Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 192
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    88

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Si c'est comme l'année dernière, il n'y aura pas que du bitume sur Liège-Bastogne-Liège. L'épreuve commence carrément par un mur pavé mal commode… emprunté en descente, où j'ai vu plusieurs cyclos complètement à l'arrêt. Et il y a le centre-ville de Stavelot qu'on traverse, qui est fait de gros pavés. Rien de comparable à Paris-Roubaix, bien sûr, mais ça peut surprendre ceux qui ne sont pas prévenus.
  2. Dans « Cyclisme sur route » qui date de 1986, Claude Genzling rapporte que Fausto Coppi «affectionnait de rouler avec des boyaux de 32 mm de section, et pas seulement sur Paris-Roubaix, privilégiant ainsi le confort». Ce n'est donc pas tellement une histoire de mode imposée par les fabricants, mais essentiellement un ressenti. Il y a une part de subjectif, c'est sûr, mais une grosse part d'objectif : avec une plus grosse section, la pression peut diminuer et donc le confort global augmente. Plus qu'appréciable sur les secteurs pavés. Je roulais sur du 23 jusqu'en 2010, et je suis passé au 25 parce que j'en avais assez d'être secoué comme un prunier sur les pavés. J'habitais au beau milieu d'une zone pavée à l'époque, à Tournai, pas loin des Ardennes flamandes que j'ai découvertes par la même occasion. La différence s'est fait sentir tout de suite! Je serais passé au 28 sans hésiter si mon cadre le permettait. Tant que je passerai le plus clair de mon temps sur les routes belges, je ne repasserai pas au 23. Si je devais me fixer à nouveau en France, à Grenoble par exemple d'où je suis originaire, je le ferai probablement.
  3. Ta galère venait probablement en partie de là: des pneumatiques trop fins pour ce terrain. Les pros eux-mêmes n'hésitaient pas à monter des boyaux de 27 à 32 mm de section, gonflés à 5 bars ou guère plus, d'après Vélo101. Pour ma part, si je devais faire ce «machin», je m'arrangerais pour avoir des pneus de 32… minimum ! Et de toutes façons, comme je l'ai dit, j'évite au maximum les pavés détrempés, donc hier je n'aurais pas osé prendre le départ. Chapeau encore une fois pour avoir terminé.
  4. Rhââ, ça fait envie ! Mais «plus qu'une fois dormir», comme on dit ici, avant de partir pour Grenoble, pour une semaine! Je pourrai enfin me faire une condition sur les routes du Balcon de Belledonne. 😄 Ça te dirait un de ces jours de venir faire une cyclo en Belgique? Le genre Liège-Bastogne-Liège t'irait comme un gant, je pense. Pour info, j'ai mis comme annoncé le compte-rendu de la Flèche brabançonne d'hier dans la rubrique Cyclosport. Je ne pense pas qu'elle te plaise, cette cyclo-là, par contre. 😉
  5. Et encore, Rivière avait crevé au cours de sa tentative. Sans cela il aurait probablement dépassé les 48 km. Ce que Ferdinand Bracke fera, mais en 1967.
  6. J'ai souvent pensé à vous quand je faisais ma Flèche brabançonne, avec les mêmes conditions climatiques à une centaine de kilomètres de distance. Moi qui me refuse déjà à rouler sur les pavés des Ardennes flamandes quand il pleut, même pour tout l'or du monde je n'irai pas affronter les champs de ruine de Paris-Roubaix dans ces conditions! Chapeau franchement pour avoir terminé!
