Nicolas JOARY

1. Une firme suédoise invente et commercialise un très chouette appareil ménager, fabriqué dans son usine de Malmö. 2. L'appareil a beaucoup de succès et se vend bien, malgré un prix de 600€ qui ne le met pas à la portée de tous. 3. Un an plus tard, on commence à voir sur les sites de VPC des copies chinoises de l'appareil, au prix autrement plus abordable de 99€. 4. Les gens achètent ces copies et réalisent qu'elles ne valent pas tripette, mais à ce prix et pour un usage occasionnel, ça passe. D'ailleurs, en cas de pépin, le vendeur échange contre un appareil neuf, y a juste les frais de port à payer. 5. L'appareil original suédois se vend moins bien, même s'il est increvable et garde bonne presse. Afin de pouvoir tenir le coup et vendre à un prix plus concurrentiel, les Suédois ouvrent une usine en Chine. Du sérieux, avec les normes de production comme en Suède, et sous contrôle strict de la maison mère. 6. Il est malheureusement impossible de tout contrôler, surtout en Chine. La sous-traitance et le contrôle de qualité restent difficiles à maîtriser, les ingénieurs suédois ne passent pas leur vie sur place 24h/24, et l'appareil original "made in China", vendu 395€, n'a plus tout à fait les mêmes qualités que les exemplaires "made in Sweden", ce qui est bien dommage car entretemps la ligne de production scandinave a été fermée. 7. Il reste en Suède un stock de pièces de rechange pour les appareils de première génération, mais il en faut si peu ! Le reste vient d'Asie avec quelques "améliorations" et changements mineurs (look, accessoires supplémentaires...). 8. Il reste désormais les increvables appareils de première génération (600€), dont seuls ceux qui en possèdent savent à quel point ils étaient bons et que regrettent ceux qui les ont donnés à leurs enfants (pour en acheter un nouveau, seconde génération à 395€, fait en Asie et hélas moins bon malgré quelques fonctions supplémentaires) ; et puis une foultitude de copies chinoises de marques aussi diverses qu'éphémères, de qualité très aléatoire d'un exemplaire à l'autre, et vendues à des prix allant du dérisoire au délirant.

Pierre, c'était du second degré...

Et un homme qui repasse, c'est très recherché de nos jours ! 👍

Ça, c'est du wallon. On le prononce comme ça uniquement en parlant le wallon liégeois. Mais c'est hors sujet.

Écrire "Liège", mais prononcer "Liéééch", comme on le fait là-bas.

Je ne connais pas le matériel que tu utilises, le nombre de plateaux, etc. Voici quelques principes... La longueur de chape du dérailleur arrière est déterminante pour sa tolérance en matière de longueur de chaîne. Une chape courte supporte moins de différence entre le plus petit et le plus gros braquet. Une chape moyenne et, a fortiori, une chape longue sont plus tolérantes. Quand la chaîne est trop courte, c'est sur la combinaison grand plateau/grand pignon que ça pose le plus de problèmes. Inversement, une chaîne trop longue va déconner sur les combinaisons petit plateau/petits pignons. Dans un cas comme dans l'autre, un réglage adéquat de la vis de profondeur du dérailleur arrière et une abstention de recours aux croisements de chaîne permettent de contourner le problème. Avec un monoplateau, c'est la longueur de chape du dérailleur qui assure la différence, s'il y a lieu.

Et facile à changer.

Sur mon PC, pas facile à lire, mais sur mon smartphone c'est OK. Pas de souci, suffit d'un petit coup de poignet. 😉

Intéressant. C'est peut-être pour ça que j'ai très peu de gras. Je dois souffrir du phénomène inverse... 🤪

Quand on roule "en-dedans" de manière prolongée, beaucoup de choses changent. En premier lieu, la position sur le vélo, qui distribue le poids différemment. Moins tu fais d'efforts, plus tu dois simplement porter ta masse au lieu de l'utiliser au mieux pour qu'elle s'additionne à ta force de pédalage ou l'entrave le moins possible. Il y a d'autres éléments qui changent, mais les spécialistes de l'effort (ce que je ne suis pas) te les expliqueront mieux que moi.

