Franck PASTOR

Le lac de Serre-Ponçon ! 😉 Chaque année j'y passais deux semaines en camping lors de mes vacances d'été quand j'étais ado. J'en ai gardé de magnifiques souvenirs, alors je tiens à ce que son nom soit correctement restitué, ah mais ! 🆒 Félicitations pour ton courage ! Ça n'a pas dû être évident à gérer, une telle sortie avec une douleur au genou.

… et il faudrait probablement virer les trois-quarts, si pas l'entièreté, du peloton avec lui. On ne change pas comme ça du jour au lendemain une habitude bien ancrée chez tant de coureurs, aussi stupide soit-elle. Il faudra attendre encore quelques temps, et des règlements plus stricts (amendes salées) pour que ça évolue dans le bon sens.

Oui. Bruxelles-Nürburgring, ça fait quand même au bas mot 4 h de route (et encore, si la circulation est fluide), autant éviter de les faire le jour même puis de se les retaper au retour. Tu as envie de participer cette année ?

Tu avais dû nous dépasser à la vitesse de l'éclair sans nous voir. 😃 Pour ma part une moyenne de 21,7 km/h, conforme à mon rythme de sénateur habituel. Mon compteur indique 187 km et 90 tours/minutes de cadence de pédalage moyenne. Olivier est allé nettement plus vite, il est arrivé plus d'une heure avant moi, tout en étant parti plus tard. Comme je lui ai expliqué, ces parcours aux bosses très roulantes, Redoute exceptée (et Spineux dans une moindre mesure), ne me sont pas ma tasse de thé, alors pas envie de me dépenser outre mesure. Mais mon séjour en montagne arrive bientôt… 😄 J'ai eu bien froid aussi pendant la première heure, malgré les manchettes et l'imper par dessus. Ensuite ça s'est progressivement réchauffé. Imper retiré à Bastogne, manchettes enlevées au pied de la côte de Spineux/Wanne. En début d'après-midi, il a même commencé à faire assez chaud, j'étais alors justement à cet endroit. Seule «pépin» de la journée : en grimpant la Redoute, je me suis fait méchamment griffer le bras droit en accrochant une branche de roncier qui débordait sur la route. Qui a dit : « la Redoute, ça pique ! » ? 😕 Prochain objectif, juste avant le séjour à Grenoble: le "Rad am Ring" ! http://www.velo101.com/forum/voirsujet/rad-am-ring-2016--34091

Une fois qu'il aura grimpé Saint-Nizier ou les gorges d'Engins il aura peut-être envie de prolonger la découverte ! 😄

Évidemment. Mais il irait encore plus vite et surtout aurait une prise bien plus sûre du guidon mains en bas. Ça m'arrivait de descendre mains aux cocottes aussi, au début de mes sorties en montagne… jusqu'à ce que je prenne un nid de poule à pleine vitesse dans cette position et que mes mains décollent des cocottes. Je me suis retrouvé avec la poitrine sur le guidon… J'en ai été quitte pour une grosse peur, et la leçon a été bien apprise : toujours descendre mains en bas du guidon, question de sécurité.

Ça fait longtemps que je l'avais remarqué, donc ça ne m'étonne plus guère. Mais il n'était pas constamment mains aux cocottes, je l'ai vu dans les deux positions. Le seul que j'ai vu être constamment mains aux cocottes, c'est Louis Meintjes. Toujours l'air très crispé dans cette position d'ailleurs, ce qui ne t'étonnera guère. Et encore moins le fait qu'il se trouve généralement dernier du groupe en descente. Je pense que c'est une combinaison d'un manque de souplesse de la part du coureur concerné et d'une direction trop basse pour lui. Les guidons actuels sont posés terriblement bas, sans doute pour un gain aérodynamique, mais tout le monde n'est pas suffisamment souple pour encaisser de telles positions. Malheureusement, avec la généralisation des potences Headset, une fois la position établie il y a très peu de marge de réglage pour rattraper une éventuelle erreur.

L'embarras du choix… Col de Clémencières, col de Vence, col de Palaquit, col de Porte, tout ça en partant de Grenoble même (et si tu as du jus, il y a la montée de la Bastille qui t'attend de pied ferme). De la banlieue (très) proche : Saint-Nizier, col de la Croix-Perrin (qu'on peut enchaîner sur les sources de la Molière, plus haut, mais route peut-être dégradée). Un poil plus loin, mais le pied est largement dans un rayon de moins de 30 km du centre de Grenoble : le col de la Charmette, le col du Coq, le col de Marcieu, les quatre montées de notre «challenge du grimpeur» à Daniel Hardy et moi (Montaud, Noyarey, Mont-Saint-Martin, Chalais) : http://www.velo101.com/forum/voirsujet/pour-les-cyclistes-du-38-challenge-de-grimpeur--28965 et puis Chamrousse, Prapoutel, Pipay, col des Mouilles, col du Barioz… Encore faim ? 😃 Fais-moi signe en MP sur les cols qui t'intéressent dans cette liste. Pour info je serai sur place (c'est ma région d'origine) la première quinzaine d'août.

