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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. À ceux qui ont de petites mains, vos leviers n'ont-ils pas un réglage de la garde ? (l'espace entre le levier et le cintre). Je n'ai pas ce problème de petites mains, ayant des mains et des doigts au contraire assez grands pour ma taille. Mais les leviers TRP que j'utilise ont un réglage de la garde (ce que j'ai découvert en les démontant). C'est aussi le cas des leviers Shimano récents: https://www.dimensionsvelo.com/2020/07/31/regler-la-course-des-leviers-shimano-hydrauliques/
  2. Tant que la descente n'est pas rapide, descendre mains aux cocottes n'est pas un problème. De sécurité, s'entend. Ça reste quand même un problème aérodynamique, mais aucun non-compétiteur n'est obligé de s'en soucier. De fait, on voit que mêmes les professionnels du cyclo-cross sont quasiment toujours mains aux cocottes, y compris dans les descentes les plus raides et les plus techniques… tout bêtement parce que vu la technicité des parcours leur vitesse reste (relativement) faible. Ils ne mettent les mains en bas du guidon que lors des longues descentes (très rares en cyclo-cross) qui leur font atteindre des vitesses élevées, ou lors des sprints. Pour moi, la vraie question, c'est : pourquoi tant de gens persistent-ils à utiliser un cintre "route" alors qu'ils ne mettent jamais les mains en bas du guidon ? Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas (et en tant que matheux j'aime la logique et la cohérence:-)), en même temps que plus sécurisant à haute vitesse. D'autant qu'il existent une variété impressionnante de cintres de ce genre pouvant convenir, j'imagine, à la plupart des cas. Celui-ci n'est pas mal dans le genre, développé par un randonneur au long cours (et ancien coureur cycliste sur route). Et il y en a tellement d'autres ! https://www.cyclingabout.com/koga-denham-bars/
  3. Sortie de deux heures cet après-midi, dans la forêt de Soignes d'abord puis à sillonner dans les communes d'Alsemberg, Linkebeek et Uccle au sud de Bruxelles. Kilométrage inconnu car comme le temps était très incertain, j'ai pris mon gravel-randonneur dépourvu de compteur, mais pourvu d'un moyeu Rohloff, d'une courroie et de gardes-boue. La machine de guerre anti-pluie idéale. Et ça n'a pas manqué : quelques 20 minutes après mon départ, il s'est mis à pleuvoir, et ce sans interruption jusqu'à mon retour. En plus, ça drachait dur par moments. Dire que la météo prévoyait une alternance d'averses et d'éclaircies… Pas eu droit à une seule de ces dernières. Belle découverte au passage, cette côte recensée par Climbfinder à Alsemberg: https://climbfinder.com/fr/montees/bronstraat-kwadebeek Pentue, étroite, champêtre (beau cadre vers la fin de la montée), tout pour me plaire. J'y repasserai sûrement !
  4. Nan, il n'a pas fait plus sec dans le courant de l'après-midi au sud de Bruxelles 😜 : pluie variant en intensité mais quasi continue pendant ma sortie de deux heures.
  5. 33 km de détente dans la forêt de Soignes après le travail, comme d'habitude chaque mardi. À part la forêt elle-même, pas grand'chose de remarquable à photographier dans cette balade, sauf… au bout de la piste forestière bitumée appelée « Drève de Bonne Odeur », Welriekendedreef en néerlandais, à la limite entre la région de Bruxelles et la Flandre, on passe devant une imposante chapelle dédiée à «Notre-Dame de Bonne Odeur» (oui, un nom bizarre pour la sainte Vierge…) Elle se trouve juste à proximité du «Ring» de Bruxelles, le périphérique routier qui fait le tour de la capitale et de ses environs immédiats. Juste en face de la chapelle, se trouve d'ailleurs un tunnel pour piétons et cyclistes qui passe en dessous de cette voie rapide. Ce tunnel a été complètement reconstruit tout récemment (les travaux ne sont d'ailleurs pas complètement terminés, mais il est déjà accessible). Dans sa précédente version, on ne pouvait y accéder, d'un côté comme de l'autre, que par des escaliers qui obligeaient le cycliste à mettre pied à terre. Ce n'est plus le cas maintenant, et tant mieux pour les cales des chaussures cyclistes ! De là, accès à Jezus-Eik (Overijse), puis Tervuren, et retour par Wezembeek-Oppem et la promenade de l'ancien chemin de fer, que j'ai déjà présentée. Revoici quand même un lien présentant cette promenade : http://www.velo-ravel.net/2016/2016-10-27 Promenade du chemin de fer - RAVeL 160.htm
  6. J'ai trouvé cet article (en néerlandais) pointant sur un "Twit" avec la vidéo des derniers 100 m. Apparemment le revêtement était en béton, avant cet endroit, et ensuite fait de sortes de carreaux bien joints… https://sporza.be/nl/2023/10/10/aleksej-loetsenko-kruipt-naar-ritwinst-op-beestachtige-slotklim-in-turkije~1696943669612/
  7. Cette tendance s'est généralisée au point que je me demande pourquoi ceux qui n'empoignent jamais le bas du guidon n'utilisent pas plutôt un cintre plat, ou ne scient pas la partie basse de leur cintre de route. Ils enlèveraient ainsi du poids inutile pour eux. Et c'est un phénomène que j'ai constaté avant l'arrivée des freins à disques. À mon avis cela s'explique plutôt par deux autres facteurs : les guidons sont d'une part posés bien plus bas qu'avant, tandis que la souplesse moyenne des cyclos ne n'est pas particulièrement améliorée ; et d'autre part les cocottes modernes sont bien plus confortables à empoigner, tout en donnant maintenant accès directement au changement de vitesse. Il n'empêche que les dangers de garder les mains aux cocottes en descente demeurent les mêmes : risque que les mains décollent des cocottes en cas de choc sur les roues, par exemple sur un nid-de-poule (vécu…) et contrôle nettement moins bon du vélo à haute vitesse.
