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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. C'est parce que tes mains, qui tiennent le cintre, sont très réceptives au comportement de la roue avant. Sinon, qu'est-ce qui pourrait, dans une roue "ordinaire", présenter plus de prise au vent que le corps du cycliste ?
  2. Franchement, avec des bourrasques, j'ai l'impression que ce qui est le plus "pris au vent", c'est le cycliste plutôt que son vélo. Un vent soutenu, ce n'est pas facile quand il est défavorable ; mais des bourrasques, c'est dangereux.
  3. Là où je vis, un kilo ou deux ne font pas la différence, tant qu'ils sont sur le vélo et ne le déséquilibrent pas. Comme je n'aime pas de charger mes poches, je charge le vélo. Si je vivais en montagne, il en irait tout autrement, je présume.
  4. J'ai mal formulé ma question. Où va-t-il briller, alors ? Si même il a peur de Tim Wellens... Bon, Froome et Wiggins, ça se comprend, la rivalité. Mais VDB et ... (mettez qui vous voulez pour autant qu'il grimpe correctement) ?
  5. VDB ne fera pas le TdF 2015. Question : que va-t-il faire, alors ?
  6. "C'est compréhensible de ne pas être bien dans ses baskets quand tu n'as pas de boulot. le peu de fois où j'étais au chômage, pas la tête à rouler. Tu y vas juste pour te changer les idées et puis dès que tu te remets à bosser comme par magie la tête se libère..." Encore un argument qui indique qu'il s'agit plus souvent d'une question d'état d'esprit que de temps disponible.
  7. Une idée qui me traverse : ton avatar s'éclaire à la bogie ?
  8. Nicolas JOARY

    Cassette 12/30

    Le rapport 1/1 permet de rouler à environ 10 km/h pour celui qui aime mouliner (80 tpm) dans les cols. J'imagine que celui qui enchaîne plusieurs cols ne roule pas beaucoup plus vite que ça, à la longue, quand il est du côté des 10% de pente ascendante. Et disposer d'un 30/30 n'empêche pas de mettre plus grand et de se dresser sur les pédales à cadence plus faible. Le choix d'Hervé me paraît donc sensé.
  9. Combien de plateaux et de pignons ? Quelles dentures, les plateaux ? Sans ça...
  10. Cherche pas des excuses, Jacques... (Je suis déjà sorti.)
  11. L'occasion, quand on s'y connait bien ou qu'on peut faire examiner le vélo par quelqu'un qui s'y connait bien, c'est judicieux, surtout pour un premier vélo. Attention à la taille et à la géométrie, qui doivent te convenir. L'occasion garantie chez un vélociste, avec ce budget ça doit être possible aussi. En neuf, on peut trouver en VPC pour ce budget. Mais c'est de la VPC, ce qui n'est pas sans inconvénients.
  12. Oui. Sale temps pour les cyclistes. Vendredi, c'était frais (4 à 5 degrés) mais correct. Je suis sorti et n'ai commencé à avoir froid qu'après environ deux heures de pédalage. Dès qu'on tombe sous les 5 ou 6 degrés, deux heures deviennent mon maximum.
  13. Citation (page 1) : " Plateau de bielle " Excellent ! 😆
  14. Oui, j'ai constaté ça aussi. Peut-être que ça ne s'applique pas à tout le monde, mais c'est quand même curieux : - Si je mange tard le soir, ou trop (un resto, par exemple), le matin je n'ai pas faim. - En temps normal, j'ai faim le matin et je ne zappe jamais le petit déj'. Or, je remarque que plupart des gens en surpoids que je côtoie ne prennent jamais de petit déjeuner en semaine pour aller bosser. "Je ne sais pas manger aussi tôt le matin", disent-ils généralement. C'est peut-être leur constitution qui fait ça, mais j'ai l'impression que c'est peut-être dû au fait qu'ils mangent trop le soir.
  15. @ Patrick : tout à fait d'accord avec ton intervention de 11:03 ! @ Franck : tu évoques ceux qui... et qui boivent quand même des sodas. Mais attention, ils te diront peut-être que "c'est du light" ! Les produits "light", surtout les produits sucrés, sont un piège malsain. Remplacer le sucre par des édulcorants, ça fait chuter les calories, mais ça garantit l'addiction au goût sucré. @ Jean-Pierre : je ne pense pas qu'on puisse te donner des nombres de calories ou te dire de manger ceci ou cela à tel ou tel moment. Je pense par contre que tout plein de recommandations données ici sont bonnes a priori (les fruits et légumes, certainement - et les fruits comme les pommes sont d'excellents coupe-faim), mais comment garantir qu'elles te conviendront toutes et lesquelles te conviendront le mieux ? Si tu es motivé sans savoir vraiment comment faire, n'hésite pas à consulter un spécialiste de la nutrition, comme le suggère Patrick.
