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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Je t'envie. Moi je dois toujours rester sur le qui-vive. C'est l'inconvénient de rouler dans une grande ville et ses environs immédiats, avec des chaussées dans un état tel que je dois toujours me demander quel est le prochain piège qu'elles vont me tendre (et encore une fois vivent les routes belges!). Aujourd'hui, le top dans le genre c'était une route complètement recouverte de sable sur plusieurs mètres. J'ai bien failli plonger dans une mer sans eau…
  2. Mais je ne suis jamais complètement tranquille sur un vélo, que je sorte seul ou en groupe. Accidents de circulation, pépins physiques ou mécaniques, chutes… Tout cela j'ai connu, j'en suis d'autant plus conscient et je prends donc autant de précautions que possible (casque, nécessaire de réparation, portable dans la sacoche, etc.) sans renoncer pour autant à mon plaisir de rouler. Tout est question de compromis dans la vie.
  3. Je roule seul quasiment tout le temps, tout bêtement parce que je suis solitaire de nature. Il m'arrive de rouler avec un ou deux amis, mais c'est rare. Les avantages que je vois à rouler en groupe (d'amis) : c'est plus convivial et on ne risque pas de rester en rade en cas de problème. Autre avantage non négligeable : on va plus vite ! 🆒 Inconvénients : on n'est pas toujours libre d'aller où on veut (sauf si on a convenu du parcours avant de partir), mais surtout on risque de ne pas pouvoir rouler à l'allure qui nous convient. S'agissant des voitures, on est peut-être plus vulnérable seul, mais les groupes de cyclistes agacent plus facilement les automobilistes qui peuvent alors devenir agressifs. Je dirais qu'il y a match nul dans cette optique.
  4. Le 77 km permet déjà de profiter de jolis paysages, c'est un bon choix. J'ai vu pas mal de cyclistes qui le faisaient en groupes d'amis, en discutant de tout et de rien. Par contre il ne permet pas de faire un tour dans le Grand Duché, ce qui est un peu dommage question qualité des routes. 😃
  5. De mon côté, un jour j'arriverai à me libérer pour faire une cyclo du côté de Wanne et Stavelot… Ça manque à ma culture cycliste !
  6. Oh mais ce ne sont pas les manivelles de 175 qui sont discutables en soi, mais l'idée de descendre la selle quand on allonge les manivelles. Si ça permet de ménager les muscles et tendons de l'arrière du genou, par contre (comme le dit Laurent) pour le tendon rotulien c'est comme si la hauteur de selle était diminuée, et il risque de ne pas apprécier. Je suis donc d'accord avec ceux qui pensent qu'il ne faut rien changer a priori à sa hauteur de selle quand on change de longueur de manivelles. Mais après essai sur suffisamment de kilomètres (d'abord pour voir si les manivelles conviennent), on peut éventuellement adapter la hauteur de selle si les sensations l'exigent. Pour ma part, je suis passé de 170 mm à 175 mm il y a dix ans suite à une étude posturale complète (Ergomotion) qui me le recommandait (mon entrejambes est de 84,5 mm) et ma hauteur de selle n'avait pas bougé. C'est d'ailleurs la seule cote qui n'avait pas changé après cette étude posturale.
  7. Ils n'étaient peut-être pas « propres » à 100% mais il se dit bien que ces deux coureurs étaient propres. Ils feraient partie (j'emploie le conditionnel quand même) des rares exceptions qui confirment la règle. Comme Charly Mottet (aussi porteur du maillot jaune pendant plusieurs jours en 87) ou Gilles Delion. Dans sa carrière de soigneur, Willy Voet a constaté que la proportion de coureurs «propres» dans les équipes qu'il a fréquentées, c'était un coureur par équipe. Un seul, pas plus. Mais d'un autre côté, ça prouve qu'ils existent, même s'ils sont très peu nombreux.
  8. Merci ! Oui, c'est vraiment splendide comme coin. Une des raisons pour lesquelles je suis devenu un fidèle de cette rando. Et l'atmosphère, très détendue et familiale. Une autre raison moins touristique qui fait que j'y retourne régulièrement est qu'il s'agit d'une des rares randonnées/cyclos de Belgique qui a lieu le dimanche : mes samedis sont en général pris. Comme celui de cette semaine, d'ailleurs, ce qui m'empêche de faire les Géants des Ardennes demain. 🙁 les côtes ne sont pas aussi méchantes que celles de la doyenne À part le début de la côte de Draufelt, et aussi (dans une moindre mesure) le début de celle de Wiltz, c'est vrai que le parcours ne présente pas de pente sévère. C'est mieux pour profiter du paysage, c'est sûr 🆒. Je suis un peu surpris quand même qu'aucun des différents parcours n'emprunte la côte de la rue Saint-Roch, un vrai mur celui-là et un classique de Liège-Bastogne-Liège. Elle est située en plein cœur d'Houffalize, en plus. Il me semble qu'une année la Maxime Monfort a démarré de Stavelot ??? Je n'ai fait que les trois dernières éditions. Celles-ci sont toutes parties d'Houffalize. D'ailleurs Maxime Monfort est né à Bastogne juste à côté, et a passé son enfance à Nadrin, une section d'Houffalize. Mais la rando en est à sa huitième édition, c'est possible que le lieu de départ ait changé entre-temps.
  9. Franck PASTOR

