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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Au cas où tu serais disposé à changer d'avis, une petite vidéo pour mettre dans l'ambiance 😉 http://bit.ly/2qwGbpT
  2. Tu devrais essayer les plateaux Spécialités TA. Possibilité de se les fournir ou commander chez Barelli, à Croix près de Lille, donc pas loin de chez toi !
  3. Bin oui, on est direct et on dit les choses comme elles sont en Flandre. Même le prospectus officiel de ces circuits thématiques Tour des Flandres donne le ton : la section pavée «Paddestraat» y est désignée comme «dé gesel voor de rennerskont», LE fléau pour le cul du coureur. 😃 Pas trop tenté de parcourir ces belles routes un jour, apparemment ? 😇
  4. Y a pire encore mentionné, le pédalier White Industry VBC : 50-26 et 48-24… 24 dents d'écart…
  5. C'est en plein boum actuellement au contraire. Raison essentielle : la simplicité de manipulation. Défauts : d'une part, comme tu l'as compris, ça ne couvre pas tous les types de terrain, à moins d'introduire d'énormes trous entre les pignons. Et la ligne de chaîne est catastrophique sur les pignons extrêmes. Les chaînes actuelles sont suffisamment souples pour s'en accomoder sans trop de risque de casse, mais ça n'enlève rien à la baisse de rendement de la transmission de l'effort, qui est d'autant meilleure que la chaîne est droite, et d'autant moins bonne que la chaîne est oblique. Et la chaîne s'use plus vite ainsi également. Dans le milieu des cyclistes urbains et des randonneurs, la solution des vitesses dans le moyeu ou dans le pédalier semble gagner de plus en plus en popularité. Là il n'y pas seulement qu'un plateau, il n'y a aussi qu'un pignon, la ligne de chaîne est parfaite et l'entretien est fortement réduit. On peut y adapter un cintre route pour les modèles les plus perfectionnés (Rohloff, Pinion). Défauts : poids plus important (ça varie selon les modèles), prix élevé voire très élevé pour les modèles les plus sophistiqués, et systèmes très exclusifs avec leur roue arrière ou leur cadre spécifiques.
  6. Parfait dans ce cas.
  7. Et question rendement, la ligne de chaîne sur les braquets utilisés le plus souvent pour les cyclistes tranquilles sur le plat, genre 42/15, 42/17, 42/19. Je m'imagine aussi les aller-retours désagréables entre le 42 dents et le 28 dents sur terrain irrégulier. D'autant plus facilement que j'ai roulé un temps sur un triple 52-42-28. L'écart entre le 42 et le 28 était trop gros pour moi et je le trouvais très désagréable à gérer. Alors s'il faut sans cesse faire l'aller-retour sur le plat… D'autre part, est-ce que quelqu'un connaît le rendement d'un pignon de 10 dents ? La chaîne n'a guère de place pour s'enrouler autour d'un pignon aussi petit ! Je me répète, mais à ce compte je préfère opter pour un système genre Rohloff avec vitesses dans le moyeu (ou le pédalier). Peu m'importe le poids supplémentaire (le poids d'un bidon pour un Rohloff), tant que c'est fiable, durable et que je peux passer partout sans problème. Pour tout ceux qui tiennent aux tout petits braquets (cyclistes véloces passe-partout, cyclo-randonneurs avec bagages, moyens physiques limités, tandems, etc.), voici une compilation des solutions possibles avec ce qui est proposé actuellement sur le marché (en anglais) : http://www.cyclingabout.com/wider-gear-range-road-shifters-gears-for-easier-hill-climbing/ Sur les leviers Genevalle : http://www.cyclingabout.com/drop-bar-shifters-gevenalles-simple-thumb-shifters-with-sti-convenience/
  8. De façon plus pratique, le passage de mon vieux VTT à un vélo route ne s'est pas traduit par des différences spectaculaires, notamment en côte. C'est plutôt plus net sur le plat (effet position et frottement dominants ?) Oui, sur le plat et si l'allure est régulière, sans accélérations, le poids est beaucoup moins important. Par contre la puissance consommée par les divers frottements (qui augmentent quand même proportionnellement à la masse de l'ensemble cycliste-vélo, mais aussi proportionnellement à la vitesse) et surtout la puissance consommée par la résistance de l'air (qui augmente proportionnellement au cube de la vitesse) jouent alors un rôle essentiel. C'est bien expliqué dans Altigraph. En VTT, on est généralement moins aérodynamique que sur la route, ce qui explique les différences nettes que tu as constatées. J'imagine aussi qu'outre le poids supplémentaire d'un VTT, la résistance au roulement des gros pneus souvent crantés des VTT est bien plus grande que celle des pneus routes, et que ça augmente l'importance du handicap dû aux frottements en général.
