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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Accepter de vieillir et trouver ça drôle..
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas JOARY dans L'entrainement et la santé
La pasteurisation (qui associe d'ailleurs exposition à haute température et stockage au frais) est un procédé censé augmenter la durée de conservation… http://www.futura-sciences.com/sante/definitions/nutrition-pasteurisation-13574/ 😛 À mon avis, en Belgique, c'est ce p.... de vent qui détraque tout mon procédé de conservation ! -
Accepter de vieillir et trouver ça drôle..
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas JOARY dans L'entrainement et la santé
Ou de la belgicisation?… 😇 -
Accepter de vieillir et trouver ça drôle..
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Nicolas JOARY dans L'entrainement et la santé
J'ai 45 ans, grosso modo le même âge que Jean Guy et Jo Garo, donc pas si vieux que ça, certains diront. J'ai eu aussi un enfant sur le tard, ce qui oblige à un certain dynamisme. N'empêche que moi je sens le temps filer à grande vitesse. Déjà le reflet de ma tronche dans mon miroir me le rappelle sans ménagement chaque matin 😠, et bien que j'ai gardé la même silhouette et le même poids, mon niveau physique diminue quand même inexorablement. Mes temps d'ascension sur mes montées de cols fétiches en sont la preuve. Au col du Coq en Chartreuse par exemple, 12,7 km d'ascension à 8,5 % de moyenne, je mets dix minutes de plus qu'il y a vingt ans, 75 minutes contre 65 minutes… J'avoue ne pas trouver ça drôle, mais il faudra bien me faire une raison : ça ne va pas s'arranger, au contraire. -
Justement, Armstrong était venu au cyclisme de compétition par le triathlon.
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C'est marrant, mon classement des montées du Ronde est exactement l'inverse de celui de Grégory. J'adore le Paterberg où je me régale à passer dans la rigole la plupart du temps, mais si on ne peut pas les utiliser, les pavés ne me font de toutes façons pas peur dans cette montée, ils sont réguliers. Ceux du Koppenberg sont plus ch.... mais je les passe bien et puis comme dans le Paterberg j'aime bien dépasser certains autres cyclistes qui y sont en zigzag ou à pied. 😛 Le Vieux Kwaremont est ma bête noire par contre. Particulièrement la partie en faux plat : j'y suis secoué comme un prunier quand les bas-côtés sont impraticables (donc la plupart du temps…), et quand le vent est de la partie dans cette zone découverte, c'est l'enfer pour le poids plume aux petits braquets que je suis. Bon, par rapport à Grégory, je n'ai dû monter ces côtes qu'une dizaine ou douzaine de fois chacune, un peu plus le Paterberg que je privilégie quand je repasse dans la région.
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Attache-toi un coussin dans le dos, pour quand tu basculeras en arrière ! 😃
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Même si je suis loin d'être un Flandrien, c'est quand même une côte que je connais très bien, pour l'avoir souvent grimpée. La première partie de la section pavée est quand même assez raide : même si ce n'est jamais un mur, ça tourne autour de 9-10 % de pente et les pavés y sont assez mauvais, ce qui accentue la sensation de pente. Grimper ça avec un grand plateau (genre 52 ou 53) doit être possible pour ceux qui ont vraiment la caisse, mais je suis très sceptique sur l'intérêt de le faire. C'est trop raide et en trop mauvais état pour que ce soit vraiment rentable. Qui plus est, si un incident ou une manœuvre quelconque te force à ralentir, tu risques d'avoir du mal à te relancer, voire de te retrouver planté. La partie suivante est un long faux plat montant avec un coup de cul notable vers la fin, et passer cette partie-là par contre sur le grand plateau est «normal».
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S'agissant des maillots pro, celui qui me plaisait le plus est celui de Lotto, époque Tchmil. Ado, j'avais déniché un mailot aux couleurs de «La Vie Claire», sans les noms des sponsors dessus, juste le fameux design de style Mondrian. Malheureusement j'ai vite dépassé la taille de ce maillot, et je n'ai plus jamais retrouvé d'équivalent sans nom de sponsor dessus (je ne roule pas en club et je n'aime pas trop faire la pancarte publicitaire).
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Une alternative permettant de garder un triple : l'usage des leviers Gevenalle combinés avec un dérailleur avant et un pédalier triple route et une cassette 11 pignons. Système qui pourrait avoir l'avantage de te permettre de conserver ton pédalier et ton dérailleur avant. Ces leviers sont également compatibles avec les groupes triple VTT actuels. https://www.gevenalle.com/shifters/ Une combinaison du genre 48-38-30 pour les plateaux et cassette 11-32 voire 11-34 pour la cassette pourrait te convenir, d'après ce que tu indiques.
