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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Tilff-Bastogne-Tilff 2017
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
En me relisant, je vois que je me suis royalement planté en retranscrivant mes temps de parcours. La fatigue, sans doute 😳. En fait j'ai mis 12 h 20 en tout pour boucler les 248 km, soit 11 h 40 de vélo effectif, pause décomptées. -
Tilff-Bastogne-Tilff 2017
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Disons que je bouge avec plus de lenteur et de précautions aujourd'hui qu'avant-hier ! 😃 Mais globalement ça va. Encore que c'est généralement le surlendemain de l'épreuve que les courbatures se font le plus sentir, donc j'appréhende un peu pour demain. -
Tilff-Bastogne-Tilff 2017
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Les évènements route
Je n'arrive pas à concevoir de faire du vélo sans faire des côtes. Je perds beaucoup de plaisir à faire du vélo quand ce n'est que sur du plat… c'est sans doute pour ça que je m'y traîne lamentablement en général. Et quand le vent s'en mêle, ça devient un cauchemar ! Ce n'est pas mon habitude non plus de faire de telles distances. C'était mon deuxième «plus de 200» cette année, après Mons-Chimay-Mons, et c'est probable que je n'en ferai pas d'autres cette année, puisque ils étaient les seuls à mon programme. L'année dernière je n'en avais pas fait du tout, et l'année d'avant seulement un. Avant cela, je crois bien que mon dernier «plus de 200» datait de mon BRA de 1997… mais je ne peux pas être certain, puisque je n'avais pas de compteur entre-temps. Je pense quand même que les longues distances sont plus accessibles qu'on ne le pense. Bien sûr, pour réussir un «plus de 200» il y a le côté préparation physique, indispensable. En particulier avoir un nombre d'heures de selle suffisant, variant selon les personnes et le niveau. Pour ma part j'avais déjà 3500 km au compteur avant de faire cette épreuve. Et il vaut beaucoup mieux avoir fait au moins une fois une sortie sur distance proche au préalable, de préférence sur le même type de terrain, ou approchant. Mais le côté mental est tout aussi important à mon avis, il faut savoir se convaincre qu'on va y arriver, et effectivement savoir prendre sur soi pour s'économiser en route. -
Hier avait lieu Tilff-Bastogne-Tilff, le pendant cyclotouriste traditionnel de la course pro Liège-Bastogne-Liège. http://www.sport.be/cyclingtour/tilffbastognetilff/2017/fr/ Cette année, quatre parcours étaient proposés, contre trois les années précédentes, de quoi satisfaire toutes les exigences : 88 km, 121 km, 172 km et bien sûr le parcours complet, 248 km, le seul qui aille jusqu'à Bastogne. http://www.sport.be/cyclingtour/tilffbastognetilff/2017/fr/info/parcours/map/#4 Pour ceux qui se demandent à quoi rime cette épreuve alors qu'il y a déjà le Liège-Bastogne-Liège Challenge (LBL) qui reprend le parcours de la course professionnelle, il faut savoir que d'une part Tilff-Bastogne-Tilff (TBT) existe depuis bien plus longtemps, et que d'autre part son parcours est différent. Tilff a beau être dans la banlieue proche de Liège, TBT n'est en effet pas un simple décalque de la course pro : si elle en reprend quelques difficultés (Rosier, la Redoute, Hornay), elle a son propre parcours et ses difficultés propres. Par exemple les côtes de l'espace urbain liégeois (Saint-Nicolas, Ans) n'y figurent pas, non plus que le Stockeu ou Saint-Roch mais en échange elle en propose d'autres comme Chambralles, Amermont ou Boncelles. Globalement cela donne un grand parcours un poil moins long que LBL (248 km contre 273 km), moins accidenté selon les stats officielles (3680 m contre 5287 m) mais nettement plus bucolique et dans une ambiance plus détendue. En particulier, pas de chronométrage de côtes, ce qui contribue à des tarifs d'inscriptions beaucoup moins élevés (15-25 