Complètement délaissé la bagnole, non. Mais de début mars à fin octobre, sauf météo dégueu, c'est vélotaf pour moi. La météo est capricieuse, en Belgique, donc c'est parfois six ou sept cents bornes par mois, parfois moins de la moitié. Des économies, ce n'est pas évident à calculer, mais comme mon employeur me paie pour les km à vélo et que ma voiture ne roule pas, je dirais que j'en fais, oui, mais que j'ai dès lors moins de scrupules à acheter de l'équipement (vêtements, surtout). Outre les avantages économiques et le plaisir de rouler à vélo, j'y trouve d'autres points positifs : - Gain de temps. Bien que je parte quarante minutes plus tôt le matin et que je rentre quarante minutes plus tard le soir, j'ai plus de temps à la maison après ma journée, puisque j'ai déjà fait environ 2h30 de vélo. Plus besoin d'aller rouler une ou deux heures dès mon retour. - C'est une manière agréable d'améliorer ma condition. Sans ça, je roulerais moins parce que je devrais sortir le vélo en soirée ou un peu plus le week-end, ce qui m'éloignerait de ma famille. - Pour ceux qui sont motivés, c'est un bon entraînement. Au retour, on peut "se lâcher" ou même faire un petit détour pour aller chercher une difficulté. Si tu as l'habitude de rentrer pendant la pause de midi, c'est que tu n'habites pas très loin (ou que ta pause est très longue) ; mais prendre son casse-croûte, ce n'est pas si mal, après tout. Bonne route !