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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Au N-E, pas l'air d'y avoir du verglas. Je vais sortir le vélo pour m'en assurer...
  2. Je n'aime pas la neige, mais il faut reconnaître qu'elle crée plus facilement une ambiance de Noël. En Belgique, en ce moment, l'ambiance, c'est pas un cadeau.
  3. Ils sont fous, ces cyclistes !
  4. Pierre, ça évoque déjà un peu son menhir.
  5. * sans manger
  6. Le thermomètre extérieur, chez moi, c'est la sonde du chauffage central. Elle est au N-NE à l'abri d'une gouttière, et ne reçoit qu'un tout petit peu de soleil le matin en plein été uniquement, quand le chauffage est à l'arrêt. -7°C ce matin à sept heures trente. Hier c'était -8. Bref, sakaï, comme on dit en japonais.
  7. Faute de triple, j'ai remplacé le 50 par un 42. Sur les 11 dents et pneus de 28, je suis en prise (en descente) jusqu'à 50 km/h et même un peu plus en tournant bien les jambes. Franchement, comme je roule seul , je n'éprouve aucun besoin ni envie de dépasser cette vitesse. Même en descente de col.
  8. "Marathon" chez Schwalbe, c'est un peu comme "gélule" chez le pharmacien. Il y en a de toutes sortes. Du "racer" au "tour plus", dans la même dimension, le poids peut être double voire triple. La résistance aux crevaisons, au roulement et à l'usure est très différente aussi d'un modèle à l'autre.
  9. Ils ont des jurons beaucoup plus beaux que les nôtres.
  10. Entre zéro et moins deux degrés cet après-midi, du soleil, vent faible à modéré de N-E ; ça m'a donné le courage de sortir. Bien habillé, en multicouches. 40 bornes dont la première partie contre le vent, donc en direction de Gembloux. J'ai fini par avoir froid au bout des doigts, malgré la pommade grasse, les gants en soie et la grosse paire de moufles. Pas facile de rouler l'hiver, quand on a les mains délicates !
  11. Amusant !
  12. Si on veut être maniaque/hyperprécis, non seulement on tient compte de l'écrasement, mais on rectifie en cours d'usure du pneu et aussi quand on change la pression. Qui fait ça ? Le GPS est moins précis sur un itinéraire sinueux, et plus on va vite, plus c'est imprécis parce qu'il trace des segments de droites entre des points. Il n'y a qu'à superposer la trace enregistrée et la route dans une descente de col, c'est très visible. En outre, je pense qu'il existe un réglage de la fréquence des points de relevés de position par le GPS. De seconde en seconde ou plus espacé, la fréquence la plus rapide est évidemment plus précise, mais sollicite davantage la batterie.
  13. Si tu en parles avec des Anglais, qui ne font rien comme nous, leur frein avant est à droite. Comme les motards. Et ils trouvent ça logique.
  14. C'est peut-être un art, ça ne s'improvise pas, mais à vélo je n'ai pas l'impression que ça s'étudie et se travaille beaucoup. Pas à notre niveau. C'est juste l'expérience et les sensations qui jouent. Je freine presque toujours des deux freins, mais je suis bien incapable de dire où, quand et comment je module les pressions sur les poignées. C'est "au feeling" et je suis persuadé que cela peut être très subtil. En freinage d'urgence, mais vraiment d'urgence - donc aucune anticipation, je vais aussi faire pareil : appuyer sur les deux poignées. Et ce qui se passe alors est classique : la roue arrière se déleste et bloque. Et la réaction immédiate est de relâcher l'arrière. C'est un réflexe. Je suis par contre incapable de dire si je relâche aussi l'avant, mais probablement pas tant que la roue ne bloque pas. C'est si rapide ! Chaque main a son indépendance bien formée par la pratique sans avoir travaillé ni étudié la question. La preuve : nous en discuterons et émettons présomptions et hypothèses, mais bien peu de certitudes.
  15. Quand je roule en montagne, ce qui n'était vraiment pas dans mes habitudes jusqu'il y a peu, les muscles de ma main gauche sont plus fatigués que ceux de la main droite. Avec les patins (je ne me prononce pas pour les disques), freiner juste avec l'arrière me semble suicidaire.
  16. Comparer moto et vélo a des limites. C'est OK sur le principe : le freinage sollicite davantage l'avant, l'accélération davantage l'arrière. Pour le reste... À moins de jouer à la conduite hyper économique, freinages et accélérations ne sont pas vraiment ressenties comme des dépenses ou gaspillages d'énergie quand on est motorisé. À vélo, on est bien plus parcimonieux ! Sans doute la raison pour laquelle, en plaine et sans esprit de compétition, on privilégie douceur et anticipation : une tâche qui convient bien au frein arrière.
  17. On nous expliquera que l'ABS est indispensable.
  18. Il est très difficile d'expliquer les choses que nous faisons sans y réfléchir. Il faudrait que des capteurs enregistrent nos différentes actions sur les freins (pressions, durées, etc), nous serions certainement surpris de prendre connaissance des résultats. Et sans doute fiers du nombre d'adaptations subtiles que nous apportons en cours de freinage. Le vélo, ça se conduit tellement d'instinct, une fois ingérés les principes de base... La conduite est directe, les sensations immédiates. Nous rectifions nos actions sur les commandes sans même y penser ! Alors, expliquer pourquoi, quand et comment... C'est plus facile à faire qu'à dire. Incroyable, non ?
  19. N'importe quel moyen pour nous faire acheter un stock de vitamines et décongestionnants !
  20. Ce n'est pas contradictoire, me semble-t-il. Quand je roule dans les Baronnies, près de Nyons, il faut des freinages appuyés dans les descentes de cols. Cela sollicite beaucoup plus l'avant, bien que je freine des deux poignées. Quand je roule ici, en Hainaut, je freine peu et moins fort, mais aussi des deux freins. Je pense qu'un freinage doux entraîne davantage de frottement que de pression, avec en prime la crasse qui reste coincée. Un freinage dur fait l'inverse : fort effet de pince et moins d'effet de frottement, avec une évacuation plus rapide des poussières et de l'eau. Je pense aussi qu'on freine de toute façon naturellement moins fort de l'arrière pour éviter les blocages de roue. Donc on "frotte" plus à l'arrière et on "pince" plus à l'avant. Peut-être que c'est plus abrasif de frotter. Aucune base scientifique dans ce que j'explique. Juste une impression
  21. N'oublions pas que le freinage est un gaspillage d'énergie. En montagne ou en compétition, il semble logique de freiner fort ; mais dans une pratique de loisir, on a plutôt tendance à éviter les freinages appuyés (ceux qui entraînent un grand report de masse vers l'avant).
  22. Il n'y aurait que lors des ralentissements en douceur en utilisant les deux freins ou le frein arrière seul qu'on éviterait les reports de masse vers l'avant...
  23. Est-ce que ce n'est pas la saleté, la responsable ? En roulant, on envoie plus de crasse vers la roue arrière. Franck nous parle souvent de boue sablonneuse abrasive. C'est peut-être cette saleté qui accélère l'usure des plaquettes ou patins arrières ?
  24. Pas de vélo, ici, par -5°C, mes mains ne le supporteraient pas, surtout qu'il fait venteux. Avec ma femme, nous avons fait 6km ce matin en trottinant et en marchant ; c'est pas mal pour le coeur et le souffle ; et ça fait un peu chauffer les quilles. Il fait sec, ensoleillé, mais ça ne chauffe pas. Les flaques d'eau, vestiges des draches que la terre a refusé d'encore absorber, sont encore bien gelées.
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