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Eclatement de chambre à air


Grégory FOUCAUD

Messages recommandés

j'ai lu les diverses interventions sur ce post avec beaucoup d'intérêt.

ce qui t'es arrivé peut tous nous arriver surtout avec les chaleurs que nous connaissons et qui peuvent faire monter la chaleur des composants des roues .Celle- ci ajoutée à la chaleur résultant du freinage peut avoir des conséquences catastrophiques sur la jante mais ce qui m'interpelle surtout c'est l'odeur de brûlé que tu as sentie.Es-tu sur que tes patins étaient bien positionnés et ne touchaient pas le pneu? Je n'ai pas d'expérience sur ce point mais le frottement du patin sur une jante alu ou carbone peut- il dégager une odeur de brûlé ?

Mes souhaits de prompt rétablissement.

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j'ai lu les diverses interventions sur ce post avec beaucoup d'intérêt.

ce qui t'es arrivé peut tous nous arriver surtout avec les chaleurs que nous connaissons et qui peuvent faire monter la chaleur des composants des roues .Celle- ci ajoutée à la chaleur résultant du freinage peut avoir des conséquences catastrophiques sur la jante mais ce qui m'interpelle surtout c'est l'odeur de brûlé que tu as sentie.Es-tu sur que tes patins étaient bien positionnés et ne touchaient pas le pneu? Je n'ai pas d'expérience sur ce point mais le frottement du patin sur une jante alu ou carbone peut- il dégager une odeur de brûlé ?

Mes souhaits de prompt rétablissement.

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la descente iraty larrau; pourcentages importants!

perso je freine presque tout le temps, c'est vrai que les jantes chauffent;;;;;il vaut mieux ventiler les patins en freinant par accoups, mais dès que l'on lache bonjour la vitesse, et sans etre particuliérement froussard, je préfére assurer....'

j'y suis passé le 8 juillet, et j'ai trouvé un randonneur(avec sacoches arriéres) dont la jante s'est fendue en long sur 20 cm, il a eu la chance de ne pas tomber, mais je n'ai pas pu le dépanner heureusement des camions de l'équipement travaillaient en haut de bagardi et ll'ont dépanné!

bon rétablissement et calmos dans les descentes(nous ne sommes pas tous des pros route fermée)

heureusement il nous reste les montées pour s'enivrer de vitesse😛

 

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Contrairement à ce que tu penses la conductivité thermique du carbone n'est pas mauvaise du tout, inférieure à l' alu bien-sûr mais seulement moitié inférieure! Par contre pour le plastique la conductivité thermique est 400 fois moins bonne que pour l'alu...

Je n'ai jamais eu ce genre de soucis avec des C 24 CL pourtant je suis" poids lourd", seulement comme je disais plus haut il faut bannir les chambres "light" du moins à l'avant en montagne!

Je trouve même que les constructeurs de roue et pneumatique devraient informer correctement les utilisateurs quand on pense aux conséquences que çà peut avoir!

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Si j'ai bien compris t'avais gonflé à 8 bars, tu as peu freiné, mais y'avait une odeur de chaud! C'est quand même curieux.

Mon hypothèse : je penserais que le fait que t'avais pas de fond de jante à joué un rôle primordial. Comme l'éclatement est face à la valve, je parierais que c'est la valve qui aurait vibré, frotté et causé localement une très forte augmentation de température. Un fond de jante bien ajusté autour de la valve aurait empêché les frottements de la valve contre la jante.

Si la température est montée localement à plus de 100° autour de la valve, ce n'est pas tant peut-être une question de pression que de ramollissement du caoutchouc (+ pression quand même). Essaie de mettre ta chambre à air (ou juste un morceau) dans un four (cuisine) et fait monter la température jusqu'à ce que tu sentes la même odeur, note la température, ça te donnera peut-être une idée de ce qui a pu se passer. Regarde l'état du caoutchouc à ce moment.

Bon, mais tout ça ce ne sont que mes élucubrations, content que tu t'en tires pas trop mal finalement.

A l'évidence la même chose aurait pu arriver par temps frais, ce ne sont pas 15° de moins qui auraient fait une grosse différence. Le freinage a contribué à l'échauffement mais je penserais que ce n'est pas la seule cause comme je l'ai dit plus haut.

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  • 9 years later...

Je remonte ce topic car la même frayeur m'est arrivée hier, explosion de l'avant en fin de descente, heureusement sans gravité :

 

Descente 10% sur 3 kms où j'ai beaucoup freiné avec des véhicules lents devant moi.

