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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Moi, je bois aussi beaucoup. Et j'adore pi**er. C'est des sensations ! 🤪
  2. 13 - 14 degrés, ce n'est pas rare. Ils vendangent même souvent aux heures fraîches de la nuit, pour apporter au pressoir du raisin qui ne soit pas trop chaud. Cela aide à maîtriser mieux la fermentation. La teneur en sucre du raisin, avec les températures moyennes en hausse, est devenue problématique. Les vendanges se font aussi de plus en plus tôt (on commence déjà en août, seconde quinzaine).
  3. Hier soir, c'était plus sombre sur Valréas et nous entendions des coups de tonnerre lointains vers le nord-est. Finalement, pas de pluie ici et tout s'est dégagé. Déjà 30°C à l'ombre à 10h aujourd'hui matin.
  4. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    J'ai deux grands bidons comme ça. Mes porte-bidons en alu s'en accommodent bien. Par contre, ce n'est pas très pratique à manipuler depuis le porte-bidon fixé sur le tube de selle, avec les cadres "sloping". Il faut "inverser", quand celui de devant se vide. Généralement, on fait comme ça car on a souvent une préférence pour un des deux emplacements, l'autre servant pour le bidon de réserve. Mais quand on prend un bidon sucré et un bidon eau seule, ça peut être un peu moins pratique. Je n'ai jamais essayé sur mon vélo de route le p-b SKS mentionné précédemment. Il tiendrait bien sur le tube supérieur. J'essaierai un de ces jours.
  5. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Et c'est en cours de route que tu t'aperçois que tu as oublié le tire-bouchon ! Évidemment, en chemin, tu peux trouver un brave gosier sec équipé de l'engin adéquat ; mais voilà : si c'est un gosier sec...
  6. Nicolas JOARY

    Emporter plus d'eau

    Ici, effectivement, pas facile de trouver de l'eau dans un cimetière ou une fontaine, souvent marquée "non potable" quand on en trouve. Il y a deux ou trois "fontaines à eau" que je connais et utilise parfois (Allan, Solérieux) ; j'ai aussi pu remplir discrètement, il y a peu, dans une aire pour camping cars. J'ai aussi un porte-bidon SKS Anywhere, qui se fixe avec des velcro. Je l'utilisais en vélocamping, pour emporter un troisième bidon. Ça tient plutôt bien.
  7. Collusion avec l'UCI, ça se voit pas quand tu pi**es. C'est peut-être le plus efficace ? 🤪
  8. Je pourrais peut-être passer du 32, mais avec les C17, je n'aurais plus cette forme ronde pour moi idéale avec les 28. Surtout depuis que j'ai mis des tpu. Ma randonneuse a pour l'instant des 32 sur des C17, la forme est plutôt "en ampoule". Ce que je gagne en confort, c'est perdu en "peps" question roulage. Compromis, comme toujours.
  9. Eh ben moi, en ces périodes très chaudes, je n'avance pas ! Déjà, un autre temps, ce n'est pas terrible, mais là... Et pourtant, je supporte assez bien la chaleur, même si j'évite de faire des efforts aux heures les plus chaudes. Et même avant d'habiter dans le sud de la France, j'avais aussi ce "coup de mou" au milieu de l'été. C'est dû, je pense, à mon rythme de sorties autant qu'à l'effet de la chaleur. Au sortir de l'hiver, les balades s'intensifient et s'allongent jusqu'au "pic de forme" (tout est relatif) de mai-juin. Ensuite, ce n'est plus aussi bien. Mais je trouve souvent, après le coup de mou estival, une nouvelle période plus satisfaisante à l'automne. Ça tombe bien, car c'est pour moi la plus belle saison, dans le Midi. Sinon, pour en revenir au thème de cette discussion, trop souvent négligé ces derniers temps, je signale que tout est toujours OK avec les TPU. J'ai essayé de baisser encore un peu la pression de gonflage ; à 4,5 Bar à l'arrière et 4 à l'avant dans mes pneus de 28, mais cela ne m'a pas rassuré. Les petites routes sont rugueuses, moins de pression augmente le confort, mais le passage de petites bosses (asphalte soulevé par des racines, par exemple) me fait craindre la "pincette". Pour gonfler moins, il faudrait passer au tubeless. Pas dans les projets immédiats...
