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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Le plat et la montagne n'ont rien à voir parce que ce ne seront pas les mêmes coureurs devant: la pesanteur entre en jeu et le rapport puissance-poids devient prédominant par rapport à la puissance seule. Évident aussi. Mais les fréquences de pédalage devraient, elles, être les mêmes, ou semblables. Ce qui détermine la fréquence de pédalage idéale, ce devrait être uniquement l'intensité de l'effort et pas la pente. Plus l'effort est intense, plus la cadence de pédalage doit être élevée, quelle que soit la pente. On le comprend de plus en plus au niveau pro, c'est pourquoi les braquets ont été drastiquement réduits ces dernières décennies par rapport à ceux qu'on montait avant. Le puncheur dont tu parles s'il tourne à 90/100 tours/minutes sur le plat pour de longs efforts, peut parfaitement tourner à 90-100 tours/minutes en col, s'il a les braquets adéquats. Il s'en trouverait mieux musculairement parlant, il récupèrerait mieux pour les efforts qui suivent, les récents travaux à ce sujet l'indiquent. Mais non, ça ne le fera pas grimper plus vite ou guère plus, et non, ça n'en ferait pas un grimpeur pour autant, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit. Robbie McEwen avait parfaitement compris tout cela. Un petit livre très instructif à ce sujet: «Pédaler» par Sébastien Moussay, édition «Savoir gagner», collection «les Carnets de l'entraîneur», qui prend en compte tous les paramètres, de l'intensité des efforts aux fibres musculaires en passant par le rendement énergétique et j'en passe. Il en arrive aux conclusions que j'ai évoqués… et que j'avais compris depuis pas mal de temps par ma propre petite expérience. http://passionvelo.over-blog.com/article-4708898.html
  2. C'est tellement évident que ça ne me paraît même pas matière à débat. Doit y avoir un malentendu quelque part…
  3. Heu? Évidemment qu'il ne s'en sert pas 100% du temps, il ne s'en servira que dans les pentes les plus rudes, c'est fait pour! Si tu mets ton plus petit braquet 100% du temps c'est que tu l'as vraiment mal choisi, à moins que la pente (et l'effort) soi tout le temps constante, ce qui n'est quasiment jamais le cas dans une montée aussi longue! Et je n'ai pas compris ce que tu veux dire dans ta dernière phrase…
  4. Si ce sont des coureurs habitués à tourner les jambes à 80-100 tours/minutes sur le plat sur de longues distances, il faudrait qu'on m'explique pourquoi ça serait mauvais pour eux de faire de même dans un col. Je pense plutôt au fait que la montagne ne les intéressant pas, ils ne se soucient pas de monter des braquets optimaux pour cela. Un sprinteur sera bien plus maniaque sur ses grands braquets, j'imagine. Robbie McEwen sortait du lot: je me souviens d'une interview (en néerlandais, il le parlait très bien!) de ce sprinter australien où il disait avoir drastiquement réduit ses braquets dans les cols et qu'il grimpait bien plus à l'aise depuis, à une fréquence nettement plus haute. Ça n'en a pas fait un grimpeur évidemment, mais ce n'était pas le but: il gérait simplement beaucoup mieux les étapes de montagne comme ça.