  7. Je ne connais pas encore le nombre de participants, mais je dirais qu'on était quand même assez nombreux. Beaucoup moins qu'à un Liège-Bastogne-Liège cyclo par exemple, mais vu le temps qu'il faisait, c'était à mon avis un succès en matière de participation. Le fléchage était correct… si on admettait qu'aux croisements où il n'y avait pas de flèche, il fallait aller tout droit. 🆒 J'ai appliqué cette règle et je ne me suis jamais perdu. Autrement, je n'ai pas eu vraiment affaire à l'organisation, juste pour retirer ma carte de participant, avec numéro et puce incorporée (il paraît qu'on a été filmés dans les principales ascensions grâce à cette puce, qui déclenchait des caméras en bas et en haut des côtes). Vu le nombre énorme de croisements, il était impossible pour eux d'avoir des bénévoles à chaque intersection, mais ils ont fait en sorte que les plus dangereux croisements, aux grands axes, soient sécurisés quand même. Le reste du temps, il convenait d'être vigilant. Tout le monde s'arrêtait aux feux rouges, et pas mal de participants empruntait les pistes cyclables comme moi quand il y en avait, malgré l'état peu reluisant de certaines. Pour rappel, elles sont obligatoires ici, et ceux qui ne le faisaient pas s'exposaient à de belles contredanses si la police les surprenait. 🤐 Je trimballais ma propre nourriture avec moi et je me contentais de remplir mes bidons aux ravitaillements, mais le choix de nourriture aux ravitos était assez vaste, semble-t-il. Bref, c'est plutôt positif côté organisation.
  8. Paris-Roubaix 1994 est probablement ma course pro préférée. J'ai eu la chance de voir l'intégralité de l'échappée de Tchmil à la télé ce jour-là. Quelle épopée! Depuis j'ai suivi la carrière du bonhomme de près. Pas étonnant que ce reportage m'ait plu aussi! 🆒
  9. Aujourd'hui, j'ai fait la version cyclo de la Flèche brabançonne. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr Deux distances étaient proposées : 70 et 135, et j'ai opté pour cette dernière. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr/track/135-km Le départ et l'arrivée, comme pour la vraie Flèche brabançonne qui aura lieu mercredi prochain, étaient situés à Louvain, une vingtaine de km à l'est de Bruxelles où je réside. Comme je suis un peu juste en kilométrage actuellement, j'ai préféré ne pas rajouter une quarantaine de bornes aller-retour à mon périple et je me suis contenté d'aller à vélo, de nuit (j'ai pris le temps de mettre un éclairage la veille) à la gare voisine de Zaventem, à peine distante de 6 km. De là j'ai pris le train de 7h25 destination Louvain. Une fois le train arrivé , il ne restait qu'une borne à faire pour atteindre l'endroit précis du départ de la randonnée, la majestueuse place de la Bibliothèque de la ville. Il est 8 h 15 quand je m'élance : on passe d'abord par la Grand'Place de Louvain avec son magnifique hôtel de ville, lieu de départ officiel de la course pro. Le vent est fort comme le prévoyait la météo, et le ciel est menaçant. Et de fait, j'ai à peine le temps de sortir de Louvain qu'une pluie fine se met à tomber. Elle va accompagner les participants pendant deux bonnes heures. Sur des routes progressivement détrempées, je suis le parcours qui nous fait d'abord nous mesurer avec les bosses et les collines champêtres ouvertes à tous les vents du sud-ouest de Louvain : Bertem, Leefdal, Neerijse… un endroit très agréable à parcourir quand il fait sec. Mais avec la pluie, du fait de la proximité des champs cultivés et de l'imperméabilité totale des routes en béton, ça s'apparente très vite à du cyclo-cross sur chemin boueux et sablonneux. La transmission se gorge de sable et se met à grincer à chaque coup de pédale : pas le choix, faudra supporter ce bruit jusqu'à l'arrivée… Ensuite, on affronte la plus sérieuse pente du jour : le Smeysberg, à Hudenberg : 600 m d'escalade dont 3 hectomètres à respectivement 11, 16 et 13 %, avec une pointe à 18%. Je le connais par cœur et je sais qu'il ne faut pas trop y aller à fond si on ne veut pas se griller pour le reste de la journée. Donc d'emblée tout à gauche, 26/34 (oui, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai monté des braquets de VTT sur mon vélo de route), ce qui me permet pourtant de rattraper