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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Tous les procédés mis en place pour faire perdre du poids répondent au même principe de base : avaler moins de calories qu'on n'en dépense. À côté de cela, il y a un tas de trucs qui peuvent y aider, physiquement ou moralement : pratique d'un sport, groupes et réunions, compléments alimentaires, coupe-faim, placebos... Tant que ça ne crée pas de carences, de déséquilibres et de frustrations répétées ; tant qu'on ne met pas en danger sa santé physique et mentale, pourquoi pas ? Alors, si les aiguilles peuvent aider sans blesser, pourquoi pas ? Le dernier truc à la mode, c'est de vanter des résultats de recherches en laboratoire, qui auraient l'air de dire que les minces (qui peuvent bouffer tout ce qu'ils veulent sans prendre un gramme) possèdent en abondance dans les intestins une bactérie (je vous en épargne le nom, ça m'évitera de le chercher parce que je l'ai oublié) que les gros (qui prennent du poids rien qu'en reniflant l'odeur d'un dessert) n'ont pas ou en trop petite quantité.
  2. J'appuie ton commentaire. Pareil pour moi : le froid, pas de problème. L'humidité, j'évite. Apparemment, le vélotaf a eu un effet positif sur ma résistance aux rhumes, grippes, etc.
  3. "(...)examine bien la jante au peigne fin(...)" Tu lui cherches des poux, à sa jante ? (Je sors, je sors...)
  4. On parle de l'élargissement des jantes (ETRTO 17x622 et davantage, au lieu des 15x622 traditionnels). Cela permettrait de donner au pneu une forme moins resserrée coté jante. Et une amélioration de l'écoulement de l'air. Mais c'est encore de la théorie...
  5. Tu as certainement pris de bonnes habitudes alimentaires. Ce n'est pas nécessairement plus facile de s'en débarrasser que des mauvaises. Quand on ne se précipite pas sur la nourriture, qu'on prend le temps de manger et d'écouter les signaux émis par son corps, on ne mange pas plus que nécessaire. J'ai l'impression que c'est ce que tu fais. Tu bouges moins, tu manges moins.
  6. Évidemment, sur une bonne route... J'ose pas imaginer l'image-parkinson sur un tronçon pavé dans P-R !
  7. Probablement comme le dit Ghislain. Voir aussi si les butées sont bien réglées. Quand le dérailleur est contre la butée haute ou la butée basse, la chaîne ne doit pas frotter. Quand le câble est détendu, il arrive que le dérailleur ne se déplace plus jusqu'aux butées.
  8. Horrible. 😆
  9. Complètement délaissé la bagnole, non. Mais de début mars à fin octobre, sauf météo dégueu, c'est vélotaf pour moi. La météo est capricieuse, en Belgique, donc c'est parfois six ou sept cents bornes par mois, parfois moins de la moitié. Des économies, ce n'est pas évident à calculer, mais comme mon employeur me paie pour les km à vélo et que ma voiture ne roule pas, je dirais que j'en fais, oui, mais que j'ai dès lors moins de scrupules à acheter de l'équipement (vêtements, surtout). Outre les avantages économiques et le plaisir de rouler à vélo, j'y trouve d'autres points positifs : - Gain de temps. Bien que je parte quarante minutes plus tôt le matin et que je rentre quarante minutes plus tard le soir, j'ai plus de temps à la maison après ma journée, puisque j'ai déjà fait environ 2h30 de vélo. Plus besoin d'aller rouler une ou deux heures dès mon retour. - C'est une manière agréable d'améliorer ma condition. Sans ça, je roulerais moins parce que je devrais sortir le vélo en soirée ou un peu plus le week-end, ce qui m'éloignerait de ma famille. - Pour ceux qui sont motivés, c'est un bon entraînement. Au retour, on peut "se lâcher" ou même faire un petit détour pour aller chercher une difficulté. Si tu as l'habitude de rentrer pendant la pause de midi, c'est que tu n'habites pas très loin (ou que ta pause est très longue) ; mais prendre son casse-croûte, ce n'est pas si mal, après tout. Bonne route !
