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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. J'ai des pédales Time Atac XC 8, de la gamme VTT de la marque, sur mon vélo de route. Et bien sûr des chaussures VTT, semelle carbone pour la rigidité. Très pratique pour marcher, ce qui est important quand on habite en ville comme moi. Par contre, le maintien de la cale n'est pas idéal : récemment, il y a du jeu qui est apparu. Je ne parle pas de la liberté angulaire ni latérale, qui est normale. Il s'agit d'un (léger) jeu vertical : alors que la cale est enclenchée, le talon peut osciller verticalement, de haut en bas, autour de l'axe de la pédale, sans que la pédale bouge. Autrement dit, il y a du jeu pour l'arceau de fixation entre la semelle de la chaussure et la cale. Ce qui provoque un cliquetis fréquent lors du pédalage, très agaçant. Et ça doit être pénalisant pour le rendement. Si ça persiste, je vais devoir changer de modèle, voire de marque… 🙁
  2. Sur une pente pareille, ça m'est arrivé de faire cabrer mon vélo, je n'avais pas besoin de rafales de vent pour ça. Dans le Koppenberg, par exemple. Il suffit de tirer un peu trop fort sur le guidon pendant qu'on appuie sur la pédale. L'accélération due au coup de pédale, combinée à la pente qui rejette le centre de gravité à l'arrière et à la traction sur le guidon, provoque le cabrage. Parade : soit se mettre en danseuse, mais la roue arrière risque de déraper si l'adhérence n'est pas optimale (sur des pavés par exemple, ou sur un sol humide, ou tapissé de feuilles mortes), soit s'asseoir le plus en avant possible de la selle et plier les bras au maximum en évitant le plus possible de tirer sur le guidon. Je préfère la dernière tactique, qui favorise l'adhérence et qui est facilitée par l'utilisation d'un tout petit braquet. Même un 32/32 serait trop gros pour moi dans le Koppenberg.
  3. Comme dit Pieters, non, c'est impossible à cause de ce problème au tunnel. Pour bien comprendre, il faut bien garder en tête qu'il y a trois accès au Galibier. Au nord, l'accès par Saint-Michel-de-Maurienne et Valloire. Au sud, après avoir franchi le col du Galibier en venant du nord, tu as 8,5 km de descente par une route unique jusqu'au col du Lautaret. Là, la route se scinde en deux. Si tu prends à gauche, tu descend vers Briançon par la vallée de la Guisane. Si tu prends à droite, tu descends vers Bourg-d'Oisans en longeant la Romanche à partir de la Grave… et en passant par ce fameux tunnel du Chambon. Le tunnel du Chambon concerne donc uniquement la route allant du Galibier et du Lautaret vers Bourg-d'Oisans et bloque cet accès. Donc il est impossible actuellement de descendre du col du Galbier vers le Bourg-d'Oisans, et vice versa. Par contre, il est toujours possible de descendre du Galibier vers Briançon.
  4. Pour être précis, on peut toujours joindre la Maurienne à la vallée de la Guisane (Briançon) par le col du Galibier. C'est l'accès à Bourg-d'Oisans (vallée de la Romanche), par le Galibier comme par le Lautaret, qui est bloqué.
  5. Il est pas quelque part entre Mont-Saint-Guibert et Louvain-la-Neuve, ton col du Haut de Beaurieux ? Ça me dit quelque chose, j'ai dû y passer dans le temps.
  6. Selon l'IGN, le seul vrai col routier belge, dans le sens géographique strict de « point bas sur une ligne de crête » est le col du Rideux, à 370 m d'altitude, en Ardenne, dans la province du Luxembourg. Tous les autres «cols» belges n'ont rien de géographique et leur dénomination comme «col» uniquement un coup de pub. J'ai grimpé deux fois le col du Rideux cette année, par deux de ses versants : nord pendant la Vélomédiane, et nord-est pendant le Géants des Ardennes. Le versant nord, notamment, est quand même en dix-neuvième position dans le classement des ascensions les plus difficiles de Belgique, selon l'encyclopédie Cotacol (qui recense 1000 ascensions en tout). Et je confirme qu'il n'est pas évident du tout à grimper ! L'altitude et la dénivelée ne font pas tout… J'ai habité quelques années à Tournai. Là-bas il y a le «col» de la Croix-Jubaru, à 99 m… qui donne accès au cul-de-sac du Mont-Saint-Aubert (145 m) lequel présente quand même la plus forte dénivelée (124 m pour le versant sud-ouest) des provinces non ardennaises de Belgique, c'est-à-dire toutes les provinces flamandes plus le Hainaut et le Brabant wallon.
