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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Oui, il me semble qu'en Belgique les œufs CL3 sont interdits. Tant mieux, mais ça reste de l'hypocrisie, évidemment. Les "œufs de poules élevées au sol" (faut voir la densité de populo "au sol" dans les hangars !) et les "œufs de poules élevées en plein air" (il y a "plein air" et "plein air" !) ne valent peut-être pas beaucoup mieux, sans compter avec ce que bouffent ces volailles. On peut néanmoins se réjouir qu'elles ne soient plus enfermées dans de minuscules cages : bouger un peu et gratter le sol (s'il est propre !), c'est quand même meilleur pour leur santé. Reste que garder quelques poules quand on a un peu de terrain, ce n'est ni coûteux ni compliqué...
  2. "... et surtout pas de wd40..." Peux-tu argumenter, stp ? Merci.
  3. "L'urbanisation effrénée..." Exact. Densité du réseau et densité de circulation sont les deux causes principales de l'état déplorable de nos routes, en Belgique. - La circulation est telle que les routes sont rapidement démolies (et la généralisation du GPS est une catastrophe qui envoie des poids lourds un peu partout). Les automobilistes râlent. - Dès que des travaux sont entrepris, les automobilistes râlent aussi contre les bouchons que ça occasionne. - Pour "protéger" les usagers faibles, les pouvoirs publics essaient d'installer des pistes cyclables ; mais les moyens manquent autant pour les entretenir que pour réparer la route qui est juste à côté. Le constat est donc le suivant : quand la route est dangereuse pour les cyclistes (état, densité de circulation), la piste cyclable juste à côté est dangereuse aussi ; quand la piste cyclable est bonne, la route à côté l'est aussi. Moralité : il faut aller rouler sur les petites routes de campagne ce qui, à moins de tourner en rond, oblige à traverser fréquemment de grands axes ; ou partir loin des grands centres urbains, ce qui oblige à un long transit globalement pénible, même parcouru... en bagnole.
  4. Cette info ne me surprend pas. De même, ta suggestion d'analyser un échantillon de la population me paraît sensée. À moins de surveiller de très près notre alimentation et de ne manger que du cent pour cent bio, nous sommes tous probablement plus ou moins intoxiqués ou porteurs de substances qui seraient jugées illicites aux contrôles sévères que subissent les cyclistes professionnels (et particulièrement en France).
  5. Oui, tout à fait. Bravo à Bono (surtout) et à sa petite bande. Si Bono l'avait emporté, quel vainqueur on aurait eu là !
  6. C'est une question de budget. En Belgique, il y a les routes nationales, les routes provinciales, les routes communales. Récemment, tout un tronçon d'une route près de chez moi a été refait, alors que le besoin ne s'en faisait pas sentir, surtout en regard d'une route voisine, en état catastrophique depuis des années. L'une est provinciale, l'autre est communale. Ceci explique cela. Les budgets communaux sont asphyxiés. Je suppose qu'on peut faire le parallèle, en France, avec les différentes compétences en matière de travaux routiers.
  7. Nicolas JOARY

    Combien de bars ?

    Lors de ma dernière sortie, j'ai testé 9 bars. Je suis rentré bourré, donc pour moi c'est trop. Ou alors faut renoncer à la bière trappiste. (Non, non, pas la peine. Je suis déjà sorti.)
  8. Du "contact cleaner" en spray ? Tu parles de ce truc qu'on utilise en électronique ? J'en ai, mais jamais songé à essayer sur un vélo.
  9. C'est vrai ? La production d'un coureur est gérée par son intelligence ? Ce n'est pas ce qu'on m'avait dit ! 😆 (Je sors ?)
  10. "Puis réussir ensemble, c'est en principe une grande VICTOIRE." +1
  11. Ah ! Ben, tiens ! Pour une fois qu'il n'y a pas que nous autres, les Belges, à nous plaindre de l'état de nos routes... Mais j'avoue, le goudron et les gravillons, c'est pas drôle. Je me demande si je ne préfère pas nos trous et nos rapiéçages de m... 😕
  12. Une preuve de plus que les cyclistes - au look sportif - ne laissent pas indifférent. On les aime ou on les déteste, on les respecte ou on les méprise, on les comprend ou on les met en danger... Qu'on soit journaliste, automobiliste ou promeneur du dimanche n'y fait rien : les cyclosportifs, on les met tous dans le même panier dès qu'on a en tête le comportement d'une minorité d'entre eux. Le racisme ne vise pas les mêmes personnes, mais le raisonnement est identique.