  16. Tu négliges le fait qu'il y a là-dedans un fort aspect psychologique. Si tu es allé trouver un nutritionniste, que tu as joué le jeu honnêtement et que ça a marché, bravo ! Je sais, pour côtoyer quotidiennement des gens en surpoids, que soit ils se fichent de leur surpoids et s'assument tels qu'ils sont, soit ils ne l'assument pas et veulent maigrir et c'est là que surgissent les problèmes parce que peu sont capables de "la jouer honnêtement". Ils te disent "je suis allé voir un nutritionniste" ou "j'ai consulté une diététicienne" ou "j'ai suivi tel ou tel régime"... "et ça n'a pas marché".
  17. Quel rapport ? Je ne parle pas de la compétence du nutritionniste. Je parle de l'état d'esprit de celui qui va le consulter et à qui il va demander une liste. La liste a de fortes chances d'être biaisée parce que, souvent, les gens en surcharge pondérale refusent d'admettre les causes de cette surcharge et ne veulent pas changer leurs habitudes. @ Aurélien : ce n'est pas un "écart" de temps à autre qui fait grossir. Il n'aura cet effet que si le reste du temps le corps est en état de privation (cas des régimes stricts). Pareil pour le repas du soir qui est le plus copieux de la journée : si ce rythme te convient, pourquoi pas ? Mais si tu as perdu 30 kilos, c'est que tu as modifié quelque chose, non ?
  18. Mais oui, c'est justement le problème ! Tu n'imagines pas à quel point c'est psychologique. Une personne en surpoids connaît généralement les raisons de ce surpoids ou, au minimum, les devine : elle mange mal, mange trop, ne bouge pas assez... Quand tu sais cela, tu sais plus ou moins quels efforts tu devrais faire. Si tu programmes une visite chez un nutritionniste, tu vas penser "Oh ! Zut ! Je vais devoir me mettre au régime ! On va m'interdire ceci et cela". S'il te demande de tout noter une semaine avant la visite, tu vas le faire, mais tu ne seras probablement pas honnête : soit tu vas dissimuler l'un ou l'autre excès, soit - et c'est pire encore - tu vas supprimer ces excès pendant la semaine fatidique. Tu vas déjà, inconsciemment, éviter de consommer certaines denrées pour ne pas te les entendre interdire. C'est pour ça que ça ne marche pas souvent, même quand on va voir un nutritionniste. La privation, c'est inefficace à long terme. Il faut prendre les bonnes habitudes : manger sainement avant et pendant l'activité, s'hydrater correctement toute la journée et cesser de s'empiffrer le soir quand on ne se dépensera plus.
  19. Le problème du nutritionniste, c'est qu'il te connaît peu, mal ou pas du tout quand tu vas le consulter. Il ne peut donc se fier qu'à ce que tu lui racontes et à ce qu'il constate, et c'est souvent insuffisant. Avant d'aller voir un nutritionniste, je dirais qu'il faut passer son temps, pendant deux semaines, à noter TOUT ce qu'on mange et boit (nature, quantité) et à quelle heure, honnêtement et sans rien omettre ; et également indiquer sur un autre document quelles activités on pratique et à quel moment de la journée. Déjà ça, ça peut nous surprendre nous-même ! (Et celui qui se demande où passe son pognon peut faire pareil : noter toutes ses dépenses, au centime près. Rien de tel pour faire des économies !)
  20. La plupart des gens qui sont en surpoids (laissons de côté l'obésité pathologique, il ne s'agit pas de ça ici) ont de mauvaises habitudes alimentaires : - Ils mangent mal. - Leur apport énergétique est mal réparti sur la journée. - Leur apport énergétique n'est pas adapté à leur niveau d'activité. Quand ils veulent perdre du poids, ils mangent encore plus mal : ils se privent au moment où ils devraient manger, puis ils "craquent" au moment où ils devraient ne plus rien manger. Maigrir, ça ne se fait que lentement et sans privations. Privations = frustrations et "effet yoyo" garanti. Je n'ai jamais compris comment des gens peuvent arriver au boulot à 8 heures sans avoir rien mangé, se contenter d'un yaourt à dix heures, de deux tranches de pain à midi et d'une pomme à seize heures au nom de je-ne-sais-quel-souci-de-maigrir... et passer sous silence ce qu'ils avalent le soir quand ils rentrent chez eux ! Quand on a vraiment faim le soir en rentrant chez soi après le boulot (ou après le sport), c'est qu'on ne s'est pas alimenté correctement.
  21. Avant de faire du vélo, Merckx a joué au foot. Van Himst disait de lui qu'il ne jouait pas spécialement bien, techniquement, mais quel physique ! 😆
  22. Plus le soir approche, moins tu dois manger. C'est pendant ton sommeil que tu stockes les calories non consommées. En revanche, si tu te couches avec très peu de réserves énergétiques, c'est aussi pendant ton sommeil que ton organisme va attaquer ses réserves de graisses. C'est un processus lent, que le corps ne peut pas entreprendre pendant qu'on est actif. Au matin, tu auras faim. Une bonne habitude alimentaire est de prendre un bon petit déj'. Et c'est ce qui rend difficile le contrôle du poids, parce que le repas du soir, en famille, c'est un moment précieux dans une journée. Et en hiver, les soirées sont longues...
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