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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Entre quelques secondes de douleur dues au retrait des pansements (ce qui m'arrive tous les dix ans en moyenne, et encore jamais à cause du vélo jusque là), et les corvées de rasage hebdomadaire ou d'épilation mensuelle, j'ai vite choisi. 🆒
  2. Et au juste, tu étais au Liège-Bastogne-Liège Challenge samedi?
  3. … juste devant le peloton, et ils étaient aussi avec Nibali. Il règle les deux au sprint, comme il a réglé Valverde, Kwiatkowski hier, après avoir récupéré Caruso (personne n'a parlé de sprint massif, que je sache). Bref, c'est très analogue. Il a su se planquer un maximum dans les deux cas, se réservant pour les toutes dernières bornes, même la dernière pour Liège. Ça s'appelle de l'optimisation! Chapeau.
  4. … mais avec le même vainqueur…
  5. Le bon état des routes, ça a été une des agréables surprises de la journée, en effet. Du moins les grands axes, dont on aurait dit qu'ils avaient été refaits à neuf récemment. Mais il y avait quand même de gros points noirs : Stavelot et ses pavés évidemment (mais on savait tous à quoi s'attendre), la descente de la Haute-Levée, le Rosier en montée comme en descente, et surtout Liège elle-même, tout ça secouait pas mal! À aucun moment je n'ai regretté mes pneus de 25. Surtout pas dans la descente pavée qu'on trouvait dès le départ à Liège, où j'ai dépassé tout un tas de gens visiblement pas très familiers avec les kasseien 😃
  6. Que je garde mes poils aussi. Se raser les jambes, toute question de tradition ou d'esthétique mise à part, ce n'est vraiment utile que pour les massages et je ne me fais jamais masser, donc… Hier sur Liège-Bastogne-Liège challenge, les cyclistes en cuissard court que j'ai croisés n'avaient pas leurs jambes rasées, en grande majorité. Comme quoi!
  7. Merci! Mais on ne peut pas dire que je jouais vraiment à domicile. Mon domicile (en Belgique s'entend, en France c'est Grenoble) c'est Bruxelles et ça a été Tournai quelques années aussi. Rien à voir question terrains de jeu cycliste avec les Ardennes, que je connais finalement assez peu — et que je connais certainement beaucoup moins bien que certains Hollandais qui y passent toutes leurs vacances!
  8. C'est comme tu le dis, mais c'est aussi une question de mental. Il faut être sacrément solide dans sa tête pour tenir aussi longtemps sans flancher moralement. Et je ne parle pas des problèmes de mal au c.. parce que je préfère rester dans les limites de la bienséance! 😃 Bref, si je me sens bien au physique comme au moral le moment venu, je me lancerai sur ces 240 km. Et jusqu'à présent ça se présente bien.
  9. Moi je tire un grand coup de chapeau aux six coureurs de l'échappée du jour, Bono, Lang, Koch, Minnaard, Venter et Jacobs. Et particulièrement à Matteo Bono qui aura donc fait la course en tête depuis le départ de la course jusqu'au pied de la Roche-aux-faucons!
  10. En regardant mes classements, je m'aperçois que mon temps au Rosier est assez nettement meilleur que les autres. C'est que juste après la descente du Rosier, il y a eu cet interminable faux-plat descendant avec coups de c… jusqu'à Remouchamps. Des groupes entiers de cyclo n'arrêtaient pas de m'enrhumer en me dépassant et je n'osais pas prendre la roue de peur de me griller. Ça m'a mis un petit coup au moral et j'ai dû faire les montées suivantes un poil en dessous. Mais ça a été peut-être bénéfique, c'est peut-être ça qui m'a justement évité de me griller et m'a permis de terminer sans problème. Qui sait? Bon, maintenant, objectif Tilff-Bastogne-Tilff, si possible longue distance.
