Philippe MONTAGNAC

Utiliser un GPS dans la forêt de Rhonne, comment dire..... c'est truffé de balisage et de panneaux indicateurs. Apprends à lire une carte.

Une carte à l'intérêt de faire fonctionner tes neurones et de comprendre le terrain sur lequel tu évolues. Ton GPS, c'est une prothèse très pratique pour éviter de réfléchir mais qui ne rend pas vraiment intelligent. Combien de randonneurs j'ai pu croiser en altitude, mal équipés ou au mauvais endroit et qui m'ont répondu "C'est pas grave, j'ai mon téléphone portable !". Avec une carte et une boussole voire un altimètre suivant le terrain, si on se donne la peine d'utiliser son cerveau, on rentre à la maison. Il faut juste arrêter de croire que l'électronique rend invincible. Mais l'être humain a du mal à le comprendre.

Un bon GPS ne remplacera jamais une capacité à lire une carte et à la rapporter visuellement au terrain. Sinon, en milieu alpin, l'altimètre est bien plus intéressant. J'ai travaillé plusieurs années comme accompagnateur en montagne, je n'ai jamais eu besoin de prothèse électronique même en terrain inhabituel, en hiver comme en été. Pareil en vélo aujourd'hui.

Entre se gaver avec un cassoulet pour exagérer (un peu) ta démonstration et consommer uniquement des boissons énergétiques/isotoniques, il y a une sacrée marge de manœuvre avec laquelle la physiologie de chacun doit s'adapter. Il m'arrivait de partir courir en montagne à jeun le dimanche matin pour des sorties de 3 à 4 heures, ça passait avec des poudres de perlimpimpin à condition de se connaitre parfaitement et de gérer son effort sur la distance en conséquence. Avec ce régime là, je me suis retrouvé un jour à sec en pleine pampa dans le massif de la Chartreuse, réduit à ronger une peau de banane pour essayer d'en tirer quelques calories et ne pas rester en rade avec une hypoglycémie sévère. Avec mes 62 kilos tout mouillé pour 1m74, ma graisse de réserve ne me permet pas vraiment de gérer les longues distances sur cette filière énergétique. J'avais toujours et j'ai toujours un truc solide dans mon sac, le genre de truc qui peut t'éviter de rentrer en stop.

Exact, c'était un troll d'ordre général et absolument pas agressif. Respire un bon coup par le nez (Math, pas Thierry...😘)

Je ne t'ai pas adressé la parole.

Il y a suffisamment de glyphosates et de pesticides dans une barre de céréales produites par un agriculteur de la FNSEA pour pouvoir la conserver plusieurs années.

Je n'ai aucun plaisir à rouler sous la pluie ou une température inférieure à 5 degrés. Sans compter le temps passé à entretenir le vélo. S'il pleut, je cours, je nage, je skie (de fond), je fractionne en home-trainer. Si j'arrive en forme au printemps, c'est grâce à la diversité et au plaisir de mes entraînements en hiver.

Le paradoxe c'est d'avoir une cassette qui débute à 11 et finit en 34.... 11 dents sur le plat pour un petit rouleur- grimpeur c'est parfaitement inutile quand ça pourrait commencer à 14 qui serait largement suffisant. Avis d'une petite bite.

Sur ce forum, tu mets d'abord ta bite sur la table, ensuite on te pèse les boules... de Noël bien sûr.

Le poids moyen d'un sanglier mâle adulte est d'environ 150 kg. Le dernier que j'ai croisé avec mon TER à Frontenex, pas loin de chez toi, a été broyé avec un magnifique bruit de métal concassé.

Un député RN vient de qualifier un autre député de "racaille" à l'Assemblée nationale. Je suppose que Belkhir BELHADDAD insulté, n'est pas vosgien ?

Fallait pas non plus critiquer Armstrong, Contador et Ullrich non plus.... C'est un milieu d'omerta où seule la dénonciation ou le lancement d'alerte peut marcher. L'autre problème c'est qu'il ne faut surtout pas casser ton jouet. Et pis le marché du VAE est en plein essor, ce serait dommage de tuer le marché.