Au-delà d'une position anti-Froome ou non, la question est quand même valable : fallait-il ralentir pour les attendre ou non ? Ça a failli encore une fois faire exploser José De Cauwer (consultant de la chaîne flamande VRT) de voir ralentir les autres. «Ils ne peuvent pas faire ça ! (attendre)». Pour lui, c'est de la sportivité très mal placée. Froome était en faute pour avoir suivi aveuglément son coéquipier Kwiatkowski dans le décor, Aru de même pour avoir pareillement suivi Froome. Et ils s'en sont sortis parfaitement indemnes : ils ne sont même pas tombés ! Je dois être sincère, moi non plus je n'ai pas compris. Sans même avoir à attaquer vraiment, leurs adversaires auraien pu continuer à un rythme «normal» (comme les adversaires de Dumoulin l'ont fait lors de sa fameuse pause-culotte du Giro) pour contraindre les équipiers de Froome à un certain travail afin de revenir. Mais non, ils ont fait du surplace. Alors que j'imagine mal Froome (a priori gentleman) et a fortiori Aru qui ne s'embarrasse pas de scrupules, faire ça pour attendre Bennett ou Uran dans la même situation. On ne prête qu'aux riches, visiblement.

Si tu veux vraiment la rentabiliser comme il faut cette nouvelle cassette, il faudrait alors l'utiliser sur des parcours les plus vallonnés possibles, pas sur tes parcours habituels qui sont plutôt roulants si je t'ai bien suivi. L'idéal serait de partir rouler avec ces braquets du côté de Dinant et Namur, ou même en Ardenne, et d'y enchaîner les bosses les plus longues et les plus pentues possibles. Ou si tu tiens à rester en Brabant, tu peux par exemple faire comme les pros qui se prépare aux Ardennaises en courant la Flèche brabançonne. Comme eux, tu peux faire plusieurs tours du circuit final de la course à Overijse/Huldenberg : Ijskelderlaan, Schavei, Hagaard, Hertstraat (si elle est rouverte, sinon prendre la N4 vers Wavre qui lui est parallèle) à Overijse, puis la Holstheide à Huldenberg. Tu peux même pimenter ce circuit en y incluant la Moskesstraat et/ou le Smeysberg. Avec quatre ou cinq tours de ce circuit à bosses de pentes respectables, ça ferait déjà un solide dénivelé et tes nouveaux braquets seraient probablement mis à contribution, spontanément.

Je ne te comprends pas bien. Quel intérêt de persister à utiliser cette cassette ici, si tu trouves, toi, qu'elle ne te convient pas pour tes parcours brabançons ? Vire-la pour l'ancienne, et ne la remets qu'au moment de partir pour les Pyrénées ! Et si tu trouves bizarre que je dise ça, moi qui utilise une 11-34 sur ces mêmes routes, je ne fais pourtant qu'appliquer un principe fondamental de ma conception du vélo : ce n'est pas le cycliste qui doit s'adapter aux braquets, mais l'inverse. 🆒

😇 Y a sur ce forum un amateur de pentes raides qui se marre en stoemelings en ce moment… 😃

1 h 30 de sortie en promenade. J'y ai inclus la Vliegeniersroute, la route des aviateurs, un itinéraire balisé pour cycliste parcourant la commune de Zaventem, où se trouve l'aéroport de Bruxelles. Itinéraire assez agréable, sans difficulté particulière et qui ne passe pas loin de chez moi. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644/fietsroute/vliegeniersroute

Si le vent vient du nord, je suppose ?

Pour ma part né à Grenoble, et habitant dans sa banlieue (Le Versoud) les 28 années suivantes, et ensuite en Belgique… J'ai pris l'habitude de grimper un peu partout autour de Grenoble à l'époque, j'ai écumé à peu près tous les cols de Belledonne, Chartreuse, Vercors et quelques-uns au-delà (Grandes Rousses, Bauges…). Depuis que je suis arrivé à Bruxelles il y a 17 ans, je n'ai eu de cesse de ratisser le Brabant pour y découvrir les côtes les plus intéressantes. Celles que les locaux évitent soigneusement en général, le Brabançon cycliste moyen préfère les itinéraires bien roulants qu'il parcourt en groupe au rythme du Thalys et s'il y a quand même des obstacles, il va pas adapter ses braquets pour ça, ah mais on a sa fierté quand même ! (😉 à qui de droit).

