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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY
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Puissance pour un eclairage de nuit
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Fabien LIOT dans Le matos
Vraiment, je ne sais pas où vous roulez la nuit, mais si c'est sur route, elles doivent être peu fréquentées ! Toutes ces lampes puissantes sont des chinoiseries qu'on trouve sur E*ay pour quelques euros avec plusieurs semaines de délai de livraison. On retrouve les mêmes plus ou moins rebadgées chez des revendeurs "de chez nous", à un prix plus élevé (mais qui reste abordable) qui se justifie par le SAV. Le point commun de toutes ces lampes, c'est leur simplicité de conception : une ou plusieurs DEL et un réflecteur basique qui permet à la lampe de cracher des lumens de la même façon qu'une torche électrique. Certains revendeurs indiquent "lampe VTT", parce là il n'y a pas de problème, mais sur route avec d'autres usagers, ça ne convient que si l'objectif est de les aveugler. Pour éviter ça, il faut orienter la lampe très bas ou (et) l'utiliser à puissance réduite, ce qui en limite l'efficacité. En Allemagne, l'usage de ce type de lampe est rigoureusement interdit sur route. Il faut des modèles homologués. Allez voir, par exemple, chez Busch & Muller : les faisceaux sont très travaillés, à la façon des phares de voiture, et n'éclairent pas vers le haut. La lampe Specialized renseignée plus haut semble répondre aux exigences d'un usage routier. Si, là où vous roulez, il est possible d'utiliser des torches chinoises sur des routes désertes, quelque part je vous envie, parce que chez moi, c'est hors de question. Le but de mon intervention n'est pas de dire qu'il faut utiliser ceci plutôt que cela, mais d'aider ceux qui se posent des questions à opérer leurs choix en bonne connaissance de causes et d'effets. -
Puissance pour un eclairage de nuit
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Fabien LIOT dans Le matos
La Spe a un réflecteur aux formes bien pensées pour couper l'éclairage vers le haut et bien l'envoyer sur la route, comme un phare de voiture. Si tu lis l'anglais, il y a un compte-rendu très bien fait sur Candlepowerforums. La lampe "crache" copieusement, avec une télécommande qui commande un switch "high beam/low beam", un peu comme les inverseurs de phares sur une voiture, avec en plus trois niveaux de puissance. Une chouette lampe, apparemment, mais assez chère. L'autre, c'est plutôt une torche puissante, à mon avis convenant davantage au VTT qu'à la route (ou alors sans autres usagers à éblouir). Je roule souvent de nuit (vélotaf) ; et le problème essentiel, c'est la forme du faisceau et sa portée. Une lampe qui éclaire bien à plus de dix mètres sans éblouir les autres usagers, je n'en ai pas. À 36 km/h, on parcourt 10 m/sec. Est-ce qu'une seconde est un délai suffisant pour apercevoir l'obstacle éventuel et l'éviter ? À moi, ça me semble un peu juste. En Belgique, en l'absence d'éclairage urbain, rouler de nuit sur nos routes en mauvais état (et très fréquentées), c'est à 30 km/h maximum, en ce qui me concerne. -
Froome : Les chiffres
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de David VANDERVEKEN dans Discussions Route
"J'y crois pas une seconde au régime sans hydrate de carbonne. Va tenir rien qu'une semaine a 30h vélo/semaine sans glucides. On en reparle après. A mon avis les gars en sortant de dashau ils faisaient pas 6W/Kg Tu prends forcément des trucs pour perdre cette graisse, pour perdre cette graisse sans perdre de muscle, pour tenir se niveau de graisse et pour ne pas tomber malade tous les 5 jours." À moi aussi, ça me semble une bizarrerie. Pas de ne pas consommer d'hydrates de carbone et de perdre du poids, bien sûr, mais de parvenir à utiliser le gras sans perdre du muscle. Il me semble que, naturellement, le corps brûle du sucre et qu'à défaut d'en disposer, il peut transformer en sucre les réserves de lipides ; mais c'est un processus lent, pas forcément compatible avec une activité physique soutenue et des efforts violents. À moins qu'on nous ait menti ? À moins qu'on arrive à "tromper" le corps, qui sait très bien calculer comment stocker l'énergie (sous forme de sucre et de graisse) et comment faire en sorte d'en consommer le moins possible en période de disette (en réduisant la masse musculaire, gourmande en énergie) ? Les culturistes suivent des régimes très pointus (en prenant des "compléments" alimentaires qui le sont tout autant) afin de réduire le plus possible leur taux de graisse tout en sauvegardant leur masse musculaire ; mais ils font cela pour être "au top" à un moment donné, pour un grand concours. Après l'événement, ils relâchent la "chasse au gras". Un grand tour cycliste, c'est quand même assez différent, me semble-t-il. -
Deces d eric de vlaminck
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Pierre HEROIN dans Discussions Route
Merci pour ce portrait du grand cyclocross-man ! -
Wiggins veut le record de l'heure à l'ancienne
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
"Une grosse saison professionnelle", le terme est faible quand on voit les courses remportées par le Cannibale en 1972. Alors, qu'est-ce que Wiggins pense prouver en faisant cela ? Qu'il aurait pu être meilleur que Merckx avec le même matériel ? Rien ne sera honnêtement comparable, mis à part les vélos. -
J'ai 21 maillots...et vous
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Daniel GRAZIANO dans Discussions Route
Deux. Mais j'ai commencé avec un seul. Je veux dire : deux de chaque sorte, après avoir commencé avec un de chaque sorte. -
Le vélo pour aller au boulot
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Christophe FOREY dans Le vélo urbain coté pratique
Intéressant ! J'ai appris des choses au sujet des habitudes... -
Bienvenue !
