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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Il a dû prendre le pli en lisant les compte-rendus de nos sorties belges et nordistes ! 😃 Les vieux Dauphinois de souche comme ma mère disent « radée », mais ça s'est semble-t-il perdu dans les dernières générations. Moi qui suis passé de Grenoble à Bruxelles j'ai adopté le mot « drache », je trouve qu'il sonne bien.
  2. Bah, au moins tu pourrais faire du ski ! Je retourne en février à Grenoble rien que pour ça, moi. 😛 Sinon, ici à Bruxelles je sors d'un week-end à 38°… de fièvre, et une toux bien désagréable pour l'accompagner. La fièvre a disparu aujourd'hui mais la toux persiste. J'espère que ça va disparaître aussi pour demain, j'aimerais bien faire une sortie…
  3. Plein de bons avis ont été déjà donnés, et je n'ai rien à ajouter. C'est donc juste pour te souhaiter une bonne reprise! 😆 Le simple fait d'avoir posté ce sujet prouve ton envie, le reste suivra forcément!
  4. Quand je passe dans des flaques d'eau, la transmission ne fait pas de bruit non plus et le Finish Line wet lube tient remarquablement bien. J'ai pu le tester pendant des sorties de plus de cinq heures sous flotte continuelle… Par contre, dès que la route est tapissée de boue, et c'est fréquent ici en cette saison (terre sablonneuse dégoulinant des champs de betterave et des talus) la transmission produit un concert de grincements à chaque coup de pédale, quel que soit le lubrifiant que j'ai pu tester jusqu'alors. C'est d'autant plus bruyant que le vélo va vite sur ces routes boueuses (descentes…). Et ces grincement peuvent durer pas mal de temps avant que ça se calme. Question peut-être bête: le squirtlube est-il silencieux lui dans ces conditions ?
  5. Connaissant le climat ardennais (et en exagérant — à peine), ça pourrait tout aussi bien être l'un puis l'autre le même jour ! 😬
  6. Sortie ce vendredi après-midi, profitant d'un nouveau répit dans mon emploi du temps. 1 h 30 de balade tranquille dans l'est de Bruxelles sur un terrain plat ou presque, dans les environs de Zaventem et de son aéroport. Temps doux et venteux, sec au début, quelques mini-gouttes de pluie vers la fin. Malheureusement plusieurs portions de routes étaient entièrement recouvertes de gadoue sablonneuse… ce qui fait que je vais à nouveau devoir nettoyer mon cadre et surtout ma transmission avant la prochaine sortie 🙁
  7. Ça semble quand même confirmer qu'il ne tient guère lorsque la pluie est longue et constante. Mais c'est l'inconvénient de ce type de lubrifiant en général, bien que ce squirtlube soient apparemment plus tenace sur la chaîne que les autres cires. Apparemment, du côté résistance à l'eau il est au niveau des lubrifiants secs à base de téflon. Pour cet hiver, je vais donc quand même m'en tenir à mon Finish Line "wet lube" habituel.
  8. Question conditions climatiques, je pourrais faire un copié-collé de ton message ! Mais c'est assez logique vu le peu de distance qui sépare nos lieux de vadrouille. Mais pour moi, c'était une trentaine de kilomètres à roulotter dans l'est de Bruxelles après être sorti du boulot. Et pour ma part ma prochaine sortie sera lundi : mon week-end entier est pris. Couvre-toi bien ce dimanche, le froid arrive!
  9. Je serais curieux d'avoir un retour sur le Squirtlube dans des conditions franchement humides, comme les miennes actuellement (Belgique). Là où je roule, en cette saison les routes sont humides quasiment en permanence, même quand il fait beau.
  10. Début août, deux semaines de vacances chez mes parents dans la région grenobloise, comme tous les ans. Le week-end du 24 au 26 juillet, si tout va bien, je fais le "Rad am Ring", les 24 h vélo du Nürburgring. Ou bien, si la forme n'est pas au rendez-vous ou si la préparation ne s'est pas déroulée comme prévu, je ferai une des autres courses moins extrêmes organisées ce week-end-là sur ce circuit mythique. http://www.radamring.de/fr/
  11. Absolument rien. D'ailleurs ici en Belgique, c'est à Saint Nicolas que les gens demandent quelque chose, pour le 6 décembre. À lui je n'ai rien demandé non plus, mais je crois que ma fille sera d'un autre avis! 😃
  12. L'Isère parce que je viens de là ! Non mais ! 🆒 Et objectivement, pour le fondu du vélo, on y trouve absolument de tout et dans tous les registres : entre la platitude de Grenoble et de la vallée du Grésivaudan, les collines des Terres froides et du Chambaran, la moyenne montagne de Chartreuse, Vercors, Belledonne et la haute montagne des Taillefer, Grandes Rousses et Écrins, il y an a pour tous les goûts. Difficile de trouver plus varié. En Belgique, mon pays d'accueil, y a pas de départements mais des «provinces». Et j'aime particulièrement faire traîner mon vélo dans celle du Luxembourg (à ne pas confondre avec le Grand-Duché voisin) quand j'en ai l'occasion. C'est vert, calme… et bien vallonné.