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Je dirais plutôt que ce sont des cadences adaptées aux pratiques intensives du cyclisme. Et il n'y a pas qu'en compétition qu'on fait de l'intensité. De façon générale plus l'effort est intense et plus la cadence devrait être élevée… et vice versa : pour la balade, le tourisme ou toute sortie peu intense, elles ne sont donc pas forcément adaptées, en tout cas pas au plus grand nombre.
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Sais pas trop comment prendre cette remarque qui paraît bien méprisante à première vue… 😕 mais bon je commence à avoir l'habitude d'être charrié voire dénigré pour mes petits braquets ici. Et puis au moins en n'étant jamais véloce vous ne saurez jamais ce que vous perdez. 😛
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Sa cadence est forcément très basse dans la Redoute, mais il avance sacrément bien quand même, plus vite que moi et avec un style en danseuse qui m'a rappelé Cadel Evans dans le Zoncolan 😉
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Objectif fixé en début d'année, dépasser les 7000 km, atteint : mon compteur affiche 7047 km après la sortie du jour ! 😄 Peut-être que je pourrai approcher les 8000 km d'ici 2018, mais ça m'étonnerait : la faute à un emploi du temps franchement défavorable à la pratique du vélo pendant la période de l'heure d'hiver. Va probablement me falloir investir dans un éclairage très performant pour pouvoir rouler de nuit dans de bonnes conditions de sécurité.
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93 km aujourd'hui en Ardenne liégeoise en compagnie de Jérémie Laplac et Michel Dury, alias le «Schtroumpf» dont j'ai pu faire enfin la connaissance. 😉 Sortie relativement courte, mais assez intense en raison du froid, d'un vent bien gênant (surtout pour moi l'allergique à Éole📢) et des obstacles pas piqués des vers pour certains : Chambralles et la Redoute notamment, mais aussi la côte de Chession, la longue et belle côte de la Vecquée, les côtes du Maquisard versant sud-est, de Hornay et des Forges versant "terrain de golf". Douleur au genou gauche (au-dessus de la rotule) gênante pour la première partie de la sortie, qui s'est calmée ensuite. Ce n'est pas la première fois que cette douleur me tracasse cette année : elle se signalait régulièrement en début et milieu de saison pour disparaître ces derniers mois. Peut-être à lier au retour du froid et, mine de rien, au vent : bizarrement, elle apparaît d'autant plus facilement que je dois pédaler par vent contraire. Elle est beaucoup moins sensible en côte (voire y disparaît carrément) que sur le plat.
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🆒Grimper à Chamrousse te fera déjà faire dans les 1300 m de dénivellation ! S'il fait trop froid pour aller là-haut, le plus classique est de faire le balcon de Belledonne (route D280). En entier à partir d'Uriage et jusqu'à Allevard, ça doit faire dans les 2000 m de dénivellation… mais tu n'es pas obligé d'aller au bout, et tu peux prendre quelques chemins de traverse au passage, vers Revel, Corps-d'Uriage, Venon…
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Cette formule n'est même pas un maximum absolu, après bien des tâtonnements à partir d'elle je suis posé plus haut d'un demi-centimètre. Parfois plus. Parce que j'ai remarqué que ça dépend aussi énormément d'une chose qu'on oublie généralement de prendre en compte : la souplesse de la selle. Et j'ai horreur des selles trop rigides.
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Je viens de jeter un œil à ce tracé : a priori il n'est pas entièrement praticable en vélo de route, il vient du sud-ouest alors que la seule route goudronnée menant au Pico Veleta vient de Grenade et de la station de ski de Pradollano, donc du nord-ouest. J'imagine qu'il s'agit de pistes en grande partie donc. Mais à VTT, cyclo-cross (ou peut-être gravel ?), ça devrait être quelque chose à faire ! J'étais monté en famille et en voiture au Pico Veleta en 1992 (ça ne me rajeunit pas) à partir de Grenade. La route était en parfait état jusqu'au sommet, à l'époque. Dommage qu'apparemment ce ne soit plus le cas à partir de Pradollano. De là la circulation serait effectivement réglementée et la route actuellement en mauvais état.
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La plus haute route goudronnée des Alpes, sans doute. Mais celle d'Europe est la route du Pico Veleta dans la Sierra Nevada, qui s'arrête à 3367 m. https://fr.wikipedia.org/wiki/Veleta Je ne sais pas si on peut partir du niveau de la mer pour arriver là-haut en montant sans interruption. Le départ traditionnel est à Grenade à 700 m d'altitude environ.