euros contre 45-55 euros…). La difficulté de TBT n'est cependant certainement pas à sous-estimer, et j'en sais quelque chose : j'avais déjà tenté le grand parcours en 2014, pour finir par abandonner, perclus de crampes de la tête aux pieds au seuil des 200 km… L'année dernière j'y étais retourné, avec succès, mais c'était «seulement» pour l'unique parcours médian d'alors, 160 km environ. Cette année était donc prévue pour être celle de la revanche, donc grand parcours à nouveau au programme ! Ça commence plutôt mal puisque conformément à une mauvaise habitude de ma part j'arrive plus tard que souhaité pour m'inscrire, commençant la rando de ce fait à 7 h du matin au lieu des 6 h 30 prévues . C'est que le site d'arrivée ferme à 20 h, et que vu mon niveau je prévois au minimum 12 h de sortie pour les 248 km. Ça pourrait donc être skerp (limite), comme on dit à Bruxelles, pour que j'arrive dans les délais ! Départ à la fraîche (12°), et en descente, du Country-Hall de Liège, juste au-dessus de Tilff, sur des routes détrempées par les pluies nocturnes. Passage à Tilff ensuite, avec son curieux pont entièrement en ferraille au-dessus de l'Ourthe, et direction plein sud, pour un des rares passages à peu près plat du parcours, le long de l'Ourthe puis de l'Amblève, pour arriver au pied de la première côte répertoriée, et pas la moindre : Chambralles. http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=52 Cette brute de grimpée, digne de la Redoute mais bien plus irrégulière, propose des passages jusqu'à 20 % et des épingles à cheveux vertigineusement raides. De quoi sérieusement entamer ses réserves après seulement 26 km de route ! Le mot d'ordre est pourtant de s'économiser le plus possible, si on veut aller au bout du grand parcours. Pas question pour moi donc d'essayer de suivre ceux qui participent aux parcours moins longs, et Dieu sait qu'il y en a qui en profitent pour se tirer la bourre ! C'est là que des braquets de vététistes comme les miens sont vraiment utiles pour se ménager… ils seront mis à contribution à nouveau, certes, mais vers la fin du périple. En haut de Chambralles, ce sont les Ardennes : paysage souvent époustouflants et malheureusement revêtements tout aussi souvent dégradés, qui me feront pester plus d'une fois contre les responsables des équipements routiers de la région ! La route monte et descend en permanence même en l'absence de côte répertoriée (une blague bien belge). Plus question de passages plat ! Premier ravitaillement à Werbomont, avant que les différents parcours se scindent. Le grand met le cap vers la province du Luxembourg belge, plein sud. Manhay, Odeigne, Samrée, Berismenil, Nadrin… Un parcours en toboggan, mais globalement montant : au-dessus d'Odeigne on atteint le point culminant de la randonnée (630 m), près de la Baraque de Fraiture (654 m, point culminant de la province du Luxembourg). Après la descente de la côte de Mormont, on attaque la deuxième difficulté répertoriée, la côte de Bonnerue : assez longue (2500 m) mais régulière, entre 6 % et 8 % de pente. Les jambes tournent plutôt bien. Une vingtaine de kilomètres plus loin, j'arrive à Bastogne un peu avant midi, endroit du deuxième ravitaillement, après 98 km de route. Jusque-là tout s'est bien passé, et je ne ressens pas de fatigue particulière. Le prix à payer pour cela a été une allure volontairement réduite de bout en bout, ne voulant pas me cramer comme je l'avais fait trois ans plus tôt. C'est que le plus dur arrive… la longue portion de transition de 80 km environ jusqu'aux environs de Stavelot. Ces 80 km, entrecoupés d'un ravitaillement en pleine nature à Gouvy, sont en effet les plus délicats à gérer du parcours. Aucune difficulté répertoriée, certes, mais il ne faut surtout pas s'y fier ! Ça n'arrête jamais de monter et descendre, pas de façon bien raide ni très longuement, mais ça finit par saper les forces si