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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY
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Deces d eric de vlaminck
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Pierre HEROIN dans Discussions Route
Merci pour ce portrait du grand cyclocross-man ! -
Wiggins veut le record de l'heure à l'ancienne
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
"Une grosse saison professionnelle", le terme est faible quand on voit les courses remportées par le Cannibale en 1972. Alors, qu'est-ce que Wiggins pense prouver en faisant cela ? Qu'il aurait pu être meilleur que Merckx avec le même matériel ? Rien ne sera honnêtement comparable, mis à part les vélos. -
J'ai 21 maillots...et vous
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Daniel GRAZIANO dans Discussions Route
Deux. Mais j'ai commencé avec un seul. Je veux dire : deux de chaque sorte, après avoir commencé avec un de chaque sorte. -
Le vélo pour aller au boulot
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Christophe FOREY dans Le vélo urbain coté pratique
Intéressant ! J'ai appris des choses au sujet des habitudes... -
Bienvenue !
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Maillot distinctif
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Pascal DELRIVIÈRE dans Discussions Route
Gilbert a été champion du monde au terme d'une très belle saison. On peut considérer qu'il l'avait bien mérité avant, à défaut de réussir à l'honorer après (l'année suivante). C'est ce qui arrive quand même assez souvent avec un CDM placé en fin de saison. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
Juste une petite remarque : tu as fait avec ta petite famille des choix qui te conviennent et qui t'assurent un bon état de santé et c'est très bien comme ça. Par contre, rien ne permet d'affirmer que sans ces choix vous auriez été en moins bonne santé, non ? Ce n'est pas pour polémiquer, évidemment. C'est juste pour rappeler que les liaisons de cause à effet sont rarement simples à définir et les raccourcis souvent trop faciles à faire. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
Non, pas de sodomie de diptères. Tu as raison de préciser la différence entre "allergie" et "intolérance". Quoi qu'il en soit, laissons les cures et les régimes aux personnes qui en ont vraiment besoin. -
Le "sans gluten"
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Jordan DIOT dans L'entrainement et la santé
J'ignore s'il s'agit d'une mode. J'ignore également si ça peut être bénéfique ou non pour l'être humain, sportif ou non. Je sais par contre qu'il y a des gens qui développent des allergies (vraies ou fausses, c'est une autre question) à certaines substances, parmi lesquelles le gluten, le lactose. Il y a derrière tout ça, en mettant de côté l'aspect médical ou pathologique des choses, un énorme bizness qui consiste à diaboliser certains aliments (lait, graisses, sucres, céréales, édulcorants... la liste est presque sans fin) pour favoriser le commerce d'autres aliments qui ne sont pas nécessairement plus sains. Le bon sens, c'est d'adopter une alimentation variée et équilibrée, en évitant les excès. Avec ou sans tchic ou tchac, c'est davantage un problème de profit pour l'industrie de l'agroalimentaire que de santé des individus. Au sujet des allergies - qui existent bel et bien mais qui sont souvent beaucoup moins graves qu'on ne le donne à penser - , c'est notre obsession de la "crasse propre" qui les provoque le plus souvent. J'écris "crasse propre" parce que le secteur alimentaire doit répondre à des normes sanitaires sévères (dates de péremption, modes de conservation, etc.) pour que l'on mange "propre", alors que la composition des aliments transformés nous indique qu'on nous fait bouffer "de la crasse". L'obsession de l'hygiène alimentaire entraîne des effets pervers : notre système immunitaire, qui est conçu pour lutter contre les attaques bactériennes, n'a plus assez de travail au niveau du tube digestif parce qu'on mange trop aseptisé. Le résultat est qu'il s'attaque à des choses a priori inoffensives, et les gens développent des allergies à ceci ou cela. Quand j'étais gamin - j'approche des 60 balais - on ne regardait pas à tout ça. Encore moins du temps de mes parents et grands-parents. Les bébés étaient nourris au sein maternel, on ne gaspillait pas autant de nourriture, on mangeait moins aseptisé et les allergies de type alimentaire étaient rares. -
Le vélo pour aller au boulot
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Christophe FOREY dans Le vélo urbain coté pratique
Bravo à toi et bonne continuation ! Les mois difficiles sont là : météo foireuse et longues nuits, il faut s'accrocher pour tenir le coup. L'hiver dernier, j'ai abandonné le vélotaf en décembre et janvier (trajet de 30 km vallonnés matin et soir sur routes belges plutôt mauvaises). J'essaierai de m'améliorer cette année. -
Problème de selle? Une alternative audacieuse.
