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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Stuyven abandonne après sa victoire à la Vuelta
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Discussions Route
Tellement emporté qu'il s'est aussi défoulé sur le vélo d'un spectateur qui n'y était pour rien. L'amende venait peut-être surtout de là. http://sporza.be/cm/sporza/wielrennen/Vuelta/1.2427814 -
Hier, j'ai participé à la seule cyclosportive avec classement qui reste en Belgique : la Vélomédiane-Claude Criquielion, parrainée depuis sa création par le champion wallon avant qu'il ne décède au début de cette année, à 58 ans, victime d'un accident vasculaire cérébral. 🙁 http://velomediane.be/j3/index.php/fr/ http://www.lemonde.fr/sport/article/2015/02/18/cyclisme-l-ancien-champion-du-monde-claude-criquielion-est-mort_4578889_3242.html La Vélomédiane, dont le point de départ est la ville de La Roche-en-Ardenne en Luxembourg belge, c'est une institution en Belgique, un des plus beaux et des plus rudes parcours qui soit proposé au randonneur/cyclosportif dans les Ardennes. Cette année par exemple, c'était officiellement 170 km qui étaient au programme avec 3300 m de dénivelée et des «morceaux» à gravir, comme l'emblématique Pied Monti (ou Mur de la Vélomédiane), le Parc à Gibier enchaîné avec Haussire, la côte de Malempré, celle de Roche-à-Frêne, le col du Rideux versant nord et la côte de Beffe. http://velomediane.be/j3/index.php/fr/velomediane/parcours Pour ceux qui n'ont pas les jambes ou pas l'envie de faire ce grand parcours, une «Petite Crique» (jeu de mot avec le surnom de Criquiélion, «Le Cric» et la Kriek, bière belge bien connue) de 89 km, sans classement, était également au menu. Mais pour ma part, c'était le grand parcours ou rien, même si c'était la première fois que je participais à cet événement ! 🆒 Le départ de la Vélomédiane comme de la Petite Crique est donné en plein centre de La Roche, à 9 h tapantes. Il fait encore assez frisquet, mais la météo annonce le beau temps pour la journée et même la chaleur pour l'après-midi. À en juger par la foule de participants, nous sommes certainement plusieurs milliers, Flamands et Néerlandais en très grande majorité. Un organisateur me dira à l'arrivée qu'il y avait déjà 1850 cyclistes environ à prendre le départ pour la seule Vélomédiane. Ledit départ est assez lent, les cyclistes devant par la ligne de chronométrage au compte-gouttes, si bien que le chrono effectif sera enclenché pour moi à 9 h 07. D'emblée, la côte de Beausaint (honni soit qui mal y pense!) est sous nos roues. 2,8 km à 5,4 % très réguliers, sur une large route nationale, idéal pour s'échauffer, malgré un revêtement très mauvais par endroits, comme de juste — c'est aussi ça la Belgique, après tout 😕. Peu après le sommet, le parcours quitte cette nationale pour s'engager sur la gauche dans une longue descente sur une petite route étroite et forestière, et attaquer ensuite la courte côte de Mierchamps (800 m à 5 %) avant de revenir une première fois à La Roche. Un virage à droite très sec entame alors la montée de la côte d'Hives, 2,1 km à 7 % assez réguliers également. C'est une de mes côtes préférées d'Ardenne en raison du parfum indiscutablement montagnard qu'elle rend : on commence par longer le flanc d'un côteau très incliné, presque une falaise, pour déboucher ensuite dans des champs qui ont des allures d'alpages. Peu après Hives, la Vélomédiane et la Petite Crique vont bifurquer, la première se dirigeant vers Ortho, en passant par la côte des Haies d'Ortho, longue (2,7 km), mais peu pentue (3 %). Puis c'est Nisramont, et une descente cahoteuse vers un barrage hydraulique sur la rivière Ourthe avant d'affronter la côte de Fily, un peu plus longue (3,3 km) et un peu plus pentue (4,6 % de moyenne). Pas mal d'habitants des villages qui suivent, Nadrin et Wibrin, sont sur le pas de leur porte pour nous encourager — on verra même des orchestres improvisés sur le parcours ! Les côtes dites de Wibrin (1,3 km - 6,1 %) et de Nadrin-Bérismesnil (1,5 km, 3,6 %) sont avalées prestement, en tournant bien les jambes selon mon habitude. Je dépasse notamment deux dames hollandaises, et j'entends l'une derrière moi dire à sa compagne : «Mooie cadans», belle cadence. Une cadence de pédalage élevée serait-elle un élément pour séduire ces dames? 