on ne cherche pas, encore une fois, à s'économiser. Mot d'ordre : tourner les jambes ! Et tant pis si je me fais enrhumer par un paquet de cyclistes : je préfère courir le risque d'arriver hors-délais que de finir allongé par terre assailli par les crampes au pied de la côte du Rosier, comme la dernière fois… Ça a d'ailleurs l'avantage de me permettre de profiter de paysages particulièrement somptueux, surtout lorsque le parcours arrive à la limite entre les provinces de Luxembourg et de Liège, du côté de Vielsalm et Malmedy. La troisième côte répertoriée, Chevonfosse, nous attend sur le territoire de cette commune, juste avant d'arriver à Stavelot. Un drôle de morceau, cette côte : juste sous le viaduc d'une autoroute (E42), elle commence par un véritable mur, puis un long replat, avant de repartir de plus belle dans des pourcentages impressionnants, puis de se calmer, et de recommencer… et ainsi de suite, vous avez compris l'idée. Bref, de quoi faire mal aux jambes, et le quatrième ravitaillement à Stavelot, est bienvenu. 180 km déjà parcourus environ. Il est 16 h, et là je me dis que ma prudence m'a effectivement fait bien partir pour finir hors-délais, puisque les bénévoles viennent juste de commencer les préparatifs pour fermer le ravito… Il n'y a d'ailleurs que deux autres cyclistes présents avec moi. Mais pas de problème cependant pour «refaire le plein» et repartir. D'emblée et à froid, c'est la très méchante côte d'Amermont qui se présente sous mes roues : assez semblable à Chambralles dans ses pourcentages et son irrégularité, elle est encore plus difficile puisqu'elle se prolonge par la dernière partie de la fameuse «Haute-Levée», soit une longue route usante et passante en direction de Francorchamps… http://www.sport.be/cycling/nl/hellingen/info.html?Route_ID=49 Un des cyclistes croisés au ravitaillement est littéralement planté dans la côte et reste loin derrière moi au sommet, l'autre part à toute berzingue et je ne le reverrai plus. Après le passage à Francorchamps près du fameux circuit automobile du même nom, on descend à toute vitesse (nonobstant quelques remontées casse-pattes…) vers Moulin du Ruy et la cinquième côte répertoriée du jour, la fameuse côte du Rosier. http://www.sport.be/cycling/nl/hellingen/info.html?Route_ID=125 Jamais très pentue, mais très longue à l'échelle belge, près de 5 km. C'est au pied de cette côte que j'avais dû abandonner il y a trois ans… Comme pour me rappeler ce moment pénible, aujourd'hui je vois un autre cycliste affalé par terre au même endroit. Lui n'a pas eu de problème physique, seulement matériel apparemment (vélo posé à l'envers devant lui). Mais quand je demande si je peux l'aider, il me dit que non, que c'est sa roue arrière qui est en vrac, qu'il n'y a donc rien d'autre à faire que d'appeler l'assistance officielle… Peut-être atteint au moral par cette mésaventure, j'effectue la grimpée du Rosier à un rythme moindre que celui que j'ai l'habitude d'employer dans cette côte que je connais bien. Pour ne rien arranger, une fois arrivé au sommet il se met à pleuvoir… De plus, après la descente rapide (et refroidissante!), se présente une des portions que je redoute le plus dans le parcours : un long faux-plat descendant irrégulier d'une vingtaine de kilomètres entre Targnon et Remouchamps, le long de l'Amblève, où on a généralement le vent de face. Moi qui ai absolument horreur du vent, la perspective ne m'enchante guère ! Coup de bol, le vent est favorable cette fois-ci, et malgré la pluie devenue intermittente et la circulation assez importante, je mets moins longtemps que prévu pour atteindre Remouchamps et le cinquième et dernier ravitaillement, vers 18 h et après 224 km de route. Entre-temps, le cycliste que j'avais distancé dans Amermont m'a rejoint : celui-là semble sacrément efficace sur le plat, contrairement à moi ! Mais on est tous les deux décontenancés