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Il y a 10 heures, Franck PASTOR a dit :

 

Ça fait donc deux fois de suite qu'il les oublie ! Vous avez dû bien l'enguirlander, non ? 😜

 

Tout le monde me trouve distrait, mais j'ai trouvé mon maître en la matière, on dirait. 🙂

C’est Manu, il est tellement gentil qu’on lui pardonne tout !

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Il y a 9 heures, Michel DURY a dit :

La bande à Pierre, ils sont très forts, je te dis pas.

 

Ils te donnent rendez-vous dans le seul bled de Belgique où il y a 4 cimetières, sans préciser devant lequel ils sont garés, et ont 6 crevaisons sur 30 km avant d'acheter un boyau sans argent chez un vélociste fermé!

 

Tout ça étant absolument authentique.

C’est vrai qu’on est plein de ressources 🤣 ! Trouver un vélociste sympa qui a encore des boyaux et qui ouvre à la demande et faire payer le boyau par un ami belge spécialiste de la visite de cimetières, c’est fort !

en fait tout est de la faute des ravels belges : un cimetière à pneus quand il fait humide !!!

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Il y a 6 heures, Pierre PLANA a dit :

C’est Manu, il est tellement gentil qu’on lui pardonne tout !

C'est vrai qu'il est gentil, Manu, et costaud aussi.

 

Vous faites des sorties dingues, comment est-ce possible? Quand je vois la misère que Gégé nous met avec tant de facilité, on est véritablement dans un autre monde avec des clients comme vous (-:

 

(j(avais oublié la cerise sur le gâteau avec la bande à Pierre: ils te donnent rdv à 9h et partent à...8h45)

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il y a 51 minutes, Michel DURY a dit :

C'est vrai qu'il est gentil, Manu, et costaud aussi.

 

Vous faites des sorties dingues, comment est-ce possible? Quand je vois la misère que Gégé nous met avec tant de facilité, on est véritablement dans un autre monde avec des clients comme vous (-:

 

(j(avais oublié la cerise sur le gâteau avec la bande à Pierre: ils te donnent rdv à 9h et partent à...8h45)

Je crois que Gégé c’est encore un cran au-dessus par rapport à moi.

pour ma part, je m’accroche… j’ai la chance de pouvoir rouler avec qques personnes qui sont plus solides que moi (au moins en montées) et donc ça me motive pour m’entraîner afin de ne pas être trop largué.

Sur le forum, j’ai pu aussi rouler avec une personne qui est aussi modeste que costaud : c’est André Massol…

Sur ce que j’ai vu en Belgique, tu as le niveau pour faire des sorties comme celle que j’ai faite hier. Le tout c’est de trouver le bon groupe…

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il y a une heure, Pierre PLANA a dit :

Je crois que Gégé c’est encore un cran au-dessus par rapport à moi.

pour ma part, je m’accroche… j’ai la chance de pouvoir rouler avec qques personnes qui sont plus solides que moi (au moins en montées) et donc ça me motive pour m’entraîner afin de ne pas être trop largué.

Sur le forum, j’ai pu aussi rouler avec une personne qui est aussi modeste que costaud : c’est André Massol…

Sur ce que j’ai vu en Belgique, tu as le niveau pour faire des sorties comme celle que j’ai faite hier. Le tout c’est de trouver le bon groupe…

C'est bien là le problème, trouver le bon groupe qui va garder une homogénéité et non qui va te flinguer. Par chez moi la règle universelle c'est destroy l'autre, aucune entraide, je vis dans une province de trous du culs qui n'ont aucun esprit de corps. Chacun pour soi et crève pour tous, j'adore.

 

Je l'ai souvent écrit mais quand tu croises un groupe de flamands, c'est autre chose. Là les mecs sont groupés et ça roule bien propre et ensemble, tu ne vois pas de largués. Chez les wallons, tu les vois éparpillés sur 500 mètres par petits groupes plus ou moins explosés.

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il y a 7 minutes, Olivier DARGE a dit :

ah ben merci. 

un des trous de cul 😂

Désolé pour toi, Ol, mais tu connais l'esprit, ou plutôt le manque d'esprit par ici, c'est une réalité. J'ai essayé 4 clubs dont le tien et je vois que c'est toujours la même chose, quelques forts qui explosent les autres et démerde toi au milieu de la pampa. 

Posté
il y a 4 minutes, Michel DURY a dit :

C'est bien là le problème, trouver le bon groupe qui va garder une homogénéité et non qui va te flinguer. Par chez moi la règle universelle c'est destroy l'autre, aucune entraide, je vis dans une province de trous du culs qui n'ont aucun esprit de corps. Chacun pour soi et crève pour tous, j'adore.