  9. Oui, tu en sais quelque chose puisque je t'ai fait passer par là il y a deux ou trois ans ! 😇 Ceci dit, quand je pouvais éviter les pavés sans quitter l'itinéraire balisé, je n'hésitais pas. Les rigoles du Paterberg et du Taaienberg sont parfaites pour ça. Il y a également quelques endroits au Vieux Kwaremont où on peut éviter ses très mauvais pavés. C'est plus facile s'il fait sec, on peut alors rouler sur certains bas-côtés en terre battue sur la portion en replat (ce qu'a tenté Sagan cette année sur le Ronde… pour son malheur !) Par contre, pour le Koppenberg, c'est beaucoup moins évident, la partie la moins pentue au pied a des rigoles plus régulières que le pavé central, mais elles sont elles-mêmes pavées quand même. Le reste pas moyen d'y couper ou sur des portions très courtes, et à condition de savoir faire l'acrobate. Voir son ascension par Philippe Gilbert lors du dernier Ronde… Idem pour le secteur le plus conséquent de tous, la Mariaborrestraat. Par temps sec on peut utiliser certains bas-côtés, mais au risque de crever. Et même pas la peine de penser à ces bas-côtés s'il fait humide.
  10. Ça semble logique, sauf que je ne suis pas sûr du tout que la différence de temps soit suffisamment conséquente pour permettre une puissance significativement plus élevée, particulièrement si l'ascension est longue. Dit autrement, je ne suis pas sûr qu'on escalade un col de 35 minutes avec une puissance significativement différente de celle utilisée pour un col de 40 minutes. A fortiori si l'ascension est vraiment longue, une heure ou plus. Dans mon cas, en supposant que perdre 4 kg de poids sur mon matos me permet de gagner 0,5 km/h dans l'ascension du col du Coq à puissance égale, ça me ferait passer de 10 km/h de moyenne à 10,5 km/h. Mon temps d'ascension sur les 12,7 km du col passerait donc théoriquement de 75 min à environ 72,5 min, soit une différence de deux minutes et demie. Ça ne laisse pas beaucoup de marge pour envoyer plus de watts. La question est à creuser en tout cas.
  11. Les 200 bornes c'est déjà fait, un peu plus au sud de la Belgique. Et le compte-rendu aussi. Faut suivre un peu, Olivier ! 😛 http://www.velo101.com/forum/voirsujet/monschimaymons-2017--39353 Et puis quand même, quoi : Vieux Kwaremont, Paterberg, Koppenberg, Taaienberg… ils font tous partie de la légende du cyclisme, ça mérite qu'on s'y attarde un peu ! 🆒 Et puis ne t'inquiète pas, le prochain compte-rendu sera plus court… je ne vais pas faire un circuit thématique du Tour des Flandres chaque semaine, ni même chaque mois, je tiens un peu à mon matos !