  5. Je parlais bien sûr de ceux qu'on montrait à l'écran, donc les coureurs de tête. Forcément ceux du grupetto, allant moins vite et ayant les mêmes braquets (alors qu'ils devraient en avoir de plus petits selon moi), doivent tourner les jambes moins vite. Bonne remarque sur Froome, il dépasse franchement les 100 sur ses attaques seulement. Mais il n'est pas loin des 100 par ailleurs, entre 90 et 100 généralement avant son attaque dans la montée du Ventoux dans ce film-là (Ventoux, tour 2013). http://www.youtube.com/watch?v=2YD0kET3qjA Et pour ce qui est d'être dopé, on a connu aussi des dopés qui pédalaient en force. Virenque et Riis (la plaque dans Hautacam) pour ne citer qu'eux… Précision : je parle des fréquences de pédalage lorsque les coureurs sont assis. Elles sont toujours nettement moindre (sauf au sprint) lorsqu'ils sont en danseuse. PS : à 2h18min, tu entendras Vasseur citer le braquet minimal de Froome: 38/28. 😉
  6. J'en pense que trois coureurs ne font pas le peloton, et que de toutes façons c'est une fréquence bien trop basse pour moi (ai-je mis ça suffisamment en évidence? 🆒). Pour rebondir sur ce que dit Arnaud, je dois rouler à peu près à la même vitesse que lui (9 km/h) sur ce genre de pentes à 10-11% dans un long col, mais sur le 26/30, donc à 80-90 tours/minutes. J'adore relever les fréquences de pédalage des coureurs en côte, malheureusement je n'étais pas là pour le faire jusqu'à maintenant. Promis, je serai au rendez-vous pour le faire dans les Alpes et Pyrénées. Si c'est comme les années précédentes, les fréquences que je vais relever vont aller de 60 (relevée chez Rodriguez) à 100 tours/minutes et plus (relevée chez Froome), avec un gros paquet autour de 80 tours/minutes.
  7. Et justement, qu'en est-il du sur-mesure aujourd'hui? Vu que tu recherches quelque chose qui sort apparemment des normes habituelles, ce serait peut-être à recommander, mais est-ce trop cher à envisager plutôt qu'un cadre de série? (je suppose que le cadre envisagé est en carbone). C'est une vraie question, mon vélo a 12 ans déjà, un sur-mesure (acier) justement et je ne me suis plus préoccupé de l'offre en matière de cadre depuis. Peut-être que le sur-mesure n'a plus du tout la cote aujourd'hui (si j'ose dire)?
  8. Personne n'a relevé qu'Armstrong lui-même a écrit la préface de ce livre?
  9. Ça, je laisse la Meuse s'en charger, mais elle prend tout son temps cette fainéante! Le fractionné, elle connait pas, visiblement. 😃
  10. «… sans quoi on saute dès les premiers changements de rythme. » Dans le mille! C'est là ma principale motivation pour faire du «fartlek», pouvoir garder les roues d'un groupe sur le plat lors d'une randonnée. Quand j'attrape un groupe, je me fais souvent lâcher au bout de la n-ième accélération du leader du groupe au sortir d'un virage ou lors d'un court changement de pente. Ce qui fait que je traîne ma misère entre deux longues bosses, malgré le fait que dans ces longues bosses elles-mêmes je fais généralement bonne figure. Sauf les dernières, parce que les kilomètres passés seul à lutter contre le vent tandis que les autres s'économisaient en groupe finissent par peser lourd! En fait, les cyclosportives qui me conviennent probablement le mieux sont les montées chronométrées d'un col. Effort intense mais uniforme et sans changement de rythme, c'est plus pour moi, d'autant que mon gabarit de fil-de-fer me donne un avantage de départ non négligeable. En 2000, j'avais fait le chrono de la Bastille de Grenoble. J'ai terminé en plein milieu du classement (52e sur 100, dans ce genre-là) quand d'habitude je finis toujours en queue de celui-ci. Malheureusement il n'y a pas l'équivalent en Belgique, il faut donc bien que je m'adapte un peu :-)
  11. C'est pas toi qui nous donnais les braquets des cadets en guise de comparaison, par hasard? Et on parle de «cadets» uniquement en compétition, que je sache? Hé oui, Les cadets font de la compétition et c'est ce qui leur donne une condition physique supérieure à la nôtre. La compétition c'est savoir se faire mal en permanence s'il le faut, même quand le corps crie stop. Le fartlek que je fais, c'est selon mon envie et mon humeur, et c'est là l'énorme différence. Soit tu n'as pas compris que je n'aime pas souffrir au-delà d'un certain niveau, soit tu ne l'admets pas. Mais c'est comme ça. Non, je ne suis pas prêt à souffrir pour m'adapter à un 39/25 ou même un 34/25. Je préfère adapter les braquets à mon niveau et à mes caractéristiques, pas adapter mon niveau à des braquets. Si je progresse, c'est à mon rythme et selon mon envie (et mon temps libre). Je suis un cyclotouriste sportif, pas un cyclosportif et encore moins un coureur. Si un jour ma façon de faire ne me donne plus le niveau de faire mes randonnées habituelles, hé bien j'arrêterai ces randonnées. Et je crois avoir tout dit à ce sujet. Si tu ne veux pas admettre qu'il y a d'autres façons de concevoir le vélo que la tienne et qu'elles ne sont pas moins respectables malgré leur niveau moindre, libre à toi. Ça ne va rien y changer. Au plaisir de se croiser sur les routes belges (ou grenobloises), qui sait.