  10. La question que je pose est : quel crédit accorder aux tests comparatifs de pneus de vélos ? Pour un test fiable, il faut beaucoup de rigueur, ce qui passe par une méthode de test en adéquation avec les données recherchées et reproduisible à l'identique autant de fois que nécessaire. On ne teste qu'une variable à la fois ! Pour être rigoureux, il vaut mieux répéter le test avec plusieurs exemplaires du même pneu (issus de séries de fabrication différentes) et faire une moyenne des résultats obtenus, ce qui met de côté les tolérances de fabrication. Faire faire ces tests par le même cycliste sur le même vélo sur un parcours identique dans les mêmes circonstances, ce n'est déjà pas envisageable si on veut des résultats significatifs. Les tests les plus "sérieux" sont donc conduits en labo, avec des appareillages qui n'ont pas grand-chose en commun avec le cycliste et son vélo sur un parcours routier. Et encore faudrait-il qu'ils simulent plusieurs gabarits de cyclistes, qui roulent en danseuse ou pas, etc. Les résultats de tous ces tests comparatifs ne seraient-ils pas, dès lors, purement anecdotiques ?
  11. Ils existent même en 20 et en 28 !
  12. Si tu compares des 28 lourds à tringles rigides (et probablement faible tpi) avec des 23 souples et légers, évidemment que c'est le jour et la nuit ! Il vaut mieux changer une seule variable à la fois, sinon la comparaison ne vaut pas tripette.
  13. Nicolas JOARY

    Vtt 30 km et hs

    Le mieux, me semble-t-il, est de demander ça au vendeur, non ?
  14. "j'ai des michelins PRO4 Endurance en 25 qui font réellement 27 et ici en belgique j'ai personnement rien trouvé de mieux." Excellent ! 😆 Mes Rubino Pro III en 28 font réellement... heu... un petit 27. Et je confirme que pour les routes belges, c'est bien !
  15. C'est effectivement un exploit que Merckx lui-même (qui n'est pas Wallon mais Bruxellois) classe parmi ses plus mémorables !
  16. Excessif, le 28 ? Oui, peut-être. Mais pour mon petit niveau (les guillemets ne sont même pas nécessaires) et là où je roule, je préfère utiliser un bon 28 à 150 tpi comme le Rubino pro III. Un 25 ou un 23 (de même qualité) ne me ferait pas aller plus vite, mais me causerait davantage de frayeurs : toujours de nouveaux trous dans l'asphalte, et pas toujours moyen de les éviter ! Des fois, ça "tape" tellement fort que je me dis "pourvu que je n'aie pas pincé" ! Maintenant, il faut bien se dire que chaque époque a ses vérités et ses contre-vérités. Quand il s'agit de se mouvoir à la force des guibolles ou à l'aide d'un moteur, l'ennemi numéro un est généralement ce qu'on regroupe sous l'expression "pertes par frottement", ce qui recouvre un tas de choses parmi lesquelles le contact avec le sol, la pénétration dans l'air et autres frictions mécaniques. Autrefois, quand on ne disposait pas de toute la technologie actuelle (essais en soufflerie, puissants ordinateurs et logiciels de calcul), on décidait plus ou moins empiriquement qu'un objet en forme de flèche ou d’œuf devait forcément offrir un meilleur taux de pénétration dans l'air qu'une armoire normande. Que voyons-nous maintenant ? Des bolides de course aux formes étranges et des voitures particulières plutôt rondes voire boursouflées montées sur des roues de plus en plus grandes et des pneus de plus en plus larges. Ces voitures particulières sont plus grandes, plus confortables, plus sûres, plus performantes et consomment moins de carburant. Seul problème : elles sont plus lourdes. Pour les vélos, on voit des cadres de plus en plus gros, des tubes surdimensionnés. Pourtant, en toute logique empirique, quand c'est fin, ça pénètre mieux dans l'air. Oui, mais... il y a les turbulences. Et, finalement, plus gros, si ce n'est pas plus lourd, on dirait que c'est mieux. On voit même à présent des études qui prétendent que des pneus plus gros... etc. Vrai ? Pas vrai ? Effet de mode ? Stratégie commerciale ? Et si on parvenait à faire des jantes plus grosses, plus larges, avec des pneus plus gros... pour un poids globalement égal ou inférieur à ce qui se fait actuellement ? Est-ce que ça ne serait pas intéressant, tout compte fait, au plan aérodynamique ? Wait and see...