à voir le lieu de ravitaillement, qui a l'air fermé. Comme on est juste au pied de la terrible côte de la Redoute, mon comparse décide de continuer sa route sans s'arrêter. Moi si, je dois absolument remplir mes bidons, qui sont vides, quitte à aller me ravitailler en eau chez l'habitant. C'est là que je m'aperçois que le ravito n'est pas encore complètement fermé : il y a encore quelques personnes, et de quoi remplir mes bidons ! Les préposés m'accueillent en disant "Ah voilà le dernier !" (ils se trompent en fait, comme je le verrai plus tard) et à part cette remarque un peu vexante m'accueillent gentiment en plein milieu de leurs préparatifs de départ. Comme l'arrivée n'est plus qu'à 24 km et que j'ai encore deux heures devant moi avant la clôture de l'arrivée, le moral repart à la hausse : sauf pépin, c'est dans la poche ! L'avantage d'un ravito à moitié fermé, c'est qu'il prend un minimum de temps, et c'est encore chaud que j'affronte la redoutable et redoutée Redoute, peut-être la côte la plus célèbre de Belgique : http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=55 Mon ascension n'est pas bien rapide, on s'en doute, mais se passe relativement bien. Qu'est-ce qu'on peut apprécier d'avoir un 26/34 dans des passages à 20 % après 224 km de route… Ça se passe moins bien pour le malheureux cycliste qui m'avait rattrapé, que j'aperçois à pied, plié en deux à côté de son vélo, au sommet de la première portion raide. Lui a un compact, soit dit en passant, pour ceux qui affirment sans nuances qu'avec un compact on passe partout ! Au sommet de la deuxième portion raide, juste avant le véritable sommet, au niveau de la stèle, je vois un autre cycliste arrêté, avec un maillot de l'Ardéchoise, discutant avec un spectateur au bord de la route. Ces deux cyclistes me rattraperont encore au pied de la sixième difficulté répertoriée, le Hornay ou côte de Sprimont (répertoriée, mais bien moins dure que nombre d'autre montées non répertoriées du parcours avec ses 1100 à 6% de moyenne !!). Le cycliste au pédalier compact y lâche encore prise, et c'est en relais avec l'autre cycliste, celui avec le maillot de l'Ardéchoise, que j'effectue le reste du parcours menant jusqu'au pied de la dernière difficulté, la côte de Boncelles, qu'on avait en fait descendue au départ : 3500 m variant entre 5% et 7%. Juste avant le pied, le cycliste au compact nous aura encore rattrapés. S'il va apparemment moins vite que moi en montée, je lui demanderais volontiers des conseils pour tout le reste ! Boosté par la proximité de l'arrivée (5 km), je m'autorise enfin à «lâcher les chevaux» dans la côte de Boncelles, mes deux compagnons n'essayant pas de me suivre. À l'arrivée, cuit mais radieux, il est 19 h 20, donc 40 minutes d'avance sur l'horaire de fermeture. À part mes deux comparses, d'autres cyclistes arrivent encore ensuite, je n'étais donc pas le dernier au ravito de Remouchamps ! Ça fait 11 h 40 que je suis parti, avec 10 h 50 de vélo effectif (ravitos décomptés), soit une moyenne honorable (pour moi!) de 21,2 km/h. Supérieure à celle que j'avais réalisée il y a un mois pour les 222 km de Mons-Chimay-Mons (20,4 km/h) où la dénivellation était nettement moindre, donc j'ai de quoi être satisfait. Les jambes ont plutôt bien tourné aussi malgré la dénivellation, 88 tours/minutes de cadence moyenne de pédalage. Et surtout, surtout, j'ai pris ma revanche de mon abandon de 2014 sur cette épreuve ! 😆
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Merci ! Huit bidons en tout. Au total j'aurais consommé (pas toujours complètement) six grands bidons (80 cl) d'Hydrixir et deux petits bidons (60 cl) de 640. J'ai essayé de boire un maximum, voulant à tout prix éviter les crampes qui m'avaient fait abandonner la même épreuve il y a trois ans. Ça a marché d'ailleurs, aucune crampe sauf aux bras (triceps) sur la fin, mais ça a été facile à gérer.