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Le matos
Je ne doute pas de sa qualité. Je suis par contre certain qu'elle ne me conviendrait pas. Question de forme, pas de matériau. Si un jour tu souffres d'engourdissements du périnée, tu comprendras pourquoi des cyclistes s'assoient sur des ISM, des SMP, des Proust... et trouvent ça tellement confortable qu'ils ne veulent plus rien d'autre. -
Problème de selle? Une alternative audacieuse.
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Michel DURY dans Le matos
Avec l'âge et l'expérience, j'ai remarqué qu'il en va des selles de vélo comme des chaussures : il me suffit de les regarder pour savoir si j'ai de fortes chances d'être bien dessus ou dedans. Et il suffit généralement d'essayer pour me conforter dans ma première impression. Une Brooks, qui respire pourtant la qualité, j'ai mal au Q rien qu'en la regardant. Rien à faire : je ne supporte plus la moindre pression sur le périnée. Par contre, comme matière, le cuir c'est excellent. Et pas difficile à entretenir. Il y a des produits prévus pour ça et qui aident à repousser l'eau. Après tout, les vaches sont dehors et supportent bien la pluie, non ? -
Après quelques recherches, il me semble que le "standard" des roues route est maintenant de 622x15 (après avoir été de 622x13 pendant longtemps). Les modèles "élargis" seraient donc plutôt à chercher en 17...
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Comment gérez-vous votre hiver ?
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Gérard BAROUIN dans L'entrainement et la santé
Renforcer les os en faisant du sport ? Tu es sûr de ça ? -
"Élargies", ça correspond à quelle réf ETRTO ? 17x622 ou 15x622 ?
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65 coups de pompe, je ne voudrais pas me les prendre.
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C'est un point de vue. On peut effectivement se détacher assez facilement des choses matérielles. Ce ne sont que des objets, après tout. Je suppose par exemple qu'un pro qui change très souvent de vélo ne s'y attache pas particulièrement non plus. Pour lui, c'est un outil de travail. Mais chez le cycliste qui roule juste pour le plaisir, j'ai l'impression que la relation affective avec son vélo s'installe plus facilement. Puisque rouler n'est ni un travail, ni une corvée, le matériel qu'on choisit pour le faire est plus intimement lié à la notion de plaisir. La voiture, par exemple, je n'aime pas trop ça. Comme ce n'est pour moi qu'un moyen de transport dont je peux difficilement me passer, je choisis le modèle par raison bien plus que par passion. C'est à l'usage que je finirai peut-être par m'attacher à ma voiture si elle s'avère parfaitement fiable et me rend les services attendus. Il y a par contre des gens pour qui la voiture est source de plaisir et objet de passion, autant et même davantage que pour moi le vélo. Le monde est fait de diversité, non ?
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Toute autre considération mise à part, aimer son vélo, c'est quand même un minimum pour un cycliste. Sinon, on cherche rapidement à changer de vélo... ou de sport.
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J'aurais dit "des pneus qui roulent à gauche", mais Gino a été plus rapide. Sinon, si tu as déjà roulé en Belgique, tu ne seras pas trop ennuyé par l'état des routes. Suggestion : poser la question sur des forums britanniques à des cyclistes britanniques. Eux, ils doivent savoir.
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Vos objectifs pour 2015
Nicolas JOARY a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Discussions Route
Tiens, comme quelqu'un a lancé un fil "objectifs 2016", je me demande où en sont ceux qui ont posté ici leurs objectifs 2015. Surpassés ? Réalisés ? En bonne voie ? Loupés ? Ce serait pas mal de nous en parler. -
Les rainures sur les pneus de voiture leur évitent l'aquaplanage. En vélo, tu n'auras pas ce phénomène même avec des pneus lisses. Enfin, si les rainures évacuent l'eau, elles la soulèvent aussi (la rotation disperse l'eau ailleurs que sous les pneus). Un pneu sans sculptures ne soulèvera pas beaucoup d'eau. J'ai fait cette remarque parce que tu sembles croire qu'en mettant des pneus lisses sur ton vélo, tu vas recevoir plus d'eau qu'avec des pneus sculptés. Mais c'est l'inverse : ton pneu lisse en fera moins remonter que ton pneu sculpté parce qu'il en accroche moins.