 

Je l'ai souvent écrit mais quand tu croises un groupe de flamands, c'est autre chose. Là les mecs sont groupés et ça roule bien propre et ensemble, tu ne vois pas de largués. Chez les wallons, tu les vois éparpillés sur 500 mètres par petits groupes plus ou moins explosés.

Les groupes pour que ça fonctionne bien, il faut un capitaine de route.

C'est souvent moi qui fait "office de..." avec mon club, donc sur le plat, je mets les moins solides derrière moi (vu le gabarit du type, l'abri est bon) et je surveille que personne ne lâche ni est en survie totale.

En bosse, on fait demi-tour en haut et on va chercher le dernier. Il n'y a rien de plus terrible que les groupes qui attendent en haut des bosses et embrayent dès que le dernier est arrivé.

Mais bon... lorsque je prends en charge le groupe, l'objectif c'est que tout le monde roule le plus vite possible : on me reproche que ça roule trop vite quand je suis là...

Hier c'était cool, à quatre c'est facile à gérer, surtout quand les quatre on l'habitude de rouler vite. Sur la partie où on a roulé à 40km/h face au vent (faux plat -1%), on prenait des relais courts à quatre, mais de temps en temps il y en avait un qui avait besoin de souffler une rotation de plus. Tout le monde arrivait à bien prendre les roues.

C'est parfois le problème, pour bien profiter des gars qui roulent fort, il faut rouler près.

On a un féminine chez nous avec un gabarit de crevette (45kg toute mouillée), mais elle n'a pas peur de rouler très près. Je la prends derrière moi, je lui dis de "rentrer" les oreilles et elle roule à 35-40 sans pb.

Posté
il y a 8 minutes, Pierre PLANA a dit :

Les groupes pour que ça fonctionne bien, il faut un capitaine de route.

C'est souvent moi qui fait "office de..." avec mon club, donc sur le plat, je mets les moins solides derrière moi (vu le gabarit du type, l'abri est bon) et je surveille que personne ne lâche ni est en survie totale.

En bosse, on fait demi-tour en haut et on va chercher le dernier. Il n'y a rien de plus terrible que les groupes qui attendent en haut des bosses et embrayent dès que le dernier est arrivé.

Mais bon... lorsque je prends en charge le groupe, l'objectif c'est que tout le monde roule le plus vite possible : on me reproche que ça roule trop vite quand je suis là...

Hier c'était cool, à quatre c'est facile à gérer, surtout quand les quatre on l'habitude de rouler vite. Sur la partie où on a roulé à 40km/h face au vent (faux plat -1%), on prenait des relais courts à quatre, mais de temps en temps il y en avait un qui avait besoin de souffler une rotation de plus. Tout le monde arrivait à bien prendre les roues.

C'est parfois le problème, pour bien profiter des gars qui roulent fort, il faut rouler près.

On a un féminine chez nous avec un gabarit de crevette (45kg toute mouillée), mais elle n'a pas peur de rouler très près. Je la prends derrière moi, je lui dis de "rentrer" les oreilles et elle roule à 35-40 sans pb.

Je comprends bien, Pierre, mais ici on voit de grands groupes de plus de 20 cyclos, et là c'est la débandade. on a évidemment un capitaine mais la discipline n'est pas possible avec les wallons, on dirait que c'est incompatible génétiquement (je vais me faire dézinguer!!!)

 

Je le sais d'autant plus qu'ayant été très souvent en contact avec la partie flamande de Belgique toute ma vie, j'ai vu la différence dans tous les domaines, le vélo n'échappant pas à la règle. C'est fantastique de voir rouler ces mecs, tu vois immédiatement que c'est homogène, propre, cohérent. Et là je me retourne et je vois mon club qui, heuuuuu, comment dire?

Posté
il y a 17 minutes, Michel DURY a dit :

Je comprends bien, Pierre, mais ici on voit de grands groupes de plus de 20 cyclos, et là c'est la débandade. on a évidemment un capitaine mais la discipline n'est pas possible avec les wallons, on dirait que c'est incompatible génétiquement (je vais me faire dézinguer!!!)

 

Je le sais d'autant plus qu'ayant été très souvent en contact avec la partie flamande de Belgique toute ma vie, j'ai vu la différence dans tous les domaines, le vélo n'échappant pas à la règle. C'est fantastique de voir rouler ces mecs, tu vois immédiatement que c'est homogène, propre, cohérent. Et là je me retourne et je vois mon club qui, heuuuuu, comment dire?

Des groupes de 20 c'est compliqué et limite dangereux. 

Pour tes gars incontrôlables, ça arrive malheureusement partout. A l'époque où j'avais de gros moyens, j'en avais de temps en temps qui se tenaient à l'abri sur le plat et qui pignaient à la première bosse. A l'époque j'étais capable de contrer (et je vivais près de Toulouse donc les bosses étaient moins longues), ça calmait un peu le jeu...