  12. J'étais bien amorphe ce matin… alors je me suis que pour me secouer, rien ne valait mieux qu'une bonne séance de pavés dans les Ardennes flamandes ! Donc, vélo dans le coffre et direction Audenarde cet après-midi pour faire la circuit balisé pour cycliste appelé «boucle bleue du Tour des Flandres» (Blauwe ronde van Vlaanderen-fietsroute) Il y a trois circuit ayant pour thématique le Tour des Flandres qui partent d'Audenarde, chacun avec sa couleur, reportée sur les panneaux indicateurs le long du parcours : le jaune, le rouge et le bleu. http://www.crvv.be/fr/317-routes/7 Des trois, le bleu est le plus court (officiellement 78 km)… et le plus rude, avec des «morceaux» comme le Vieux Kwaremont, le Paterberg, le Koppenberg, le Taaienberg, le secteur pavé de la Mariaborrestraat, le Nieuwe Kruisberg et le mont de l'Enclus. http://www.crvv.be/nl/317-routes/10 Je pars à vélo d'Audenarde vers 14 h 00, direction Berchem et le Vieux Kwaremont. Ça commence doucement par le chemin de halage tout plat long de l'Escaut vers Berchem (quoique, vu l'état de la piste sur certains passages, ça met direct dans l'ambiance… ). Après une vingtaine de minutes, j'arrive à Berchem… Mince, l'accès au Vieux Kwaremont est en travaux. Petit détour par le centre-ville de Berchem pour rejoindre le pied de la côte par un autre accès, et vogue la galère sur cette horreur de 2500 m à 3 % de moyenne, mais avec un max de 11 %… et surtout 2200 m de pavés bien vicieux. Obstacle avalé sans trop de problème, bien que ce soit ma bête noire de la région. C'est pas plus mal que ce soit le premier obstacle… Juste après, le Paterberg. Pavé lui aussi, mais mon chouchou de la région. Deux raisons à ça : d'une part il est très raide (350 m à 13,5 de moyenne, pic à 20 %) et donc mes petits braquets de type VTT y font toujours merveille, et d'autre part une belle rigole sur la gauche permet d'éviter les pavés, ce que je ne manque jamais de faire. Maso mais pas trop ! Comme souvent, franchi sans aucun problème. Un peu loin, c'est le fameux Koppenberg. Un poil moins raide que le Paterberg en moyenne, mais deux fois plus long : 600 m à 10,8 % de moyenne avec un passage à 18 % sur 100 m (pic à 22 %), mais surtout des pavés abominables, et pas moyen de les éviter ceux-là. J'ai toujours pu grimper là-haut grâce à mes braquets, mais à chaque fois j'ai pris soin de le faire par beau temps. Si le pavé est glissant, c'est la marche à pied assurée. Ce n'est pas le cas aujourd'hui, il fait grand beau temps avec une température entre 18 et 20°. Bref, je franchis là aussi l'obstacle malgré les secousses… bien aiguillonné par un tracteur qui arrive derrière moi ! L'occasion de me rappeler qu'à l'origine cette «butte de Melden» était un chemin agricole… Question secousses, je n'en ai pas fini puisque le secteur pavé de la Mariaborrestraat, 2400 m, m'attend ensuite. D'abord en faux-plat descendant puis montant (la Mariaborrestraat proprement dit), puis en côte (Steenbeekdries) et enfin en descente (Stationsstraat) pour parachever le massage du fondement ! Après cette séance, la montée du Taaienberg voisin (800 m à 7,1 % de moyenne, passage de 100 m à 16 %, pic à 18 %) paraît une formalité, d'autant que là aussi une rigole permet d'éviter les pavés. Sauf qu'aujourd'hui elle est jonchée de branchages et feuilles mortes, et je dérape plusieurs fois là-dessus, sans conséquences. Bon signe : je n'ai pas eu à mettre «tout à gauche» dans le passage le plus raide, pour une fois ! Après ça, le plus dur est fait question côtes et pavés, bien qu'on ne soit guère plus loin que la moitié du parcours. Le parcours m'emmène vers le «Muziekbos» à Renaix par des routes étroites en montagnes russes. Dans ce bois bien agréable, je m'arrête à