-
Compteur de contenus
16 190 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
88
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
-
Hier, j'ai fait pour la première fois la « Décathlon Classic » à Heverlee, une section de la ville de Louvain en Brabant flamand. Plusieurs parcours étaient proposés, qui parcouraient les alentours vallonnés de cette ville universitaire située à une vingtaine de kilomètres à l'est de Bruxelles. Un « petit parcours » de 42 km, un plus long de 73 km, et deux parcours costauds de 101 km et 149 km. 1565 participants ont été recensés sur l'ensemble des circuits. Pour ma part, j'ai opté pour le 149 km. Une longue randonnée d'officiellement 1088 m de dénivelée dans deux régions bien distinctes des environs de Louvain : le Hageland (pays des haies) au nord-est et ses collines verdoyantes, courtes et souvent raides, et la vallée de la Dyle au sud, aux ascensions plus longues, certaines d'entre elles présentant quelques murs patentés comme la Moskestraat (pavée) et le Smeysberg, toutes les deux titillant les 20% en pourcentage maxi. Il s'agit dans tous les cas de randonnées sans classement, et le départ est libre de 7h00 à 9h30 pour ma distance. Je m'élance à 8h10 d'Heverlee et me retrouve assez vite plongé dans l'ambiance : parcours vallonné bien sûr, avec de belles petites collines, mais avec un revêtement de qualité très variable, une circulation souvent sensible, un temps clair mais devenant de plus en plus couvert et surtout un vent fort et qui le restera. Rien ne se passe de remarquable en ce qui me concerne jusqu'au premier ravitaillement, à Scherpenheuvel (Montaigu) : le rythme est bon, la forme est là, j'avale les courtes bosses sans problème et j'arrive à m'intégrer aisément à un groupe d'allure assez rapide pour moi (32 km/h sur le plat selon les radars du bord de route — je n'ai pas de compteur). Après le premier ravito (où je m'aperçois que j'ai perdu ma carte de contrôle , heureusement c'est pas bien grave dans une rando sans classement ni chrono), la pluie arrive : une bonne drache bien belge, courte mais suffisante pour tremper le cycliste et surtout le revêtement. Celui-ci devient particulièrement sale et glissant, la prudence est de mise. Les cyclos s'accumulent sur le bas-côté, les pneus à plat. Pas grave, me dis-je, j'ai l'habitude, ce n'est qu'un temps belge normal, qui s'est juste un peu fait attendre cet été. Au deuxième ravito, à Holsbeek, le beau temps est revenu et j'en suis déjà à la moitié du parcours en un peu moins de trois heures, une bonne allure pour mon petit niveau. Mais le plus dur reste à venir… Juste en repartant de ce ravito, en évitant une voiture que je n'avais pas vu venir sur ma gauche, je me retrouve les deux roues dans une rigole, je me déséquilibre, essaie de sortir le pied droit de la pédale mais n'y arrive pas : c'est la chute bête et ridicule, presque à l'arrêt mais assez brutale, sur le côté droit. 😬 Sans trop de dégâts toutefois : le vélo semble intact à part une cocotte tordue que je remets en place, j'ai un bras éraflé et une main un peu douloureuse. Rien qui m'empêche de repartir. Mais je m'aperçois vite que même sans blessure véritable mon organisme est secoué par cette chute : dans l'ascension suivante (le Chartreuzenberg) pourtant peu pentue, je n'ai plus aucun jus. Et ça sera comme ça pendant une quarantaine de kilomètres. D'autant que c'est la partie du circuit où le vent, très fort toute la journée, se fait le plus sentir. Un fléchage défectueux à l'entrée de Louvain n'arrange rien et je perds un temps conséquent, en compagnie de tout un groupe, à essayer de retrouve mon chemin. Au sud de Louvain, c'est la fin du 101 km, le reste du parcours est propre au 149 km. J'en suis à 4 h de randonnée, soit une moyenne de 25 km/h, très bonne pour mon niveau, mais je sais qu'elle va chuter : le vent souffle pleine face. Pourtant les vingt kilomètres qui suivent ne présentent pas de difficultés particulières, mais Éole les remplace allègrement. D'autres cyclistes me dépassent sans que j'arrive à prendre la roue. Je suis progressivement rincé, j'essaie de boire et de m'alimenter un maximum, mais ça ne fait pas d'effet immédiat, sauf à vider mes bidons à vitesse grand v. À Sint-Joris-Weert, pile à la frontière linguistique avec la Wallonie, je veux regarder la carte du parcours pour voir combien de kilomètres il reste avant le troisième et dernier ravito : la feuille m'échappe de la main et s'envole. Je la récupère, mais ça n'améliore pas le moral. 