et de laisser sur place quelques cyclistes un peu trop présomptueux avec leurs braquets, et donc zigzaguants… Mais puisque ce sont de vrais Flahutes contrairement à moi, ils me rattraperont et me largueront sur la zone de plat qui suit. Cette partie plate, c'est la transition vers la zone des collines d'Overijse, le cœur de la course : le parcours de la cyclo emprunte la totalité des bosses du circuit final de la Flèche brabançonne professionnelle, mais se contente d'un tour. Dans l'ordre, on grimpe donc la Ijskelderlaan, au sommet de laquelle se trouve le premier ravito, puis le Schavei, le Hagaard, la Hertstraat et enfin le Hostheide. Toutes passées sans encombre pour ma part, je connais parfaitement le coin. Pendant toute cette partie de la rando, la fine pluie cesse… pour être remplacée par une averse violente. Conséquence imprévue et cocasse : mon compteur se met à débloquer complètement et indique des valeurs surréalistes. Dans les bosses, je suis censé selon lui grimper à 25-35 km/h à des cadences de pédalage 160-250 tours/minutes !!! 😲 Il va continuer comme ça pendant une bonne demi-heure, avant de fonctionner à nouveau normalement. Après le Holstheide, la pluie diminue d'intensité, puis cesse complètement. Un peu plus loin, les parcours du 70 et du 135 se scindent. Pendant que les participants du 70 retournent directement à Louvain, le 135 nous fait obliquer vers le sud et l'est et passer par Sint-Agatha-Rode, Ottenburg, et de là il pénètre en Brabant wallon, à Florival puis Pécrot. Une belle bosse de 500 m à maxi 10% nous fait passer de Pécrot à Nethen, et nous commençons une portion plutôt plate d'une cinquantaine de kilomètres à travers les champs de la Hesbaye brabançonne, dont la majeure partie vent de dos. Le compteur indique des valeurs (cette fois réelles!) de 30 km/h à 40 km/h, c'est assez grisant! 🆒 Passage à Hamme-Mille, Beauvechain, Tourinnes-la-Grosse, à toute berzingue donc malgré l'état peu reluisant des routes, principalement faites de plaques de béton disjointes. Puis on retourne en Brabant flamand, à Hoegaarden, et à partir de là j'entre en terrain inconnu pour mon vélo. Pour dire vrai, je me demande ce qui m'attend. Et bien ce qui m'attend, c'est que le parcours oblique vers l'ouest comme il devait le faire, et je prends maintenant le vent en pleine figure. Ça dégrise très vite ! La vitesse tombe à autour de 15 km/h… sur le plat, nettement moins évidemment dans les côtes, pourtant peu pentues mais qui prennent subitement des allures d'Everest. Les routes ne sont pas en meilleur état qu'en Brabant wallon, et ça n'aide pas à récupérer dans les descentes. De Hoegaarden on passe à Tienen (Tirlemont), on s'arrête au deuxième et dernier ravito, puis on repart vaille que vaille. Des noms jusque là peu familiers défilent, et j'ai tout le temps de me familiariser avec eux tellement mon allure est réduite par le vent de face ou de côté : Opvelp, Boutersem, Bierbeek, Lovenjoel, Kessel-Lo… Oud-Heverlee… Ah tiens, Oud-Heverlee? là je connais, c'est juste au sud de Louvain, c'est donc que la fin du calvaire est proche. Mais pas avant d'avoir grimpé la dernière difficulté du jour, la Korbeekdamstraat, une curieuse côte recouverte de dalles qui monte en paliers assez sévères (à gauche toute pour la couinante chaîne). De là, il reste seulement 4 ou 5 bornes de plat, effectués en toute décontraction, jusqu'à Louvain et le lieu de départ. Au bilan ça m'aura fait presque exactement 6 h de selle, (6 h 30 en comptant les ravitos), soit un moyenne de 22,5 km/h. Pas folichon mais vu mon faible niveau d'entraînement et la nature du parcours je ne m'attendais pas à mieux. C'est même de bon augure pour les randonnées que je prévois de faire plus tard dans les Ardennes d'avoir terminé finalement sans trop de souffrances. C'est donc avec un sentiment de mission accomplie que je file à la gare pour prendre le train du retour vers Zaventem, et de là faire les 6 bornes (vent de face, comme il se doit…) jusqu'à ma maison. 🆒
  10. Les 135 km de la Flèche brabançonne cyclo aujourd'hui, dont une bonne partie sous la flotte, et avec un fort vent d'ouest soufflant en permanence. Assez mémorable! J'en ferai un compte-rendu plus détaillé dans la section Cyclosport dès que possible.