  12. Même les cadets sont plus forts qu'Arnaud ou moi. De très loin, probablement (je dis probablement parce que je ne connais pas les capacités d'Arnaud, mais je pense en avoir une idée d'après ce qu'il nous a dit). Et probablement plus forts que la majorité des participants de ce forum également. Parce que ces cadets font de la compétition, pas nous. C'est un autre monde. Je cite Claude Claude Genzling, dans un des livres qu'il a publié avec Bernard Hinault ("Vélo: loisir, cyclotourisme, cyclosport, raid"): «Le cyclosportif qui sort du rang des cyclotouristes, même rapides, se doit de participer à des courses en ligne, pour acquérir une résistance sans laquelle il ne pourra jamais rivaliser avec un coureur, même au train (c'est moi qui mets en gras). C'est une question de métabolisme, de rythme, et de mental. La compétition seule, la vraie, oblige à se «sortir les tripes», et à «en remettre» quand on «n'en a plus». » Mais comme la compétition ne nous intéresse pas, les cadets seront toujours plus forts que nous.
  13. Après les deux dernières sorties à faire du fartlek, aujourd'hui c'était 4 h de balade-détente en tournant les jambes sans jamais forcer sur un parcours quasiment tout plat au nord de Bruxelles, dont la moitié suivait un circuit balisé appelé Kanaalroute. Vent fort et tourbillonnant, mais temps splendide et température idéale. Malheureusement c'était le dernier jour de beau temps annoncé avant, d'après la météo locale, une longue période de jours pluvieux… 😢
  14. Si c'est comme pour Tilff-Bastogne-Tilff, on risque d'attendre jusqu'à 15 jours avant le départ, ou encore plus tard, avant de connaître le parcours. Négocier un parcours avec les autorités locales, même pour une randonnée il paraît que c'est pas toujours facile…
  15. Et pourquoi repasserait-il en 10 vitesses? C'est en 11 vitesses qu' une 11-25 aura moins de trous qu'une 11-28 ou même une 12-28… Si Contador ne se sert vraiment pas de son plus grand pignon, (ce qui m'étonnerait beaucoup, je le maintiens — tu n'as fait que le voir passer et donc pas suivi tout le long d'une ascension j'imagine ;-)), qu'il prenne une cassette (11 pignons) plus resserrée de ce genre, ça sera plus rentable pour lui.
  16. Si des fréquences de 80-90 n'ont rien de choquantes sur le plat, pourquoi cela serait-il le cas en côte? Je n'ai jamais compris pourquoi on devrait faire de grandes différences de fréquence de pédalage sur le plat et en côte, à intensité d'effort égale. Évidemment, il faut disposer des braquets adéquats. Pour moi quelqu'un qui a l'habitude de rouler sur le plat à 50 tours/minutes pour une intensité d'effort donnée devrait le faire aussi en côte pour la même intensité d'effort. Idem si c'est à 90 tours/minutes, ce qui est plus mon cas. Du côté de Grenoble je me suis parfois amusé à grimper des cols de 10 km et plus à 100 tours/minutes, juste pour voir ce que ça faisait. Mes braquets de VTTistes me permettent ce genre de fantaisie. Le bilan est que ça ne m'était pas idéal, loin de là! Mais c'était loin de me tuer. Ceci dit, pour de longs cols de ce genre ma fréquence idéale serait autour de 85 tours/minutes. Sur le plat je suis généralement à 90-95, donc pas loin. J'approche et parfois je dépasse les 100 tours/minutes uniquement quand j'y vais «à fond» donc sur de courtes distances, et avec des braquets plus gros que d'habitude. J'insiste sur le fait que je suis un cycliste de plaisance, quelqu'un qui recherche le geste et le rythme optimal, pour aller le plus loin possible sans trop se fatiguer. Je ne recherche généralement pas la performance. Tes temps montrent que tu es deux classes au-dessus de moi, et je n'essaierai pas de me mettre à ton niveau!
