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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Liège Bastogne Liège
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Olivier LEBOEUF dans Discussions Route
Les Forges. À la télé flamande, les commentateurs pestaient contre l'attentisme des favoris. Et ça paye pourtant, celui qui a gagné est celui parmi les favoris dont ils n'avaient jamais eu à parler de toute la journée! C'est dire s'il a su se faire oublier. Comme pour le foot, le spectacle est souvent d'un rare ennui, en raison des tactiques défensives choisies par les stratèges pour qui seul le résultat compte. -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Le best-of des photos de Sportograf: assez réussi! http://www.sportograf.com/bestof/2259/index.html -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Les voici, deux ou trois classes en dessous des tiens, mais il faut dire que je n'ai joué le chrono sur aucune de ces montées: Côte du Rosier: 0:19:22, classement 4437 ;Côte de la Redoute : 0:10:31, classement 5726 ;Côte de la Roche-aux-faucons : 0:10:04, classement 5544 ;Côte de Saint-Nicolas: 0:07:29, classement 5590. -
Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Hier, Liège-Bastogne-Liège cyclo sur le parcours moyen (167 bornes). Très plaisant! J'en ai fait un compte-rendu sur le forum "Cyclosport", sur le fil "Liège-Bastogne-Liège challenge 2014". -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Bon, en attendant un compte-rendu des costauds du 270, en voilà un du 160 (167 officiellement). Réveil aux aurores (5h30) à Bruxelles, petit déjeuner et chargement du matos dans la voiture : il est 6h30 quand je pars pour Liège. Quand je sors de l'autoroute à Liège vers 7h30, mauvaise surprise : embouteillage monstre, et uniquement avec des voitures chargées de vélos! Les parkings sont déjà complets, il faut se débrouiller pour trouver une place quelque part pas trop loin de la ligne de départ. Il est déjà 8h 30 quand je m'y présente pour retirer et remplir mon formulaire d'inscription. Un monde dingue! J'apprendrai en soirée qu'il y a eu pas moins de 8000 cyclos présents aujourd'hui, apparemment inscrits sur le 160 en grande majorité. Je parviens à me faufiler dans la foule des cyclistes pas encore partis pour prendre le départ. Il est 8h55, j'ai presque une heure de de retard sur l'horaire que j'avais prévu, ce qui ne me rend pas de bonne humeur. La première dizaine de kilomètres n'arrange pas les choses, c'est un parcours exclusivement urbain sur des chaussées en mauvais état, avec plusieurs passages pavés qui plus est, et force feux de circulation. Mais le temps est doux et ensoleillé, le vent pas trop fort et généralement favorable, et quand on sort enfin de la ville pour grimper la longue côte (non répertoriée) menant vers Embourg au sud de la ville, l'humeur s'améliore. Après Embourg, la horde des cyclos descend en flèche vers Aywaille, patrie de Philippe Gilbert, puis remonte une côte semblable à celle d'Embourg (et pas plus répertoriée). Ravitaillement, et on repart. Arrivés à Basse-Bodeux, on attaque la première côte officielle du parcours de 160, l'Ancienne barrière, un large et long ruban de bitume impeccable de 4,5 km avec des pentes autour de 4-5%. Je suis frappé par l'attitude étonnante de certains cyclos qui attaque à fond, bille en tête, cette côte pourtant longue pour la région, pour rétrograder sensiblement, même pas un kilomètre plus loin. Une tactique que je verrai utiliser très souvent sur chaque côte répertoriée du parcours. Et dont je ne comprends pas bien l'utilité, à moins que le but recherché soit de vider complètement les batteries… Enfin bon, l'Ancienne barrière passée ainsi que les faux-plats casse-patte qui suivent, j'arrive à Stavelot, épicentre de l'Ardenne liégeoise. Ici