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Tilff-Bastogne-Tilff aujourd'hui, le grand parcours de 248 km. http://www.sport.be/cyclingtour/tilffbastognetilff/2017/fr/ Dénivellation totale de 3680 m selon l'organisation (je ne suis pas équipé pour pouvoir vérifier cette statistique). Quelques «morceaux» au programme : Chambralles, Amermont, Redoute, et d'innombrables autres côtes, la grande majorité non répertoriées, comme de juste ! Temps nettement plus frais (maxi 20°) que ces derniers jours, mais sec, sauf sur les 50 derniers kilomètres agrémentés d'une pluie fine intermittente. Au total 12 h 20 de sortie, 11 h 40 en décomptant les pauses, pour ces 248 km. Soit une moyenne de 21,2 km/h, que je trouve méritante sur une telle distance pour mon niveau. Je n'avais jamais roulé autant depuis mon BRA de 1997, 260 km et 14 h 30 de sortie, mes records dans ces domaines. Évidemment, je suis, disons, un peu «cuit» ce soir… 😬 Compte-rendu plus détaillé dans la rubrique «Cyclosport», pour demain !
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Pistes cyclables en Belgique !
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Franck PASTOR dans Discussions Route
😲 Quand même, à ce niveau d'absurdité ça sent le trucage! -
Le journal flamand De Standaard organise un concours pour déterminer la piste cyclable la plus réussie et celle la plus ratée de Belgique. Les participants au concours doivent envoyer des photos de la piste, permettant au jury de se prononcer. (Jury très éclectique, ma foi : l'ancien pro Peter Van Petegem, une présentatrice télé, le patron du principal syndicat des PME en Flandre et un chanteur de hard-rock !) Certaines pistes sont tellement bien ratées qu'on ne sait pas s'il faut en rire ou en pleurer. Jugez-en vous-mêmes ! http://www.standaard.be/fietsverkiezing Étant donné que De Standaard est un journal flamand, les photos envoyées viennent logiquement presque toutes de Flandre. Il y en a quelques-unes de Bruxelles. J'ai d'ailleurs reconnu certaines pistes par lesquelles je passe moi-même (Diegem, Leuven notamment). Michel Dury, cherche celles de Molenbeek dans le catalogue ! Si les Wallons de ce forum veulent envoyer une photo d'une piste ratée/réussie de leur région, ils sont les bienvenus ! Je pense entre autres à une certaine nationale allant de Wavre à Perwez, ou à une autre allant de Braine-le-Château à Waterloo…
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Pas six ascensions par le même versant quand même ? Il y a au moins trois variantes possibles (la classique, Villard-Reculas, Sarenne). (Pas mal le jeu de mots sur l'Alpe d'HuZes… "Zes" voulant dire «six» en néerlandais).
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Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Description très réaliste, et encore je te trouve bien gentil ! 😇 On devrait imposer à tous les fabricants de pneus, boyaux, tubeless, etc, une période de test obligatoire sur les routes belges. Si possible à Bruxelles et dans les environs. Je me chargerai du protocole de test. 🆒 S'ils passent, alors ils passeront partout ailleurs ! -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Non, ces pneus étaient neufs et d'ailleurs ils étaient intacts après les pincements, seules les chambres avaient pris. Par ailleurs les Continental sont généralement robustes au niveau de la chape, mais j'ai constaté souvent la fragilité de leurs flancs. Particulièrement les GP 4 Seasons que j'ai longtemps utilisé et qui ont eu plusieurs déchirures sur les flancs. Les flancs des Schwalbe Durano plus sont nettement plus épais et sécurisants. Ça les rend d'ailleurs peut-être plus résistants aux pincements. L'inconvénient de ces pneus par rapport aux 4 Seasons est que leur adhérence est moins bonne, mais c'est un autre problème. Ah oui, et je gonfle mes pneus avec une pompe à pied. Aucun problème pour gonfler jusqu'à 8 - 8,5 bars. Et sans doute au-delà si on le souhaite (jamais essayé). -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Avec ton poids plume pourquoi gonfler des conti à 8bars, Je l'ai déjà expliqué : à cause des pincements. J'ai réussi l'exploit de pincer des Conti GP4000 de 23 gonflés à 7 bars. Les deux pneus à la fois, en l'occurence. Je sais que ça vous paraît surréaliste à vous autres Suisses, et à bien d'autres ici, mais c'est comme ça. Ce n'est pas pour rien que la Belgique est le pays du surréalisme ! 