un bistro-restaurant, le « Boekzitting » où trône sur la terrasse un portrait-caricature de… John Degenkolb. Pourquoi lui et pas un autre, et pourquoi à cet endroit ? Aucune idée ! Je prends un thé, fais le plein de mes bidons et descend le «Kanarieberg» à toute berzingue pour atteindre le centre de Renaix et me faire la dernière ascension pavée du jour, le «Nieuwe Kruisberg». Pas très long, pas très raide, mais le pavé est assez mauvais. Cette côte est parallèle au «Kruisberg» proprement dit, célèbre pour avoir été le cadre de l'arrivée du championnat du monde de 1988… et de la mésaventure de Claudy Criquiélion, envoyé dans les barrières Nadar par Steve Bauer à 150 m de la ligne d'arrivée alors qu'il allait s'imposer. J'étais devant mon écran ce jour-là, j'avais 16 ans et c'est toujours aussi frais dans ma mémoire ! Quelle détresse de Criquiélion… À côté de ça, l'exubérance de Fondriest, qui avait pu s'imposer grâce à cet accrochage, m'avait paru presque indécente. http://bit.ly/2q4bIxG Après ce «Nieuwe Kruisberg», le parcours oblique vers l'avant-dernière côte, le Hotond. Mince, la route est en travaux là aussi. Heureusement, c'est de la terre battue praticable, donc j'y vais quand même. Montée asphaltée assez courte, le Kruisberg ayant fait l'essentiel du dénivelé, et je me paie le plaisir de savoir que je domine toute la province de Flandre orientale au sommet, à… 150 m d'altitude ! Un peu plus loin, descente à fond la caisse du «Knokteberg», ou «côte de Trieu», dont le sommet (à Knokt) est en Flandre, mais le pied (Trieu) est en Wallonie. Belle côte asphaltée à monter, le Trieu (1100 m à 8 % de moyene), une de mes favorites de l'endroit, mais elle est également un régal à descendre puisque après un début sinueux dans les bois, le reste de la dévalade est en ligne quasiment droite avec une visibilité parfaite. C'est presque fini pour les difficultés. Ne reste que le mont de l'Enclus un peu plus loin, avec le pied à Orroir en Wallonie et le sommet à Ruien en Flandre. 1000 m à 7 % de moyenne, bref passage à 12 %, c'est une côte très régulière donnant malheureusement accès à un endroit ultra-touristique et donc très (trop) fréquenté. Je n'ai jamais trop vite fait d'aborder la descente de l'autre versant, le «Kluisberg», bien rapide. Le reste du parcours est une vingtaine de kilomètres à sinuer sur des routes bucoliques et champêtres entre Ruien et Audenarde. Plusieurs fois le tracé croise la longue ligne droite qui sert de secteur final du Tour des Flandres professionnel, mais le parcours du circuit «bleu» à cet endroit est bien moins fréquenté et d'autant plus agréable ! Malheureusement avec vent de face aujourd'hui, mais par contre c'est tout plat. Comme je ne me suis foulé à aucun moment jusque-là en dehors des côtes et des secteurs pavés, ma moyenne n'a rien de folichonne avant d'aborder cette section finale :19,8 km/h. Je décide de lâcher un peu la machine pour augmenter cette moyenne typiquement «touristique». De sorte qu'elle sera de 21 km/h à l'arrivée à Audenarde, une quinzaine de km plus loin. Au prix d'un bon petit effort, mine de rien : pour mon moteur de cyclotouriste, mon gabarit de fil-de-fer et mes jambes de canari, rouler en permanence entre 25 et 30 km/h avec vent défavorable n'est pas aussi évident que pour bien d'autres. 86 km au total, bien plus que les 78 km annoncés, 4 h 10 de vélo effectif, 90 tours/minute de fréquence de pédalage moyenne, 64 km/h en vitesse maximale (descente de la côte de Trieu) : une bonne journée de sport ! Un croque-monsieur dans une taverne de la Grand'Place d'Audenarde pour recharger un peu les batteries, et retour à Bruxelles en voiture avec à nouveau quelques bons souvenirs de la région des «Ardennes Flamandes».
