Philippe MONTAGNAC

Armstrong, Contador, Froome, Pogacar, cherchez l'erreur.

On prend la piste cyclable... où on traverse les Bauges.

En montagne ou sur des terrains très vallonnés, on évite en général de dépasser les 40 mm. Au delà, l'inertie devient pénalisante. Je roule quasi exclusivement sur des montées de cols et mes DT Swiss en 38 pour 1300 g font parfaitement l'affaire et je suis beaucoup plus à l'aise sur le plat qu'avec mes anciennes roues en alu. Seul défaut, faut faire gaffe les jours de grand vent dans les descentes.

En principe les assureurs proposent des contrats "multirisques". Mais tout dépend ce qu'on veut assurer : vol, casse accidentel du matériel... Les prix sont à comparer également en fonction du montant des garanties et des franchises ainsi que des exclusions (ce qu'on ne lit quasiment jamais dans un contrat). C'est l'essentiel des choses à lire attentivement dans un contrat, le reste sont des conditions générales applicables à tous les assurés.

Val Pelouse, c'est une montagne à vaches et à myrtilles, ça n'a rien de comparable avec Le Granier où ça dégringole à la verticale d'une hauteur de plusieurs centaines de mètres.

Tout simplement l'inertie ?

Pas emporté de dérive-chaine ?

Tu oublies le fameux complot des freins à disque.

J'ai une amie qui est récemment décédée d'un cancer du sein, elle aurait été ravie d'apprendre qu'elle n'a pas su se battre.

Je ne vois pas en quoi on "se bat" contre un cancer, c'est une vue de l'esprit. Un bon médecin et une bonne chimio, par contre.

La fonction qui indique que la marmotte va traverser, trop bien...

J'aurais plutôt utilisé du dégraissant que de l'acétone, pour dissoudre des pièces non métalliques y'a pas mieux.

Entre 4 et 4,5 bars en Mavic Yksion ust en 25 MM pour 62 kgs. Je pourrais a priori mettre encore un peu moins.

Les français sont les champions de l'auto-bashing, ils s'adorent se flageller alors qu'on rencontre à peu près les mêmes spécimens et la même quantité de cons aux quatre coins de la planète.

Quand j'étais étudiant, il y a 30 ans de cela, je courais en club spécialisé sur semi-marathon. Je n'ai jamais utilisé de cardio, ce n'était pas une technologie super fine à l'époque. Je courais entre 100 et 150 bornes par semaines. J'ai frôlé le temps qualificatif pour le championnat de France avec un super entraineur, une bonne maîtrise des méthodes d'entrainement et avant tout avec une compréhension fine du fonctionnement de l'organisme. Plus tard, quand j'ai acheté mon premier cardio, je suivais scrupuleusement les fenêtres de fréquence cardiaques. Mon ressenti confirmait grosso modo les indications du cardio. Aujourd'hui, je ne néglige pas son usage que je conseillerais surtout aux débutants et aux cardiaques, mais même en m'entrainant à haute intensité, je m'en passe parfaitement.

J'ai un Garmin Forerunner 235 d'occase à 80 euros, basique, qui ne fait pas les frites ni défibrillateur cardiaque. Après 30 ans de pratique multisports en montagne, on est sensé connaitre son organisme et ne pas avoir besoin d'électronique superflue. Y compris quand je fractionne à haute intensité. A chacun sa dépendance et son illusion dans ses besoins d'imitation des autres pratiquants.

On dirait du Macron pour decredibiliser les choses simples qui fonctionnent bien. Je te conseille la lecture de Philippe BIHOUIX et l'intérêt du low tech. J'ai une montre Garmin basique pour enregistrer mes données sur Strava et en général, l'électronique me confirme ce que mon corps et mon cerveau savent déjà. Le problème du GPS, c'est qu'il déconnecte de la topographie et de la réalité du terrain, déléguer la compréhension à un cerveau externe c'est tellement plus facile.

Pour s'orienter en terrain inconnu, il n'y a pas mieux qu'une carte. On peut glisser des copies dans une poche et ça ne tombe jamais en panne. Je préfère mettre 300 balles ailleurs que dans un compteur ou ordinateur de vélo.

"C'est mon avis et je le partage"

Peut on être fossile et moderne ? Telle est la question.

Une hydartrose en langage médical plus courant, c'est un épanchement de synovie, très courant chez les handballeur(se)s. Ma femme en souffre actuellement, d'après le médecin du sport et avant IRM, l'origine du problème, en dehors d'une entorse, est liée au ménisque, aux ligaments ou une défaillance du retour veineux qui se concentre au niveau du genou. C'est pas pour te démoraliser, mais c'est en général assez long à résoudre suivant l'âge et la gravité de l'épanchement. A part ça, l'argile et la glace peuvent soulager temporairement mais ça ne guérit pas. Du repos et de la patience. Bon courage

Pareil que toi, j'ai acheté récemment des roues carbones d'occasion en profil 38 à boyaux, j'aurais préféré du tubeless. Il y a suffisamment de vidéos en lignes, pour le meilleur et pour le pire, pour qu'un débutant puisse se débrouiller seul. J'ai juste un peu galéré pour le décollage des vieux boyaux qui étaient vendus avec. Les tubes de colle me paraissant assez merdiques, j'ai opté pour des bandes Jantex, rapide et facile. J'ai monté des Continental Sprinter, idem pour le montage, inutile de les détendre, ça se monte facilement directement sorti de boîte.

J'utilise des patins Swisstop "Black Prince" sur mes DTSwiss RC38T, freinage impeccable.

Strava vaut ce qu'on en fait, en ce qui me concerne c'est un simple carnet d'entrainement. On peut se comparer sur des segments en ne se prenant (pas trop) au sérieux ni exhiber la taille de son kiki. De la part de quelqu'un qui roule sans ordinateur de vélo ni capteur de puissance.

La mauvaise foi n'est pas un délit, mais tu as tout de même les deux pieds dedans. Je me suis davantage fait chier à décoller des boyaux.