  10. Nous sommes tous dans une période de hautes températures et, par endroits, de sécheresse. Ici, dans l'Enclave des Papes, nous n'avons pas vu une goutte depuis plus de trois semaines (la drache du petit matin du 21 juillet, en hommage aux Belges expatriés dans le Midi). Hier, sous abri, c'était 38°C. Cela ne devrait guère différer cet après-midi et, selon les prévisions, les orages ne seront pas pour nous. Mais qui sait ? Un débordement de quelques kilomètres un peu plus au sud-est suffirait peut-être.
  11. Ah, ça ! Les bonnes routes belges... Mieux vaut tenir les mâchoires bien serrées. Ou alors, laisser les dents à la maison dans leur gobelet.
  12. Je te dis pas ce que nous sommes ici. 🤪
  13. Moi, ce que je trouve marrant, c'est les pédales, avec le pas gauche et le pas droit. Le problème se corse quand on utilise une clé Allen de l'autre côté... 🤔
  14. "Le faire évoluer". C'est bien là le danger.
  15. Incurables !
  16. Mettre déjà sous pression un gaillard aussi jeune, ça peut faire du dégât. Qu'on lui f* la paix et qu'on le laisse mûrir à son rythme, c'est le mieux qu'on puisse faire. Et je pourrais en dire autant côté belge à propos de Jarno Widar.
  17. Les changer 1x l'an, ça ne me semble pas un luxe, de toute façon.
  18. J'ai souvent pratiqué la rando par le passé, mais jamais avec des bâtons. Mais bon, en Belgique... J'allais aussi parfois dans les Vosges, dans l'Esterel, le Luberon et les pentes du Ventoux. Jamais eu envie ni besoin de bâtons pour grimper ni même pour descendre. Ici aussi, je m'en passais mais Chérie en utilisait. Un jour, en redescendant du sommet de Saint-Jaume dans la caillasse qui se barrait à chaque pas, Chérie m'a passé un de ses bâtons de rando. C'était vraiment dangereux et, sans cette aide, j'aurais pu facilement chuter et, compte tenu de la pente et de l'étroitesse du sentier, dévaler assez pour risquer ma peau. Depuis, quand je pars en rando sur du fort dénivelé, j'emporte les deux bâtons que j'ai achetés. Ils sont repliés et accrochés à mon sac à dos. Ils servent très rarement, quand il y a une descente technique, par exemple. Souvent, Chérie me reproche de ne pas les utiliser, surtout si de la caillasse roule sous un de mes pieds. Récemment, je m'en suis bien servi. Et des deux à la fois, en descendant plein pot un tronçon du GR9 sur le flanc de la Montagne de la Lance. Sans eux, non seulement j'aurais été beaucoup moins vite, mais je me serais gamellé dans la caillasse si j'avais essayé d'accélérer l'allure. Ils ne servent pas souvent, mais en montagne, c'est chouette de les avoir. Surtout qu'ils peuvent avoir d'autres usages, par exemple pour un bivouac improvisé. Et un petit tarp et de la corde dans le fond du sac, ça ne pèse quasi rien.
  19. Tu as les références du système ? Un lien, peut-être ? Merci.
  20. C'est sûr. Pogi était fatigué lors de la dernière montée de la butte. Quand il a vu qu'il était "trop court" pour recoller, il a laissé un peu filer. C'est flagrant quand on voit les images.
  21. Quand on est cramé, on n'a souvent même plus la force de se soulever de la selle pour passer une fissure dans l'asphalte. Alors, en Brabant wallon, je te raconte pas la torture sur les routes en béton disjoint !
  22. Il en est dont l'existence doit être bien morne, en tout cas. Un peu comme les débiles qui cassent tout en ville en marge d'un événement sportif. Et, comme en attestent les images de leurs exploits, ils réalisent ces derniers à visage bien découvert. Bêtes, méchants et lâches.
  23. Les matheux, ou, plus précisément, ceux qui ont bien étudié à l'école et n'ont pas oublié, pourraient peut-être expliquer à quoi ce couple pourrait correspondre question poussée en comparaison à la force musculaire d'une paire de guibolles ordinaires ? Merci.
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