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Maillot distinctif
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Pascal DELRIVIÈRE dans Discussions Route
Gilbert a été champion du monde au terme d'une très belle saison. On peut considérer qu'il l'avait bien mérité avant, à défaut de réussir à l'honorer après (l'année suivante). C'est ce qui arrive quand même assez souvent avec un CDM placé en fin de saison. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
Juste une petite remarque : tu as fait avec ta petite famille des choix qui te conviennent et qui t'assurent un bon état de santé et c'est très bien comme ça. Par contre, rien ne permet d'affirmer que sans ces choix vous auriez été en moins bonne santé, non ? Ce n'est pas pour polémiquer, évidemment. C'est juste pour rappeler que les liaisons de cause à effet sont rarement simples à définir et les raccourcis souvent trop faciles à faire. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
Non, pas de sodomie de diptères. Tu as raison de préciser la différence entre "allergie" et "intolérance". Quoi qu'il en soit, laissons les cures et les régimes aux personnes qui en ont vraiment besoin. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
J'ignore s'il s'agit d'une mode. J'ignore également si ça peut être bénéfique ou non pour l'être humain, sportif ou non. Je sais par contre qu'il y a des gens qui développent des allergies (vraies ou fausses, c'est une autre question) à certaines substances, parmi lesquelles le gluten, le lactose. Il y a derrière tout ça, en mettant de côté l'aspect médical ou pathologique des choses, un énorme bizness qui consiste à diaboliser certains aliments (lait, graisses, sucres, céréales, édulcorants... la liste est presque sans fin) pour favoriser le commerce d'autres aliments qui ne sont pas nécessairement plus sains. Le bon sens, c'est d'adopter une alimentation variée et équilibrée, en évitant les excès. Avec ou sans tchic ou tchac, c'est davantage un problème de profit pour l'industrie de l'agroalimentaire que de santé des individus. Au sujet des allergies - qui existent bel et bien mais qui sont souvent beaucoup moins graves qu'on ne le donne à penser - , c'est notre obsession de la "crasse propre" qui les provoque le plus souvent. J'écris "crasse propre" parce que le secteur alimentaire doit répondre à des normes sanitaires sévères (dates de péremption, modes de conservation, etc.) pour que l'on mange "propre", alors que la composition des aliments transformés nous indique qu'on nous fait bouffer "de la crasse". L'obsession de l'hygiène alimentaire entraîne des effets pervers : notre système immunitaire, qui est conçu pour lutter contre les attaques bactériennes, n'a plus assez de travail au niveau du tube digestif parce qu'on mange trop aseptisé. Le résultat est qu'il s'attaque à des choses a priori inoffensives, et les gens développent des allergies à ceci ou cela. Quand j'étais gamin - j'approche des 60 balais - on ne regardait pas à tout ça. Encore moins du temps de mes parents et grands-parents. Les bébés étaient nourris au sein maternel, on ne gaspillait pas autant de nourriture, on mangeait moins aseptisé et les allergies de type alimentaire étaient rares. -
Le vélo pour aller au boulot
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Christophe FOREY dans Le vélo urbain coté pratique
Bravo à toi et bonne continuation ! Les mois difficiles sont là : météo foireuse et longues nuits, il faut s'accrocher pour tenir le coup. L'hiver dernier, j'ai abandonné le vélotaf en décembre et janvier (trajet de 30 km vallonnés matin et soir sur routes belges plutôt mauvaises). J'essaierai de m'améliorer cette année. -
Problème de selle? Une alternative audacieuse.