    Crevaison

    et je rajouterai une pression réduite par rapport au sec. Je ne pense pas. Plus la pression est réduite, plus grand est le risque de crevaison, y compris et surtout sur routes humides, où trainent des tas de saletés. L'intérêt éventuel de réduire la pression dans ce cas, c'est d'augmenter l'adhérence, il me semble.
  10. Pour plus de détail, l'article anglais de Wikipédia est assez clair là-dessus (je crois me rappeler que tu lis bien l'anglais). Regarde la section « Quill », c'est de là que j'ai tiré la photo. http://en.wikipedia.org/wiki/Bicycle_pedal
  11. Ce dont j'ai parlé plus haut. Une pièce un peu analogue aux cales d'aujourd'hui, qu'on fixait également sous la semelle mais nettement plus vers l'arrière. Elle présentait une rainure qui venait s'emboîter sur la partie arrière de la cage de la pédale. Ça permettait au cycliste de tirer sur la pédale lors de la remontée de celle-ci. Je ne suis peut-être pas très clair, le mieux est sans doute de te montrer un modèle de chaussure de l'époque. La cale est la pièce blanche, on voit bien la rainure qui la traverse. http://en.wikipedia.org/wiki/File:Sidi_Super_Cycle_43.5_sole.jpg
  12. On n'est plus en 1970 : il ne faut pas croire que la seule alternative aux pédales auto ce sont les lanières. Il n'en existe d'ailleurs pratiquement plus. La véritable alternative, ce sont les pédales plates avec cale pieds rigides. Comme celui-ci : http://www.citycle.com/4034-les-avantages-des-cale-pieds-pour-pedale-de-velo Ça n'a rien de nouveau, je pédalais avec ça à la fin des années 1970 quand j'étais gamin. On appelait ça des butées. S'agissant du pédalage «sportif», c'est-à-dire du pédalage où l'on souhaite exercer une force sur tout le cycle de pédalage, c'est bien le cale-pied à courroie (et à cale spécifique sous la semelle) l'alternative à la pédale automatique. Une alternative très économique et relativement efficace question rendement, mais (au moins) égalée en rendement par l'automatique et écrasée partout ailleurs, question sécurité notamment.
  13. Les anciens modèles de chaussures, pour cale-pieds, avaient des cales sous la semelle, ladite cale présentait une rainure dans laquelle venait se glisser la partie arrière de la cage de la pédale. Ce qui permettait de tirer sur la pédale sans avoir à trop serrer les courroies.
  14. Je me demande si l'avantage est vraiment à chercher du côté du rendement. Je pense à Stephen Roche gagnant le Tour 87 avec cale-pieds tandis que tous ses adversaires ou presque étaient passés aux pédales automatiques. Ça m'avait frappé à l'époque. Pour moi ça montre que si les pédales automatiques ont effectivement meilleur rendement, la différence dans ce domaine n'est pas si grande que ça. Je crois que le vrai plus des pédales automatiques, c'est la sécurité. Ne plus avoir à desserrer les courroies avant de mettre pied à terre, pouvoir déchausser immédiatement en cas d'urgence, le déchaussage automatique en cas de chute: ce sont des avantages inestimables, y compris en course. Rien qu'à cause de ça je ne peux même pas envisager de retourner un jour aux cales-pieds.
  15. Franck PASTOR