le parcours de 160 rejoint le 270 à son retour de Bastogne, pour un nouveau ravitaillement, avant de s'attaquer à une des valeurs sûres de Liège-Bastogne-Liège: la Haute-Levée (507 m d'altitude). Un premier kilomètre très casse-patte (surtout en repartant d'un ravito!!) à plus de 10% de moyenne suivi de 2,5 km de pentes plus douces. Il y a peu de trafic, et heureusement, parce que la route est rétrécie à plusieurs endroits par des chicanes censées ralentir le trafic descendant, mais qui font en sortent que les voitures et surtout les poids lourds qui montent frôlent les cyclistes de façon très dangereuse. Je grimpe à ma main, en moulinant un 26/30 sur les pentes à 10%, laissant partir les plus costauds que moi et surtout laissant les fous dont j'ai parler démarrer la côte au sprint pour limite s'affaler sur le bas-côté un peu plus loin… Au sommet de la Haute-levée, un passage en faux-plat avant de plonger vers La Gleize et le début de la difficulté suivante, une autre classique: la côte du Rosier, versant est. 564 m d'altitude (point culminant du parcours de 160 semble-t-il), 4,5 km à 5,7% de moyenne et quelques passage à 8-10%, ce n'est pas un foudre de guerre, mais la fatigue peut commencer à s'y faire sentir. Le cadre, forestier au début et champêtre pour finir, est très pittoresque, on se croirait dans un petit col des Alpes. La montée est chronométrée, mais je n'en tiens pas compte et continue à grimper à ma main: mon but, c'est de terminer, dans le meilleur état possible. Je veux que cette journée soit tout, sauf une galère. On descend le Rosier, et un interminable et pénible (pour moi du moins) faux-plat descendant nous ramène à Remouchamps (Aywaille). Suivant sa (mauvaise) habitude, l'organisateur a placé un ravito juste au pied d'une difficulté, en l'occurence pas la moindre ici puisqu'il s'agit de la fameuse Redoute! Je l'attaque donc à froid, cette Redoute, ce que je déteste. 1,650 km à 9,8%, un modèle d'irrégularité avec un passage à 20% aux 2/3 de la pente et un autre mur à peine plus loin. C'est la première fois (mais pas la dernière…) que je mets «tout à gauche», 26/34. J'ai alors la très mauvaise surprise d'entendre mon dérailleur frotter contre les rayons! Je prends ce mal en patience jusqu'au sommet de la côte (chronométrée elle aussi), et là je sors mon bienvenu outil multi-fonction et son mini-tournevis pour rectifier le réglage du dérailleur. Heureusement, il ne m'embêtera plus. Entre-temps Jérémie Laplac m'a rejoint. Lui a fait déjà 180 bornes (!) sur une autre randonnée avec des amis, et il s'est proposé pour m'accompagner sur la dernière partie du parcours. Quelle caisse! J'ai volontiers accepté, et nous attaquons à deux les trois difficultés suivantes. D'après un panneau, il reste alors 50 km à parcourir. D'abord une côte non répertoriée (c'est une manie…) et pourtant sacrément casse-pattes après la Redoute, celle du Hornay à Sprimont. Ensuite, la difficile côte des Forges à Gomzé-Andoumont et sa première borne à 10% de moyenne, suivie d'un faux-plat au bout duquel se trouve une stèle en l'honneur d'un grand champion belge des années 50, Stan Ockers, décédé en 56 suite à un accident sur piste. Comme il n'y a pas de répit pour les braves, après la descente des Forges, on attaque à nouveau un très sérieux morceau: la Roche-aux-Faucons. Aux 300 premiers mètres près, il s'agit d'une côte répertoriée dans l'encyclopédie Cotacol des côtes et cols de Belgique sous le nom « côte d'Avister »: 10,8% de moyenne sur 1300m et pourcentages grimpant jusqu'à 16%. Une tueuse! On y dépasse les premiers cyclistes piétons que j'aurais vu dans la journée. D'autant qu'après le sommet, ce n'est pas fini: il y a encore plusieurs «coups de culs» qui en flanquent certains sur le bas-côté, accablés de crampes. Pour ma part, ça va toujours: je