Mais rien n'est rose dans les clubs... Nous depuis le COVID, on a deux populations :

- un groupe qui a continué à rouler et à faire du sport.

- un groupe qui est clairement passé en mode loisir, qui fait de la balade et qui ne roule que quand les conditions sont parfaites (donc quasiment jamais).

Ca ne me poserait pas de problème s'il n'y en avait pas qui pensent que en hiver, il faut rouler tous ensembles... J'ai fait des sorties de 50km qui ont duré 3 heures...

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il y a 39 minutes, Michel DURY a dit :

Je le sais d'autant plus qu'ayant été très souvent en contact avec la partie flamande de Belgique toute ma vie, j'ai vu la différence dans tous les domaines, le vélo n'échappant pas à la règle. C'est fantastique de voir rouler ces mecs, tu vois immédiatement que c'est homogène, propre, cohérent. Et là je me retourne et je vois mon club qui, heuuuuu, comment dire?

Finalement, Michel, tu comptes aller vivre en France ou en Flandre (si tu te décides à quitter le BW) ?

  • Haha 2
Posté (modifié)
il y a une heure, Michel DURY a dit :

Désolé pour toi, Ol, mais tu connais l'esprit, ou plutôt le manque d'esprit par ici, c'est une réalité. J'ai essayé 4 clubs dont le tien et je vois que c'est toujours la même chose, quelques forts qui explosent les autres et démerde toi au milieu de la pampa. 

Avoir l'esprit club et l'esprit groupe, ce n'est pas évident en pratique.

Dans "mon" groupe, l'écart se ressent, on a des gars fort jeunes et bien entrainés pour qui il est normal et naturel de rouler à bon rythme. Dans le même groupe tu as des gars plus âgés comme moi et 1 ou 2 autres avec 1 ou 2 ans de plus. Entrainement pas forcément au top, les années au compteur, moins de force, forcément ça casse de temps en temps, et c'est difficile à chaque sortie.

On se regroupe en grupetto et en haut des bosses. ça marche pas trop mal, mais comme le dit Pierre plus haut, rouler dans ce groupe est difficile et pouvoir y rester est une source de motivation pour garder l'entrainement hors club.

Un ou deux jeunes très forts voudraient bien en faire plus : plus vite, plus fort, parfois de façon limite égoïste, et pire parfois ils ne prennent pas de relais ou le font maladroitement. bordel quoi 😉 

 

Que faire ? Je ne me vois pas rouler régulièrement avec le groupe "inférieur", ça roule trop lentement, trop peu de moments excitants. De temps en temps pourquoi pas évidemment, en prenant la tête contre le vent. ça apporte du changement, on parle avec d'autres copains et ça permet de relâcher la pression. 

 

Je ne sais pas si se forcer à rester très groupé est la meilleure solution, pour les plus forts comme pour les moins forts. On a déjà 3 groupes, aucun n'est parfaitement homogène.

J'ai aussi remarqué la compacité des pelotons flamands croisés, off course

 

Modifié par Olivier DARGE
Posté
il y a 3 minutes, Olivier DARGE a dit :

il faut l'esprit club et l'esprit groupe, ce n'est pas évident.

 

Que faire ? Je ne me vois pas rouler régulièrement avec le groupe "inférieur", ça roule trop lentement, trop peu de moments excitants. De temps en temps pourquoi pas évidemment, en prenant la tête contre le vent. ça apporte du changement, on parle avec d'autres copains et ça permet de relâcher la pression. 

 

Je ne sais pas si se forcer à rester très groupé est la meilleure solution, pour les plus forts comme pour les moins forts. On a déjà 3 groupes, aucun n'est parfaitement homogène.

 

 

C'est le reflet de la société. Nous sommes partagés entre la solidarité et l'individualisme. L'entraide à vélo doit toujours composer avec l'esprit de compétition.

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Posté (modifié)

De mon point de vue, un bon groupe en terme de nombre c'est entre 8 et 16 environ, on est suffisamment nombreux pour ne pas s'épuiser et pas trop pour l'organisation des relais et encombrer la route. Concernant l'homogénéité c'est sur que plus y en a mieux c'est, mais sur une 15aine de gars il y aura forcément des écarts sensibles de niveau. C'est l'esprit de groupe, la convivialité et les règles qu'on va s'imposer qui vont permettre une progression interessante pour tous. Si on ne répète pas régulièrement dans le club qu'on n'est pas en course , ni non plus là pour ecraser voire ridiculiser les autres, ça finit par marcher à peu près.