Température supérieure à 32°, plein soleil

Roues Mavic Aksium presque neuves (remplacement de Shimano RS10 avec moyeux morts)

Chambre à air Hutchinson neuve

Pneu avant Pirelli P Zero (environ 3000 kms)

Gonflé à 7 bars

 

A noter que mes feins sont beaucoup plus près de la jante ( les RS10 avaient une largeur interne de 15 mm contre 17 pour les Aksium).

La jante était brulante.

En examinant la chambre, ce n'est pas un grosse déchirure. Tout au plus 1 voire 2 mm sur le côté....

 

Est-ce que c'est la faute à pas de bol ? Est-ce que ça peut encore m'arriver ?

Je me poste aussi la question si je dois détendre mon câble de frein pour avoir plus d'espace de chaque côté.

 

Modifié par Frederic ANDRIEUX
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Il y a 8 heures, Frederic ANDRIEUX a dit :

Je remonte ce topic car la même frayeur m'est arrivée hier, explosion de l'avant en fin de descente, heureusement sans gravité :

 

Descente 10% sur 3 kms où j'ai beaucoup freiné avec des véhicules lents devant moi.

Température supérieure à 32°, plein soleil

Roues Mavic Aksium presque neuves (remplacement de Shimano RS10 avec moyeux morts)

Chambre à air Hutchinson neuve

Pneu avant Pirelli P Zero (environ 3000 kms)

Gonflé à 7 bars

 

A noter que mes feins sont beaucoup plus près de la jante ( les RS10 avaient une largeur interne de 15 mm contre 17 pour les Aksium).

La jante était brulante.

En examinant la chambre, ce n'est pas un grosse déchirure. Tout au plus 1 voire 2 mm sur le côté....

 

Est-ce que c'est la faute à pas de bol ? Est-ce que ça peut encore m'arriver ?

Je me poste aussi la question si je dois détendre mon câble de frein pour avoir plus d'espace de chaque côté.

 

 

32° en cette saison ??? Il fait déjà si chaud que ça dans le sud ?

 

Ça ne m'est jamais arrivé personnellement d'éclater une chambre à air sous l'effet du freinage mais comme le sujet le montre, ton accident est loin d'être une première.

 

Régulièrement on entend parler de colle de boyau fondue ou de chambres à air éclatées, ou de «fading» de freins à disques (freinage devenu inexistant à cause de la chaleur des disques et plaquettes transmise au liquide de frein qui entre en ébullition)… tout ça causé par une seule chose : des freinages trop prolongés.

 

Il vaut beaucoup mieux freiner sec et par à-coups que sur de longues durées, quel que soit le type de frein.

 

Quand je suis comme dans ton cas, bloqué par des véhicules lents lors d'une longue descente, j'ai fini par prendre l'habitude de carrément m'arrêter, aussi longtemps que nécessaire à ce que ce problème de circulation disparaisse.

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il y a 7 minutes, Gérard CRESPO a dit :

Les cascadeurs, qu'attendez-vous pour monter des tubeless ?

 

Comme tout ceux qui n'y sont pas encore passés : quand je serai certain que dans ma pratique leurs avantages supplanteront leurs inconvénients.

 

(et aussi, tant qu'à faire, si je me rappelle correctement ta façon de gonfler tes tubeless : quand j'aurai une station-service près de chez moi 😄).

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 11 heures, Frederic ANDRIEUX a dit :

Je remonte ce topic car la même frayeur m'est arrivée hier, explosion de l'avant en fin de descente, heureusement sans gravité :

 

Descente 10% sur 3 kms où j'ai beaucoup freiné avec des véhicules lents devant moi.

Température supérieure à 32°, plein soleil

Roues Mavic Aksium presque neuves (remplacement de Shimano RS10 avec moyeux morts)

Chambre à air Hutchinson neuve

Pneu avant Pirelli P Zero (environ 3000 kms)

Gonflé à 7 bars

 

A noter que mes feins sont beaucoup plus près de la jante ( les RS10 avaient une largeur interne de 15 mm contre 17 pour les Aksium).

La jante était brulante.

En examinant la chambre, ce n'est pas un grosse déchirure. Tout au plus 1 voire 2 mm sur le côté....

 

Est-ce que c'est la faute à pas de bol ? Est-ce que ça peut encore m'arriver ?

Je me poste aussi la question si je dois détendre mon câble de frein pour avoir plus d'espace de chaque côté.

 

Une déchirure de 1 ou 2 mm... ne serait-ce pas plutôt en cm, parce qu'en mm on ne parle pas de déchirure.

Et les 32 degrés dehors, c'est pas mal pour un mois de mars, on te l'envie ici dans le nord, crois moi.

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Il y a 12 heures, Frederic ANDRIEUX a dit :

Je remonte ce topic car la même frayeur m'est arrivée hier, explosion de l'avant en fin de descente, heureusement sans gravité :

 

Descente 10% sur 3 kms où j'ai beaucoup freiné avec des véhicules lents devant moi.