😃 Longue descente ensuite vers le hameau de Maboge, très fréquenté par les adeptes du camping, où nous attend, caché dans l'ombre, après un petit pont sur la rivière Ourthe, le premier (très) gros morceau de la Vélomédiane : le Pied Monti ! Devenu LE symbole de cette cyclosportive, la plupart le connaissent maintenant comme « le mur de la Vélomédiane ». 2 km à 8,8 % de moyenne, nous disent les stats de la feuille de route, mais il ne faut surtout pas s'y fier : les pourcentages hectométriques du premier kilomètre sont, dans l'ordre, 3, 17, 16, 18, 12, 9, 17, 11, 3, 5… avec une pointe à 21 % sur 5 m. Une succession de murs très difficiles à gérer ! J'y croise les premiers cyclistes devenus piétons, un «bonheur» que je ne connaitrai heureusement pas de la journée (merci à mon braquet de 26/34). Le deuxième kilomètre, à travers champs, est nettement plus facile, mais c'est là que je dépasse le plus de cyclistes en fait, occupés qu'ils sont à retrouver leur souffle. Au sommet, à Hubermont, direction le village de Buisson et le premier des deux ravitaillements du parcours, après 61 km. Puis descente vers La Roche par la côte d'Hives déjà empruntée tout-à-l'heure dans l'autre sens. Et à La Roche, se pointe le deuxième mur de la journée, qui est en fait une combinaison de trois côtes : la rue Saint-Quoilin (pourcentages hectométriques 13-13-7-10), un faux-plat montant de 400 m, puis la côte du Parc à Gibier (12-10-12-15-14-7), une redescente et enfin les 1300 derniers mètres à 11% de moyenne très réguliers et en ligne droite de la côte d'Haussire proprement dite. En tout 4 km, que l'organisation chronomètre pour chaque participant. Mon temps sera de 22 minutes, soit une moyenne de 11 km/h. Juste avant le sommet, je vois un cycliste néerlandophone mettre pied à terre juste devant moi en soufflant «Ik heb de count», «j'ai mon compte». Il ne restait pourtant que 100 mètres à gravir, mais il ne devait pas le savoir, ou bien n'en pouvait vraiment plus… La descente qui suit, irrégulière, nous amène au milieu de la route de Samrée qui joint La Roche-en-Ardenne à Baraque de Fraiture, soit 3 km de grimpette supplémentaire plutôt reposante à 5% réguliers jusqu'au hameau du même nom. Pourtant je vois plusieurs cyclistes avec la plaque de la course descendre dans le sens opposé ! 😲 On n'en est même pas à la mi-parcours mais visiblement, ils en ont déjà assez vu. Et c'est vrai qu'on est loin d'en avoir fini avec les grosses difficultés du jour… À Samrée, on descend vers Dochamps puis Lamormesnil. À partir de là je découvre, c'est un endroit que je connais très peu. Esthétiquement très plaisant, c'est sûr ! De la verdure et des collines à perte de vue. Une longue côte peu difficile, à Odeigne (2,9 km à 4,6 %) sert de prélude à un petit raidard surprenant, la côte de Malempré (800 m à 10 %), qui teste à nouveau les petits braquets. Ensuite une longue et pénible transition d'une dizaine de kilomètres en faux-plat descendant essentiellement (je n'ai jamais aimé les faux-plats) nous amène à la vallée de l'Aisne et au troisième gros morceau du jour : la côte de Roche-à-Frêne et ses 2 km à 10 %… très constants ! Pas de répit possible dans cette côte, et pour bien des participants les jambes se font lourdes. Pour ma part je dois gérer un début de crampe à la cuisse droite (quand j'ai des crampes, ça commence toujours à cet endroit…), mais en changeant un peu mon coup de pédale (un peu plus «avec le talon» et moins «de la pointe») ça passe. Bien sûr, la côte produit des piétons supplémentaires et des cyclistes zigzagants. Et derrière moi j'entends encore une fois une exclamation concernant ma fréquence de pédalage. Je me retourne et vois deux cyclistes juste derrière moi. L'un deux, plus à l'aise que l'autre, me rejoint. Il me dit que lui-même tourne déjà pas mal les jambes d'habitude mais que là il a trouvé mieux que lui en la matière et me demande mon plus petit braquet (26/34 donc). Lui a 30/28. On finit la côte de Roche-à-Frêne en discutant braquets, compact, triple… Je lui raconte notamment comment on peut descendre bien plus bas en braquets