Nicolas JOARY

Toujours sympa, avec quelques images 👍🙂. Merci pour le partage !

Grosso modo, mêmes températures fraîches ce matin qu'hier aux mêmes heures. Plus agréable pour rouler, car plus lumineux. J'ai bien supporté mes gants d'hiver (pas ceux de ski, mais un modèle pour cycliste), mon coupe-vent et le bandeau sur les oreilles. 43 km dans la région de la Basse Sambre, en terminant sous le soleil. J'ai roulé deux fois cette année en cuissard court, mais pas encore la moindre minute sans des manches longues. Le beau temps est comme moi : long à venir ; mais moi je suis vieux et le temps encore pluvieux.

Sympa. J'ai commencé par faire un peu de gymnastique pour les photos, puis je me suis souvenu que je les regardais avec mon smartphone et qu'il suffisait de le mettre tête en bas au lieu de faire des contorsions. 🤪

Ça paraît sympa... 🙂

J'ai pas eu de bol, finalement. La météo annonçait pluie d'abord, puis des éclaircies en cours de matinée, avant que ça se gâte une fois de plus en fin d'après-midi. Je suis sorti le matin, routes humides, pas de pluie mais très nuageux, avec seulement de 6 à 7 degrés au thermomètre et un vent modéré. Côté vestimentaire, la seule différence avec mes tenues d'hiver était le port de gants plus légers qui m'ont laissé avoir un peu froid aux doigts. Je suis rentré après 32 bornes sur la randonneuse, vers midi, sous les premières éclaircies. Elles ont persisté, mais moi pas. Encore un peu de soleil en ce moment, mais seulement douze degrés. Pas folichon ! J'aurais été mieux inspiré en démarrant plus tard.

Tu as raison, Franck. Parfois, nous avons des printemps comme ceux de 2020 et 2022 qui faussent nos attentes, parfois un printemps comme celui de 2023, une sorte de retour de manivelle, qui nous remet en tête les vieux dictons d'avril et mai. Cette année, c'est la douche froide, dans tous les sens du terme ; et ceux dont l'emploi du temps permet d'improviser une sortie dès que vient l'éclaircie peuvent s'estimer chanceux.

Pluie, vent, froid... Un des trois, c'est supportable. Combines-en deux, ça devient compliqué. Les trois, c'est la cata.

Vérifier aussi qu'il n'y a pas un souci technique sur le vélo de route. Une roue qui frotte, des freins qui frottent... C'est facile à contrôler à l'arrêt en soulevant l'engin et en faisant tourner les roues. Les Garmin comme tu as, je n'utilise pas, je n'ai pas d'idée s'il y a quelque chose à calibrer. D'autres que moi pourront te renseigner. Si tu n'es pas bien posé et bien à l'aise sur un vélo de route, ça ne va pas être bon. Venant d'un VTT, tu as besoin d'un temps d'adaptation : position, commandes, freinage... Tout est différent. Tu devrais t'y faire assez vite, sinon ça sera une torture et de la frustration, tu regarderas ton nouveau vélo comme une bête indomptable et tu resteras sur ton VTT.

Là, on peut avoir des doutes. Apparemment, ce n'est pas facile à guérir, il peut rester des séquelles et c'est quand même un bon moment sans doute à l'écart de la compétition.

Ceux qui ont profité des grosses remises du début de printemps pour regarnir leur réserve de tenues d'hiver ont été bien inspirés. J'aurais mieux dû le faire moi aussi.

Voir aussi les instructions sur le site du fabricant , c'est utile. En outre, les SMP sont très spéciales ; reporter les mesures d'une autre selle n'est pas évident, une fois au-delà du réglage de hauteur. Pour les premières sorties, ne pas oublier d'emporter la petite clé pour les réglages sur le terrain (et ajuster par petites modifications).

Celui-là aussi, en effet. Mais j'avais du taf...

Tu aurais bien de la chance, Pierre-Yves ! J'en arrive à me dire que si j'ai atteint les 500km ce mois-ci, c'est parce que je suis retraité et que j'additionne les petites sorties entre les longues périodes de temps pourri. Un printemps n'est pas l'autre, quand on songe à celui dont nous avons bénéficié l'an dernier !

Déjà, avant toutes choses, se méfier des chiffres s'ils ne sont pas directement comparables. 28 à 30 km/h de moyenne avec ton VTT, c'est sur l'asphalte ? Tout seul ? Et c'est mesuré comment ? Impressionnant ! L'étalonnage d'un compteur, c'est important. Je soupçonne une erreur quelques part. Inversement, 21 km/h avec un vélo de route sur le même parcours m'incite à te demander si c'est un circuit... VTT ! Pareil : vérifier le mode de calcul de la moyenne. Si tout est correct et que c'est sur un parcours "route", c'est que tu es efficace avec ton VTT et très mal à l'aise sur un vélo de route.

En ce moment, tout explose : les prix de l'énergie, le nombre de mécontents dans les rues, les dettes des États, les chiffres de pauvreté, le nombre de réfugiés, l'allure du réchauffement climatique... et maintenant les roues des vélos. Ça doit être le climat de guerre ambiant.

Je me sens vieux, soudainement...

Il est jeune. Il peut apprendre.

Rien de bien étonnant là-dedans ! 😂

En espérant que ce soit sans pépins physiques par la suite. C'est peut-être aussi un effet pervers de son omniprésence sur les classiques. On finit sans doute par s'émousser un peu, même quand on s'appelle Tadej Pogačar.

Rouler seul, ça permet de surveiller les bagnoles sans avoir à se méfier des autres cyclistes...

Zut ! J'espère que c'est sans dégâts physiques, ce serait moche pour la suite de la saison.

C'est impressionnant, une telle distance, surtout dans de telles conditions ! Bravo ! Je n'aime pas rouler sous la pluie, mais quand elle survient en cours de sortie, on "fait avec". Comme toi, mais à mon niveau, j'ai remarqué que je roulais "mieux" dans ces conditions (sauf si en plus il fait froid). Je ne pense pas que ce soit une question de frottements sur la route, mais je n'ai aucune expertise en la matière. Mon impression est que c'est plutôt une question de respiration, d'oxygénation sous la pluie, effet que je trouve encore plus marqué lorsqu'il s'agit d'une pluie d'orage, en été. Qu'en disent les autres ?

Je suis sorti ce matin, comme bon nombre de cyclistes de Belgique souhaitant éviter la pluie (annoncée pour ce début d'après-midi) et voir plus tard à la télé comment les concurrents sur L-B-L se feront rincer. On ne le leur souhaite évidemment pas, mais en ce moment c'est difficile à éviter. Et encore moins le vent qui joue le plus souvent les trouble-fête. 62 bornes pour moi ce matin, dont les 20 premières essentiellement en montée (vers Gerpinnes et Somzée) et vent de face et 3/4 face, une dizaine en vent latéral (Nalinnes, Ham-sur-Heure), et le retour essentiellement en descente vent dans le dos, de quoi se faire plaisir (entre autres sur l'M de Bomerée) et se dire qu'à vélo, la récompense est presque toujours au bout de l'effort. 🙂

Ah, la drache ! Ou on se met à l'abri, ou on finit mouillé (soit par la pluie, soit par la condensation, soit par la transpiration... mais souvent par les trois en même temps) !

Fallait aussi rappeler au conducteur de la bagnole qui lui ouvre la route de laisser au moins cent mètres d'écart.