  7. MTN-Qhubeka est une équipe africaine. Si on suit ta propre logique, la présence de coureurs noirs dans cette équipe est assez peu surprenante.
  8. Quand la route ou les conditions de circulation ne réclament pas de vigilance particulière, alors soit je suis en mode «entraînement» et je suis concentré sur mon pédalage et ma respiration, soit je suis en simple balade et alors je laisse mon esprit vagabonder en totale liberté.
  9. Ce coureur aura régulièrement été fait parler de lui et de son équipe cette année en étant constamment à l'attaque et en obtenant des résultats non négligeables. Les considérations sur la couleur de sa peau sont venues après, pas avant. Nicolas, aurais-tu seulement pensé à ouvrir ce post si Teklehaimanot était resté anonyme bien au chaud au cœur du peloton, sans aucun résultat tangible? Non. C'est parce qu'il s'est fait connaître «à la pédale» que tu sais qui il est. Et ça répond à tes questions.
  10. C'est dans dix jours, et les prévisions météo sont tout sauf fiables pour ce laps de temps. D'autre part le temps même s'il est stable en plaine, peut changer à la vitesse de l'éclair en montagne. Et s'il fait 13° à Séchilienne ou à Bourg d'Oisans il pourrait bien faire 3° à la Morte ! Soyez circonspects donc et ne lésinez pas sur les protections, surtout les extrémités (tête, pieds, mains).
  11. Hola, z'êtes optimistes ! Vous avez intérêt à prévoir la tenue d'hiver complète à ces altitudes et à cette période si vous voulez pas risquer de finir frigorifiés dans les descentes (surtout celle de la Morte). Normalement ces deux cols devraient être encore praticables, mais c'est même pas garanti !
  12. Ça veut dire quoi DNF ? Pas trouvé…
  13. Merci du renseignement ! Comme je l'ai dit ça ne me concerne guère mais ça peut en intéresser d'autres ici. En allant sur le site de la VWB j'ai eu la surprise de constater que cette fédération flamande chapeaute également des clubs en Brabant wallon. Comme quoi la frontière linguistique n'est pas si étanche ! 🆒
  14. Franck PASTOR

    Pneu velotaf

    Les Continental Grand Prix 4 Seasons sont durables, très résistants et ont une bonne adhérence même sur le mouillé, mais sont chers (40-50 euros). Les Schwalbe Durano Plus sont durables aussi, encore plus solides (flancs renforcés), un peu moins chers, mais sont moins adhérents d'après mon expérience. Voilà pour les pneus sur lesquels j'ai moi-même roulé ces dernières années. Ceci dit, pas en usage de vélo-taf. De la part de ceux qui en font, j'ai entendu dire monts et merveilles des Schwalbe Marathon Plus. Increvables, m'a-t-on dit. Je n'ai pas eu d'écho sur leur adhérence par contre.
  15. Michel vit en Belgique et n'est donc pas concerné par ces catégories de fédérations françaises. Y a-t-il seulement des équivalents belges aux catégories que tu cites? Je n'en sais rien, bien que je vive en Belgique aussi. Ce qui prouve d'aileurs que je ne suis pas intéressé. Encore une fois, en ce qui me concerne je ne m'amuse à «faire la course» avec d'autres que rarement, et je n'ai aucune envie d'en faire une habitude. Pas question donc de m'inscrire dans une fédération de compétition, même soft.
  16. Je n'ai pas encore d'objectif certain. Mes charges professionnelles étant assez fluctuantes en ce moment, je ne sais pas si j'aurai le loisir de m'entraîner comme je le souhaite. J'aimerais enfin boucler Tilff-Bastogne-Tilff, c'est sûr, et refaire la Vélomédiane et le Rad am Ring. Tout dépendra de mes disponibilités et de mon niveau d'entraînement.