    Gants

    C'est bien pour cela que je parle d'un entraînement poussé aux chutes, comme on le fait en débutant le judo (sport que j'ai pratiqué longtemps) : pour acquérir de nouveaux réflexes. Et je n'ai jamais dit que savoir mieux chuter dispensait de porter des gants. Même avec la chute la mieux maîtrisée on peut se faire mal, aux mains en particulier.
  16. Franck PASTOR

    Gants

    Il n'y a pas une façon de faire une "bonne" chute, il y en a plein, selon le type de la chute. Dans certains cas, vouloir à tout prix amortir tout le choc avec les mains et les bras n'aboutit qu'à des fractures du poignet et/ou de la clavicule, alors qu'un "roulé-boulé" bien maîtrisé aurait peut-être pu éviter ces dégâts. Les bras peuvent aider à effectuer ce roulé-boulé, mais ils ne doivent pas absorber toute la chute, juste la ralentir en quelque sorte, de quoi permettre d'effectuer la pirouette salvatrice. C'est une technique à (ap)prendre. D'autres fois, vu la vitesse du gadin, on n'a de toutes façons pas le temps de poser les mains, et là aussi il y a des techniques qui peuvent éventuellement limiter les dégâts. Tout ça n'est évidemment pas le remède-miracle, je le répète. On peut être un artiste de la chute, porter les gants et le casque et quand même finir à l'hôpital avec plaies et fractures. Mais c'est beaucoup mieux que rien.
  17. Franck PASTOR

    Gants

    D'ailleurs vouloir rattraper tout l'impact de la chute avec les mains n'est pas toujours un bon réflexe. Ça dépend des circonstances. Bien chuter ça s'apprend, et ça pourrait épargner quelques poignets et clavicules. Souvent je me dis qu'un peu d'apprentissage de judo, où on apprend à chuter dans toutes les directions, serait bien utile à tout cycliste, sans y voir la panacée absolue bien sûr. Comme pour le casque. 😉
  18. Je rejoins ce que dit Igor. Mais selon moi l'entraînement statique ne suffit pas. C'est ce que j'avais fait au tout début de mon passage aux pédales automatiques, et ça ne m'avait pas empêché de tomber deux fois peu après, à chaque fois au moment de l'arrêt. Pour moi l'idéal est de se faire un petit parcours ultra-tranquille (avec un minimum de circulation, idéalement aucune) près de chez soi, sur lequel on s'entraînera à déchausser de nombreuses fois dans toutes les circonstances possibles : à l'arrêt et en route, du gauche, du droit, talon vers l'extérieur et vers l'intérieur, pédale en haut, en bas, etc. Et répéter ces exercices jusqu'à ce que ça devienne un automatisme. Le but étant justement d'oublier les anciens automatismes de déchaussage avec les cale-pieds.
  19. Wah ! Merci ! Ça fait tout drôle de revoir ça !
  20. Tu préfèrerais que personne n'avoue jamais?
  21. Ajoute aux inconvénients l'impossibilité de déchausser en pivotant le talon vers l'intérieur. C'est surtout ça qui me dissuade de me mettre aux Speedplay, et ensuite le risque de bourrage des cales. Quand on fait du vélo en milieu urbain et semi-urbain, on doit très souvent mettre pied à terre, et pas que du bitume tout beau tout propre (ce qui est d'ailleurs une rareté en Belgique).
  22. Ça n'est pas vraiment un scoop, il l'avait déjà reconnu dans un des livres que j'avais lu sur Armstrong (« LA Confidential » de Pierre Ballester et David Walsh, je crois).
  23. Franck PASTOR