  13. Illégale en Belgique, dommage pour les cyclistes locaux… http://www.lameuse.be/1547242/article/2016-04-11/le-spray-anti-agression-est-interdit-en-belgique-meme-pour-philippe-gilbert
  14. Intéressant ! J'ai parfois du mal aussi à monter mes pneus, et je me sers donc parfois des démonte-pneus pour ça, sans problème jusqu'à présent malgré les risques de pincement. Bon signe quand même : j'en ai de plus en plus rarement besoin. 😄 Je vais quand même prospecter pour ces pinces-là, au cas où. En sachant qu'il vaut mieux apprendre à s'en passer : c'est rare qu'on ait ce genre de pinces avec soi si on crève en cours de route…
  15. Ma complainte habituelle : pas de triple… 😢
  16. Un éventail en montagne… Tout fout l'camp!
  17. Faut pas s'attendre à mieux. Les espaces de commentaires d'articles sur ces sites sont presque tous des défouloirs pour frustrés et aigris de toutes sortes, et pas seulement en ce qui concerne la cohabitation routière.
  18. Oui, risque de gel la nuit, et 17° au plus chaud de la journée. Pour qui part tôt le matin pour rentrer l'après-midi, c'est pas évident de savoir comment s'habiller… 😕
  19. ET moi, idem qu'Éric. Comprendre les raisons de la chute est essentiel. En particulier, si la cause de la chute est liée au vélo lui-même, il faut absolument y remédier. Avoir confiance en son vélo est capital pour bien descendre.
  20. Il y a quand même une part de moral importante, que les chiffres et les études scientifiques ne peuvent pas rendre. La preuve, ta réticence à faire à nouveau 120 bornes en montagne avec ton mulet alors que ça t'est parfaitement possible puisque tu l'as fait (j'en suis témoin, ainsi que Bruno et d'autres ;-))… quitte à aller moins vite ! De fait, se retrouver lesté de 5 kg du jour au lendemain n'incite pas à y aller à fond. Au contraire on se met plutôt à gamberger. Quand au contraire on se libère de ce handicap de poids, on se sent pousser des ailes et on a alors plus tendance à «taper dedans». J'ai constaté cela plusieurs fois quand je passais de mon vélotaf à mon vélo de course et vice-versa. Reste que si la puissance globale transmise aux pédales est la même, les faits scientifiques sont là : une différence inférieure au km/h sur une pente conséquente si la différence de poids de l'ensemble est de 5 kg. J'insiste : pour la même puissance. Comme tu as énormément progressé en entrainement tout en passant d'un vélo à l'autre, tu peux exprimer bien plus de puissance pour un poids que tu as réduit, et tu as l'explication de tes différences de performance. Si tu as un capteur de puissance, il serait très intéressant que tu fasses la même ascension, suffisamment longue et raide genre le col du Coq (Venon, c'est raide mais assez court), dans les mêmes conditions (forme, climat…), l'une avec le mulet et l'autre avec ta Ferrari, en prenant soin d'exercer la même puissance. Il faudrait alors noter le résultat, et je suis prêt à parier qu'elle sera de l'ordre du demi-km/h. Juste pour être sûr : c'est vraiment 2 minutes de différence que tu as constaté de Goncelin à Saint-Pierre-d'Allevard, ou 2 secondes ? 2 minutes pour ce trajet-là, irrégulier et dont la principale partie montante est assez courte et globalement peu raide, le tout à deux dimanches d'intervalles c'est proprement énorme !!!