😕 Paradoxalement, ça va mieux dès que le terrain prend un peu de relief, lors d'une côte appelée «Langeheide» à Ottenburg. Un raidard conséquent mais pas très long et qui réveille mes jambes. Et puis c'est la Moskestraat et son petit kilomètre de pavés à 18 % maxi : là les crampes m'assaillent brusquement et je dois lutter pour grimper à une bonne allure sans mettre pied à terre comme pas mal de cyclistes au même moment. Puis une longue descente au bout de laquelle je m'attends, d'après la carte, à trouver le ravito. Mes bidons sont vides, ça urge! Mais il n'y a pas de ravito, que dalle! Me serais-je trompé? N'écoutant que mon courage je fais demi-tour et grimpe la pente que je viens de redescendre pour voir si, emporté par l'enthousiasme de la descente, je n'ai pas loupé le poste de ravito : hé ben non, il n'y avait vraiment rien. Si je n'avais pas perdu ma carte de contrôle plus tôt, j'aurais pu y lire qu'en effet le ravito n'était pas à l'endroit indiqué sur la carte du parcours, mais cinq kilomètres et une nouvelle côte plus loin. 📢 Malgré un nouveau problème de fléchage que ma connaissance de l'endroit permet de rectifier, j'attends enfin ce troisième ravito, situé devant l'église de Huldenberg. J'ai la gorge aussi sèche que les bidons, que je remplis dûment. Il ne reste heureusement qu'une vingtaine de kilomètres à parcourir. Mais immédiatement après le ravito il y a le Smeysberg pour cueillir le cycliste à froid, avec ses 600 m à 7,5 % de moyenne, dont 15 % sur 300 m, 18% maxi. Heureusement mes crampes ont disparu, donc je passe l'obstacle sans autre problème que des jambes lourdes comme du plomb. Au sommet, le vent se rappelle à mon bon souvenir et ne se fera plus guère oublier jusqu'à l'arrivée, à croire qu'il changeait d'orientation juste pour m'emm… Allez, encore une côte (le Weeberg) à Neerijse, une longue platitude agricole rasée par Éole au sommet, et puis le retour dans les faubourgs de Louvain et finalement Heverlee à 15 h 05. Eindelijk! Enfin! Je n'en pouvais vraiment plus. Au bilan, 6 h 55 de route qui me laisseront un souvenir impérissable, mais pas le meilleur de ma vie de cyclo, en raison de toutes ces petites péripéties qui ont fini en grosse galère. Ça appelle une revanche! Faire 6 h de vélo sur ce parcours, donc 25 km/h de moyenne, vu tous les retards que j'y ai accumulés, ça me semble accessible et ce sera mon but l'année prochaine, si j'y retourne comme je le souhaite!
-
Mouliner ou forcer pour progresser ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Matthieu CONSTANZO dans L'entrainement et la santé
C'est également ma façon de faire, pédaler à haute fréquence lorsque je veux «rentrer dedans» (à mon petit niveau). Là où je me distingue de beaucoup d'autres c'est que je procède également de cette façon en côte. Tandis que chez la plupart des cyclistes, la fréquence de pédalage chute en côte, alors que l'effort y est généralement intense. Je n'ai jamais vu de justification convaincante de cette baisse de fréquence. Une petite anecdote pour illustrer la chose : lors de la cyclo que j'ai faite hier, j'escaladais une côte courte et pentue parmi d'autres. Pour certains ce genre de côtes, c'est l'occasion de se tirer la bourre. En général moi j'essaie au contraire de ne pas plus me fatiguer que sur le plat et de m'économiser. Un cyclo m'a dit en me dépassant que je «pédalais bien dans le beurre» (en néerlandais, "eerlijk in de boter trappen"). Alors je me suis pris au jeu, j'ai mis un braquet plus gros ET j'ai tourné les jambes encore plus vite, pour le rejoindre et le dépasser en disant « Comme ça ? ». Ça l'a fait rire. -
Votre sortie pour 2012
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Vincent EGIO dans L'entrainement et la santé
La Décathlon Classic Leuven, pour moi comme pour Jacques, en version 149 bornes, accomplis en un peu moins de sept heures. Mais contrairement à Jacques ça a été une succession de galères en ce qui me concerne, surtout dans la dernière partie : le vent violent (constant à partir des 100 km) que je déteste, une gamelle, des problèmes de fléchage qui m'ont fait perdre un temps bête, et à un moment donné les bidons à sec et les crampes… J'ai été bien content de finir! Je vais essayer demain un compte-rendu plus détaillé de cette drôle de journée dans le forum Cyclosport… -
Votre sortie pour 2012
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Vincent EGIO dans L'entrainement et la santé
Bienvenue au club! Demain, rando de 150 km au programme, la Decathlon Classic à Louvain (Brabant flamand, en Belgique). http://sport.be.msn.com/cyclingtour/classicleuven/2012/fr/ Le rhume va un peu mieux, mais c'est pas encore ça. Alors les jambes, je ne sais pas trop comment elles seront. Le terrain est très loin d'être montagneux, mais il y a quelques méchants "coups de cul" au programme. Et contrairement à chez vous, on annonce des averses… et du vent, mon ennemi intime. -
Les coureurs pro non dopés se comptent-ils....