mouline comme à mon habitude mes minuscules braquets et si ça ne me fait pas avancer plus vite, ça m'épargnera justement les petits inconvénients de ce genre aujourd'hui. Après la Roche-aux-Faucons, on rentre en banlieue liégeoise. Il reste une vingtaine de kilomètres et une dernière difficulté répertoriée, la côte de Saint-Nicolas. Jérémie rentre alors au bercail comme convenu avec sa famille. Ça lui aura fait plus de 200 bornes de balade aujourd'hui! Je descends donc dans le décor très industriel de cette partie de Liège. Les feux sont à nouveau là, ainsi que les pavés et les routes défoncées… Et puis c'est cette côte de Saint-Nicolas, dans la rue du Bordelais. «Pas un grand cru», selon Cotacol et Jérémie, mais c'est quand même 1400 mètres se nourrissant essentiellement de pourcentages à 9-11%, et on la sent passer! Là je commence vraiment à avoir mal aux jambes, et vu les têtes des autres cyclistes, je ne suis pas le seul. Au sommet, je repense à l'édition 2012 de Liège-Bastogne-Liège: c'est à partir de là que Maxim Iglinskii avait commencé à prendre en chasse Vicenzo Nibali qui s'était échappé au sommet de la Roche-aux-faucons. Cette course-poursuite m'avait fait vibrer devant mon téléviseur, et je reconnais facilement les endroits parcourus alors. Et enfin, la dernière ligne droite du parcours, la fameuse côte d'Ans (non répertoriée? tiens donc!), là où Iglinskii avait rejoint et déposé Nibali sans coup férir. Je grimpe avec ces images dans la tête, en me disant qu'on aura peut-être la chance de passer la ligne d'arrivée de Liège-Bastogne-Liège. Malheureusement non, on nous fait obliquer à droite un peu avant le sommet de la côte, pour revenir tranquillement à notre point de départ du côté de Naimette. Et paf, la vraie arrivée. Un monde dingue, comme au départ, c'est tout juste si on ne se marche pas sur les pieds et si les vélos ne sont pas entassés les uns sur les autres. Il est 17h15, soit 8h20 de route sans décompter les ravitos, 7h15-7h30 en les décomptant. Pour 167 km sur un parcours pareil, ce n'est pas trop mal pour le cyclotouriste que je suis. Je rends la plaque de cadre, et le léger agoraphobe que je suis s'empresse alors de retourner à sa voiture garée à 2 km de là pour rentrer chez lui avec la satisfaction d'avoir rempli la mission qu'il s'était assignée: faire ces 167 bornes sans galérer! 😄 -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Si je pars, ce sera vers 8 h, pour le 160 donc. Pour me reconnaître: 178 cm, 62 kg, maillot bleu à manches longues sans pub, cuissard noir long (suis frileux), casque gris + vélo bleu clair de marque Gir's avec ses développements dignes d'un VTT 😉 -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
OK, 91 km + les 14 km environ qui m'ont été nécessaires pour aller au point de rendez-vous à vélo et en revenir. Soit 105 bornes environ, ce qui me laisse loin du compte pour espérer finir LBL-160 sans galérer. Enfin, RV vendredi soir pour la décision! Après tout, il y a un petit parcours sur lequel je pourrai toujours me rabattre. -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Je viens tout juste d'apprendre que mon samedi est libre, donc je pourrais le faire aussi. Comme ça chamboule tout mon planning, je me déciderai probablement la veille au soir et si j'y vais, ce sera pour le 160. Avec un seul but dans ce cas: terminer. Le problème est que j'ai dû faire 120 bornes maxi comme sortie depuis le début de l'année, et c'était samedi dernier il me semble avec le balcon de Belledonne. On avait fait combien de km exactement ce jour-là Jérémie? -
Liège-Bastogne-Liège challenge 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Les évènements route
Ça devait aller de 42/21 à 42/24, j'imagine. C'était des développements qu'on voyait souvent montés à l'époque pour des parcours fortement vallonnés ou même montagneux. -