  17. Ça, je ne le jurerais pas. S'il met un pignon dont il n'a pas besoin, il ne sait pas gérer ses développements et crée des trous inutiles dans sa cassette, ce qui serait bien étonnant de la part d'un pro de ce niveau. Contador est un grimpeur à fréquence de pédalage généralement élevée, plus élevée que la moyenne de ses concurrents. Moins haute que celles de Froome ou Wiggins, mais nettement plus que Quintana, Rodriguez, Valverde ou Andy Schleck, par exemple. En conséquence, c'est très logique de le voir mettre des cassettes plus larges que bien d'autres (et/ou des plateaux plus petits).
  18. Juste pour préciser une chose: je parlais en terme de braquet, donc de rapport, pas en termes de dentitions de plateau uniquement. Froome, Wiggins et peut-être aussi Contador sont des habitués de braquets du genre 38/28 ou 36/28 pour des étapes contenant des morceaux genre Ventoux. Et en développement, le 38/28 est équivalent au 34/25. Pour le Zoncolan ou l'Angliru, il vont jusqu'au 34/32 (Contador, ce qui a donné le Sram Apex pour info), mais c'est effectivement un cas à part, de tels monstres. Ceci dit, les cas à part sont de plus en plus nombreux ces dernières années sur les courses par étapes… et les cyclos vont vouloir les imiter, comme d'habitude, et donc se taper aussi lesdits monstres 🆒. Les équipementiers vont devoir alors s'adapter, et proposer aux cyclos la possibilité de monter des braquets plus petits que le 34/32 de Contador, j'espère!
  19. Ben oui, mais ce n'est pas une raison pour en faire une généralité. Les phrases du genre «avec un 34/25 on passe partout» sont à rejeter. Il faut dire «avec un 34/25 je passe partout». 😆 Moi, le 34/25, je calerais avec dans les murs que j'adore escalader (Paterberg, Koppenberg, Redoute, Bastille, triple mur du Monty, et bien d'autres moins connus)… et pour ces murs, vu que je combine un niveau modeste de cyclotouriste et une vélocité élevée (85 tours par minutes quand ça grimpe) j'ai monté un 26/34 digne d'un VTT. Je m'amuse d'ailleurs souvent à y laisser sur place des cyclistes munis de doubles ou de compacts, et même de triples plus «gros». À signaler que le cycliste pro semble de plus en plus souvent utiliser des braquets genre 34/25 pour des étapes de montagne «normales». Pour revenir au sujet: les séances d'intensité que je préfère, quand j'en fais (c'est rare, je suis du genre contemplatif en général), sont du "fartlek": des accélérations placées «au feeling», à la moindre pancarte ou au moindre sommet de bosse qui titillent l'envie, selon la durée qu'on se sent capable de supporter. C'est une méthode développée par les fondeurs et demi-fondeurs suédois, du temps où ils dominaient l'athlétisme. C'est efficace quand on persévère sur plusieurs semaines, mais on finit souvent complètement rincé. Il faut avoir une forte motivation derrière (vouloir être bien classé dans une cyclo, par exemple).
  20. Il y a plein d'accès possibles à ce col du Mont Noir: Par Saint-Pierre de Chérennes, Cognin (ou Izeron), Saint-Gervais (prévoir alors un éclairage pour passer le tunnel des Écouges), Pont-en-Royans… et pas mal de variantes aussi: par exemple en venant de Pont-en-Royans, on peut choisir de passer par Rencurel puis le col de Pra-l'Etang, ou par Rencurel puis le col de Romeyère, ou par Presles-les-Coulmes, etc. De quoi garnir toute un week-end cycliste avec ce seul col, et même plus qu'un week-end. Comme ma grand-mère habitait le coin, j'ai pu le parcourir dans tous les sens, et faire le Mont Noir par toutes ses variantes. 😄
