. Il sera nécessaire d'être patient avant d'aborder les 6 derniers kilomètres dans lesquels il ne faudra pas tout donner à la première grosse rampe. Après le col et 2km de descente, il faudra remonter encore quelques hectomètres jusqu'au Ranfolly avant de basculer définitivement sur Morzine. Dans Joux Plane aussi, il est possible qu'il fasse très chaud malgré un paysage d'alpages verdoyants.

J'ai eu le cas cette année, au retour du Covid : - Marmotte ; je pars avec deux copains de club, dont un très bon grimpeur et un à peu près à mon niveau. Explosion dans le Galibier car parti trop fort. Conséquence : même pas essayé l'Alpe d'Huez. - EdT : parcours à peu près similaire, mais gestion aux watts près (nous étions dans des sas différents), arrivé au sommet de l'Alpe d'Huez en finissant à peu près correctement malgré la chaleur. Il ne faudra vraiment pas griller de cartouches jusqu'au pied de la Ramaz, et partir prudemment, bien que nombreux seront ceux qui vont probablement se laisser griser par des ascensions "courtes" et l'effet peloton du départ jusqu'au pied de la Ramaz. Cela devrait moins s'éparpiller que lors des grandes montées et descentes de celle de 2022.

Nous serons plusieurs du forum à pouvoir te les recommander : fiabilité, rapport qualité/prix exemplaire. Je les utilise depuis 2019. Autre point très favorable : si tu utilises divers vélos, il est très simple de les passer de l'un à l'autre sans perdre le bénéfice de rouler avec tes informations ...

Mais non Pierre, tu vas adorer ce parcours ! Car oui les difficultés ne sont pas des majeures comme l'an passé, et pas de grands noms (bien que Joux Plane parle à un certain nombre), mais il va être usant car ça ne va faire que monter/descendre tout le long. Je connais tous les cols vu que j'habite dans le secteur (comme bien d'autres de ce forum), mais terminer par Joux Plane après la Ramaz, ça va faire mal aussi, comme l'Alpe d'Huez bien que ça soit moins mythique. Pour moi la difficulté viendra de l'enchainement montées/descentes car les descentes, d'habitude utilisées pour récupérer sont courtes, pas si simples pour la plupart, et tranchent bien avec les longs "boulevards" de la Savoie. Ce qui veut dire qu'il n'y aura pas beaucoup de répit. Car même les 10 bornes de faux plat montant entre Taninges et Samoens avant d'attaquer le dernier morceau peuvent être désagréables si le vent s'en mêle un peu.

Je suis du même avis, c'est le moins pire des trois. Mais Bianchi a pondu un design vraiment très tranché, qui pousse plus casse que passe à mon avis.

Clairement, l'option 2° paire de roues typée route pour équiper ton futur gravel est à mon sens le choix le plus judicieux, avec un bémol, utiliser deux paires de roues de la même marque (ou au moins faites avec le même moyeu) afin d'éviter d'avoir à refaire les réglages du dérailleur a minima. J'ai un ami qui a fait ça sur un cadre d'une autre marque et il passe régulièrement d'une paire à l'autre au gré de ses envies de sorties. Deuxième paire de roues équipée d'une autre cassette pour gagner du temps en mécanique, cela va de soi ...

Oui ! Ce sera vite là ... En attendant, en partant d'Annemasse, l'échauffement va être très court avant d'entamer le Salève. Et après la transition vers la Ramaz peut se faire par quelque chose de simple et quasi plat, voire de vallonné et casse-pattes, voire très compliqué en allant par exemple traverser le plateau des Bornes, monter les Glières dans le sens inverse des précédentes éditions, et faire une partie de transition en faux plat montant jusqu'au pied de la Ramaz comme il y aurait du avoir en 2016. Avec un parcours corsé comme celui-ci, cela ferait environ 175km et 4500m de D+, soit dans les standards des dernières éditions.

Pour le Paris Roubaix Challenge en avril, j'ai vu avec mon vélociste pour passer du 28mm sur un Peugeot alu dont j'ai déjà parlé, qui a plus de 20 ans. Il s'est employé pour parvenir à le faire. Il a du changer le collier de serrage du dérailleur pour un modèle très fin loin de celui d'origine et ça passe avec 2mm de marge. Idem sur le haut des étriers de frein AV et AR. J'ai crevé depuis roue AR (pas pendant l'épreuve mais cet été en vacances), et j'ai eu toutes les peines du monde à recentrer la roue parfaitement comme il l'avait fait pour que rien ne touche à la pression à laquelle je voulais gonfler... Donc si je peux te conseiller quelque chose de très pratico pratique : reste en 25mm. Car si ça passe très juste, et que tu arpentes des chemins où le risque de crevaison est important, tu risques davantage de te retrouver en "carafe". D'autre part, cela fonctionne car j'ai roulé avec essentiellement par temps sec. Si le temps est humide, inexorablement des petits débris viennent s'agglomérer aux endroits les plus étroits. Et je ne parle pas d'un temps pluvieux que nous aurions pu avoir sur PRC. Heureusement...

A à 40-45km/h, je serai moins catégorique sur la distance tenue. Il est largement possible de faire plus pour ceux qui sont un peu rouleurs ... A trois, au cours d'une sortie de 150 bornes et 2200 de D+, j'ai déjà pu faire une heure à 40,7 de moyenne par exemple avec de gros relais. Bon, je suis rentré et me suis "effondré" en PLS et pas pu finir ma bière, mais c'est faisable.😆 En revanche tenir à plus de 50km/h, t'as intérêt à être bien au cœur du peloton ou ... derrière un camion 😁🤣 A 60-65, des cyclos comme nous sommes au sprint, même s'il ne faut pas négliger l'aspect aspiration. Bref, tout ça pour dire que ce soit sur vélodrome ou route, les perfs des pros sont toutes impressionnantes. En vélodrome certes, c'est tout plat, mais justement c'est aussi tout plat. Et dans certains CLM en extérieur, certes il y a des faux plat montants, mais il y a aussi des faux plats descendants dans lesquels les pros roulent très très fort. Pour moi, tout ça reste plus "dingue" qu'un sprint même si là il faut une autre dose de courage.

Oui ça complètement.