  17. Saison bien remplie avec comme randonnées effectuées la Flèche Brabançonne cyclo, Liège-Bastogne-Liège Challenge (parcours médian), la Magnifique, le Rad am Ring (version cyclotouriste) et le Géants des Ardennes. Une cyclosportive, la Vélomédiane-Claude Criquielion. Tout en Belgique, sauf le Rad am Ring en Allemagne (Nürburgring). En France, aucune randonnée ou cyclosportive officielle, mais une sortie particulière : le très officieux «challenge du grimpeur du 38» qui consistait à grimper au nord de Grenoble les montées en cul-de-sac de Mont-Saint-Martin, Chalais, Montaud et Noyarey. Que des «morceaux», notamment Chalais qui présente parmi ses 6,7 km totaux les cinq bornes consécutives les plus raides des Alpes françaises paraît-il, à plus de 12% de moyenne. J'ai tenté cet enchaînement avec Daniel Hardy (qui est aussi sur le forum) qui a bouclé les quatre ascensions pendant que moi j'ai dû me contenter des trois premières, faute de temps suffisant dans mon planning de la journée — je dois dire que j'étais bien entamé ceci dit. Mon principal regret est de ne pas avoir fait Tilff-Bastogne-Tilff comme je l'avais prévu, mais je n'avais pas encore assez de kilomètres dans les jambes pour me lancer cette rando de 250 bornes qui avait lieu malheureusement un peu tôt dans la saison pour moi (fin mai). L'année dernière, dans les mêmes conditions, j'avais essayé quand même… pour abandonner vers les 200 km de distance. Mon meilleur souvenir est la Vélomédiane que j'aurai découverte cette année et dont le parcours m'a beaucoup plu ! Des bosses, des bosses et encore des bosses (dans les Ardennes de la province du Luxembourg belge), souvent bien raides, dans un beau cadre, ça me convient parfaitement ! 😄
  18. Trop petit! C'est pour les asthmatiques ça! Moi j'ai des cannes Môssieur, donc je mets du 26 devant !
  19. Ça c'est du scoop, personne n'était au courant ! 😇 Tant qu'à faire des courses, moi celles qui m'auraient intéressé, ç'auraient été justement celles où on doit quitter le grand plateau régulièrement… Sinon ça n'en aurait pas valu la peine.
  20. Quoi, même dans la Redoute ? Sont malades ces compétiteurs, pas étonnants qu'il y ait tant de dopage.
  21. C'est peut-être drôle mais c'est crevant. Moi je me fatigue seulement si je suis d'humeur. Donc trop rarement pour faire de la compétition une habitude. 🆒
  22. Je ne cherche généralement pas à rejoindre ceux qui sont déjà devant moi dans une bosse quand je l'entame, ni ceux qui me doublent en allant constamment plus vite que moi. Par contre, si quelqu'un me double à la vitesse de l'éclair en bas d'une côte, pour ralentir fortement vingt mètres plus loin, ça m'agace, parce que ça veut dire que cette personne veut «me battre» plutôt que de gérer la côte correctement à son propre rythme. Et on sait que faire un sprint en bas d'une côte n'est pas vraiment la meilleure façon de la grimper… En plus généralement c'est le type de personne qui ne répond jamais à mes «Bonjour !». Alors souvent, et uniquement pour le faire ch… je hausse progressivement mon rythme, juste assez pour passer devant lui pile avant le sommet. J'en profite pour lui asséner un «Re-bonjour!» sonore. En général il n'essaie pas de me suivre ensuite, essoufflé qu'il est par sa bosse mal gérée… 😛
  23. Le climat en Belgique est océanique, donc très semblable à celui de l'ouest de la France : humide mais tempéré. Sauf en Ardenne où il peut faire très froid l'hiver, ce ne sont généralement pas les températures qui causent problème en Belgique pour le cycliste. Le problème de la Belgique par rapport à la côte ouest française, c'est le réseau routier, beaucoup plus dense et encombré et surtout en bien plus mauvais état : les routes secondaires empruntées généralement par les cyclistes sont souvent en béton rugueux, ou en asphalte défoncé. Les routes principales sont parfois dans le même état, sinon pire. Les pavés sont de plus en plus du folklore mais il en reste, notamment en centre-ville. Et je ne parle pas des pistes cyclables, pour être charitable. Tout cela est aggravé par le mauvais temps bien sûr : les intempéries transforment souvent les routes et pistes en itinéraires de cyclo-cross, gadoueux et sablonneux à souhait. 😢
  24. La partie du dérailleur arrière qui relie les deux galets (les deux petites roulettes). Plus elle est longue et mieux le dérailleur encaisse les grosses différences de braquets. Ainsi les dérailleurs arrière des groupes à triple plateau ont généralement une chape longue, ainsi que certains groupes compacts disposant d'une grosse cassette, comme la 11-32.
  25. Pour ce que j'en ai vu, c'est un baroudeur convaincu qui n'a pas peur d'attaquer régullèrement et de préférence sur terrain accidenté. Question style, j'ai noté qu'il est posé de travers sur son vélo, et je serais curieux de savoir pourquoi (scoliose? jambe nettement plus courte?). Rien d'autre à dire.
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