qu'on l'imagine, en personnalisant ses plateaux de triple (jusqu'à 24 dents avec TA). Quelque chose que bien des gens ignorent, lui compris jusqu'à maintenant ! La Roche-à-Frêne bouclée, suit une descente raide sur une route sinueuse, où j'atteins pourtant ma vitesse maximale du parcours (68 km/h). On rejoint à nouveau la vallée de l'Aisne, puis la commune du même nom, pour s'attaquer au quatrième gros morceau de la journée : le col de Rideux, versant nord. J'avais déjà grimpé cette perle dimanche dernier lors du Géants des Ardennes, mais par son versant nord-est, plus facile. Pour rappel, le Rideux est le seul col belge digne de ce nom selon l'Institut Géographique National du pays, c'est-à-dire un point d'altitude plus basse sur une ligne de crête, permettant le passage d'un versant à une autre. 370 m d'altitude, ça n'en impose pas a priori, mais par le versant nord il faut grimper pendant 2,5 km à 8 % de moyenne, et comme de juste ces 2,5 km sont très irréguliers : on peut les diviser en trois secteurs bien raides (avec notamment un hectomètre à 15 % pour le premier) entrecoupés de deux faux-plats réparateurs. Après le col, à nouveau une descente bien rapide, par son magnifique versant sud, et un peu plus loin, au sommet d'un bref casse-pattes à Fisenne, le deuxième et dernier ravitaillement, kilomètre 132. Il était temps, la chaleur aidant je viens juste de finir le second de mes deux bidons de 80 cl… 😬 Je discute avec un préposé au ravitaillement, qui me rappelle avec humour qu'avant l'arriver il reste encore à avaler une côte de bœuf pas très digeste… désignant par là la côte de Beffe. Pour y accéder il faut au préalable effectuer une dizaine de kilomètres irréguliers, qui me font mal aux jambes même s'ils sont globalement descendants. Et me voici au pied de ce morceau de choix, à Rendeux. Cette côte de Beffe, qui mène au hameau du même nom, c'est une ligne droite presque parfaite de 1400 m à plus de 10% de moyenne, d'une constance à faire pâlir un métronome et sur une route tellement large qu'elle ressemble à un boulevard. Là encore, des cyclistes piétons ou en zigzag rythment l'ascension. Pour ma part, la deuxième crampe de la journée m'y assaille au début… à la main droite. Elle me contraint à tenir le guidon d'une main pendant une centaine de mètres, avant qu'elle reparte comme elle était venue. Et pour la deuxième fois de la journée, quelqu'un m'interpelle au sujet de mon braquet : une dame néerlandophone que j'ai déjà croisée plusieurs fois pendant la journée et qui alors que je la rattrape me demande mon «verzet», mon braquet. Quand je le lui dis, elle lance une exclamation d'étonnement, mais choisit, pente aidant, de ne pas continuer le sujet. Je poursuis donc : étonnamment, je me sens particulièrement bien, peut-être que la perspective de l'arrivée proche me fait du bien au moral et donc au physique. Mais avant, il y a encore du travail de grimpette à effectuer, la côte de Beffe n'étant que le premier palier (de loin le plus consistant ceci dit) d'une très longue ascension menant à Samrée, à 549 m d'altitude. Le deuxième est la côte au nom impossible de Laidprangeleux (2,8 km à 5,6 %) à Devantave, le troisième la côte de Dochamps (1,7 km à 3,6 %) qu'on avait descendue auparavant. Et puis c'est Samrée à nouveau : c'est quasiment fini, il ne reste qu'une longue descente de 7 km à 5 % environ, bons pour faire grimper le compteur à 50 km/h, pour rentrer à La Roche et boucler cette cyclosportive ! Bilan : les 170 km (165 selon mon compteur) effectués officiellement 8 h et 8 minutes, soit 21,2 km/h de moyenne. La durée maximale du parcours était fixée à 9 h 30, j'avais donc une confortable marge, moi qui m'attendais à finir dans les tout derniers et limite hors-délais! Le temps réel (quand on enlève la séance de surplace au moment du départ) est de 8 h et 1 minute. Cadence moyenne selon mon compteur : 89 tours/minute. Je persiste donc à tricoter des chandails, et ça me réussit plutôt bien. Je finis 1465ème place au classement scratch, sur les 1850 participants environ du départ et 1604 recensés à l'arrivée. Pour la montée chronométrée des 4 km d'Haussire, mes 22 minutes me valent la 1302ème place. Lors du Gran Fondo Eddy Merckx de 2012, j'avais fini 933ème sur 949, il y a quand même eu du progrès en trois ans, d'autant que le parcours, quoiqu'exigeant, était loin de l'être autant que cette Vélomédiane. 