En général, quand quelqu'un réagit comme ça lors du passage dans sa propriété (ou de ce qu'il estime être sa propriété), c'est que ce n'est pas la première fois que ça se produit. Si c'est vraiment chez lui, c'est que c'est mal indiqué ou que ce n'est pas clôturé. Certains parlent du sans-gêne des agriculteurs, ce que j'ai maintes fois constaté moi-même lorsqu'ils salissent le domaine public, mais il faut aussi admettre qu'il arrive que des promeneurs et vététistes se croient tout permis. D'un chemin (bien public) ils en font trois, quatre... On trouve des embranchements non répertoriés, de nouvelles voies un peu spéciales avec bosses rigolotes dans des bois qui, contrairement au chemin précité, sont propriété privée. Il n'est pas rare que l'un de ces chemins de circonstance débouche sur un champ... Vous connaissez la suite. Rien n'excuse évidemment la violence, dans ces circonstances. En cas de coups et blessures, il faut les faire constater (médecin) et déposer une plainte. Il est prudent toutefois de bien se renseigner sur la propriété qu'on a traversée... Ce n'est pas parce qu'on y passe nombreux que c'est public.