🆒 -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Je sais que le tubeless est un gain en confort en raison de la possibilité de baisser la pression sans risquer de pincer. Mais pour le moment je n'ai pas franchi le pas du tubeless. Je suis réticent envers les apparentes difficultés de montage (compresseur souvent nécessaire paraît-il !!). J'attends le prochain changement de vélo pour éventuellement le faire, en le combinant avec le passage au 28 mm de section. -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
je ne vois pas pourquoi certain dise que s'il degonfle leur 23 il pince et pas en 25 ? ?? Tu dois avoir mal lu. J'ai bien dit avoir pincé dans les deux tailles, dans les deux cas pour cause de pneus pas assez gonflés par rapport à leurs pressions optimales. Simplement la pression optimale est moins élevée dans un pneu de 25 que dans un pneu de 23 (pour un même modèle s'entend). Ce qui est logique, vu la différence de volume. Donc un pneu de 23 gonflé à (par exemple) 6 bars aura plus de chances de pincer que le même pneu en 25 gonflé à la même pression. Et pression optimale moindre signifie forcément gain en confort. Beaucoup moins sensible sur vos routes lisses, je veux bien le croire. En ce qui me concerne, les pressions optimales, donc qui permettaient au moins d'éviter les pincements sur mes routes, étaient de 8 - 8,5 bars pour les pneus Conti GP4000 en 23 que j'avais à l'époque, et 7-7,5 bars pour les pneus de 25 que j'ai eu par la suite (Conti GP 4000, GP 4 Seasons, Schwalbe Durano plus). Pour être tout à fait précis, je n'ai pas encore eu de pincements pour les Schwalbe Durano plus en 25 que j'ai maintenant, et donc peut-être que ces pressions de 7 - 7,5 bars sont encore un peu élevées pour ça. Seulement voilà, la seule crevaison (perçure, pas pincement) que j'ai eue avec ces pneus, c'est quand j'avais fait un essai de les gonfler à 6 - 6,5 bars l'année dernière. Donc je suis revenu, par prudence, à 7 - 7,5. -
Accident Pauline Sabin-Teyssèdre
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Thierry CHAMOU dans Discussions Route
Il y a tant de gens que je connais qui refusent de faire du vélo et qui donc sortent leur voiture… parce qu'il y a trop de voitures. C'est beau la cohérence. -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Différences de sensations sur routes en béton et passages pavés suffisamment mémorables pour que je m'en souvienne encore très bien, évidemment. Voir Michel Dury qui a fait la même expérience de changement sur les mêmes types de routes. Je me trompe ou toi tu roules sur du tarmac français bien régulier, voire sur le billard suisse voisin ? Un autre monde… Ça ne m'étonne pas tant que ça que tu ne ressentes rien comme différence. -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
tu ne me feras jamais croire que de passer en 25 au lieu de 23 à apporté du confort supplémentaires à ton vélo qui doit déjà l'être Tes sensations de confort sont une chose, les miennes une autre. Tu n'es pas sur mon vélo, on ne roule pas sur les mêmes routes, on n'a pas la même pratique. Tu ne peux donc pas juger des différences de sensations sur le vélo que j'ai ressenties, moi, quand je suis passé du 23 au 25 il y a déjà un bail (sept ans). -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Pesant 64 kg tout habillé avec casque et chaussures, j'ai bien essayé les pressions de 6-6,5 bars pour plus de confort, conformément à la règle usuelle : pression idéale en bars = poids en kg / 10… Sauf qu'en guise de confort supplémentaire ça m'a conduit tout droit à des crevaisons par pincement. Très confortable comme situation, vous imaginez. Aujourd'hui c'est donc 7,5 bar à l'arrière et 7 bars à l'avant pour les pneus de 25, et plus de pincements. Du temps où j'avais des 23 je mettais du 8 bars minimum pour la même raison. Je pensais profiter du 25 pour pouvoir appliquer enfin la règle du poids/10, mais finalement… Va falloir que j'attend mon passage au 28, visiblement. Ce sera pour le prochain vélo. 