  13. Il est très malaisé de deviner les motivations des autres, leurs frayeurs, leurs idées reçues... surtout quand on identifie mal les nôtres. Mes enfants sont grands, maintenant, mais autrefois je ne leur laissais pas faire vingt minutes de marche pour aller à l'école. Je leur faisais emprunter les transports en commun, mais ça les faisait parfois râler, parce que j'ai une voiture et que c'est si facile. Difficile de juger, aussi. Certes, quand j'étais gamin, je marchais, je roulais à vélo et je prenais le bus. À l'époque, il y avait beaucoup moins de circulation et, sur ce plan-là, les routes étaient moins dangereuses. Mais faut dire aussi que mes parents n'avaient pas de voiture, et ça tranchait la question. Fallait utiliser les guibolles. Il y a un peu de tout : routes plus dangereuses, gens plus stressés d'un côté ; hausse du niveau de vie, attrait de la facilité de l'autre. Un point positif, toutefois. Et même deux : d'une part, le commerce des vélos marche très bien ; d'autre part on n'a jamais vu tant de compètes cyclistes à la télé. En Belgique, tout au moins. Ailleurs, je ne sais pas.
  14. Il y a quand même de temps à autre de bonnes initiatives, même si elles sont encore trop rares, du genre "ramassage" de cyclistes. En bonne saison, deux ou trois adultes organisent un "ramassage" d'écoliers sur un trajet bien défini jusqu'à l'école. Le groupe se constitue et grossit jusqu'à destination ; l'inverse au retour. Les enfants sont encadrés et apprécient. La paresse et le stress ne viennent généralement pas d'eux. Pour eux, c'est ludique, donc apprécié et valant l'effort.
  15. Encore heureux que j'ai pas interviendu, alors !😃
  16. "Dans le temps nous vivions un peu plus insouciant, et ça ne se passait pas plus mal je crois." J'habite à proximité d'une école. À voir le nombre d'élèves qu'on y dépose en voiture, je me dis que soit les parents ont peur pour la sécurité de leurs enfants, soit la paresse s'installe de plus en plus ; étant entendu qu'il y a peut-être un peu des deux, l'une servant de prétexte à l'autre.
  17. Qualitatif, je ne sais pas, mais c'est sûrement intéressant dans le genre "faire comme avant, quand on n'avait pas de dérailleur". Tu peux aussi décider de rester deux mois sans Internet ou sans téléphone portable, et te demander comment on faisait quand on n'avait pas tout ça. Et tout un tas d'autres expériences qui, je le répète, sont certainement dignes d'intérêt, ne fût-ce que par curiosité. Dame ! Renoncer au "confort", ce n'est pas rien. C'est lors d'une coupure de courant, par exemple, que tu réalises que sans électricité, on est quand même dans la m*
  18. Ah, ben tiens, pour le don de plasma, je l'ignorais. C'est bon à savoir !
  19. Non, non, non ! Fais pas ça ! 😆 Enfin, si, c'est sympa, hein ! Moi, je donne tous les trois mois, mais c'est clair que si j'attachais de l'importance à mes performances, je mettrais le holà à ma générosité. Quand tu enfourches ton vélo moins de trois jours après un don de sang, tu comprends tout de suite pourquoi c'est efficace les transfusions... dans l'autre sens ! 😆
  20. "... je roulais depuis 4 ans avant cette année à moins de 4000 km/h... " Oui, moi aussi, à moins de 4000 km/h. Bon, désolé, c'est pas pour me moquer. Je trouve juste rigolote la faute de frappe...
  21. J'aimerais bien essayer une SMP, mais c'est cher de l'essai, au prix où on les vend ; et en sus il y a une flopée de modèles... Je n'ai pas de revendeur près de chez moi, ce qui n'arrange rien. Leur forme indique qu'il n'y a qu'une seule position possible, donc il faut qu'elle soit bonne (avec un réglage pile-poil).
  22. Bravo pour la performance et merci pour ce récit sympa à lire !
  23. Oui, mais tout ça est très compliqué. Et, comme avec le reste de vélo, c'est une affaire de compromis. Plus tu soulages l'appui sur le périnée, plus tu l'augmentes sur les ischions, ce qui peut déplacer les douleurs au lieu de les atténuer ou supprimer. Je remarque aussi que plus la selle est évidée, plus il faut s'y poser avec précision ; ce qui est logique : les surfaces d'appui sont plus étroites et leur étroitesse s'accentue si on se déplace vers le bec.
  24. Tu écris "des frottements", mais ce ne serait pas plutôt une fatigue due à l'appui et aux vibrations ? Auquel cas, ce serait plutôt de l'écrasement que des frottements. C'est peut-être une question de réglage... mais il faut songer aussi qu'une selle "tendre" peut devenir fatigante quand on est longtemps dessus, même si on y est "bien posé", alors qu'une selle plus dure n'aura pas cet effet. La selle et le rembourrage du cuissard s'aplatissent petit à petit sous la pression des ischions, ce qui fait que les "parties molles" qui entourent les os doivent à leur tour supporter le poids du cycliste. Au début, on ne sent rien, mais peu à peu les douleurs apparaissent. À chacun sa selle, mais le périnée, il faut le ménager.
  25. 1. Ne pas suivre de régime. Régime = frustrations. 2. Prendre de bonnes habitudes alimentaires et virer les mauvaises. Tu en as ciblé une. Si tu es assez motivé pour te débarrasser de celle-là, toutes choses égales par ailleurs, tu verras le résultat.
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