Ma sortie du jour... et de la nuit
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Olivier LEBOEUF dans L'entrainement et la santé
Je viens juste de lire ce compte-rendu. Chapeau Olivier! Il faut être sacrément motivé (et entraîné) pour tenir aussi longtemps! -
Autre vdeo hallucinante
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre HEROIN dans Discussions Route
Le genre de chemin que j'adore… à pied. -
Présence de pros sur cyclo ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Bruno BLEUSE dans Les évènements route
J'en pense qu'une cyclo est ouverte à tous par principe, et donc tous les professionnels du monde peuvent y venir et influer sur la course autant qu'ils le veulent. Je ne comprends pas très bien que quiconque (pro ou non-pro) attache une valeur particulière à un classement dans une cyclosportive, à vrai dire. Il y a les vraies compétitions pour ça, avec leurs catégories. -
Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Salut Bruno! Je me demandais ce que tu devenais, justement, tu te fais rare ici. Content de voir que ça va bien! Tu seras dans les parages dans la première quinzaine d'août? Normalement, je reviens à Grenoble pendant cette période. -
Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Bonjour Eddy, Oui c'est pas mal aussi d'Uriage à Allevard! C'est tout aussi dur et spectaculaire dans ce sens en fait, mais moins fréquenté. Sans doute parce que la plupart des cyclistes qui le font viennent de Grenoble ou sa banlieue, et ils préfèrent se farcir la désagréable approche par la vallée au début de la sortie. Et à la fin il n'ont quasiment plus qu'à descendre chez eux en roue libre, ce qui est appréciable s'ils sont crevés! 😃 -
Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Aujourd'hui, par un temps frais (et froid dans les descentes!), bonne sortie de moyenne montagne au programme, du corsé avec le balcon de Belledonne en compagnie d'Éric Mazaré et de Jérémie Laplac. On s'était décidé pour le faire dans le sens Allevard-Uriage en partant de Gières, le sens le plus classique. L'inconvénient de la démarche, c'était la vingtaine de km d'approche en plaine, au milieu d'un trafic, disons, gênant, de Gières à Goncelin. Et puis à partir de Goncelin, quand ça a commencé à grimper, on a eu droit enfin à des conditions de trafic supportables (lisez: avec un trafic réduit à presque rien). Et puis ça a été l'enchaînement des cols du balcon, tous autour de 1000m d'altitude: le Barioz (par l'iténéraire «bis» de Sailles, très agréable), les Ayes et ses pentes raides, le Lautaret (pas le grand, un autre), les Mouilles, la montée du Rousset… Comme de juste, tout le long du parcours les yeux se régalaient de magnifiques panoramas sur la vallée et la Chartreuse de l'autre côté. En revanche la chaîne de Belledonne juste au-dessus de nous était coiffée de nuages pas très rassurants, mais qui ont eu le bon goût de nous épargner la pluie. À chaque fois que ça montait dans ce parcours de montagnes russes, je laissais filer les deux gros moteurs que sont Éric et Jérémie et grimpais à mon rythme, en moulinant comme à mon habitude (en «tricotant un chandail» comme disait Éric). Il me fallait bien ça pour tenir, parce que c'était ma première sortie de cette importance en montagne depuis l'été dernier et j'avais tout intérêt à ne pas me griller. D'autant que pour éviter tout trafic, Éric nous a proposé d'augmenter un peu la dénivelée du parcours en «shuntant» Saint-Martin-d'Uriage, en passant par Revel et Corps d'Uriage, ce qui nous faisait descendre plus bas que le balcon pour y remonter ensuite. Et puis enfin, redescente sur Gières par Venon (et un mur d'une borne pas piqué des vers), avec des jambes lourdes, lourdes… Mais cette descente a été la seule partie de la sortie que j'ai effectuée devant mes deux compagnons! 🆒 Merci à eux au passage de m'avoir attendu à chaque sommet de bosse. C'était vraiment très cool, ça et nos discussions! Au final, 6h30 de rando pour moi. Demain, une dizaine d'heures de route m'attend pour retourner à Bruxelles. Je me demande si ce ne sera pas encore plus éprouvant que cette rando? -
