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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Non, vraiment, en Belgique aujourd'hui, ce n'était pas ça. Il a fait plutôt sec, mais avec beaucoup de vent et de fortes rafales. Trop dangereux à mon goût, surtout un samedi (les écarts soudains sur la route ne sont pas souhaitables quand il y a de la circulation), et je me suis limité à un peu de CàP. Demain, on annonce un peu mieux.
  2. Mon vieux clou fait dans les douze kilos cinq cents, tous pleins faits. Kidimieu ?
  3. Ben, tu peux toujours peser le camembert pour vérifier le pourcentage de matière grasse. Si c'est pas 45, la balance ne vaut rien. Hein ? Pas encore sorti ? Si, si, j'y vais de ce pas. (Pardon, pardon.)
  4. On ne ferme pas des usines parce qu'elles ne sont plus rentables, on les ferme parce qu'elles sont moins rentables que d'autres, installées bien loin et où la main-d’œuvre coûte moins cher. Faut bien payer des dividendes aux actionnaires, n'est-ce pas ?
  5. C'est pour ça que le Camembert ne fait pas de bicyclette. Avec ses 45 pour cent de matière grasse... Mais ça ne l'empêche pas de courir tout seul, quand on lui en laisse le temps. Hein ? La sortie ? Oui, oui, voilà. (Excusez-moi.)
  6. Elle est loin, cette époque où, pour connaître les écarts entre les concurrents, il fallait s'arrêter (souvent à moto) et déclencher le chronomètre. Je me souviens aussi des reportages télévisés. Quand il y avait "un peu de retard" sur l'horaire, au TdF, il fallait attendre. Pas de pub, pas de programmes bouche-trou. Une horloge sur l'écran et un texte indiquant "Tour de France vers telle heure", heure qui changeait parfois plusieurs fois. Jamais nous n'avions une étape au complet. Ni les cent derniers kilomètres. Mais à la radio, il y avait des "flashs". Avec Luc Varenne et ses potes, pour nous Belges. Non, le chauvinisme n'était pas une exclusivité française ! 😆
  7. Tant qu'il ne pleut pas en prime et qu'il n'y a pas trop de circulation, c'est supportable. Pluie et grand vent, c'est la m*** !
  8. Je suis sorti tôt ce matin (N-E de Charleroi). Beaucoup de routes en rase campagne. Fallait s'accrocher, par endroits. Heureusement, un dimanche de bon matin, les routes sont peu fréquentées. Avec davantage de circulation, c'est vrai que c'est dangereux. Le vent est un trouble-fête, mais comme mes parcours me ramènent généralement à mon point de départ, il n'est pas défavorable tout le temps ! De quoi gagner plus de 10 km/h sans forcer sur certains tronçons et piocher à 15 à l'heure sur d'autres. Par contre, vent fort et pluie combinés, c'est la galère. Ce dimanche, c'était sec.
  9. Tout à fait. Quand un camion nous croise ou nous dépasse, par fort vent latéral, il faut du réflexe pour éviter un écart très dangereux ! Et souvent, en nous doublant, ils ne s'écartent pas assez. Par fort vent venant de la gauche, le risque d'être accroché par le poids lourd qui nous dépasse est bien réel.
  10. Respect à ceux qui s'y remettent après maladie ou blessure grave. Ce sont des exploits, vraiment. Les exploits au plan personnel sont peut-être pour nous les plus beaux, parce que ce sont des victoires sur nous-même. Les victoires sur d'autres peuvent nous apporter la gloire, mais celles que nous réalisons sur nous-même ont une saveur particulière et irremplaçable. Une victoire sur les autres, ce n'est pas à la portée de tout le monde, mais une victoire sur soi-même, c'est toujours réalisable, même si c'est difficile.
  11. Excusez l'immenserie de mon incultance, mais... Gagner du poids sur les roues et les pneus, est-ce toujours intéressant ? En montagne, sûrement, mais en plaine ? Et quand il y a du vent ? L'inertie plus faible n'est-elle pas pénalisante ?