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Je ne sais pas d'où tu tiens qu'un pneu "slick" "disperserait" (ou soulèverait ?) plus d'eau qu'un pneu rainuré, mais ça me semble bizarre. Quand il y a de l'eau sur la route, sans garde-boues le cycliste et son vélo sont aspergés. Et pour ce qui est de soulever de l'eau, je dirais même qu'il me semble qu'un pneu sculpté devrait en soulever davantage qu'un pneu lisse : à dimension égale, la surface pouvant se mouiller est supérieure sur le pneu sculpté.
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Le problème des Schwalbe Marathon Plus, c'est qu'ils ont... heu... un certain poids. Mais ils sont réputés prodigieusement durables et résistants à la crevaison. Je vélotaffe avec des Rubino Pro III. Six mille bornes cette année sans problème. Mais comme toujours, pour les crevaisons, il y a une grosse part de (mal)chance qui joue pour nous faire dire - souvent hâtivement - que tel pneu est meilleur qu'un autre alors que ce n'est pas nécessairement vrai.
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Moi, je le trouvais sympa, ce fil. Le cyclisme en solo, c'est un défi contre soi-même. Par rapport à moi, je sais où j'en suis : mieux ou moins bien que la semaine, le mois ou l'année d'avant. Parfois, j'ai envie de me lancer le défi de suivre le rythme de quelqu'un d'autre. Je ne vais pas me lancer dans la compète pour autant, même si les suggestions de le faire sont à mon avis basées sur des remarques tout à fait fondées.
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Michel Dury : "le gars là devant, à cent deux cent mètres, qui va bien, trop bien, et qui quelque part titille notre combativité" C'est naturel, je pense. Même quand on ne cherche pas la performance, la pratique cycliste assidue est exigeante, c'est un défi à soi-même. Guère étonnant qu'on ait parfois envie de se mesurer aux autres. Juste pour voir où on en est, par exemple. Guillaume Leroyer : "Sinon, quand il y a une grosse différence de niveau, je ne m'occupe pas de ce qui se passe devant ou derrière, je laisse partir ou je laisse passer" Je fais pareil. Et je dis bonjour (ou bonsoir). Franck Pastor : "Par contre, si quelqu'un me double à la vitesse de l'éclair en bas d'une côte, pour ralentir fortement vingt mètres plus loin, ça m'agace, parce que ça veut dire que cette personne veut «me battre» plutôt que de gérer la côte correctement à son propre rythme. Et on sait que faire un sprint en bas d'une côte n'est pas vraiment la meilleure façon de la grimper… En plus généralement c'est le type de personne qui ne répond jamais à mes «Bonjour !»." J'ai remarqué ça aussi. En général, je n'entends pas le cycliste qui se rapproche. Je le vois quand il me double et, si c'est un sympa, il dit déjà bonjour de lui-même. Le mec qui a mis une accélération juste pour dépasser ne dira pas bonjour ni ne répondra au mien (même répété). C'est typique de ce genre de cycliste. Souvent, le "pas sympa", quand il ne peut plus tenir le rythme, se retourne pour voir où je suis. Et comme c'est un "pas sympa", je suis toujours plus près qu'il ne l'espère, juste pour le faire ch... J'ai noté l'inverse aussi. Le type que je dépasse et qui ne répond pas à mon bonjour, il va souvent essayer de "prendre la roue". Le sympa ne le fera pas. Ou à la rigueur, il va le demander. Michel Dury : "Et parfois, je râle parce que tous les mecs de devant vont dans l'autre sens que le mien" Je vis fréquemment cette situation. À croire que tous les cyclistes vont en sens inverse du mien. Et parfois, j'en vois beaucoup, alors que dans le même sens que moi... Je me dis que c'est tout simplement parce que je suis "dans la moyenne". Je ne roule ni plus ni moins vite que ceux qui vont dans le même sens que moi, à part l'un ou l'autre pépère que je dépasse et l'un ou l'autre affûté qui me dépose proprement. Les petits groupes, évidemment, me laissent sur place. Quant aux grands groupes, généralement, ils sont agaçants : ils ont souvent un rythme irrégulier, tu es "au milieu du paquet", puis derrière, puis devant... Le mieux est de ralentir pour "laisser filer". Christian Gillon : "l'anecdote est authentique." Chouette récit ! C'est sûr que ça doit laisser un fameux souvenir.