  13. Sortie ordinaire du mercredi après-midi entre 14 h 15 et 16 h 45 au sud-est de Bruxelles (Overijse). Température encore assez clémente, vent assez faible mais bruine et brume constantes et routes évidemment encore plus dégueulasses sous ces conditions. Le vélo fait peur à voir ce soir. Pendant ma sortie, j'ai refait plus ou moins la boucle finale à Overijse de la Flèche brabançonne qui a lieu en avril, avec les bosses suivantes : Moerenhoutstraat (variante très étroite mais plus pentue du Hagaard), Hertstraat, Ijskelderlaan et Schavei. Manquait juste le Holstheide. Pas de bonnes sensations. Les conditions climatiques ont dû jouer… J'ai dû mettre faire marcher l'éclairage dès 16 h 00, c'est dire.
  14. C'est tout aussi vrai dans le centre de la Belgique (Bruxelles, les deux Brabants). Sortie de 2 h 30 cet après-midi: brume limite brouillard par endroits, et bruine permanente. Je vous laisse imaginer l'état des routes et du vélo. Pour la première fois de l'année, j'ai dû faire fonctionner l'éclairage que j'ai monté depuis quelques semaines. En fin de sortie, à partir de 16 h 00. Le temps était tellement couvert qu'il a fait nuit une heure à l'avance. 😕
  15. Avoir dû piteusement abandonner Tilff-Bastogne-Tilff (240 bornes) à 40 km de l'arrivée, victime de crampes multiples, des pieds jusqu'à la mâchoire. Le seul abandon de ma vie de cyclo. La méga-frustration de l'année ! 📢 L'année prochaine, revanche !
  16. Le col du Glandon face nord. Je l'ai fait deux fois (Vaujany 98 et 99) en fin de cyclosportive et ce fut infernal, puisque j'étais déjà crevé en abordant ce col. Fait comme unique montée, ça doit être bien plus simple. Du reste, en montée sèche unique, rien ne me fait vraiment peur. Même pas le Zoncolan, que je rêve de faire un jour. Suffit d'avoir les bons braquets, et je peux descendre jusqu'à 24/34, peut-être 24/36, avec mon montage actuel.
  17. En effet et j'espère qu'un Ultegra triple 11 vitesses sortira assez vite. http://www.velochannel.com/shimano-2015-part-2-3715 Un des commentaires dans l'article du lien précédent : «Bonjour Michel, Tous les groupes Shimano 11 vitesses, que ce soit 105, Ultegra ou Dura-Ace, ne sont proposés uniquement qu’en double plateaux. Shimano travaille cependant sur des versions triple que l’on devrait voir arriver pour le millésime 2015. En attendants, les anciens triple des groupes 10 vitesses restent au catalogue.Cordialement.»
  18. La comparaison des étagements est faussée si on considère que les triples dont tu parles sont en 10 pignons, alors que les compacts sont en 11 pignons. Il faut comparer avec un triple 11 vitesses pour être équitable. Donc, pour le moment, avec la cassette 12-29 Campagnolo qu'on peut utiliser en Athena triple, et qui est bien meilleure que la 11-32 de Sram en matière d'étagement, pour un braquet minimal équivalent (légèrement inférieur en fait, 30/29) : 12 13 14 15 16 17 19 21 23 26 29.
  19. L'étape Brive-Agen du Tour 51 remportée par Hugo Koblet, échappé seul pendant plus de 100 bornes devant le peloton comprenant des pointures comme Bobet, Coppi, Bartali, Geminiani et j'en oublie… L'«exploit» personnel dont je suis le plus fier est d'avoir bouclé le Brevet de Randonneur Alpin (260 km en passant par les cols du Lautaret, Galibier, Mollard et Croix-de-fer) en 1997.