  11. Les Forges. À la télé flamande, les commentateurs pestaient contre l'attentisme des favoris. Et ça paye pourtant, celui qui a gagné est celui parmi les favoris dont ils n'avaient jamais eu à parler de toute la journée! C'est dire s'il a su se faire oublier. Comme pour le foot, le spectacle est souvent d'un rare ennui, en raison des tactiques défensives choisies par les stratèges pour qui seul le résultat compte.
  12. Le best-of des photos de Sportograf: assez réussi! http://www.sportograf.com/bestof/2259/index.html
  13. Les voici, deux ou trois classes en dessous des tiens, mais il faut dire que je n'ai joué le chrono sur aucune de ces montées: Côte du Rosier: 0:19:22, classement 4437 ;Côte de la Redoute : 0:10:31, classement 5726 ;Côte de la Roche-aux-faucons : 0:10:04, classement 5544 ;Côte de Saint-Nicolas: 0:07:29, classement 5590.
  14. Hier, Liège-Bastogne-Liège cyclo sur le parcours moyen (167 bornes). Très plaisant! J'en ai fait un compte-rendu sur le forum "Cyclosport", sur le fil "Liège-Bastogne-Liège challenge 2014".
  15. Bon, en attendant un compte-rendu des costauds du 270, en voilà un du 160 (167 officiellement). Réveil aux aurores (5h30) à Bruxelles, petit déjeuner et chargement du matos dans la voiture : il est 6h30 quand je pars pour Liège. Quand je sors de l'autoroute à Liège vers 7h30, mauvaise surprise : embouteillage monstre, et uniquement avec des voitures chargées de vélos! Les parkings sont déjà complets, il faut se débrouiller pour trouver une place quelque part pas trop loin de la ligne de départ. Il est déjà 8h 30 quand je m'y présente pour retirer et remplir mon formulaire d'inscription. Un monde dingue! J'apprendrai en soirée qu'il y a eu pas moins de 8000 cyclos présents aujourd'hui, apparemment inscrits sur le 160 en grande majorité. Je parviens à me faufiler dans la foule des cyclistes pas encore partis pour prendre le départ. Il est 8h55, j'ai presque une heure de de retard sur l'horaire que j'avais prévu, ce qui ne me rend pas de bonne humeur. La première dizaine de kilomètres n'arrange pas les choses, c'est un parcours exclusivement urbain sur des chaussées en mauvais état, avec plusieurs passages pavés qui plus est, et force feux de circulation. Mais le temps est doux et ensoleillé, le vent pas trop fort et généralement favorable, et quand on sort enfin de la ville pour grimper la longue côte (non répertoriée) menant vers Embourg au sud de la ville, l'humeur s'améliore. Après Embourg, la horde des cyclos descend en flèche vers Aywaille, patrie de Philippe Gilbert, puis remonte une côte semblable à celle d'Embourg (et pas plus répertoriée). Ravitaillement, et on repart. Arrivés à Basse-Bodeux, on attaque la première côte officielle du parcours de 160, l'Ancienne barrière, un large et long ruban de bitume impeccable de 4,5 km avec des pentes autour de 4-5%. Je suis frappé par l'attitude étonnante de certains cyclos qui attaque à fond, bille en tête, cette côte pourtant longue pour la région, pour rétrograder sensiblement, même pas un kilomètre plus loin. Une tactique que je verrai utiliser très souvent sur chaque côte répertoriée du parcours. Et dont je ne comprends pas bien l'utilité, à moins que le but recherché soit de vider complètement les batteries… Enfin bon, l'Ancienne barrière passée ainsi que les faux-plats casse-patte qui suivent, j'arrive à Stavelot, épicentre de l'Ardenne liégeoise. Ici le parcours de 160 rejoint le 270 à son retour de Bastogne, pour un nouveau ravitaillement, avant de s'attaquer à une des valeurs sûres de Liège-Bastogne-Liège: la Haute-Levée (507 m d'altitude). Un