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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Une mine d'information à creuser sur le voyage à vélo, en anglais : https://www.cyclingabout.com
  2. Ce matin, col du Coq en Chartreuse par Saint-Nazaire-les-Eymes. 12,7 km à 8,6 % en 1 h 15 min. Soit le même ordre de temps qu'il y a 3 ans, la dernière fois que je l'avais gravi par ce versant. Avec alors bien moins de km au compteur. Toujours à la recherche de la forme perdue suite à ma maladie récente, mais ça semble revenir petit à petit.
  3. L'ancienne équipe de Guimard, c'était Cofidis en fait. La Française des Jeux, c'est Marc Madiot comme directeur sportif depuis le début de l'existence de l'équipe. Au mont Saint-Aubert, je voyais aussi le car des Katusha. L'endroit est très couru comme base de départ pour les Flandriennes apparemment.
  4. Je crois bien l'avoir fait un jour. Assez pentu mais très court, pas de quoi être mentionné dans Cotacol ! Situé dans un coin agréable par contre, j'ai bien aimé l'endroit.
  5. Merci Jérémie ! J'ai déjà fait le col de Sarenne, il y a certes déjà un bail (dix-huit ans ?). Très bon souvenir, je n'ai rien contre l'idée de le refaire. Mais si je repasse dans ce coin-là j'irai prioritairement combler une autre de mes graves lacunes, le Glandon-Croix de Fer versant Rochetaillée.
  6. C'est globalement moins pentu par le versant sud en effet, mais comme c'est un festival pour les mirettes, ça reste mon versant préféré. Pour le versant nord, j'imagine certes bien le calvaire que ça peut devenir, particulièrement entre Plan Lachat et le sommet, quand on a déjà eu la Croix de Fer dans les jambes !
  7. Ça semble évident à tout ceux qui comme nous sont passionnés de cyclisme et suivent ce sport de très près, mais pour tous les autres ça l'est certainement beaucoup moins. Ce livre apporte donc un éclairage là-dessus qui me semble bienvenu car réaliste. Je vais probablement m'arranger pour le lire. S'il y a une chose que je n'aime pas, c'est l'hypocrisie, et Di Luca ne semble pas souffrir de cette tare-là.
  8. Pluie aussi dans la région de Grenoble. Peut-être que les communes de Chartreuse pourront lever leurs mesures anti-sécheresse…
  9. C'est bien de moi le commentaire, mais les braquets que je cite ne sont pas les miens. Ce sont ceux de Jérémie Laplac, qui s'est monté lui-même un groupe 11 vitesses avec son pédalier Spécialités TA Carmina triple, alors que mon pédalier triple, aussi un Spécialités TA Carmina, est monté avec un groupe 10 vitesses.
  10. Mine d'informations sur ces mini-compacts (qui ne valent pas les mini-triples comme le mien, ah mais ! 🆒), en anglais : https://www.cyclingabout.com/low-climbing-gears-road-bike-crankset/
  11. Inimitable ? Si, quand même : (Je ne résiste jamais au plaisir de replacer cette vidéo.)
  12. Je maintiens : le versant sud ! 😛 C'est définitivement le point de vue sur le massif des Écrins qui fait la différence.
  13. Mais encore ? 😇
  14. J'en ai encore bien d'autres, des lacunes à combler. Les versants Rochetaillée de la Croix de Fer et du Glandon, par exemple. La montée de la Bérarde. Les cols de la Madeleine et de l'Iseran, que je n'ai jamais faits par aucun versant. Ou le Mont Ventoux (mais c'est quand même nettement plus loin). Sans même parler des Pyrénées, où je n'ai jamais mis les pieds. Maintenant que j'habite loin de tout ça, c'est moins évident de rattraper mes manques. Avec un peu de patience, j'y arriverai ! 🆒
  15. Ben moi franchement je serais content si j'avais des cyclistes dans ma roue face au vent… Ça voudrait dire que j'avance à un bon rythme, moi qui me traîne toujours lamentablement dans ces circonstances ! Je suis tellement pitoyable à ce niveau que je n'arrive généralement même pas à prendre la roue de qui que ce soit qui me dépasse. Quand ça m'arrive quand même, je prends des relais, par principe. Mais ce n'est vraiment pas le genre de vélo qui me botte. Je préfère quand ça grimpe, donc quand la résistance de l'air ne joue pas ou peu. Par ailleurs, il paraît qu'on avancerait un chouïa plus vite avec un cycliste dans sa roue arrière que sans personne derrière soi. Une histoire d'écoulement aérodynamique, encore.