Je rêve, tu es vraiment de Grenoble comme moi ou c'est une blague ???

Je n'en croyais pas mes yeux non plus quand j'ai vu les Direct Energie en tête. Tout ça pour que le mieux placé d'entre eux, Thomas Boudat, finisse 18e. Ou alors ils se sont mis d'accord avec une des équipes de sprinters ? Vraiment, là, il y a de quoi être suspicieux.

Hé bien, c'est pas une bonne année cycliste pour toi ! 😲 Pour des côtes fracturées, rien d'autre à faire que d'attendre que ça se répare tout seul, donc patience et courage ! N'oublie pas de faire inspecter en détail ton vélo par un vélociste compétent. Il peut avoir eu des dommages difficiles à repérer à l'œil nu : déformations, fissures discrètes… Par exemple, une conséquence classique d'une chute est que l'axe d'une pédale soit faussé.

Non, les dérailleurs arrière 10 vitesses VTT ne sont pas compatibles avec les leviers route 10 vitesses Shimano. Paradoxalement, il faut prendre un dérailleur VTT Shimano 9 vitesses. Ceux-là sont compatibles avec ces leviers route 10 vitesses, car ces leviers route ont le même ratio de tirage que les leviers VTT 9 vitesses. C'est ce que j'utilise et ça fonctionne sans heurt, quoique probablement pas aussi nettement qu'un montage standard : dérailleur arrière Shimano Alivio 9 vitesses (denture maximale officiellement acceptée : 34 dents) et levier route Shimano 105 10 vitesses. Une mine d'infos ici, en anglais, qui recense tous les moyens disponibles pour diminuer son braquet minimal au-delà des standards imposés par le marché: http://www.cyclingabout.com/wider-gear-range-road-shifters-gears-for-easier-hill-climbing/

Chiche ! À la future sortie ensemble alors. 🆒

Je ne suis pas Belge, ça doit être pour ça. Et puis j'aime bien l'humour… quand c'est drôle. Bonne journée à toi aussi, grapjas ! 😛 (je te laisse chercher sur le web ce que ça veut dire en néerlandais — rassure-toi, rien de méchant). En plus, je suis Grenoblois. C'est plein de sérieux un Grenoblois, selon Fernand Raynaud. « Ne me parle pas de Grenoble », qu'y disait. https://www.youtube.com/watch?v=Mv3rUVO29I4

Comme tu le sais, j'ai appris le néerlandais quand je suis arrivé en Belgique. Je ne suis pas spécialement doué en langues et je fais un peu pitié quand je parle une langue étrangère avec mon accent franco-français indélébile, mais ça ne m'empêche pas de parler, de lire, d'écrire dans une autre langue dès que j'en ai l'occasion… et d'apprendre plein de choses ce faisant. Connaître le néerlandais m'a donc permis d'apprendre pas mal de choses sur ton pays. Mais aussi sur le cyclisme. Rien que le fait de suivre les retransmissions des courses sur les chaînes flamandes aide pas mal pour le vocabulaire ! De façon générale je suis très curieux et je lis beaucoup. Entre autres tout ce qui me tombe sous la main qui concerne le vélo, dans n'importe laquelle des langues que je connais (français, néerlandais, anglais, espagnol). Et dans le vélo, une de mes passions principales est de grimper. J'aime bien aussi savoir un maximum de choses des régions que je parcours. Alors je me régale des guides descriptifs des différentes fietsroutes, dans les Ardennes flamandes par exemple. Ça aussi, ça augmente le vocabulaire. 😄

Tiens, ça commence déjà de bon matin, les affirmations gratuites ? Ça promet pour la journée.

C'est pas le Népal, mais tu as quelques beaux casse-pattes. Encore faut-il avoir envie d'en grimper, sinon on va passer à côté, forcément. Le Smeysberg et la Moskesstraat, par exemple, c'est aussi près de Louvain que de Bruxelles, et c'est déjà de quoi faire regretter des choix de développements trop optimistes. 🆒 Si tu veux, je peux t'en montrer d'autres quand on fera notre prochaine sortie. Cotacol aidant, je crois que je suis devenu un expert en raidards brabançons… Un bon moyen d'avoir un aperçu de ces kuitenbijters (casse-pattes, littéralement «mordeurs de mollets») est de suivre le parcours de la Flèche brabançonne cyclo. Si les développements choisis résistent à ce parcours, alors c'est bon. https://bpl.proximuscyclingchallenge.be/fr/track/135-km Par ailleurs je me demande pourquoi je suis le seul «Belge» du forum à oser m'aventurer sur cette épreuve-là. Ferait-elle peur? 😃

C'est quoi cette histoire avec Sabatini ? Je n'ai pu voir que le dernier kilomètre de la course.