  21. Puisque je te dis que les ancêtres des Belges vivaient au cercle polaire ! 😲 Enfin, peut-être pas ceux de Jacques ! 🆒 Je ne suis sorti qu'une fois en court cette année, pendant mes vacances de Pâques à Grenoble, et c'était en cuissard court thermique (tissu plus épais, et protection contre le vent aux endroits sensibles). Le reste du temps c'était soit le cuissard long hivernal, soit le court thermique avec jambières, jambières que je n'ai enlevées qu'une seule fois en cours de route. Je n'ai encore jamais touché à mon cuissard court classique cette année. De peur de me geler les fesses et les bijoux de famille les petits matins (aujourd'hui, 3° !), ce qu'un court thermique permet d'éviter avec son tissu plus épais et ses protections contre le vent. Une bénédiction pour les frileux, ces «thermiques». En plus ils sont déperlants pour la plupart (résistent aux pluies légères). http://bit.ly/2ejnzSu Si ça se passe comme l'année dernière, il est probable que j'utilise mon court thermique, de plus en plus souvent sans jambières, jusqu'au cœur du mois de juin et occasionnellement au-delà. Il redeviendra la règle probablement dès l'automne.
  22. Depuis que je sais qu'un poids supplémentaire de 5 kg ne fait perdre qu'environ 0,6 km/h sur un pente à 9 % à un type de mon poids et de ma puissance, ce poids supplémentaire ne me préocuppe plus tant que ça. (Source : les graphes du «Guide du vélo en montagne», de Jacques Roux, Altigraph éditions). Certes, une perte de 0,6 km/h c'est un handicap énorme en compétition ou en contre-la-montre, où dès que le temps de montée est capital dans le plaisir qu'on éprouve dans sa pratique. Pour ma pratique personnelle, ce serait intéressant mais négligeable par rapport aux avantages que me procure une bécane ultra-robuste (très appréciable sur les routes belges…), fiable et à mes cotes. Bref : avec une bécane plus légère de 4 kg, j'aurais donc grimpé le col du Coq à, disons, 10,5 km/h au lieu de 10 km/h, toujours insuffisant pour parvenir à te suivre ! 😉 Tu peux par contre te demander de ton côté si une cadence plus élevée ne te rendrait pas service : les études physiologiques récentes tendent à prouver qu'on a tout intérêt à grimper avec une cadence de pédalage proche de celle utilisée spontanément sur le plat. Ceci dit, il y en a qui ne moulinent pas même sur le plat !
  23. Oui, j'ai eu des problèmes de genou. Ménisques abîmés en judo, tendinites et bursites en course à pied et vélo… Articulation toujours très sensible. Une de ces bursites est survenue après justement un travail de force… c'est peu dire que je suis prudent dans ce genre de travail depuis. Mai j'en fais encore de temps en temps. Mais il n'y a pas grand'chose à en attendre : je préfère monter avec une cadence élevée (85-95 tours/minutes en montagne), c'est comme ça que j'ai toujours eu les meilleures sensations. C'est toujours très variable d'un cycliste à l'autre, les sensations, et les miennes sont comme ça. Et avec ma puissance, avoir une cadence raisonnable signifie des braquets bien plus petits que ceux du commerce. Plutôt que de m'adapter à ces braquets, j'ai choisi de les adapter à ma pratique. Quelques chiffres pour éclairer mon propos : au mieux de ma forme et sur une seule ascension de montagne, je dispose de 225 watts environ. Par exemple, le col du Coq versant Saint-Nazaire, 12,7 km à 8,5 % de moyenne. Étant donné mon poids total (mon poids estival de 63 kg en tenue cycliste et celui de mon vélo tout équipé) de 75 kg, le rapport puissance/poids qui en résulte signifie une vitesse moyenne de 10 km/h dans cette ascension. À cette vitesse, tourner à 90 tours/minutes signifie déjà avoir un 26/30. CQFD.
  24. Bah, à ton âge j'en étais déjà à 28/30. Tu attendras probablement le troisième âge avant d'arriver au 26/34 que j'arbore fièrement à 45 ans ! 😃
  25. 300 bornes et 6000 m de dénivellation… plus fort que le BRA quand il partait encore de Grenoble ! Impressionnant. Comme on dit en Flandre : proficiat !
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