  21. Pas en PACA, mais en Drôme, dans le Vercors, pas très loin de Valence.
  22. Trois heures de sortie ce matin, dans les vallonnements du sud-est de Bruxelles, notamment le Smeysberg à Huldenberg, la Ijskelderlaan et le Schavei à Overijse. Me suis mangé les pavés d'un trottoir en plein centre de Tervuren parce qu'un 4*4, arrivant en face de moi dans une rue étroite à sens unique pour les voitures mais pas pour les cyclistes, n'a pas daigné se déporter sur sa droite pour me laisser passer. C'est bien connu, toute la route appartient à ces véhicules gonflés aux hormones, n'est-ce pas? Pas plus de mal qu'une légère écorchure au coude droit heureusement. Le chauffeur (ou la chauffeuse?) du 4*4 n'a évidemment même pas pris la peine de s'arrêter. Typique. Les cinq dernière minutes de la sortie ont été agrémentées d'une «drache» monumentale qui a suffi pour me tremper jusqu'aux os, sans parler du vélo. Donc, corvée de nettoyage pour conclure cette sortie à oublier!
  23. Hello! Il faut quand même préciser que le col de la Croix-Jubaru n'en est vraiment pas un, au sens de point-col ou point-selle géométrique, c'est-à-dire un point bas d'une ligne de crête. Il n'est donc pas reconnu comme tel par l'IGN, même s'il figure sur les cartes Michelin. J'ai lu quelque part que sa dénomination de «col» était une sorte de coup médiatique de la part d'un club cycliste local. C'est vrai que ce n'est pas très conséquent comme montée… mais si on le prolonge par le mont Saint-Aubert, ça devient tout de suite plus intéressant: avec 120 m de dénivelée, il n'y a pas mieux dans tout le nord de la Belgique (Flandre + Brabant wallon + Hainaut). Quand j'habitais Tournai, j'ai croisé un cycliste nordiste qui était venu faire le mont Saint-Aubert 30 ou 40 fois de suite, je ne sais plus exactement, pour se préparer à la Marmotte!
  24. Je vois la côte à Huldenberg dont tu parles, mais je crois que tu ferais mieux de prendre son raccourci juste à côté: le Smeysberg! C'est une des côtes les plus exigeantes de la région, du fait de son pourcentage qui en fait un vrai petit mur. http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=84 Si les pavés ne te font pas peur, il y a la Moskesstraat juste à côté du Smeysberg, à Terlanen (Overijse), elle aussi un joli (mais court) talus: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=278 La côte qui traverse le centre d'Overijse pour en sortir, le long de la N4, n'est pas bien méchante. Autant prendre là aussi son raccourci plus pentu, le Schavei: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=149 Pour ma part, ma côte fétiche se trouve à Dworp (Beersel), plus vers le sud-ouest de Bxl: le Bruine Put. 800 m de long pour 8% de moyenne, c'est une des rares ascensions de la région assez consistantes pour me rappeler (vaguement) mes Alpes natales. Faut quand même rêver qu'elle dure 8 km au lieu de 800 m… http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Bruine-Put&qryMountainID=147 Pas loin, à Braine-le-Château, tu as deux petits murs pas piqués des vers non plus, voisins l'un de l'autre, avec des passages entre 14% et 17%, la rue du Drabe et la Sablière (enchaînement rue Cour au bois - avenue du Beau Séjour, à côté d'une carrière). Cherche sur Google Maps! Si tu n'as pas peur de la circulation, à Bruxelles même, dans la commune de Forest, se trouve un autre petit mur, la rue du Mystère: http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Rue-du-Myst%E8re&qryMountainID=1010 Ce ne sont pas les ascensions qui manquent dans la région, mais elles seront toujours trop courtes pour s'entraîner à grimper les cols des Alpes. Pour te faire gagner du temps, ce serait peut-être mieux de t'inscrire dans un club, si tu le peux. Mes horaires à moi ne me le permettent guère (les sorties sont généralement les samedi que je n'ai pas libres), j'ai mis plusieurs années à reconnaître les parcours les plus accidentés.
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