    Gants

    Les chutes, ça ne se produit pas qu'en course. Et même à quinze à l'heure, ça fait sacrément mal au mains quand on tombe dessus sans gants (vécu). Et après, pour tenir le guidon, bon courage…
  24. Aujourd'hui j'ai fait la randonnée Maxime Monfort, en Ardenne belge et luxembourgeoise. Comme son nom l'indique, c'est une randonnée, donc sans temps ni classement. Elle est parrainée par le coureur de Radioshack Maxime Monfort, 16e du dernier Tour et natif de Nadrin, section de la petite ville touristique d'Houffalize, en Luxembourg belge. http://www.maxime-monfort.be/v2/fan-club/le-fan-club-soutient/rando-du-coeur/ C'est la troisième fois d'affilée que je fais cette randonnée, qui existe depuis huit ans et dont les recettes (inscription : 5 euros) sont reversées à l'Association belge des transplantés pulmonaires. Je suis tombé sous le charme du paysage qu'elle traverse, la région frontalière belgo-luxembourgeoise entre Houffalize et Bastogne (Luxembourg belge), et Clervaux et Wiltz (Grand-Duché duLuxembourg). Elle n'attire malheureusement qu'assez peu de monde, environ un demi-millier de cyclistes, et son audience reste confidentielle et principalement locale. Elle mérite pourtant beaucoup mieux! Cette année comme les précédentes, plusieurs circuits étaient proposées : 44, 77, 120 (de loin le plus couru) et 150 km. Comme l'année dernière j'ai opté pour le 150, en espérant améliorer mon temps d'alors, un très passable 7 h 30 , sous la pluie le plus souvent, dois-je dire. Mais cette année le temps sera splendide : grand soleil du début à la fin, frisquet le matin, mais idéalement chaud ensuite, avec quand même pas mal de vent. Le départ est donné ce matin au complexe hôtelier d'Olfosse d'Outh, à Houffalize. Les participants peuvent partir à l'heure qu'ils souhaite entre 7h00 et 10h30. Pour ma part, ayant logé la nuit sur place mais ayant eu du mal à sortir du lit, je me suis lancé à 8h10 environ. Les premiers kilomètres sont tranquilles, c'est l'échauffement. Traversée de la belle Houffalize, direction la régulière et peu pentue côtes de Mormont (la mal nommée), Nadrin, Berismenil puis la longue montée par paliers irréguliers vers la baraque de Fraiture (non, pas friture!!), un des points culminants du pays à 647 m. Pour info, l'altitude maximale de la Belgique est de 694 m, au signal de Botrange, plus loin vers le nord. Ensuite, retour à Houffalize via une série de montagnes russes puis une longue descente le long de l'autoroute E25 Liège-Luxembourg, et premier ravitaillement après 43 km. Ensuite, direction le Grand-duché. Avant cela, on traverse des lieux-dits au nom pittoresque : Mabompré, Vellereux, Vaux, Noville, Bœur… dans un paysage magnifique de «tôles ondulées» à perte de vue. Les côtes sont nombreuses mais pour la plupart assez courtes et peu pentues. Une série de groupes de costauds dépassent le solitaire que je suis à la vitesse de l'éclair. Pas fou, je n'essaie pas de suivre outre mesure, vu la différence de rythme et de niveau. Entre temps, les parcours du 77 d'un côté et des 120 et 150 se sont séparés. Seuls ces deux derniers traversent le Grand-Duché du Luxembourg, ce qu'on fait à Buret, panneau frontière faisant foi (avec les limitations de vitesse à respecter). En fait, ce panneau n'était pas nécessaire : il suffit de regarder la qualité du macadam, qui passe instantanément de « tape-cul » à « billard »… Juste après, deuxième ravitaillement, km 77,6 à Winckrange (c'est fou ce qu'il y d'« anges » dans le coin ! 