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
Quand deux bouquins de sources indépendantes l'une de l'autre (Bassons et Voet en l'occurrence) disent la même chose, j'ai tendance à donner du crédit à cette chose, moi. -
Les coureurs pro non dopés se comptent-ils....
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
Tout se sait dans une équipe, apparemment, y compris (et surtout?) si quelqu'un est «propre». De plus, si Voet participait activement au processus de dopage des équipes où il se trouvait (entre autres, il trimbalait la «marchandise» et l'administrait), il n'incitait apparemment pas à s'y mettre ceux qui s'y refusaient. D'après ses bouquins et celui de Bassons, il avait de bonnes relations avec ce dernier, en tout cas. -
Les coureurs pro non dopés se comptent-ils....
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
Pour rester dans le sujet : Willy Voet, le soigneur de l'équipe Festina en 98, citait quatre coureurs (pas plus) qu'il a croisés dans les équipes où il exerçait, et dont il était sûr qu'ils ne se dopaient pas : un Belge dont j'ai oublié le nom, le Suisse Jean-Marie Grezet, Charly Mottet et Christophe Bassons. Dans les autres équipes que les siennes, il citait Gilles Delion. Cinq en tout donc. Ça fait pas beaucoup, vu que la carrière de Willy Voet dans le milieu a duré vingt ans… -
Jim Croff taillera-t-il une pipe à C.Bassons?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Rémy LORIOT dans Discussions Route
Du tout cuit pour les modos, ce sujet. 🙄 -
L'USADA dit qu'il va perdre ses sept tours de France. Je croyais que c'était l'UCI qui en décidait ? Moi je trouverais cette décision absurde. Qui mettre à sa place? Parmi ses seconds, Ullrich, Basso et Zülle ont été convaincus de dopage. Restent Klöden et Beloki mais qui y croit? Et Riis qui avait avoué mais qui a conservé son Tour 96? Moi je ne toucherais pas aux résultats du Texan. Ce qui compte, c'est le futur, les courses qui viennent. Si ça pouvait faire réfléchir les coureurs actuels…
-
Mouliner ou forcer pour progresser ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Matthieu CONSTANZO dans L'entrainement et la santé
Ce n'est pas aussi simple, je pense. Comme Eric l'a justement rappelé, habituellement on a peu de marge de progression en force, au contraire de la vélocité. Si on en est capable de tourner les jambes à 100 tours/minutes sans problème mais qu'on ne peut plus progresser en force, pourquoi se priver d'être véloce? La seule condition pour que le pédalage en vélocité soit rentable, c'est que l'effort soit intense, proche du seuil. À cette condition-là, il est reconnu par les spécialistes qu'une fréquence de 100, 105 tours/minutes est bénéfique. Quel que soit le niveau de l'individu. Or rouler à 30 km/h sur le plat, c'est déjà intense pour certains d'entre nous. Là où une fréquence de 100 tours/minutes se justifie pas, c'est quand on roule longtemps (plusieurs heures), donc à un effort moins intense. Pour ma part, sur une rando de 100 km je roule plutôt autour de 90 tours/minutes. Et quand je me balade purement et simplement, ça peut tomber à 70 tours/minutes. -
Piste cyclable
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Noël LE FRAILLEC dans Discussions Route