premier kilomètre très casse-patte (surtout en repartant d'un ravito!!) à plus de 10% de moyenne suivi de 2,5 km de pentes plus douces. Il y a peu de trafic, et heureusement, parce que la route est rétrécie à plusieurs endroits par des chicanes censées ralentir le trafic descendant, mais qui font en sortent que les voitures et surtout les poids lourds qui montent frôlent les cyclistes de façon très dangereuse. Je grimpe à ma main, en moulinant un 26/30 sur les pentes à 10%, laissant partir les plus costauds que moi et surtout laissant les fous dont j'ai parler démarrer la côte au sprint pour limite s'affaler sur le bas-côté un peu plus loin… Au sommet de la Haute-levée, un passage en faux-plat avant de plonger vers La Gleize et le début de la difficulté suivante, une autre classique: la côte du Rosier, versant est. 564 m d'altitude (point culminant du parcours de 160 semble-t-il), 4,5 km à 5,7% de moyenne et quelques passage à 8-10%, ce n'est pas un foudre de guerre, mais la fatigue peut commencer à s'y faire sentir. Le cadre, forestier au début et champêtre pour finir, est très pittoresque, on se croirait dans un petit col des Alpes. La montée est chronométrée, mais je n'en tiens pas compte et continue à grimper à ma main: mon but, c'est de terminer, dans le meilleur état possible. Je veux que cette journée soit tout, sauf une galère. On descend le Rosier, et un interminable et pénible (pour moi du moins) faux-plat descendant nous ramène à Remouchamps (Aywaille). Suivant sa (mauvaise) habitude, l'organisateur a placé un ravito juste au pied d'une difficulté, en l'occurence pas la moindre ici puisqu'il s'agit de la fameuse Redoute! Je l'attaque donc à froid, cette Redoute, ce que je déteste. 1,650 km à 9,8%, un modèle d'irrégularité avec un passage à 20% aux 2/3 de la pente et un autre mur à peine plus loin. C'est la première fois (mais pas la dernière…) que je mets «tout à gauche», 26/34. J'ai alors la très mauvaise surprise d'entendre mon dérailleur frotter contre les rayons! Je prends ce mal en patience jusqu'au sommet de la côte (chronométrée elle aussi), et là je sors mon bienvenu outil multi-fonction et son mini-tournevis pour rectifier le réglage du dérailleur. Heureusement, il ne m'embêtera plus. Entre-temps Jérémie Laplac m'a rejoint. Lui a fait déjà 180 bornes (!) sur une autre randonnée avec des amis, et il s'est proposé pour m'accompagner sur la dernière partie du parcours. Quelle caisse! J'ai volontiers accepté, et nous attaquons à deux les trois difficultés suivantes. D'après un panneau, il reste alors 50 km à parcourir. D'abord une côte non répertoriée (c'est une manie…) et pourtant sacrément casse-pattes après la Redoute, celle du Hornay à Sprimont. Ensuite, la difficile côte des Forges à Gomzé-Andoumont et sa première borne à 10% de moyenne, suivie d'un faux-plat au bout duquel se trouve une stèle en l'honneur d'un grand champion belge des années 50, Stan Ockers, décédé en 56 suite à un accident sur piste. Comme il n'y a pas de répit pour les braves, après la descente des Forges, on attaque à nouveau un très sérieux morceau: la Roche-aux-Faucons. Aux 300 premiers mètres près, il s'agit d'une côte répertoriée dans l'encyclopédie Cotacol des côtes et cols de Belgique sous le nom « côte d'Avister »: 10,8% de moyenne sur 1300m et pourcentages grimpant jusqu'à 16%. Une tueuse! On y dépasse les premiers cyclistes piétons que j'aurais vu dans la journée. D'autant qu'après le sommet, ce n'est pas fini: il y a encore plusieurs «coups de culs» qui en flanquent certains sur le bas-côté, accablés de crampes. Pour ma part, ça va toujours: je mouline comme à mon habitude mes minuscules braquets et si ça ne me fait pas avancer plus vite, ça m'épargnera justement les petits inconvénients de ce genre aujourd'hui. Après la Roche-aux-Faucons, on rentre en banlieue liégeoise. Il reste une vingtaine de kilomètres et une dernière difficulté répertoriée, la côte de Saint-Nicolas. Jérémie rentre alors au bercail comme convenu avec sa famille. Ça lui aura fait plus de 200 bornes de balade aujourd'hui! Je descends donc dans le décor très industriel de cette partie de Liège. Les feux sont à nouveau là, ainsi que les pavés et les routes défoncées… Et puis c'est cette côte de Saint-Nicolas, dans la rue du Bordelais. «Pas un grand cru», selon Cotacol et Jérémie, mais c'est quand même 1400 mètres se nourrissant essentiellement de pourcentages à 9-11%, et on la sent passer! Là je commence vraiment à avoir mal aux jambes, et vu les têtes des autres cyclistes, je ne suis pas le seul. Au sommet, je repense à l'édition 2012 de Liège-Bastogne-Liège: c'est à partir de là que Maxim Iglinskii avait commencé à prendre en chasse Vicenzo Nibali qui s'était échappé au sommet de la Roche-aux-faucons. Cette course-poursuite m'avait fait vibrer devant mon téléviseur, et je reconnais facilement les endroits parcourus alors. Et enfin, la dernière ligne droite du parcours, la fameuse côte d'Ans (non répertoriée? tiens donc!), là où Iglinskii avait rejoint et déposé Nibali sans coup férir. Je grimpe avec ces images dans la tête, en me disant qu'on aura peut-être la chance de passer la ligne d'arrivée de Liège-Bastogne-Liège. Malheureusement non, on nous fait obliquer à droite un peu avant le sommet de la côte, pour revenir tranquillement à notre point de départ du côté de Naimette. Et paf, la vraie arrivée. Un monde dingue, comme au départ, c'est tout juste si on ne se marche pas sur les pieds et si les vélos ne sont pas entassés les uns sur les autres. Il est 17h15, soit 8h20 de route sans décompter les ravitos, 7h15-7h30 en les décomptant. Pour 167 km sur un parcours pareil, ce n'est pas trop mal pour le cyclotouriste que je suis. Je rends la plaque de cadre, et le léger agoraphobe que je suis s'empresse alors de retourner à sa voiture garée à 2 km de là pour rentrer chez lui avec la satisfaction d'avoir rempli la mission qu'il s'était assignée: faire ces 167 bornes sans galérer! 😄
  16. Si je pars, ce sera vers 8 h, pour le 160 donc. Pour me reconnaître: 178 cm, 62 kg, maillot bleu à manches longues sans pub, cuissard noir long (suis frileux), casque gris + vélo bleu clair de marque Gir's avec ses développements dignes d'un VTT 😉
  17. OK, 91 km + les 14 km environ qui m'ont été nécessaires pour aller au point de rendez-vous à vélo et en revenir. Soit 105 bornes environ, ce qui me laisse loin du compte pour espérer finir LBL-160 sans galérer. Enfin, RV vendredi soir pour la décision! Après tout, il y a un petit parcours sur lequel je pourrai toujours me rabattre.
  18. Je viens tout juste d'apprendre que mon samedi est libre, donc je pourrais le faire aussi. Comme ça chamboule tout mon planning, je me déciderai probablement la veille au soir et si j'y vais, ce sera pour le 160. Avec un seul but dans ce cas: terminer. Le problème est que j'ai dû faire 120 bornes maxi comme sortie depuis le début de l'année, et c'était samedi dernier il me semble avec le balcon de Belledonne. On avait fait combien de km exactement ce jour-là Jérémie?
  19. Ça devait aller de 42/21 à 42/24, j'imagine. C'était des développements qu'on voyait souvent montés à l'époque pour des parcours fortement vallonnés ou même montagneux.