😃), et après une longue descente vers Clervaux, scission des parcours de 120 et 150 km. Le premier continue vers Troisvierges (soit dit en passant, une magnifique petite ville à ne pas manquer si vous êtes dans le coin), le suivant vers Wiltz, un haut-lieu du… scoutisme. C'est là-bas que je vais, même si je n'ai jamais été scout. On n'est visiblement pas nombreux à avoir choisi cette option, et c'est absolument seul que je longe longuement une vallée ombragée avant de m'attaquer au "raidard" du jour : la côte de Draufelt vers Erpeldange, le seul endroit du circuit en fait où je dois mettre « tout à gauche », et ce n'est pas peu dire puisque c'est 26/32 dans mon cas. Mais c'est seulement le début qui est raide, la suite est plus tranquille. Après cette belle côte, redescente puis remontée vers Wiltz, très belle ville perchée à flanc de colline, qu'on traverse en une pente assez raide puis qu'on laisse derrière en continuant à grimper, en suivant une large route, longue (4 km) mais nettement moins pentue. Là encore, je me fais enrhumer par un groupe de quatre cyclistes roulant au moins à 30 à l'heure, tous grand plateau. Et puis enfin, le troisième ravitaillement, km 116, à une station-service proche de la frontière. Cette fois-ci, il est bien présent, ce ravito! Il faut savoir que l'année dernière, quand j'étais arrivé au même endroit, les préposés venaient de plier bagages… J'avais dû aller me fournir moi-même en eau à la supérette du coin 😠. Heureusement les vendeurs, très sympas, m'avaient offert les bouteilles d'eau gratis! Cette année donc, les préposés sont encore là. C'est aussi le signe que je suis allé plus vite que l'année dernière! Et puis, ce sont les derniers 35 km et le retour vers Houffalize. Mais avant on franchit la frontière et on retrouve le si particulier macadam belge, c'est-à-dire ses stries, nids-de-poules et autres cassis… On est sur le territoire de la commune de Bastogne, célèbre pour Liège-Bastogne-Liège et la seconde guerre mondiale. À nouveau une longue série de brefs casse-pattes, mais globalement la route descend plus qu'elle ne monte : le point-frontière était le deuxième point culminant du circuit après la baraque de Fraiture. D'autres noms pittoresques défilent tandis que mes jambes commencent à être douloureuses (ainsi que l'arrière-train) : Bras, Benonchamps, Bizory, Foy, Bertogne, Compogne. Après cette dernière localité, une descente raide et acrobatique avec épingles à cheveux (c'est pas très fréquent en Belgique!) mène à Bonnerue. De là, reste une dizaine de km avant de rejoindre enfin l'arrivée à Houffalize le long de la rivière Ourthe. Ouf, ça y est! Il est 14 h 50. Au bilan, j'ai effectué les 150 km en 6 h 40 de route, donc à une moyenne de 22,5 km/h. Pas si mal pour mon petit niveau sur une telle distance, et surtout c'est une amélioration de pas loin d'une heure par rapport au temps de l'année dernière (7 h 30). J'ai donc la satisfaction du devoir accompli 😃. J'ai le temps d'entrevoir Maxime Monfort himself en compagnie de deux très jolies filles et d'un bébé (donc l'une des jolies filles doit être sa compagne, je suppose), mais il se prépare à s'en aller et je n'ai donc pas l'occasion de le remercier de parrainer cette belle rando. Tant pis, ce sera pour l'année prochaine, car j'ai bien l'intention d'y revenir une quatrième fois d'affilée!
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