  11. Ce reportage date de 2011 et a paru sur Canvas, une chaîne flamande. Les commentaires sont donc en néerlandais, mais Tchmil lui-même parle en français ainsi que plusieurs autres interviewés, notamment Jean-Luc Vandenbroucke, ce qui rend le reportage accessible à ceux qui ne comprennent pas le néerlandais. Et puis, il y a les images d'archive: rien que pour ça, ça vaut le coup d'être vu. Le clou du reportage, c'est évidemment quand ils parlent du fameux Paris-Roubaix de 1994 : les commentaires de Tchmil valent leur pesant d'or! Enjoy!
  12. Pendant que tu feras Paris-Roubaix demain, moi je ferai la Flèche brabançonne près de Bruxelles. Quelques petits secteurs pavés au programme, mais c'est de la franche rigolade par rapport à ce qui t'attend. Mais on aura en commun la pluie et le vent, et moi j'aurai en plus les risques liés au trafic, dans cette région qui est la plus densément peuplée de Belgique, déjà un des pays les plus densément peuplés d'Europe. Il y a tellement de routes qu'il est impossible que tous les croisements soient sécurisés, il faudra être particulièrement vigilant…
  13. Comment veux-tu qu'il comprenne ? Il n'a certainement jamais roulé avec des pneus fins et ne peut donc pas réaliser. Pour lui comme la plupart des gens le vélo ce sont des VTT, VTC ou vélos de ville avec des pneus énormes, avec lesquels les pistes cyclables telles qu'elles sont ne posent aucun problème.
  14. Note que la route la plus directe qui va du centre d'Ittre au canal de Bruxelles-Charleroi à hauteur de Virginal-Samme, la bien nommée rue de Virginal, est fermée. Je m'en suis rendu compte lundi dernier en allant sur place. C'était là qu'ont eu lieu les inondations catastrophiques de l'année dernière, et je suppose qu'ils n'ont pas fini de tout remettre en état ! Il doit y avoir moyen de la contourner en passant par les petites routes parallèles qui la surplombent (rue du Masy, rue du Vieux pavé d'Asquempont, etc.), mais je n'ai pas vérifié.
  15. Par Strava, Routeyou ou un truc semblable, tu veux dire? Faudrait que je m'y mette pour cela… Autrement c'est difficile à proposer, tellement les routes se croisent et se recroisent dans ce coin, comme presque partout ailleurs dans les alentours d'ailleurs. Je me proposerais bien comme guide à vélo, mais je suis pris ce week-end (flèche brabançonne) et la semaine suivante je suis dans les Alpes. Tu peux me faire signe éventuellement par message privé si tu es encore intéressé après.
  16. +1, belle région à parcourir. On peut y ajouter le secteur compris entre Hal, Braine-le-Château et Ittre, tout aussi vallonné, mais les routes sont déjà plus dégradées dans ce triangle. Mais j'aime bien y rouler quand même, en raison de la densité et de la difficulté des côtes. Si on ne veut pas prendre la voiture, le meilleur moyen pour accéder à Ronquières à partir de Bruxelles à vélo reste le canal de Bruxelles-Charleroi, si on a la chance d'habiter pas trop loin. L'emprunter alors juste au sud de Bruxelles, à la limite entre Forest et Drogenbos. Facile à repérer grâce à l'énorme cheminée de la centrale thermique qui domine l'endroit… Mais c'est seulement à partir de là que le canal échappe à la pression citadine, et n'est pas en trop mauvais état. Une fois au bord du canal, c'est 1h-1h30 de vélo, selon la force et la direction du vent, sur l'ancien chemin de halage jusqu'à Ronquières. C'est tout plat forcément, mais généralement vent pleine face. Ça met en condition avant les bosses de la petite Ardenne !