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Le matos
Je ne doute pas de sa qualité. Je suis par contre certain qu'elle ne me conviendrait pas. Question de forme, pas de matériau. Si un jour tu souffres d'engourdissements du périnée, tu comprendras pourquoi des cyclistes s'assoient sur des ISM, des SMP, des Proust... et trouvent ça tellement confortable qu'ils ne veulent plus rien d'autre. -
Problème de selle? Une alternative audacieuse.
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Le matos
Avec l'âge et l'expérience, j'ai remarqué qu'il en va des selles de vélo comme des chaussures : il me suffit de les regarder pour savoir si j'ai de fortes chances d'être bien dessus ou dedans. Et il suffit généralement d'essayer pour me conforter dans ma première impression. Une Brooks, qui respire pourtant la qualité, j'ai mal au Q rien qu'en la regardant. Rien à faire : je ne supporte plus la moindre pression sur le périnée. Par contre, comme matière, le cuir c'est excellent. Et pas difficile à entretenir. Il y a des produits prévus pour ça et qui aident à repousser l'eau. Après tout, les vaches sont dehors et supportent bien la pluie, non ? -
Après quelques recherches, il me semble que le "standard" des roues route est maintenant de 622x15 (après avoir été de 622x13 pendant longtemps). Les modèles "élargis" seraient donc plutôt à chercher en 17...
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Comment gérez-vous votre hiver ?
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Gérard BAROUIN dans L'entrainement et la santé
Renforcer les os en faisant du sport ? Tu es sûr de ça ? -
"Élargies", ça correspond à quelle réf ETRTO ? 17x622 ou 15x622 ?
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65 coups de pompe, je ne voudrais pas me les prendre.
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C'est un point de vue. On peut effectivement se détacher assez facilement des choses matérielles. Ce ne sont que des objets, après tout. Je suppose par exemple qu'un pro qui change très souvent de vélo ne s'y attache pas particulièrement non plus. Pour lui, c'est un outil de travail. Mais chez le cycliste qui roule juste pour le plaisir, j'ai l'impression que la relation affective avec son vélo s'installe plus facilement. Puisque rouler n'est ni un travail, ni une corvée, le matériel qu'on choisit pour le faire est plus intimement lié à la notion de plaisir. La voiture, par exemple, je n'aime pas trop ça. Comme ce n'est pour moi qu'un moyen de transport dont je peux difficilement me passer, je choisis le modèle par raison bien plus que par passion. C'est à l'usage que je finirai peut-être par m'attacher à ma voiture si elle s'avère parfaitement fiable et me rend les services attendus. Il y a par contre des gens pour qui la voiture est source de plaisir et objet de passion, autant et même davantage que pour moi le vélo. Le monde est fait de diversité, non ?
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Toute autre considération mise à part, aimer son vélo, c'est quand même un minimum pour un cycliste. Sinon, on cherche rapidement à changer de vélo... ou de sport.
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J'aurais dit "des pneus qui roulent à gauche", mais Gino a été plus rapide. Sinon, si tu as déjà roulé en Belgique, tu ne seras pas trop ennuyé par l'état des routes. Suggestion : poser la question sur des forums britanniques à des cyclistes britanniques. Eux, ils doivent savoir.
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Vos objectifs pour 2015
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Discussions Route
Tiens, comme quelqu'un a lancé un fil "objectifs 2016", je me demande où en sont ceux qui ont posté ici leurs objectifs 2015. Surpassés ? Réalisés ? En bonne voie ? Loupés ? Ce serait pas mal de nous en parler. -
Les rainures sur les pneus de voiture leur évitent l'aquaplanage. En vélo, tu n'auras pas ce phénomène même avec des pneus lisses. Enfin, si les rainures évacuent l'eau, elles la soulèvent aussi (la rotation disperse l'eau ailleurs que sous les pneus). Un pneu sans sculptures ne soulèvera pas beaucoup d'eau. J'ai fait cette remarque parce que tu sembles croire qu'en mettant des pneus lisses sur ton vélo, tu vas recevoir plus d'eau qu'avec des pneus sculptés. Mais c'est l'inverse : ton pneu lisse en fera moins remonter que ton pneu sculpté parce qu'il en accroche moins.
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Je ne sais pas d'où tu tiens qu'un pneu "slick" "disperserait" (ou soulèverait ?) plus d'eau qu'un pneu rainuré, mais ça me semble bizarre. Quand il y a de l'eau sur la route, sans garde-boues le cycliste et son vélo sont aspergés. Et pour ce qui est de soulever de l'eau, je dirais même qu'il me semble qu'un pneu sculpté devrait en soulever davantage qu'un pneu lisse : à dimension égale, la surface pouvant se mouiller est supérieure sur le pneu sculpté.