Si tu cherches chez Treck, tu vas pas trouver.

Une carte IGN top 25, 12 euros environ. Je suis un peu dur, mais on peut largement se passer de ces gadgets électroniques qui coûtent un bras. J'ai même pas de compteur sur mon vélo et je vis bien.

Une photo aimerait à mieux se rendre compte du problème. Avec mon expérience de modéliste, je dirais qu'une retouche à l'aérographe ou à la bombe en délimitant bien la zone à peindre vaut cent fois mieux qu'une retouche au pinceau mais il faut trouver une peinture capable de résister à un usage en extérieur (frottement, intempéries...). Je pourrais le faire sur mon vélo blanc/noir qui a pas mal d'heures de vol et quelques rayures à droite à gauche, mais je considère que l'usure et un vélo dans son jus fait partie de sa vie. Pour la couleur, si possible demander au fabricant la référence de sa peinture si le vélo est récent ou utiliser un nuancier.

Le GPS en montagne, c'est très relatif.... Pour les zones plates, les déserts, les mers et océans, ok mais en zone avec de forts dénivelés, c'est pas plus efficace qu'une carte. J'ai travaillé quelques années comme accompagnateur moyenne montagne en Savoie et je cours en trail, j'ai jamais eu besoin d'un GPS.

Soyons honnêtes avec nous mêmes (moi le premier...,) pour le cycliste lambda le choix d'une roue à profil haut est généralement et premièrement guidé par un critère d'ordre esthétique avant des critères techniques. C'est comme les roulements céramique, ça ne sert strictement à rien sur un vélo, mais ça permet de se la péter et de croire qu'on va plus vite. J'avais des Mavic Ksyrium et suis passé sur des DT Swiss en 38 mm à boyau, super jolies donc, un peu plus légères, un peu plus rigides et très bonnes en montagne. Je ne regrette pas. Pour la vitesse, c'est intéressant sur le plat au delà des 30 km/h, mais je ne suis pas un rouleur, ce n'est pas sur ce critère que je les ai achetées. Pas ressenti de différence de confort avec le tubeless. Au bout de 130 bornes, pas sur qu'on rentre à la maison grace aux roues.... 45mm, ça peut être bien pour la roue arrière mais pour l'aéro et limiter la prise au vent, une jante plus basse pourrait être plus efficace. Si tu as les moyens de te faire plaisir, n'hésite pas et tu te feras ton opinion.

Grimpette du Ventoux par Malaucène à l'aube, fraîcheur relative avant le retour d'un dôme de chaleur.

Il y a trop de facteurs et paramètres personnels pour pouvoir en tirer des conclusions générales. Sans compter l'environnement de vie, l'alimentation/diététique...

Les cycles futiles ont été découverts par hasard en étudiant la consommation de cyclistes en compétition (à verifier car de mémoire, un ancien numéro du mensuel Sport et Vie), trop de calories consommées par rapport à ce qui était ingéré. On a mis en evidence le rôle des mitochondries cellulaires qui pour certains tourneraient "à vide", d'où l'expression "futile". Mon poids n'a pas bougé de 62 kgs 62,5 kgs pour 174 cm, sauf sur semi-marathon, descendu à 59 kgs quand je le courai en 1h17. Pulsations au repos à 36/min, presque pathologique...

Les "cycles futiles" expliquent bien des choses que les capteurs de puissance ne pourront jamais mesurer. Mon stock génétique de mitochondries qui brûle des calories à vide m'a permis de ne pas varier de plus de 500g en 35 ans de pratique sportive.

Sachant que le directeur sportif semble dire au commissaire de course "je t'emm....", comment faire mieux dans la finesse.... lequel DS vient finalement d'être exclu pour "comportement inapproprié". Pour l'ensemble de son œuvre, chapeau l'artiste !

J'ai déjà emprunté des pistes cyclables plus intéressantes. Ca permet aux loueurs de VAE de Méribel et Courchevel de faire du chiffre en été.

Le Père Noël, Le Tour de France, la croissance et le PIB, c'est beau de rester jeune quand même...