  20. Je viens juste de lire ce compte-rendu. Chapeau Olivier! Il faut être sacrément motivé (et entraîné) pour tenir aussi longtemps!
  21. Le genre de chemin que j'adore… à pied.
  22. J'en pense qu'une cyclo est ouverte à tous par principe, et donc tous les professionnels du monde peuvent y venir et influer sur la course autant qu'ils le veulent. Je ne comprends pas très bien que quiconque (pro ou non-pro) attache une valeur particulière à un classement dans une cyclosportive, à vrai dire. Il y a les vraies compétitions pour ça, avec leurs catégories.
  23. Salut Bruno! Je me demandais ce que tu devenais, justement, tu te fais rare ici. Content de voir que ça va bien! Tu seras dans les parages dans la première quinzaine d'août? Normalement, je reviens à Grenoble pendant cette période.
  24. Bonjour Eddy, Oui c'est pas mal aussi d'Uriage à Allevard! C'est tout aussi dur et spectaculaire dans ce sens en fait, mais moins fréquenté. Sans doute parce que la plupart des cyclistes qui le font viennent de Grenoble ou sa banlieue, et ils préfèrent se farcir la désagréable approche par la vallée au début de la sortie. Et à la fin il n'ont quasiment plus qu'à descendre chez eux en roue libre, ce qui est appréciable s'ils sont crevés! 😃
  25. Aujourd'hui, par un temps frais (et froid dans les descentes!), bonne sortie de moyenne montagne au programme, du corsé avec le balcon de Belledonne en compagnie d'Éric Mazaré et de Jérémie Laplac. On s'était décidé pour le faire dans le sens Allevard-Uriage en partant de Gières, le sens le plus classique. L'inconvénient de la démarche, c'était la vingtaine de km d'approche en plaine, au milieu d'un trafic, disons, gênant, de Gières à Goncelin. Et puis à partir de Goncelin, quand ça a commencé à grimper, on a eu droit enfin à des conditions de trafic supportables (lisez: avec un trafic réduit à presque rien). Et puis ça a été l'enchaînement des cols du balcon, tous autour de 1000m d'altitude: le Barioz (par l'iténéraire «bis» de Sailles, très agréable), les Ayes et ses pentes raides, le Lautaret (pas le grand, un autre), les Mouilles, la montée du Rousset… Comme de juste, tout le long du parcours les yeux se régalaient de magnifiques panoramas sur la vallée et la Chartreuse de l'autre côté. En revanche la chaîne de Belledonne juste au-dessus de nous était coiffée de nuages pas très rassurants, mais qui ont eu le bon goût de nous épargner la pluie. À chaque fois que ça montait dans ce parcours de montagnes russes, je laissais filer les deux gros moteurs que sont Éric et Jérémie et grimpais à mon rythme, en moulinant comme à mon habitude (en «tricotant un chandail» comme disait Éric). Il me fallait bien ça pour tenir, parce que c'était ma première sortie de cette importance en montagne depuis l'été dernier et j'avais tout intérêt à ne pas me griller. D'autant que pour éviter tout trafic, Éric nous a proposé d'augmenter un peu la dénivelée du parcours en «shuntant» Saint-Martin-d'Uriage, en passant par Revel et Corps d'Uriage, ce qui nous faisait descendre plus bas que le balcon pour y remonter ensuite. Et puis enfin, redescente sur Gières par Venon (et un mur d'une borne pas piqué des vers), avec des jambes lourdes, lourdes… Mais cette descente a été la seule partie de la sortie que j'ai effectuée devant mes deux compagnons! 🆒 Merci à eux au passage de m'avoir attendu à chaque sommet de bosse. C'était vraiment très cool, ça et nos discussions! Au final, 6h30 de rando pour moi. Demain, une dizaine d'heures de route m'attend pour retourner à Bruxelles. Je me demande si ce ne sera pas encore plus éprouvant que cette rando?
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