😄 Me voilà donc gratifié du titre de «Sanglier de bronze» après cette journée. Et maintenant, une idée de projet me trotte dans la tête : et si je revenais l'année prochaine pour essayer d'avoir le Sanglier d'argent ? Il faudrait que je gagne 25 minutes pour y avoir droit dans ma catégorie d'âge (44 ans l'année prochaine). Ça ne me semble pas insurmontable, n'ayant jamais été vraiment «à la limite» pendant cette journée. Mais c'est peut-être vite dit. On verra bien… Il faudra que je m'améliore énormément pour mieux passer sur le plat et surtout sur les faux-plats, ce qui nécessitera un gros travail, y compris psychologique, tellement je préfère quand ça grimpe vraiment.
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Choix de pneu pour velo de route
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Sebastien POIRIER dans Le matos
Une précision : j'évoquais les Conti GP 4000 tout court (et les 4 Seasons), mais pas les GP 4000 s2, que je ne connais pas. -
L'électronique/électrique a cette particularité, par rapport à la mécanique pure, de lâcher d'un seul coup sans en avoir donné le moindre signe avant-coureur. On peut dire la même chose des cadres en carbone… Peut-on y voir une règle d'évolution générale ?
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Choix de pneu pour velo de route
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Sebastien POIRIER dans Le matos
Le 25 apporte un supplément de confort, de robustesse et d'adhérence. Très appréciable sur les mauvaises routes et par mauvais temps, pour le prix du faible poids supplémentaire. Pour le rendement, je ne sais pas mais la différence doit être minime avec le 23. Par contre, tous les vélos n'acceptent pas cette section : si vous adoptez le 25, vérifiez que le pneu passe bien sous le freins, la fourche, entre les bases.… Pour ne parler que des pneus que je connais : les routes belges sur lesquelles je roule sont souvent dans un état particulièrement lamentable, ce qui m'a fait rechercher d'emblée les pneus robustes. Les Continental Grand Prix 4000 et Continental GP 4 Seasons ont une bonne adhérence et une bonne robustesse. Par contre il sont rigides et peu confortables, de l'avis général. Ce sont les pneus que j'utilise en général. Le Schwalbe Durano plus est encore plus solide que les Continental, notamment sur les flancs (les Conti n'ont pas de protection supplémentaire sur les flancs, les Schwalbe Durano plus si). Par contre ils sont plus lourds et moins adhérents. Je les utilise quand je passe sur des routes en très mauvais état, voire des routes carrossables, terre ou caillasse. -
C'est le premier pas le plus important, et ça y est, il est fait ! 😄
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Sortie particulièrement corsée aujourd'hui avec la cyclosportive Vélomédiane - Claude Criquiélion en Ardenne luxembourgeoise (La Roche-en-Ardenne et les environs), par un temps globalement ensoleillé et chaud. 170 km, 3300 m de dénivellation, soit 8 h et 1 min de route pour ma pomme. On est loin des 4 h de vélo pour 150 km de Joachim 😉 mais ces 21,2 km/h de moyenne ne sont pas mauvais vu mon niveau… et le terrain. Quel beau parcours! Des murs en veux-tu en voilà : Pied Monti (aka Mur de la Vélomédiane), Parc à Gibier, Haussire, Malempré, Roche-à-Frêne, col du Rideux Nord, côte de Beffe… et quantité d'autres côtes moins notables, répertoriées ou non. C'est la randonnée/cyclo ardennaise la plus ardue que j'ai faite jusqu'à présent. Un beau diplôme à l'arrivée me certifie que j'ai mérité le «Sanglier de Bronze» avec mon temps exact de 8 heures et 57 secondes. On avait 9 h 30 maxi pour boucler la course, j'avais donc une belle marge. Toujours selon ce diplôme, j'ai terminé à la 1456e place au scratch. D'après un membre de l'organisation, il y avait 1850 partants pour cette Vélomédiane. Pour cette fois, j'aurai fait un peu mieux que de finir parmi les tous derniers, contrairement au Gran Fondo Eddy Merckx de 2012 😃. Demain, rapport plus détaillé dans la section «Cyclosport», dès que j'ai le temps !