En outre il y a des techniques simples à utiliser, par exemple quand un ou deux accélèrent trop l'allure par rapport au niveau moyen, on les laisse partir et on s'organise en relais derrière, en général ça calme bien, on les rattrape assez rapidement et tout rentre dans l'ordre. Souvent on fait gentiment la remarque à  un costaud qui va trop vite de calmer l'allure dès qu'il accélère. On ^peut bien sur faire les pancartes ou se défoncer dans les bosses mais dès que ça casse derrière il faut exiger de ralentir. Dans le club où je roule ça marche bien comme ça. Mais il arrive que  certains surestiment parfois leurs forces et se retrouvent dans un groupe trop fort, ça passe une fois , mais pas deux , le groupe lui conseille alors de descendre de niveau sinon on risque fort de ne pas l'attendre.

Dans la région ça se passe plutôt comme ça dans les clubs alentours, mais j'en connais aussi où c'est la grande ^pagaille `et ou le jeu c'est justement de faire exploser le groupe. De mon point de vue c'est de la responsabilité du club, surtout que quand on pousse quelques gars dans le rouge, c'est là que la possibilité de chutes intervient (stress, manque de forces et d'attention, mauvais placement)  

On peut aussi s'appliquer à protéger un gars en queue qui est limite en l'abritant dans sa roue ou en le "tirant" dans une bosse et en le ramenant tranquillement ensuite, ça c'est interessant et ça demande un peu d'énergie. Ensuite on pourra se permettre de sermonner un peu le groupe pour son manque de cohésion

Modifié par Marquez
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il y a 15 minutes, Marquez a dit :

De mon point de vue, un bon groupe en terme de nombre c'est entre 8 et 16 environ, on est suffisamment nombreux pour ne pas s'épuiser et pas trop pour l'organisation des relais et encombrer la route. Concernant l'homogénéité c'est sur que plus y en a mieux c'est, mais sur une 15aine de gars il y aura forcément des écarts sensibles de niveau. C'est l'esprit de groupe, la convivialité et les règles qu'on va s'imposer qui vont permettre une progression interessante pour tous. Si on ne répète pas régulièrement dans le club qu'on n'est pas en course , ni non plus là pour ecraser voire ridiculiser les autres, ça finit par marcher à peu près.

En outre il y a des techniques simples à utiliser, par exemple quand un ou deux accélèrent trop l'allure par rapport au niveau moyen, on les laisse partir et on s'organise en relais derrière, en général ça calme bien, on les rattrape assez rapidement et tout rentre dans l'ordre. Souvent on fait gentiment la remarque à  un costaud qui va trop vite de calmer l'allure dès qu'il accélère. On ^peut bien sur faire les pancartes ou se défoncer dans les bosses mais dès que ça casse derrière il faut exiger de ralentir. Dans le club où je roule ça marche bien comme ça. Mais il arrive que  certains surestiment parfois leurs forces et se retrouvent dans un groupe trop fort, ça passe une fois , mais pas deux , le groupe lui conseille alors de descendre de niveau sinon on risque fort de ne pas l'attendre.

Dans la région ça se passe plutôt comme ça dans les clubs alentours, mais j'en connais aussi où c'est la grande ^pagaille `et ou le jeu c'est justement de faire exploser le groupe. De mon point de vue c'est de la responsabilité du club, surtout que quand on pousse quelques gars dans le rouge, c'est là que la possibilité de chutes intervient (stress, manque de forces et d'attention, mauvais placement)  

On peut aussi s'appliquer à protéger un gars en queue qui est limite en l'abritant dans sa roue ou en le "tirant" dans une bosse et en le ramenant tranquillement ensuite, ça c'est interessant et ça demande un peu d'énergie. Ensuite on pourra se permettre de sermonner un peu le groupe pour son manque de cohésion

Dans le club que j'accompagnais autrefois, le scénario était immuable : en groupe pendant les 2/3 de la sortie puis l'allure augmentait et ça se terminait comme une course, les plus costauds attaquaient et lâchaient les plus faibles. Ca ne me dérangeait pas sur le principe et ça m'indifférait de terminer seul le jour où j'étais moins en forme mais la mentalité de quelques "caïds" qui faisaient la loi sans tolérer les "rivalités" a fini par me décourager (sans compter les innombrables incivilités envers les automobilistes, mais c'est un autre sujet).

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Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit :

(...)En bosse, on fait demi-tour en haut et on va chercher le dernier. Il n'y a rien de plus terrible que les groupes qui attendent en haut des bosses et embrayent dès que le dernier est arrivé.(...)

Ils font ça ici : redescendre pour aller chercher les derniers. C'est sympa.

Quand je me suis viandé dans la descente de Valouse, ils ont attendu que Chérie arrive avec la voiture. Il y en a même un qui est remonté en haut du col pour l'accueillir et la guider. 👍

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il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Finalement, Michel, tu comptes aller vivre en France ou en Flandre (si tu te décides à quitter le BW) ?

 

Ou alors il retourne à Bruxelles. 😇 Le parfait compromis c'est enclavé en Flandre mais on y parle français. 





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