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C'est apparemment une île fort montagneuse, à en juger par cette compétition même. Une eau courante issue des montagnes a de bonnes chances d'être saine.
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L'année prochaine s'annonce bien plus compliquée que celle-ci question emploi du temps, donc je me garde de me fixer des objectifs absolus. Je verrai le moment venu… Si au mois d'août je suis comme d'habitude en vacances dans ma région d'origine, les Alpes, alors j'aimerais bien faire l'équivalent d'une Marmotte traditionnelle : en partant de Bourg-d'Oisans, grimper la Croix-de-Fer puis le Galibier et s'il me reste suffisamment de force, finir par l'Alpe-d'Huez. Mais je serais déjà content de moi si je devais me contenter des deux premières ascensions, soit l'équivalent d'un «Marmotton».
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J'adore calculer les développements. Exemple pratique : quel pignon devrait installer un cyclo équipé d'un pédalier 50-34 et dont la PMA vaut les 60% de celle d'un pro si ce dernier doit mettre 36x28 pour gravir l'Angliru ? 44 !!! Tu disais qu'on pousse trop gros ? Ceci dit, les équipementiers ne nous aident pas beaucoup. Rem : avec son plateau de 26, Franck pourra se contenter de 34 à l'arrière. Je l'ai déjà, ce 34 ! 🆒 Certains pros mettent carrément 34/32 pour grimper l'Angliru ou le Zoncolan: par exemple Contador, et même Chris Horner en 2013 dans l'Angliru, lui qui pourtant était tout sauf un «moulin». Je pense donc qu'il me faudrait plus petit que mon 26/34 habituel pour être «optimal» dans un de ces deux monstres. Un 24 dents à l'avant pour commencer (la denture minimale que mon triple plateau peut accepter). Et peut-être un 36 dents à l'arrière. Avant de me lancer dans l'un de ces deux monstres, j'irais certainement tester le braquet en grimpant la côte de Chalais, près de Grenoble, au moins deux fois de suite. Cette côte présente 6,7 km à presque 11% de moyenne, dont 4 km consécutifs à plus de 12 %, et un long, long passage autour de 18 %. Je l'ai déjà grimpée sur mon habituel 26/34, mais pas plusieurs fois d'affilée, ce qui serait une bonne simulation de la montée de l'Angliru ou du Zoncolan, bien plus longues. https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-de-chalais-depuis-voreppe-c502.htm
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Changer sa façon de pédaler ne porte pas ses fruits du jour au lendemain. L'habitude est une seconde nature, donc si on a passé des dizaines d'années à forcer dans les côtes, ne plus y forcer sera forcément moins rentable au début, et même encore plus tard. D'autant que l'aspect technique n'est pas à négliger non plus : quand on veut gagner en vélocité il faut apprendre à mieux coordonner son pédalage, et ça non plus ne vient pas tout seul. C'est seulement après avoir persévéré, je dirais pendant au moins une saison, qu'on verra si être plus véloce est bénéfique… ou pas. Reste à savoir si on a la patience d'essayer sur une aussi longue période, mais ça c'est à chacun d'y répondre pour soi-même.
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C'est un sujet plus difficile qu'il en a l'air : gagner en vélocité ne doit pas être un but en soi, à mon avis. Il faut que ça représente un avantage pour le cycliste concerné. Mais le seul moyen de savoir si gagner en vélocité est un avantage, alors qu'on n'a jamais travaillé la vélocité, c'est de s'y mettre… et de faire le bilan après au moins une saison de travail ! Parce que gagner en vélocité ne vient généralement pas tout seul. Pour ma part je pense que le meilleur moyen de progresser est simplement de se contraindre, lors de nombreuses sorties/séances, à ne jamais forcer. Toujours pédaler «dans du beurre», sans sentir de résistance exagérée de la pédale et ce quelle que soit l'intensité de l'effort. Ce n'est pas si évident que ça, parce qu'il ne faut pas non plus pédaler dans le vide, ce qui est l'excès inverse. Il y a donc un compromis à trouver. Ça implique évidemment de mettre des braquets plus petits qu'avant, pour ne plus avoir à forcer dans les côtes où l'on devait forcer avant… Au début, pédaler de cette façon peut entraîner seulement une hausse modérée de la cadence de pédalage globale, et puis petit à petit, avec le gain en coordination, cette cadence devrait augmenter jusqu'à atteindre son niveau optimal… qui est propre à chaque individu. Et, ça va de soi, il faut s'équiper d'un compteur de cadence pour mesurer ses progrès !
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Une chose à faire impérativement avant d'essayer d'être plus véloce en côte : réduire ses braquets… sinon ce n'est même pas la peine d'essayer !
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