  8. 118 km aujourd'hui par ce temps aussi doux et ensoleillé que prévu hier. 🙂 Plat de résistance : les 98 km de la route cycliste de la Flèche brabançonne, circuit balisé qui reprend la plupart des difficultés de la course pro éponyme. Un circuit qui passe près de chez moi, que je connais par cœur et qui me sert d'évaluation de ma forme quand j'en ressens le besoin. https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/index.html (présentation du parcours par l'office du tourisme du Brabant flamand) https://climbfinder.com/fr/routes/fleche-brabanconne (descriptif plus détaillé du parcours et de ses difficultés) Cette forme est mitigée, finalement : autant j'avais du jus dans les bosses, autant j'avais l'impression de me traîner sur le plat, avec en plus des douleurs sporadiques à l'extérieur des genoux que je n'éprouvais pas en montée. Signe sans doute qu'il est temps de lever le pied. Après tout, il n'y a plus d'objectif à atteindre cette année, sinon se faire plaisir 🙂
  9. Votre automne adoré par vous autres les nordiques de complexion, il prend tout son temps( (!), on dirait, et tant mieux pour moi : 25° à l'ombre de prévus en Brabant demain après-midi, que du bonheur 🙂
  10. À 9° constants je n'ai plus le Tiburu, mais le Habu (les connaisseurs d'Assos comprendront :-)). Si la température commence à 9° mais évolue vers les 20° pendant la journée, je m'habille en mi-saison : cuissard thermique Tiburu mais court — j'ai horreur des corsaires — maillot de corps épais à manches courtes sous un maillot cycliste normal, complétés de manchettes) mais le matin j'ai en plus les jambières, les surchaussures, le bonnet, les gants longs et l'imper, et j'enlève tout cela en cours de route, progressivement, dès que j'en ressens le besoin (pour les gants longs, je les remplace par des courts que j'ai emmené dans la poche du maillot).
  11. Ben oui, je suis TRÈS frileux (si, ça existe). L'inconvénient sans doute d'être maigre comme un clou, en plus d'avoir un père méditerranéen (pied-noir de souche espagnole) et d'avoir hérité de lui pour ce qui est de la tolérance au climat. Avantage de l'inconvénient : je ris sous cape quand j'entends tous ceux qui se plaignent dès qu'il fait 30° à l'ombre 🙂 Moi je me régale par ces températures, y compris pour monter un col.
  12. Avec la grippe, tout comme le covid, il y en a qui en souffrent plus que d'autres, sans être forcément plus fragile a priori… Quand j'avais 18 ans j'en ai chopé une qui m'avait rendu malade comme un chien, alité pendant une semaine avec 40° de fièvre, mal partout… au point que je me suis demandé tout haut, devant mes parents, si j'allais y rester ! Ensuite, comme de juste toute la famille y a eu droit, mais sous des formes nettement moins virulentes que pour moi. Mais oui, statistiquement c'est incontestable le covid est plus dangereux que la grippe (sauf l'espagnole, mais ça remonte à loin).
  13. Pareil. On n'avait guère que le poids comme information (et le fait qu'il avait 32 dents à l'arrière ; mais à l'avant, il avait quoi ?).
  14. 38 km intenses aujourd'hui, par un temps à nouveau assez frisquet (17° maxi) qui justifiait le port de la tenue de mi-saison malgré un grand soleil et l'absence de vent significatif. Sortie conformes à mes préférences avec une succession de raidards pas piqués des vers à Hoeilaart et Overijse, souvent pavés : l'enchaînement Félix Sohiestraat-Edgard Sohiestraat, les Trepkens, le Terspout, le Speelberg, le Vlierbeekberg, et la cerise sur le gâteau : l'infernal Kardaan. https://climbfinder.com/fr/montees/felix-edgard-hoeilaart https://climbfinder.com/fr/montees/j-b-deridderstraat-hoeilaart (appelé Trepkens dans l'encyclopédie Cotacol) https://climbfinder.com/fr/montees/vlierbeekberg-overijse https://climbfinder.com/fr/montees/terspout-overijse-sint-annastraat https://climbfinder.com/fr/montees/speelberg-overijse-alfons-moerenhoutstraat https://climbfinder.com/fr/montees/kardaan Je suis allé bien plus vite dans toutes ces bosses que les précédentes fois où je les avais grimpées. La forme semble enfin là… en octobre !! 🤨
  15. On lui transmettra… 😇 Fais ton testament, à tout hasard ! 🙂 D'ailleurs, malgré sa taille et son poids, puisqu'il a la condition physique typique du judoka (sport très exigeant physiquement, ce que je sais pour l'avoir longtemps pratiqué), il pourrait bien te larguer en montée de col, allure «grotesque» ou non…
  16. Ça veut dire quand même qu'Eros Poli a grimpé le Ventoux en 1h15-1h20, soit bien plus vite que la grande majorité d'entre nous, qui pouvons mettre plus de deux heures à le faire. Ça relativise la «galère» que ça représentait pour lui. C'était une galère uniquement parce qu'on le comparait aux meilleurs grimpeurs de son temps. Mais dans l'absolu, il pouvait faire le Ventoux les doigts dans le nez… tant qu'il grimpait à son rythme, déjà bien supérieur à celui d'un cyclo moyen.