On n'opère pas les gens dans la région du cœur s'ils n'ont pas vraiment un problème. Et ce problème, même s'il n'est pas grave, n'est pas anodin, il le contraint à perdre des courses. Et c'est un pro, Gesink, et un leader en plus, il veut donc les gagner, ces courses. D'après son site facebook, on lui a diagnostiqué ce problème en 2008, donc quasi depuis ses débuts pros (2007), pas depuis la mort de son père qui a eu lieu en 2010. Toujous sur son site, il nie avec force que l'origine de ce mal soit liée au stress. Son problème se déclencherait tout aussi bien lors de séances d'entraînement. C'est d'ailleurs ce qui le rend délicat à gérer, ce problème, c'est qu'il survient de façon imprévisible. En version originale: Onbewust werd juist dit medische probleem een onzichtbare tegenstander voor hem. Dat Gesink faalangst zou kennen of niet stressbestendig zou zijn, is totaal niet onderbouwd. Ook dat dit boezemfibrilleren door extreme spanning zou komen, is volledig uit de lucht gegrepen. Waarom kreeg hij het anders ook bij trainingen, zoals bijvoorbeeld een keer in de wintermaanden en eenmaal op de Eyserbosweg?
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Il y a quand même pas mal de Belges francophones qui comprennent le néerlandais, notamment à Bruxelles, et même des Français vivant en Belgique comme moi se sont donnés la peine de l'apprendre :-) Mais sur sa page Facebook, sur le plan médical on n'apprend rien de plus que ce que nous rapporte Bernard, pour ce que j'en ai vu. C'est surtout sur sa façon de vivre ce handicap qu'il est disert. Ce problème l'accompagne apparemment depuis très longtemps, on lui a toujours dit que c'était bénin et que ça n'entraverait pas sa carrière. Mais c'est resté une angoisse sourde au fond de lui, angoisse dont il veut se débarrasser définitivement pour pouvoir courir l'esprit tranquille et libérer ses moyens physiques (il ne pense pas une seconde à abandonner sa carrière). Ce qui l'aurait décidé est une douleur intense dans la région du cœur qu'il a éprouvé lors du dernier Tour du Pays basque.
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Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Bref retour à mes racines à Grenoble cette semaine. Je suis arrivé hier soir avec le vélo dans les bagages, pour des vacances ultra-courtes (5 jours) mais j'espère sportivement profitables. Ce matin en tout cas, j'ai repris brièvement contact avec mes bonnes vieilles montagnes, en faisant une sortie de 1h45, courte donc mais dûment vallonnée: échauffement sur la plat jusqu'à Murianette, puis la côte de la Pérerée, les faux-plats menant aux Ferrats et à Corps d'Uriage, ensuite la terrible route de Rocharey et ses triple chevrons sur la carte Michelin (une sorte de côte de la Redoute mais plus longue et en moyenne montagne), puis redescente sur Corps en passant par le Pinet, et le casse-pattes de la côte du cimetière de Revel avant de finir par la descente vers la vallée du Grésivaudan. Beau temps, plutôt frisquet, et un vent très fort inhabituel pour la région. Bonnes sensations pour une reprise, mais il me manque encore le vrai coup de pédale montagnard. Je l'aurai peut-être récupéré avant de repartir en Belgique, ça ne pourra que me servir pour les randos ardennaises qui m'y attendent. -
Le hammam sûrement pas, j'y suis allé une fois et j'ai trouvé ça infernal. Le sauna, faudra que j'essaie un de ces jours, juste pour voir, mais a priori je suis pas très chaud, si j'ose dire.