  12. Oui, fallait sortir hier ! 😆 En Belgique, c'est comme ça. Quand les conditions sont bonnes, on sait rarement si ça va durer. Hier, c'était frais avec du vent, mais il faisait beau et j'en ai bien profité pendant 3h. Aujourd'hui, au boulot, j'ai vu le soleil toute la journée. De quoi donner envie. Ce soir, j'ai fait une petite sortie d'1h, mais ça se dégradait déjà fortement. Vent de plus en plus fort et ciel de plus en plus couvert. Demain, nous serons "saucés".🙁
  13. Il ne me semble pas non plus que ça puisse causer de problèmes aux genoux, mais j'ai de grandes quilles, donc ça aide quand même un peu. Depuis l'adolescence, je grimpe toujours très vite les escaliers, et le plus souvent deux marches à la fois. Il m'arrive aussi de les descendre deux par deux, mais c'est relativement dangereux, donc je ne le fais pas souvent. @ Aymeric : Oui, les stades, j'ai déjà tâté aussi. Mais c'est souvent assez irrégulier : plusieurs marches, une sorte de palier, puis encore des marches... En outre, elles sont assez larges, ce qui n'est pas facile pour prendre des appuis réguliers. Un peu comme courir entre des rails de chemin de fer, en sautant d'une traverse à l'autre. Très fatigant, car il faut aller vite et garder le rythme, vu l'écart entre les traverses.
  14. Une irremplaçable sensation de liberté, raison essentielle pour laquelle je n'éprouve aucun plaisir à pédaler "en statique". J'aime mieux aller courir ou marcher, j'ai moins de plaisir qu'à vélo (parce que je vais moins vite et moins loin), mais c'est mieux qu'enfermé, même quand il fait mauvais.
  15. Est-ce que monter les escaliers fait travailler les muscles des guibolles de manière fort proche à leur manière de travailler sur le vélo ? En montant rapidement une à une les marches d'un escalier ordinaire, il me semble que ça fait un peu l'effet de mouliner, et en les grimpant deux à deux, l'effet de "mettre du braquet". Certains prétendent que monter les marches deux par deux est mauvais pour les genoux (un peu comme pousser de gros braquets ?). Vrai ou faux ?
  16. Et vous n'en mettez jamais sur le cadre, sur les vêtements, sur les chaussures ? Finalement, le vélo, c'est un peu comme la marine : pour être un vrai cyclo ou un vrai marin, faut savoir pisser, cracher et morver au vent sans s'asperger et en évitant d'asperger les autres.
  17. Je sais, c'est c**, mais pour (enfin, contre) la morve, vous faites comment ? En été, on en a moins ; et puis c'est pas trop dur de sortir le mouchoir en roulant et de ne pas le lâcher. Mais en hiver, avec de gros gants, c'est pas évident. Si vous n'avez pas la morve au nez de temps à autre, vous vous en f***, mais sinon, comment faites vous ? Un bon coup de langue et on n'en parle plus pendant quelques minutes ? Un revers de la main gantée ? Un ou deux gros reniflements suivis d'un raclement de gorge et le mollard part au bas-côté (quand on vise bien et qu'on fait gaffe au vent) ?
  18. Je ne pouvais pas vraiment me fier au principe du "s'il pleut l'après-midi, nous sortirons le matin", alors je suis sorti en fin de matinée (11h). Et c'est vrai que vers treize heures, le vent a commencé à se faire sentir. Je suis rentré à 13h30 et il commençait à faire moche. J'ai vu très très peu de cyclos. Je trouve par contre qu'on a de la chance, en Belgique, cet hiver. Toujours moyen de sortir suffisamment. Et c'est tant mieux, parce que du "statique", très peu pour moi. Je roule pour le plaisir, pas pour la performance (chacun son truc), donc j'aime autant, s'il fait trop moche pour sortir le vélo, me taper un peu de CàP ou, en cas de neige, mettre les godasses et partir en rando dans les bois.
  19. Il faut quand même reconnaître que l'hiver doux dont nous bénéficions jusqu'à présent (en Belgique) permet assez facilement la pratique du vélo. On trouve toujours bien, chaque semaine, quelques heures convenables pour sortir. En conditions vraiment hivernales, avec routes glissantes, ce serait autre chose. En décembre 2010, par exemple, on avait eu de la neige pendant tout le mois. Et pas qu'un peu !
  20. Quel courage peut-il y avoir à se mettre à table a posteriori (et quand on a été suspendu à vie) ? C'est juste une manière supplémentaire de foutre la merde en lançant des accusations à tout va sans apporter la moindre preuve ; et amoindrir sa faute en arguant que tout le monde triche, c'est d'un minable !
  21. Je suis sorti deux heures hier. Je retrouve un peu mes sensations, une dizaine de jours après un don de sang. C'est clair que si j'étais attaché à mes performances, je serais plus avare de mon hémoglobine.
  22. Sinon, ce genre de bracelet, ça peut toujours servir à ça :
  23. Heu... c'est plus la bouche, qui parle ? Comme tout évolue !
  24. Tu te sens vieux, c'est quand tout le monde te dit "vous".
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