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En soi la fréquence cardiaque au repos ne veut pas dire grand'chose, c'est surtout son évolution qui peut être significative. Et il y a des gens chez qui cette fréquence est basse naturellement. Est-ce ton cas ? N'oublie pas quand même que ce n'est pas ce site qui peut remplacer la consultation d'un médecin…
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Quel temps chez vous ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans L'entrainement et la santé
Pas les orages annoncés en soirée… 😢 -
Rad am Ring 2015, le Nürburgring à vélo
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Pour les intéressés : Une vidéo résumant le Rad am Ring 2015 : Une autre montrant l'escalade (le mot n'est pas trop fort) de la Steilstrecke, ici par des VTTistes: -
On risque de s'y croiser, alors ! Au départ ou à l'arrivée, parce qu'entre les deux tu auras pris pas mal d'avance ! 😃 C'est ma première cyclosportive avec classement depuis le Gran Fondo Eddy Merckx de 2012, et avant celle-là je n'en avais pas fait depuis 2000. Je pars donc un peu dans l'inconnu. J'irai à mon propre rythme et je suis certain de terminer, sauf impondérable, mais ce sera probablement en toute fin de classement, comme dans le Gran Fondo.
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Vitesse limite pour vélos incroyablement basse
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
Rassure-toi Jean, je ne vais pas au centre-ville à vélo. J'habite à deux pas d'un arrêt de métro et la ligne qui y passe m'amène directement au centre-ville en un rien de temps. Si j'ai lancé ce sujet, c'est uniquement pour relever l'absurdité de la vitesse limite imposée dans ce piétonnier. 6 km/h… Vraiment, autant y interdire les vélos, ou bien faire descendre les cyclistes de leur machine. -
La transmission de l'avenir ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Le matos
Ils l'ont essayé aussi au niveau du pédalier, comme celui-là? Il ne me semble pas. Uniquement au moyeu arrière. -
Vitesse limite pour vélos incroyablement basse
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
Sur la promenade des Anglais, il me semble. Je ne sais plus les détails. Je ne me rappelle pas qu'ils aient imposé une vitesse limite aussi basse que celle-là… Des détails supplémentaires sur ce nouveau «piétonnier» bruxellois, pour ceux qui ne connaissent pas Bruxelles : il ne s'agit pas de petites rues mais de grands boulevards rectilignes qui il y a encore quelques mois étaient parcourus par de très nombreuses voitures. Ce devrait donc être facile de faire de la place aussi bien pour les piétons que pour les vélos, maintenant que les voitures n'y passent (presque) plus. Quitte à en faire un semi-piétonnier. -
Hemorroides
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Philippe PINTO dans L'entrainement et la santé
Hé bien parfait! Pourvu que ça continue ! Par contre faudra peut-être pas trop forcer sur les épices une fois rentré en Thaïlande ! 🙁 -
Vitesse limite pour vélos incroyablement basse
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
Autant alors carrément interdire les vélos dans ces zones plutôt que d'imposer ce genre de limitation de vitesses absurde. À se demander si ceux qui l'ont imposé ont la moindre idée de ce qu'est rouler à vélo. -
La transmission de l'avenir ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Le matos
L'article en question : http://www.trackandnews.fr/2015/08/test-du-farrahd-tx-1200-avec-boite-pinion-p-18/ -
La transmission de l'avenir ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jacques VANDEWIELE dans Le matos