😛 -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Roues à jantes plates, cadre acier, guidoline épaisse, selle confortable, cuissard Assos. Pour l'hiver, une autre paire de roues montées main à jantes Mavic plates 36 rayons. J'en ai pas suffisamment fait sur mon vélo pour la recherche de la robustesse et du confort, pour ne pas avoir à te justifier mon utilisation des 25 en plus ? Que des outils comme le triple disparaissent, ça laisse froid les plus réactifs de ce forum. Après tout ce genre de truc c'est pour les touristes, ceux qui n'ont rien dans les jambes et qui ne savent pas s'entraîner, n'est-ce-pas ? Mais que la section pneu 25 se popularise, c'est la fin de l'univers, on va ressembler à des cyclotouristes, c'est pas possible, faut se révolter ! Et pourtant… même ici à Bruxelles où les routes sont si minables, le 23 est toujours bien présent et prééminent parmi les pneus routes trouvés chez les vélocistes que je fréquente. Et il est toujours présent dans le catalogue des principaux fabricants de pneus routes. Alors puisque tout le monde peut trouver son bonheur, et pas seulement les amateurs de sections étroites, où est le problème ? -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
Je ne comprends pas comment on peut avoir des jugements tranchés et définitifs pour ou contre une taille de pneu, alors que ça dépend tellement du type de pratique cycliste, et de l'état des routes pratiquées… -
Guerre entre automobilistes et cyclistes.
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Luca CHARMILLOT dans Discussions Route
Mets-là sur ton vélo de route, et tu feras vraiment preuve de courage ! 😛 -
Disparition de Quick-Step Floors en 2018 ?
Franck PASTOR a répondu à un sujet dans Discussions Route
Le gabarit ne fait pas tant que ça à l'affaire. Virenque était fin comme une trique comme Valverde l'est aujourd'hui, et ce sont tous deux des pédaleurs en force. Valverde d'ailleurs très bon sprinteur malgré sa minceur. Si Alaphilippe est limité, je ne pense pas que ce soit dû à son gabarit ni à son style de pédalage. Mais à ses limites physiologiques. Moulin ou pas il a une puissance maximale (à différencier de la force !) qui doit être inférieure à celle de ses concurrents directs comme Valverde, Sagan… La force n'est qu'une composante de cette puissance. Attention à ne pas négliger l'autre. D'autre part, le problème d'augmenter ses capacités physiologiques, c'est qu'elles sont en bonne part innées, et que les tranformer complètement impliquerait du dopage… et je ne le lui souhaite pas. -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
A savoir que le 28 (qui fera généralement 30 mm en pression) sur la majorité des étriers standard tu devra dégonfler le pneu pour le montage et démontage (passage de patin). C'est déjà vrai pour mes pneus de 25, quand les patins de frein sont neufs ! -
Différences entre des pneus en 23 et en 25 ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
J'avais des Conti 4 Seasons en 25 avant de passer aux Schwalbe Durano Plus (aux flancs plus solides) en 25 également. Ces deux pneus ont la même section réelle au final, puisqu'ils laissent le même espace sous la fourche de mon vélo. Et cet espace est faible, même pas un centimètre. Déjà limite sur des routes sales et dégradées comme celles de ma région. Le passage au 28 est donc hors de question, du moins pour la roue avant. Ce serait possible pour la roue arrière, mais je ne suis pas sûr que j'y gagnerais particulièrement en confort : les chocs, notamment sur les pavés et les pistes cyclables dallées nombreuses en Belgique, je les ressens surtout aux bras et aux épaules. -
Guerre entre automobilistes et cyclistes.
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Luca CHARMILLOT dans Discussions Route
C'est surtout ça hein ? «ça fait pas coureur». C'est si important… Si ton «coup de sifflet» marche aussi bien que ça (le mien n'est pas assez fort!), continue, mais attention au souffle court ! À ta place, j'aurais un instrument de rechange sur mon guidon, juste au cas où. 🆒