Sujet récurrent… Oui, je les utilise, parce qu'elles sont obligatoires ici en Belgique et que les policiers ici ne sont pas particulièrement coulants là-dessus. Mais elles sont souvent dans un état tellement lamentable que je languis d'aller sur la voie principale, qui est (un peu) moins dégradée. J'ai moins de problèmes avec les autres usagers. Pour les avertir quand j'arrive, j'ai installée une sonnette sur mon vélo, qu'on entend de loin. Ça fait rire les cyclos-machos purs et durs, les vrais, les tatoués pour qui c'est la honte absolue (ils se reconnaîtront). Mais c'est bien plus efficace et convivial qu'une gueulante pour avertir les promeneurs de s'écarter, ce qu'ils font sans râler dans 99% des cas. Alors que quand on crie, on se prend souvent des réflexions en retour. Mais ce que je ne supporte pas, ce sont les clébards non tenus en laisse. C'est pourtant obligatoire, mais il y en aura toujours qui se croient au-dessus des règles, ça convient mieux à leur petit confort pépère. -
Bassons le pur d'un peloton gangréné
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
Avant de te permettre de le juger ainsi, tu devrais peut-être laisser parler la défense. En lisant son bouquin « Positif » par exemple. Où il ne dit pas comment fonctionnait le dopage, mais comment il a essayé de s'en sortir malgré ça. Ou tu peux lire ce que disait de lui Menthéour, qui l'appréciait beaucoup, notamment pour sa franchise… et sa modestie. «Se faire mousser» comme tu dis, n'était visiblement pas dans son caractère. Faudrait quand même rappeler que sa notoriété, il la devait au fait que plusieurs de ses collègues de Festina, lors de leurs auditions par la police, l'avaient désigné comme un coureur propre dans cette équipe au dopage institutionnalisé. Bassons n'avait rien demandé à personne. Et puis tout s'est enchaîné et on lui a fait porter le chapeau de «Monsieur Propre» qu'il a essayé d'assumer, par idéalisme. Que ce gars-là, qui cherchait juste à réaliser son rêve de gosse en restant intègre avec lui-même, n'ait pas pu durer dans ce milieu, ça en dit encore plus sur le milieu en question que sur lui. -
Votre sortie pour 2012
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Vincent EGIO dans L'entrainement et la santé
Hier matin, sortie banale avec accélérations dans les bosses de la forêt de Soignes et des bords de la Woluwe… et depuis hier soir, crève carabinée, mon nez qui se prend pour une fontaine et au moins quinze paquets de mouchoirs usés. Est-ce que ça n'arrive qu'à moi, d'être enrhumé en plein été? 😢 -
Bassons le pur d'un peloton gangréné
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
Tu mettrais le caisson hypobare au même niveau qu'une injection d'EPO? Dans le premier cas on réagit à un milieu artificiellement recréé, dans le deuxième on s'injecte un produit artificiel. C'est curieux, mais s'il y a vraiment dopage dans les deux cas, j'aurais tendance à dire que l'un de ces procédés est plus dopant que l'autre… Mais pour moi la vraie différence est ailleurs. Bassons a revendiqué l'utilisation du caisson hypobare, il ne s'en est jamais caché. Au contraire, avant le fameux Tour 98 j'avais lu un article qui présentait Bassons et l'usage de ce caisson. Vous avez vu des coureurs assumer publiquement leur usage d'EPO avant l'affaire Festina, vous ? Pas moi. Bassons était déjà un type droit dans ses bottes. Ça faisait toute la différence avec ses détracteurs du «milieu» cycliste professionnel. -
Bassons le pur d'un peloton gangréné
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jim CROFF dans Discussions Route
+2 -
Roulez-vous en musique ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Matthieu CONSTANZO dans Discussions Route
Nan, j'ai rien sur les oreilles quand je roule. Question de faire attention aux bruits qui m'entourent. Les voitures qui arrivent derrière, surtout. Devoir faire du vélo en ville rend prudent… Mais pas tout le monde, ceci dit, parce que j'en croise pas mal avec les écouteurs sur les oreilles. Ou pire, qui téléphonent. Évidemment, ces gens-là n'ont quasiment jamais de casque. 😛 -
Sortie en solitaire de haute montagne.