  20. Que de belles bosses dans ton coin, ça fait envie! J'ai mon opinion sur cette problématique du 18 dents, mais j'ai préféré te l'envoyer en MP pour ne pas trop sortir du cadre de ce topic! Ça pourrait en effet durer longtemps, une discussion sur les braquets… 😉
  21. 5 h de sortie environ aujourd'hui par une température quasi printanière, un beau soleil et pas trop de vent. Parti de l'est de Bruxelles, j'ai rejoint l'ouest de la ville en la contournant par le sud (Alsemberg, Hal) et ai pris la direction de la ville de Grammont (Geraardsbergen) en Flandre orientale. J'avais dans l'idée de faire le final traditionnel du Tour des Flandres (hélas bêtement abandonné par l'organisation depuis 2012), à savoir le fameux Muur de Grammont, suivi du Bosberg et de l'arrivée à Meerbeke. J'ai d'abord traversé le Pajottenland à l'ouest de Bruxelles, doucement vallonné, entre Hal et Grammont, en passant par les communes de Pepingen, Gooik et Galmaarden. Une fois arrivé à Grammont, je me lance à la conquête du Muur par son entame historique, empruntée par les Tours des Flandres jusqu'en 2000 à peu près: la Denderstraat puis l'Abdijstraat, pentues, en mauvais état, mais bitumées (récemment cette entame a été généralement remplacée par le passage des « Vesten », en plein centre-ville, pittoresque, pavé mais bien moins raide). Tot daar geen probleem, pas de problème jusque là, les jambes tournent comme des horloges. Et ensuite je bifurque à droite vers les pavés du Muur proprement dit. Là, mauvaise surprise : ces pavés sont complètement détrempés! J'hésite à continuer, sachant d'expérience que grimper un mur sur des pavés humides est… disons, «casse-gueule». Mais je me lance quand même, me disant que je n'avais pas fait tous ces kilomètres pour ne pas au moins essayer. Ça passe sans autre problème qu'un court dérapage de la roue arrière sur les kasseien des premières pentes à 10%. Mais sur le bref replat précédant le passage le plus pentu à 20%, je mets aussitôt pied à terre : je vois devant moi que toute cette partie à 20% est entièrement recouverte de feuilles mortes! 😲 De quoi réduire l'adhérence au zéro absolu ! Courageux mais pas téméraire, je fais demi-tour et redescends à pied jusqu'à l'embranchement avec l'Abdijstraat et je grimpe cette rue jusqu'à son sommet, et puis j'accède à la chapelle marquant le sommet du Muur par l'est (par là où les coureurs commencent à redescendre). Je passe un petit quart d'heure à profiter du panorama magique de l'endroit, encore une fois surpris par son étendue alors que la colline fait à peine 110 m d'altitude (on part de 18 m d'altitude, ceci dit). Et puis je redescend, direction le Bosberg à Moerbeke, pavé lui aussi, mais passé sans histoire puisque les pavés étaient globalement secs et que la pente y est bien moins raide… et qu'il n'y avait pas de feuilles recouvrant les pavés. Et de là je dévale un très long faux-plat descendant, entrecoupé de quelques remontées, jusqu'à Meerbeke (Ninove), où je contemple d'un oeil un brin nostalgique l'ancienne arrivée du Tour des Flandres, avant de rentrer à Bruxelles en prenant le chemin le plus court, la nationale 8 reliant Ninove à la capitale. Je ne connaissais pas cette nationale, et je n'y reviendrai pas si je peux l'éviter: c'est une quatre-voies, autorisée aux vélos mais sans piste cyclable la plupart du temps. Les bagnoles vous y dépassent à toute berzingue en vous frôlant parfois, et plus on se rapproche de Bruxelles, pire c'est. 😕 Bref, à fuir!! Enfin je traverse Bruxelles de part en part, d'ouest en est, pour rentrer au bercail. La prudence est de mise bien sûr au milieu de toute cette circulation urbaine, mais ça passe sans encombre. Suffit d'être patient aux intersections, après tout. Au bilan, 110 bornes de vélo et globalement une belle sortie, malgré les vingt-trois kilomètres sur la Nationale 8.
  22. Ah je ne savais pas. Je n'imaginais même pas que ce genre de trucs pouvait être retransmis en différé, donc je n'ai pas cherché au-delà de 16 h !! 😢 😢 À défaut, j'ai suivi les flashes d'info de Sporza sur leur site web, donc j'étais déjà au courant pour le classement final.
  23. Je m'intéresse bien plus au cyclo-cross qu'aux 6 jours l'hiver. La course est bien plus animée (forcément, ça ne dure qu'une heure) et j'ai moins le tournis à les regarder évoluer ! 😃 Malheureusement, à ma grande frustration, sur Sporza ils avaient choisi cet après-midi de retransmettre les 6 jours de Gand au lieu du cyclo-cross de Spa-Francorchamps. 😢
  24. Non, pas plus qu'à vélo, sauf en cas d'urgence. Joseba Beloki n'en faisait probablement pas non plus. Jusqu'à ce qu'il chute dans cette descente rapide par temps caniculaire: http://www.youtube.com/watch?v=TCNzlF1RQh4 Par la suite, on a appris qu'il avait déjanté. Et je suppose que comme la plupart des pros de son niveau il roulait en boyaux. Maintenant, dire que le pneu, c'est la panacée, certainement pas. Bien gonflé il ne risque pas de déjanter, mais en cas de crevaison c'est un risque en effet. Moralité : d'abord la prudence, le reste (pneux-boyaux, casque) vient après.
  25. Un boyau ça peut déjanter quand c'est mal collé, ou bien en descente de montagne parce que la colle a fondu du fait des freinages prolongés. La faut aux boyaux avantage de rouler en pneus. Rouler en boyaux devrait être interdit. 😛
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