S'il peut "sentir" les courses aussi bien que Valverde les sentait, ce serait une autre qualité enviable.

L'arythmie cardiaque, c'est très souvent, en dehors de causes dues à des maladies bien connues, un problème de prédisposition génétique. L'arythmie cardiaque apparaît souvent assez tard dans la vie, mais la pratique d'un sport d'endurance peut en hâter la survenance. Faut pas voir le mal partout. On n'a pas toujours reçu les meilleures cartes, dans la vie.

Bon courage à lui. L'arythmie cardiaque, ce n'est pas drôle du tout, même sans faire de compétition. Alors, quand on en fait un métier et qu'il faut s'arrêter...

Apparemment, les DS et leurs coureurs attendent les choix des autres pour divulguer les leurs. Beaucoup d'intox dans tout ça.

Mais des fois c'est l'inverse.

Sauf si le mix comprend des Wallons et des Flamands.

Je me réjouis d'avoir la confirmation que Remco Evenepoel fera bien le Giro. Cela nous permettra peut-être d'avoir enfin quelques étapes en direct à la TV belge ! Il y a des paysages merveilleux en Italie, on ne nous les montre pas assez souvent. D'un autre côté, Pogacar se tâterait encore pour sa participation au TdF. Avec pareil parcours, devrait-il encore hésiter ?

Eh ben ça, je veux bien le croire, que ça doit être ch* ou donner la nausée, de tourner en rond sur une piste ! Et bravo à ceux qui parviennent à faire du vélo statique sans s'emm* ! L'esprit de compétition, ça motive à endurer la souffrance et autres sacrifices, il convient de l'admirer. Moi, je ne pourrais pas. Vélo, pour moi, c'est et ça a toujours été synonyme de plaisir et de liberté.

Et sans pavés !

L'heure, c'est juste une convention. C'est bien moins compliqué de reculer ou d'avancer des horloges que d'adapter les horaires d'activités professionnelles et scolaires en fonction des saisons. Naturellement, nous devrions adapter nos rythmes de vie à celui des saisons, mais c'est si compliqué à gérer qu'on préfère nous vieillir ou nous rajeunir d'une heure en deux coups de cuiller à pot. On vit dans un monde de dingues. Ici, il n'y a même plus de dimanches. Les boutiques sont ouvertes, les gens bossent, etc. On n'est même plus un petit peu au calme sur les routes le dimanche avec nos bicyclettes.

L'autodérision est un sport que les Belges pratiquent mieux que personne.

À noter qu'en cette saison, un parapluie décalé c'est pas l'idéal.

Mouais... Faut quand même avouer que si on devait remplacer chaque année des trucs caoutchoutés, qu'ils servent ou pas, ce serait exagéré. C'est vrai que des patins de freins, ce n'est pas si cher, mais si ceux qui sont montés ont encore bon aspect, quantité et qualité de matière, un essai prudent renseigne vite. Et pour le reste c'est pareil : si le vélo a été rangé pendant de longs mois, on ne l'enfourche pas directement comme ça pour une sortie de cent bornes en groupe rapide. On inspecte tout, nettoyer, lubrifier, régler... avant un petit essai. Faut pas non plus tout jeter systématiquement parce que c'est un peu vieux. Et ça vaut pour moi aussi. 🤪

La solution, c'est N+1... 😄

Il me semble qu'on ne voit plus beaucoup de cadres aux cotes carrées, qui conviennent mieux aux cyclistes à "longues jambes". On choisit souvent la dimension de cadre à partir de notre EJ, mais choisir en fonction de notre allonge (buste, bras) serait probablement plus approprié. Difficile de raccourcir rien qu'en changeant de potence, quand deux ou trois centimètres ne suffisent pas.