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yvan COURTET dans Discussions Route
Tous les murs de ce genre me tentent ! 😛 Comme pour Laurent, ça me rappelle la Bastille de Grenoble, en plus long. J'ai 26/32 sur mon vélo de route actuel, parfait pour les murs que je grimpe d'habitude. Mais pour un talus de cette longueur, j'utiliserais je pense un 24/34, le minimum que je puisse monter sur ma bécane. -
Votre sortie pour 2012
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Vincent EGIO dans L'entrainement et la santé
Aujourd'hui, balade-détente durant la matinée et le début de l'après-midi dans le sud-ouest vallonné de Bruxelles, en suivant les parties praticables de la Herman Teirlinckroute : http://www.toerismevlaamsbrabant.be/binaries/Herman-Teirlinckroute-A4-kaart_tcm141-63305.pdf Mais même en évitant les portions non bitumées de ce circuit par ailleurs splendide, j'ai eu droit à quelques mauvaises surprises, la pire étant d'avoir dû rouler sur une longueur de route complètement ensablée. La faute à des travaux voisins… Je me demande encore comme j'ai pu éviter la chute. Après cette frayeur, je suis allé boire un thé chez des amis à Alsemberg avant de rentrer. Il faisait très chaud, mais je préfère ça au froid, et de loin. -
Si on se fie à la liste ci-dessous, il n'y a que la Grèce, l'Italie et l'Islande en Europe à être plus endettées que la Belgique en 2010. Pas très encourageant ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_pays_par_dette_publique Par ailleurs, les Pays-Bas ont aussi un réseau routier très dense, mais ô combien mieux entretenu… et bien mieux pensé pour les cyclistes, mais c'est une autre affaire. Ou non ? Ceci dit, la densité du trafic est en effet certainement inférieure au Pays-Bas, qui est moins une zone de transit.
-
Hola, tu touches là un point sensible et on risque de créer un topic dans le topic! Je pense que la raison est toute simple : manque de moyens. L'état belge est un des plus endettés d'Europe, et les autorités (flamande, wallonne et bruxelloise dans un bel ensemble qui montre l'unité profonde du pays 😇) considèrent que dans le réseau routier il y a toujours matière à économies. @ Jean-Pierre : c'est moins flagrant dans les Ardennes en effet. Mais c'est loin d'être le pied quand même. Dimanche dernier j'ai fait la randonnée Maxime Monfort autour d'Houffalize, qui sillonnait les deux Luxembourgs, et j'ai pu comparer l'état des routes belges et celui des routes grand-ducales. Vraiment pas à l'avantage de la Belgique. Le seul mauvais souvenir que je garderai de cette rando, c'est d'ailleurs l'état déplorable de la route qui longe l'Ourthe entre Houffalize et La Roche.
-
Je t'envie. Moi je dois toujours rester sur le qui-vive. C'est l'inconvénient de rouler dans une grande ville et ses environs immédiats, avec des chaussées dans un état tel que je dois toujours me demander quel est le prochain piège qu'elles vont me tendre (et encore une fois vivent les routes belges!). Aujourd'hui, le top dans le genre c'était une route complètement recouverte de sable sur plusieurs mètres. J'ai bien failli plonger dans une mer sans eau…
-
Mais je ne suis jamais complètement tranquille sur un vélo, que je sorte seul ou en groupe. Accidents de circulation, pépins physiques ou mécaniques, chutes… Tout cela j'ai connu, j'en suis d'autant plus conscient et je prends donc autant de précautions que possible (casque, nécessaire de réparation, portable dans la sacoche, etc.) sans renoncer pour autant à mon plaisir de rouler. Tout est question de compromis dans la vie.
-
Je roule seul quasiment tout le temps, tout bêtement parce que je suis solitaire de nature. Il m'arrive de rouler avec un ou deux amis, mais c'est rare. Les avantages que je vois à rouler en groupe (d'amis) : c'est plus convivial et on ne risque pas de rester en rade en cas de problème. Autre avantage non négligeable : on va plus vite ! 🆒 Inconvénients : on n'est pas toujours libre d'aller où on veut (sauf si on a convenu du parcours avant de partir), mais surtout on risque de ne pas pouvoir rouler à l'allure qui nous convient. S'agissant des voitures, on est peut-être plus vulnérable seul, mais les groupes de cyclistes agacent plus facilement les automobilistes qui peuvent alors devenir agressifs. Je dirais qu'il y a match nul dans cette optique.
-
Randonnée Maxime Monfort
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Le 77 km permet déjà de profiter de jolis paysages, c'est un bon choix. J'ai vu pas mal de cyclistes qui le faisaient en groupes d'amis, en discutant de tout et de rien. Par contre il ne permet pas de faire un tour dans le Grand Duché, ce qui est un peu dommage question qualité des routes. 😃 -
Randonnée Maxime Monfort
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
De mon côté, un jour j'arriverai à me libérer pour faire une cyclo du côté de Wanne et Stavelot… Ça manque à ma culture cycliste !