  17. Tu as essayé de courir dans le balcon de Belledonne ? Chaque fois que j'y fais un tour, je croise des joggers. Il doit bien y avoir des boucles pas trop vallonnées…
  18. Deux petites heures de sortie-détente avec le « gravel » en fin d'après-midi, après le boulot, sur la « promenade du chemin de fer» pour commencer mais surtout sur les pistes de la forêt de Soignes au sud de Bruxelles. Temps ensoleillé après une matinée maussade, températures (18-19°) plus conformes à la normale saisonnière que lors des jours précédents, vent sensible… mais pas à l'abri de la forêt 🙂
  19. Aïe, il semble que certains t'aient lu en mode premier degré, là… 🤨
  20. Les pneus Specialized All Conditions Armadillo Elite sont très facile à monter, jamais eu de problème avec eux. Trop faciles à monter, peut-être. Parce qu'il y a un inconvénient au montage facile : le déjantage en cours de route en cas de crevaison est également plus facile. 😵 Il y a deux ans, la dernière fois que j'avais crevé, le pneu avait commencé à sortir de la jante avant que je m'arrête… Donc, dites-vous bien que si votre pneu est difficile à monter, cela veut dire aussi qu'il ne déjantera pas si facilement que ça en cas de crevaison !
  21. Ayant ma fille chez moi ce week-end, je n'ai pas le temps de faire de grande sortie, donc je me suis contenté de 38 km en forêt de Soignes en fin d'après-midi. Temps doux, ensoleillé, peu venteux, bref idéal. Quelques accélérations dans les bosses du chemin des Tumuli, mais pour le reste, pas eu envie d'en faire une vraie sortie d'entrainement. C'est peut-être mon inconscient qui me souffle que la saison est terminée, alors à quoi bon se faire mal aux jambes ? 😇 https://climbfinder.com/fr/montees/chemin-des-tumuli
  22. Oui, et c'est justement typique des cassettes mal étagées, c'est-à-dire avec trop d'écart entre les pignons. Mais ce type de cassette (11-46, 11-50, etc) est obligatoire si on veut vraiment pouvoir grimper partout avec un mono-plateau. Donc, à moins de se cantonner sur des parcours avec peu de dénivellation, ce qui permettrait de choisir des cassettes plus resserrées, il faudra attendre qu'il y ait nettement plus de pignons sur une cassette pour supprimer ce problème. La question est de savoir combien. Je m'en sors avec les 14 rapports de mon Rohloff, mais c'est au détriment des grands rapports. Avec le même étagement, il m'en faudrait 16 pour me convenir parfaitement.
  23. Remplace "si" par "bien que", par exemple 🙂. Mais on peut avoir parfois le conditionnel après "si". Dans le cas d'une concesssion, par exemple, comme dans ma phrase. https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/21324/la-grammaire/le-verbe/modes/concordance-des-temps/mode-verbal-apres-si Et, oui, les dérailleurs actuels aident à garder une bonne ligne de chaîne, mais en déplaçant la chaîne automatiquement, pas en déplaçant un plateau, ce qui serait une toute autre affaire.
  24. Aucune idée, mais si ça supprimerait un des inconvénients du mono-plateau, ça enlèverait un de ses avantages, qui est sa plus grande simplicité de concept (et d'entretien).
  25. Pour comparer, avec mon moyeu Rohloff c'est comme si j'avais un mono-plateau de 30 dents et une cassette 11-51 comme la tienne, mais avec 14 pignons. Comme je l'ai dit, cela donne un étagement correct, et je passe vraiment partout, mais je n'ai pas de braquet suffisamment grand pour pédaler confortablement dans les descentes, même quand elles ne sont pas raides. Qui sait, les cassettes de 14 pignons sont peut-être pour bientôt ! Mais il faudrait au moins 16 pignons pour retrouver avec un mono-plateau un rapport étendue-étagement équivalent au triple plateau à 11 pignons qui équipe mon autre vélo ! Les boîtiers Pinion à vitesses intégrées peuvent intégrer jusqu'à 18 vitesses, c'est ce qui se fait de mieux à ce niveau actuellement (mais à quel prix)…
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