Intéressant. Y a-t-il un avantage particulier à loger ce genre de mécanisme dans le pédalier plutôt que dans le moyeu arrière, comme ça se fait déjà couramment (14 vitesses chez Rohloff) ? -
Vitesse limite pour vélos incroyablement basse
Franck PASTOR a posté un sujet dans Discussions Route
C'est écrit dans cet article, mais j'ai du mal à y croire. http://www.lalibre.be/regions/bruxelles/a-plus-de-6-kmh-a-velo-dans-le-pietonnier-des-sanctions-a-la-cle-55ddd39c35708aa437c1e842 Pour faire bref : une partie du centre-ville de Bruxelles est devenue piétonnier, ce qui en soit est une excellente chose à mon avis, mais il semblerait que les cyclistes ne peuvent rouler dans cette zone (toute plate) qu'en deçà de… 6 km/h. Déjà qu'il y a des piétons qui marchent plus vite que ça… et même pas mal de gamins sur leurs vélos à roulettes ! -
Presque quatre heures de sortie cet après-midi dans les collines du sud-ouest de Bruxelles. Je n'avais pas prévu aussi long, mais le beau temps m'a donné envie de rallonger un peu. Première partie toute plate le long du canal Bruxelles-Charleroi jusqu'à Lembee, ensuite quasiment que des côtes, la plupart à fond avec des sprints en haut pour finir. La condition semble bien là. Un peu fatigué quand même en rentrant. J'espère que je n'en ai pas trop fait, il faut que je récupère complètement pour la Vélomédiane dans trois jours…
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Hemorroides
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Jean-Philippe PINTO dans L'entrainement et la santé
C'est justement là où j'ai été opéré de l'appendicite (en 1992 si ma mémoire est bonne) et où mon voisin de chambre avait eu la même opération que toi. Ils ont peut-être une spécialité reconnue dans ce domaine. Sinon moi je suis né un peu plus loin, et plus tôt (Clinique Mutualiste à Grenoble même, en 1972). Gamin va! -
Un casque aurait pu li servir
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Didier BERNARD dans Discussions Route
Ça me rappelle l'accident de Carlo Tonon pendant le Tour 1984 où il a percuté en pleine descente de Joux-Plane un cyclotouriste complètement inconscient faisant le parcours de l'étape en sens inverse! Fracture du crâne, coma prolongé, il en a gardé des séquelles irréversibles entraînant la fin de sa carrière. Il s'est suicidé en 96… http://www.liberation.fr/sports/2013/07/04/cepeda-tonon-heliere-la-chute-et-la-tombe_916069 https://en.wikipedia.org/wiki/Carlo_Tonon -
Je ne me sens pas vraiment concerné : je ne suis pas allé voir passer le Tour depuis près de vingt ans et je n'ai aucune envie de renouveler l'expérience. Je ne serais pas contre le principe de payer, mais pour quoi en échange ? Le droit de rester sur place dans un col pendant une éternité, tout en rôtissant au soleil dans les effluves de barbecue et d'essence (ou pire d'être trempé sous la pluie), tout ça pour voir passer les coureurs en un rien de temps, et avant eux une caravane publicitaire longue et ennuyeuse comme un jour sans pain ? Déjà que je n'y vais plus parce que ça avait fini par me gaver, alors si en plus je dois payer pour la même chose, je ne risque pas de changer d'avis.
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C'est l'attitude de Goddet que je trouve scandaleuse. Quand on instaure un règlement, ce n'est pas pour tolérer qu'il soit enfreint. Ou alors on en tire les conséquences et on le change.
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Mais j'en suis un. Ça n'empêche pas d'être pragmatique. Je renvoie donc vers le vrai problème : que ce genre de trucs soit toléré… C'est contre ça qu'il faut râler.