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Paris-Roubaix cyclotouriste
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Paul MARPAUD dans Les évènements route
Je connais bien les secteurs pavés du Tour des Flandres et déjà le 23 j'ai trouvé limite là-dessus (je suis en 25 maintenant). Je n'ai par contre jamais roulé sur les secteurs pavés de Paris-Roubaix, mais selon toutes les sources ils sont bien pires que ceux du Ronde. Passer là-dessus avec du 23 risque donc d'être sacrément problématique! Si tu ne peux pas en changer, attends-toi à une galère! Baisse bien la pression des pneus en tout cas (6 bars grand maximum). Dans le journal flamand «De Morgen» du week-end, on peut trouver un descriptif précis du vélo de Tom Boonen pour Paris-Roubaix aujourd'hui (estimée à 10 000 € la bécane, soit dit en passant 😲). Il y dit que les pneus (banden en flamand, mais je pense qu'ils mettront des boyaux en fait) seront de 28 à 30 mm de section… -
Comme on dit, une nature ce Pino Cerami!
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Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Circuit bleu du Tour des Flandres aujourd'hui, avec les «broutilles» bien connues appelées Vieux Kwaremont, Paterberg, Koppenberg, Mariaborrestraat, Steenbeekdries, Taaienberg, Kruisberg, Mont de l'Enclus… et le mont Saint-Aubert versant Reposoir pour finir, puisque je m'étais garé là-haut en voiture avant de monter sur ma bécane et de rejoindre le circuit 20-30 km plus loin. En tout 6 h de vélo dont 20 min de pause-café au moulin du Hotond. http://www.crvv.be/fr/317-routes/10 Départ vers 10h30 par un froid de canard (5°?) et dans une purée de pois pas possible, mais heureusement le soleil a fini par percer au bout d'une heure. Le reste de ma rando a bénéficié d'un temps splendide avec une température idéale… et, luxe suprême dans cette région, d'un vent pas trop fort. Ça m'a fait un bien fou de retrouver ces routes que j'arpentais si souvent quand j'étais Tournaisien! Je me demande si je vais pas redéménager pour y retourner, tiens. -
Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Hier, par beau temps venteux, sortie de 4 h dans le sud-ouest de Bruxelles avec quelques petits «Cotacols» au passage: Alsemberg, Bruine Put (2 versants) à Beersel, Krekelenberg à Lembeek, rue du Mystère à Forest. Mot d'ordre: détente et profiter des quelques points de vue, notamment au Bruine Put. La grosse sortie de la semaine, c'est pour samedi. -
Hauteur de selle
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Lionel DURAND dans L'entrainement et la santé
Je suis à 7 mm au-dessus, pour ma part… Mon entrejambes de 84,5 cm, multiplié par 0.885 ça fait 74,8 cm en arrondissant au mm près, et ma selle est à 75,5 cm de haut depuis plusieurs années. Et moi non plus je ne suis pas souple. Mais alors vraiment pas! Remarquez que la souplesse de la selle entre aussi en ligne de compte. J'ai horreur des selles rigides. -
Hauteur de selle
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Lionel DURAND dans L'entrainement et la santé
Elle a quand même des défauts, la méthode du talon: elle ne tient pas compte de la cambrure de la chaussure ni de la pointure du pied. Si la chaussure est fortement cambrée, comme c'était la mode il y une vingtaine d'années, ou si on a de grands pieds par rapport à sa taille, on risque de se retrouver assis nettement plus bas qu'il ne faudrait. S'agissant d'effleurer le sol de la pointe des pieds: attention aux axes de pédalier qui ne sont pas à la même hauteur d'un vélo à l'autre. Bref, pas de méthode parfaite. Il faudra toujours affiner aux sensations.