  16. Provocation facile contre le Franco-Belge du forum ? 🆒 Entre un moyeu oversize comme le Rohloff et une cassette 10-46, c'est quand même cette dernière qui saute le plus aux yeux, je trouve.
  17. Aujourd'hui, j'ai comblé une lacune impardonnable de la part d'un cyclo-grimpeur d'origine grenobloise: j'ai enfin grimpé le col du Galibier versant nord. J'avais déjà grimpé le versant sud trois fois, deux fois par Bourg d'Oisans et l'autre fois par Briançon. Me manquait juste le versant nord, que je n'avais fait que descendre lors de mon BRA de 1997. Ça y est, c'est fait, depuis ce matin ! Exactement trois heures de vélo entre mon départ de Saint-Michel-de-Maurienne vers 9 h 30 et mon arrivée au col (2642 m d'altitude). D'abord le col du Télégraphe à 1566 m, redescente de 5 km en pente douce jusqu'à Valloire, et de là l'escalade du col du Galibier proprement dit. En tout 2100 m de dénivellation positive, en 35 km. Peut-être mon record de dénivellation sur une seule ascension (si on fait abstraction de la portion Télégraphe-Valloire). Puis redescente par le même versant. Temps splendide du début à la fin, frisquet au sommet comme c'était prévisible, mais heureusement j'avais mon imper. Un vent de face très gênant lors de l'interminable ligne droite menant au Plan Lachat, au point que j'ai passé un bon moment les mains en bas du guidon ! Ça faisait bizarre de tenir cette position à une vitesse de 10 km/h voire moins, mais avec cette soufflerie c'était moins pénible que les mains en haut du guidon ou sur les cocottes. À partir de Plan Lachat, 8 km avant le col, ce vent était beaucoup moins sensible, et heureusement vu la pente. À un moment donné, alors qu'une borne indiquait 3 km à parcourir avant le sommet, je lève la tête et je vois le sommet bien en évidence. Je me souviens avoir pensé : « Bon sans, 3 km seulement pour grimper tout ça ? ». C'est que c'était bien raide, surtout la dernière borne entre le tunnel et le col. Comme lors des sorties précédentes, sensations très moyennes, mais sans fatigue particulière. Le retour de la forme se fait toujours attendre, mais je ressens quand même un léger progrès. Braquets utilisés : horsmis la courte descente du col du Télégraphe jusqu'à Valloire, toute la gamme entre 26/21 et 26/34. Sur les huit derniers kilomètres (après Plan Lachat), les braquets prépondérants étaient les deux plus petits, 26/30 et 26/34. Cadence moyenne de 85 tours/minutes. De Valloire jusqu'au col, j'ai toujours eu le même couple de cyclistes en ligne de mire, 500 m devant moi au début, que j'ai fini par rattraper lors du dernier km. Lui se battait avec son vélo de course ordinaire, muni d'un 36/32 mais qui avait du mal à passer comme il me l'expliquera après coup, elle l'accompagnant avec son vélo électrique. Enfin, en fait elle prenait du champ d'abord, puis s'arrêtait pour prendre des photos, et puis repartait à toute berzingue pour le rattraper, le dépasser et s'arrêter à nouveau. Et ce une bonne dizaine de fois. J'ai trouvé ça assez bizarre comme système, mais pourquoi pas après tout ! Un monde fou au sommet, et ce un lundi ! Automobilistes, motards, cyclistes, randonneurs pédestres et même un coureur à pied. Je savais ce col populaire, mais pas à ce point.