Température supérieure à 32°, plein soleil

Roues Mavic Aksium presque neuves (remplacement de Shimano RS10 avec moyeux morts)

Chambre à air Hutchinson neuve

Pneu avant Pirelli P Zero (environ 3000 kms)

Gonflé à 7 bars

 

A noter que mes feins sont beaucoup plus près de la jante ( les RS10 avaient une largeur interne de 15 mm contre 17 pour les Aksium).

La jante était brulante.

En examinant la chambre, ce n'est pas un grosse déchirure. Tout au plus 1 voire 2 mm sur le côté....

 

Est-ce que c'est la faute à pas de bol ? Est-ce que ça peut encore m'arriver ?

Je me poste aussi la question si je dois détendre mon câble de frein pour avoir plus d'espace de chaque côté.

 

Si je me rappelle bien, les Aksium n'ont pas de fond de jante mais un adhésif aussurant l'étanchéité pour monter les tubeless. Pour éviter ce genre de désagrément, il faut peut-être monter un fond de jante traditionnel. Personnellement sur mes Aksium j'utilise les fonds de jante Zipp en nylon tressé.

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Un éclatement en pleine descente est une de mes plus grandes hantises. Ça ne m'est encore jamais arrivé mais j'y songe chaque fois que je monte un pneu, je suis particulièrement attentif à ne pas pincer la chambre.

 

En regonflant ses pneus avant d'entreprendre l'ascension du Mt Ventoux, mon père a eu la surprise désagréable de voir la valve venir avec l'embout du gonfleur au moment de le retirer. La chambre était fissurée au pied de la valve...

 

Nous sommes condamnés à mort depuis notre naissance 😌

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il y a 12 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Un éclatement en pleine descente est une de mes plus grandes hantises. Ça ne m'est encore jamais arrivé mais j'y songe chaque fois que je monte un pneu, je suis particulièrement attentif à ne pas pincer la chambre.

 

En regonflant ses pneus avant d'entreprendre l'ascension du Mt Ventoux, mon père a eu la surprise désagréable de voir la valve venir avec l'embout du gonfleur au moment de le retirer. La chambre était fissurée au pied de la valve...

 

Nous sommes condamnés à mort depuis notre naissance 😌

J’ai déjà donné… à choisir mieux vaut l’éclatement de chambre que le vélo fou de la cycliste belge !

dans le premier cas tu peux ralentir un peu avant la chute 

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Il y a 13 heures, Frederic ANDRIEUX a dit :

Je remonte ce topic car la même frayeur m'est arrivée hier, explosion de l'avant en fin de descente, heureusement sans gravité :

 

Descente 10% sur 3 kms où j'ai beaucoup freiné avec des véhicules lents devant moi.

Température supérieure à 32°, plein soleil

Roues Mavic Aksium presque neuves (remplacement de Shimano RS10 avec moyeux morts)

Chambre à air Hutchinson neuve

Pneu avant Pirelli P Zero (environ 3000 kms)

Gonflé à 7 bars

 

A noter que mes feins sont beaucoup plus près de la jante ( les RS10 avaient une largeur interne de 15 mm contre 17 pour les Aksium).

La jante était brulante.

En examinant la chambre, ce n'est pas un grosse déchirure. Tout au plus 1 voire 2 mm sur le côté....

 

Est-ce que c'est la faute à pas de bol ? Est-ce que ça peut encore m'arriver ?

Je me poste aussi la question si je dois détendre mon câble de frein pour avoir plus d'espace de chaque côté.

 

Ca m'est arrivé il y a 30 ans donc pas récemment, jantes alu basses, pneu de 20 usé déjà crevé une semaine auparavant, freinage bcp trop prononcé dans une descente à 15%, explosion, coup de canon, appelez comme vous voulez! Chambre déchirée sur plusieurs centimètres, Michel tu as raison, pneu sorti de sa jante, je ne sais tjrs pas comment j'ai pu rentrer chez moi!

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Il y a 1 heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Un éclatement en pleine descente est une de mes plus grandes hantises. Ça ne m'est encore jamais arrivé mais j'y songe chaque fois que je monte un pneu, je suis particulièrement attentif à ne pas pincer la chambre.

 

En regonflant ses pneus avant d'entreprendre l'ascension du Mt Ventoux, mon père a eu la surprise désagréable de voir la valve venir avec l'embout du gonfleur au moment de le retirer. La chambre était fissurée au pied de la valve...

 

Nous sommes condamnés à mort depuis notre naissance 😌

Tout à fait d'accord! Que faire en attendant la mort ? Du vélo bien sûr !

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