  17. Finalement je me suis décidé pour les vraies Ardennes pour ma sortie d'aujourd'hui (enfin, d'hier vu l'heure qu'il est). Je suis allé en voiture à Houffalize (Luxembourg belge) et là j'ai sorti le vélo du coffre pour aller grimper quelques solides bosses entre cette commune et La Roche-en-Ardenne : côte de Mormont, Haussire, vieille route de Beausaint, côte d'Ortho, côte de Nadrin… Soit 3 h 30 de vélo biens sportif par un temps idéal, ensoleillé et pas trop venteux. Ç'aurait été une sortie parfaite si encore une fois les routes n'étaient pas en si mauvais état. Particulièrement le tronçon entre Houffalize et la côte de Mormont, tellement plein de stries qu'on se demande parfois si on ne roule pas dans des rails de tram. Des années que c'est comme ça à cet endroit et il n'y a toujours rien de fait pour y remédier! 📢
  18. Pour pinailler, c'était surtout Juan Antonio Flecha qui avait risqué gros ce jour-là! Tout le monde retient Hoogerland à cause du côté spectaculaire de son vol plané dans les barbelés, mais c'était Flecha que la bagnole de France Télévisions avait percuté de plein fouet, exactement comme Sergent l'a été.
  19. Il s'agissait de Sébastien Chavanel, le frère de Sylvain. Il s'en tire avec un gros hématome à la hanche. Les médias flamands ont repéré les deux chauffeurs responsables des accidents : il s'agirait d'un policier pour Jesse Sargent, et d'un ancien coureur pour Sébastien Chavanel. Ce qui ne sent pas bon, c'est qu'ils révèlent le nom de l'ancien coureur, mais qu'ils se gardent bien de faire de même pour le policier. Lequel serait dans tous ses états en ce moment. Pourquoi cette discrimination? S'il fallait taire le nom de l'un, autant en faire de même pour l'autre! http://sporza.be/cm/sporza/wielrennen/1.2295833 (en néerlandais, avec les vidéos des accidents).
  20. Cinq heures de sortie dans le sud de Bruxelles aujourd'hui. Confirmation grosso modo de ce que rapportait Jacques: temps gris à donner le cafard avec quelques crachins pendant les 4/5 de l'excursion. La dernière heure, le soleil a fait une timide percée. Température maxi de 11°. Côté positif: presque pas de vent, c'est tellement rare…
  21. Au cas où tu ne charries pas: c'était une randonnée pédestre, pas une escalade.
  22. Sortie de 5 heures dans le sud-ouest de Bruxelles, avec un maximum de bosses dont certaines à fort pourcentage. Même si j'ai fini assez frais, j'ai eu l'impression de me traîner aussi bien dans ces bosses que sur le plat. Logique après tout, je suis 2 kg au-dessus de mon poids de forme. Samedi, Flèche brabançonne pour cyclos au programme. Encore une séance d'entraînement ce mercredi, où j'irai voir un peu ailleurs que dans le Brabant, pour changer. Quant à savoir où… Dilemme cornélien: Ardennes flamandes ou Ardennes wallonnes?
  23. Le Belgian-bashing est lui bien plus largement répandu et systématique que sur un malheureux forum. Jusqu'en Belgique même. Ça finit par peser à la longue. D'où des réactions épidermiques, que je comprends d'autant mieux depuis que je vis outre-Quiévrain.
  24. Si ce n'était que ça! Tu augmentes énormément le risque de te blesser à la colonne vertébrale lors d'une chute si tu as quelque chose de rigide dans le dos, que ce soit dans les poches ou dans un sac. Je ne risque pas d'oublier ce qui était arrivé à une personne que j'ai rencontrée, paraplégique suite à une banale chute sur le dos lors d'une randonnée pédestre en montagne. Malheureusement pour cette personne, elle avait un objet rigide dans son sac. Mon téléphone portable est dans ma sacoche de selle, pour ma part. Je l'ai choisie assez grande pour contenir ça et pas mal d'autres choses: 2 chambres à air, 3 démonte-pneus, un nécessaire de réparation (qui contient aussi une attache-rapide), un outil-multifonction, un mini dérive-chaîne, quelques sous et papiers. Tout cela m'a servi au moins une fois, sauf le nécessaire de réparation, puisque je n'ai pour le moment jamais crevé plus de deux fois en une sortie.
  25. Aucune idée!
×
×
  • Créer...