  18. Pour ma part, j'ai réussi à casser mes deux fourreaux de fourche (acier) en bas de la descente du col de Romeyère, il y a seize ans. Donc dix minutes après être passé dans le canyon des Écouges, en descente (c'était ouvert en ce temps-là). De quoi me donner des frissons rétrospectifs. Pour revenir au sujet, je dis toujours bonjour aussi, et suis payé de retour une fois sur deux en moyenne. Moins souvent en Brabant qu'autour de Grenoble, où les gens semblent moins pressés (stressés ?) qu'à Bruxelles et environs. Donc on peut toujours trouver pire…
  19. Mes manivelles sont de 175 mm en fait, mais ça ne change pas grand'chose. Oui, c'est bien possible que mes braquets atypiques contribuent à l'usure de ma chaîne. Mais je pense que ce n'est rien à côté de l'état des routes. Je ne passe pas sur des plages, mais en mauvaise saison, j'ai très souvent droit à des plaques de boue sablonneuse venant des bas-côtés de la route, qui dégoulinent quand il pleut (c'est-à-dire souvent). La terre est très sablonneuse en Brabant, autour de Bruxelles. Et les routes secondaires, la plupart en béton, n'absorbent absolument rien de tout ça. Résultat immédiat à chaque fois que je passe dessus, la transmission se gorge de sable et se met à couiner lamentablement. Rien de pire pour une chaîne. Il faudrait que j'évite ces secteurs de route bétonnée où les bas-côtés dégoulinent dessus, mais ça reviendrait à limiter drastiquement mes secteurs de sortie, et à me limiter à des routes larges, fréquentées et sans intérêt sportif (pas de côtes intéressantes). Alors je fais contre mauvaise fortune bon cœur.
  20. C'est goudronné aujourd'hui, et depuis longtemps, mais apparemment la commune en charge de ce versant (Saint-Pierre-de-Chartreuse) n'est pas pressée de combler les nids-de-poule apparus au sortir de l'hiver… 📢
  21. J'ai discuté en cours de route avec un habitant de Saint-Pierre-de-Chartreuse. Il paraît que la commune est entrée officiellement en période de sécheresse sur décision municipale depuis trois ou quatre jours. En conséquence, les fontaines municipales ont été fermées. C'est apparemment la même chose dans les deux communes de Saint-Pierre-d'Entremont (une en Isère, une en Savoie, selon le côté du ruisseau du Guiers Vif où on se trouve !), où la plupart des fontaines étaient fermées aussi. La météo prévoit le retour de la pluie dans la région pour mardi prochain, ça va peut-être arranger les choses.
  22. Sans parler de ce fameux cycliste dopé à l'insu de son plein gré, toujours aussi populaire pourtant et même devenu consultant sur Eurosport… 😕
  23. Moi aussi j'utilise ce type d'outil (marque Var en l'occurrence) et la chaîne atteint le premier degré d'usure après 1500 km en général, 2000 km en été. Les saletés ramassées sur les routes brabançonnes, la plupart en béton dégradé, complètement imperméables et tapissées de boue sablonneuse par temps humide, contribuent très certainement à leur allongement prématuré. Je crois bien que si ces routes étaient aussi correctes globablement qu'en Dauphiné (où je roule une bonne partie de l'été, ce qui explique l'allongement de la durée de vie de la chaîne pendant cette période), mes chaînes dépasseraient les 3000 km sans problème.
  24. Des nids de poules dans le col du Coq. Toi qui vient du pays des nids de poules tu peux faire le paon dans le Dauphiné. Mince, elle m'avait complètement échappée, celle-là ! Trop évidente, faut croire. 😳 Pour la pluie, elle ferait du bien ici, on est entré en période de sécheresse. Au point que les communes de Chartreuse ont coupé les fontaines reliées à leur eau courante. Seules sont en service celles qui dépendent directement d'un cours d'eau local. Autrement dit, trois fontaines sur quatre sont coupées, et donc ça n'a pas été commode de me ravitailler en eau aujourd'hui !
  25. Un peu plus de 6 h de sortie aujourd'hui, de 7 h 20 à 13 h 30 grosso modo, cette fois-ci dans la Chartreuse. Pour une trilogie classique de la région : enchaînement col du Granier (par Chapareillan, 1134 m d'altitude) - col du Cucheron (1139 m) - col du Coq (1435 m). 20° au départ, plus de 30° au retour, mais entre-temps j'étais donc en moyenne montagne, donc je n'ai pas trop ressenti la température ambiante. Et puis, j'aime assez la chaleur moi, contrairement à bien d'autres y compris dans ma propre famille. 😆 Comme lors des dernières sorties depuis ma maladie, pas de fatigue particulière mais très peu de «jus» dans les jambes. Mes tout petits braquets ont été souvent et longuement mis à contribution, particulièrement dans les raidards gratinés du col du Granier et du col du Coq. Soit dit en passant, la chaussée du col du Coq est vraiment très dégradée sur le versant que j'ai escaladé, celui de Saint-Hugues. À certains endroits j'en étais réduit à faire du slalom entre les nids de poule ! Vivement le retour de la forme…
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