  17. Bravo ! Belle performance ! Ce n'est pas là plus ou moins le temps que mettent les bons rouleurs du peloton pro ?
  18. En plus, quand on tient compte des dimensions réelles des pneus, on constate qu'entre les chiffres écrits sur les flancs et ceux affichés par le pied à coulisse, il y a souvent de la marge. Peut-être que les constructeurs rognent sur la taille pour gagner du poids ? Mes Rubino pro III en 28 "font" à peine 27. Mais pour du vélotaf sur les mauvaises routes wallonnes, c'est parfait. Je ne suis pas assez affûté pour sentir la différence en rendement ; mais en confort, c'est évident.
  19. Axel, es-tu certain que c'est la pratique cycliste qui est la cause de ton mal ? Les hémorroïdes peuvent apparaître pour beaucoup de raisons et c'est peut-être une coïncidence ou une addition de causes, le vélo étant la goutte qui met le feu aux poudres (ou l'étincelle qui fait déborder le vase, si tu préfères). Pierre-Yves suggère une selle évidée. Pourquoi pas ? Surveille aussi ton alimentation : éviter le café, le thé, l'alcool et les plats épicés ; boire beaucoup d'eau. La constipation chronique est souvent cause d'hémorroïdes.
  20. @ Charles et Philippe : Merci pour les explications !
  21. J'écrivais cela au sujet de Rodriguez en songeant au fameux championnat du monde remporté par Rui Costa et au sujet duquel Valverde a essuyé beaucoup de reproches. Moi, j'ai toujours considéré que c'était surtout Rodriguez qui avait fait le c** en jouant répétitivement sa propre carte pour couper toute initiative à Valverde. J'ai lu beaucoup de commentaires injustes (à mon avis) sur Valverde cette fois-là.
  22. Est-ce qu'un temps venteux peut affoler un altimètre barométrique ? Quand le vent souffle en rafales, les mesures deviennent fantaisistes sur mon VDO, alors qu'en d'autres circonstances, il est très constant dans ses données sur les mêmes parcours.
  23. "(...)J'avais le sentiment qu'elle était un peu trop étroite car je cherchais systématiquement à me reculer pour profiter de la partie la plus large.(...)" Bien vu ! Quand on ne se sent pas bien sur une selle, on cherche à corriger la position pour être mieux (ou moins mal), et c'est la manière de corriger qui nous indique vers quelle forme et taille nous diriger.
  24. C'est effectivement ce qui me vient à l'esprit à son sujet : maîtrise, intelligence de course. En plus de son incontestable talent, il "sent" la course et ses adversaires comme personne. Et il prend aussi ses responsabilités. (Hier, il fait l'effort au bon moment derrière Moreno). Je ne pense pas qu'on puisse le taxer d'attentisme. L-B-L ce n'est pas n'importe quelle course et, puisqu'il la gagne, c'est qu'il a tactiquement raison. Je me dis parfois que si Rodriguez avait le quart du sens tactique de Valverde, il gagnerait davantage de courses.
  25. C'est intéressant, ce que tu écris. L'an dernier, j'ai vu toutes sortes de gens grimper là-haut, de tous âges et sur toutes sortes de vélos. J'étais admiratif devant leur courage, leur volonté d'aller au bout de l'effort. Je ne songeais pas à ce moment-là, et notamment au sujet des gamins qui arrivaient en haut, que certains pouvaient mettre leur santé en danger.
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