Franck PASTOR

Et moi qui roule en triple et avec une cassette 11-34 en permanence, dans la même région que Michel… Bon d'accord, je vais chercher les murs locaux probablement plus souvent que lui 😛 Mais justement, c'est fait pour ça !

Le casque de Daniel Martin après sa chute… http://bit.ly/2tDqeg3

Tu devrais essayer quelques fietsroutes du Brabant flamand, tu découvrirais encore beaucoup d'autres chemins de traverse ! Dommage qu'il n'y ait pas ce genre d'itinéraires balisés pour cycliste en Brabant wallon (en dehors des RAVeL mais bof, c'est peu varié).

L'arrivée était plus de dix bornes après la fin de la descente du Mont du Chat. Ce qui a permis au groupe de Froome de revoir Barguil et Bardet. Mais on peut supposer que ces deux-là auraient payé cher pour que l'arrivée soit plus proche de la fin de la descente… 🆒

Personne n'en parle, mais Robert Gesink a aussi dû abandonner sur chute, et le verdict n'est pas mince : une vertèbre lombaire (L1) fracturée… https://mobile.twitter.com/RGUpdate/status/884072072665853954/photo/1 Il s'en sera vu dans sa carrière celui-là !!! 😲

Un des commentateurs de la télé publique flamande (José de Cauwer, ancien pro et à une époque sélectionneur de l'équipe nationale belge) était de ton avis, il trouvait l'attaque d'Aru de bonne guerre et qu'il était stupide d'attendre Froome. Un Flahute, ça ne fait visiblement pas de sentiment… 😕

D'après Rigoberto Uran, son dérailleur arrière aurait été mis hors d'usage lors de la chute de Porte et Martin dans la descente du Mont du Chat. Sur la fin il pouvait uniquement utiliser son plus petit pignon, donc il n'avait que deux vitesses effectives en le combinant avec les petit et grand plateaux. En parlant de Porte, des nouvelles de son état ?

96 km aujourd'hui pour exactement 5 h de vélo effectif, soit une moyenne redoutable de 19,2 km/h. Pour ma défense: début et fin de parcours (soit 1 h 30 environ au total) en plein milieu urbain, et quasiment pas de plat aujourd'hui : monter-descendre, monter-descendre, monter-descendre, dans ma zone préférée du Brabant, la plus vallonnée, au sud-ouest : Uccle, Rhode-Saint-Genèse, Beersel, Halle, Braine-le-Château, Ittre… J'avais prévu plus long que ça en fait, mais je suis parti un peu tard ce matin et je voulais rentrer suffisamment tôt chez moi pour regarder l'étape du jour. J'ai pu commencer à suivre à partir de la fin de l'ascension du col du Grand Colombier. Encore un col que je n'ai jamais grimpé, et pourtant j'ai habitué pas loin pendant quelques mois, à Aix-les-Bains. Le Mont du Chat, je l'ai déjà grimpé lui, mais par le versant du Bourget-du-Lac, celui qui était descendu aujourd'hui par les coureurs.

Approche très risquée que de boire uniquement une boisson d'effort sur une sortie de cette ampleur. Pourtant j'ai fait un grand nombre de randonnées en consommant uniquement les boissons d'effort citées dans mon message ci-dessus (Hydrixir et 640), jamais d'eau pure et généralement sans même consommer de nourriture solide à côté. Lors du Tilff-Bastogne-Tilff de cette année (250 km), je n'ai consommé en solide qu'une barre salée, pour prévenir un éventuel dégoût du sucré, ce qui m'est parfois arrivé. Note que l'Hydrixir est beaucoup moins dense que le 640, et en tant que telle évite tout phénomène de déshydratation. Overstims préconise d'ailleurs d'en diminuer le dosage par temps chaud, ce qui permet de prévenir encore mieux ce risque.

Je suis aussi un adepte du 640 et je n'hésite pas à prendre le nécessaire pour un bidon supplémentaire (en sachet "Ziploc") quand j'en ai besoin… Mais j'utilise généralement deux grands bidons de 80 cl et je consomme une bouche pleine de 640 en alternance avec deux ou trois bouches pleines d'Hydrixir, comme préconisé par Overstims. Donc il faut que la sortie dépasse largement les 150 bornes pour que j'ai besoin d'un sachet de réserve de 640. Dans les randonnées auxquelles je participe ils fournissent aussi de l'Aptonia. Le problème est que je déteste cette boisson, désagréable au goût et à mon sens beaucoup trop sucrée. Donc je prends toujours le nécessaire de réserve en Hydrixir (bio citron ou menthe), et éventuellement en 640, dans mes poches. Ce qui a tendance à bien les remplir, certes ! 🆒 Mais le poids supplémentaire ne me gêne pas, je ne joue pas les chronos, et je préfère l'absence d'ennuis gastriques à un gain hypothétique de cinq ou dix minutes sur le temps total de la randonnée.

Note qu'Overstims recommande d'alterner d'«une bouche pleine de boisson 640» avec deux ou trois «bouches pleines» d'Hydrixir… La boisson 640 n'est pas prévue pour être consommée seule, surtout par temps chaud : elle est trop dense pour cela.

Que le parcours soit dantesque ou non, si les favoris ne tentent rien alors il ne se passera rien. Tout au plus une course par élimination.

Sinon, il reste la possibilité de roues montées artisanalement avec 36 rayons croisés à trois. Si elles sont moins populaires en ces temps de course à la légèreté (mais est-ce ça a du sens de chercher du matos léger quand on pèse 100 kg ?), ça existe encore et c'est très solide. Certains vélocistes le font et on trouve des adresses spécialisées comme celle-ci en Belgique (pas testée) : http://www.bewheels.com/fr/accueil.html

OK, je précise puisque tu en as apparemment besoin : je n'en sais pas plus que toi sur sa façon de détendre le ressort, forcément, je n'ai jamais eu de Speedplay. Et donc ça m'intéresserait aussi de savoir comment il s'y est pris. C'est le ton de ta réaction («c'est un vrai délire de vous lire») qui me hérisse. Tout de suite tu pars dans le dénigrement. Et tu continues sur le même ton avec moi. Donc je n'irai pas plus loin, cherche-toi une autre tête de turc.

Laisse tomber…

«Desserer la tension du ressort, et tu fais comment, hormis la liberté angulaire il n'y a aucun réglage, c'est un vrai délire de vous lire»

Et si tu attendais d'en savoir plus ce qu'il a fait avant de juger ? 🙄

Dommage pour tes Time. J'avais le même problème avec les Time Equipe Pro (le modèle antérieur aux RXS). C'était la galère au début pour enclencher ces pédales. Après une semaine de pratique environ, c'était devenu immédiat, je n'avais même plus besoin de forcer. Moralité, il y avait vraiment un coup à prendre. À mon avis lié au système de cale en deux parties, tandis que ma précédente paire de pédale était à cales monoblocs (Time Century). Le vendeur n'était pas surpris quand je lui ai fait part de ce problème, il avait eu un client qui n'avait jamais réussi à enclencher lors de sa première sortie avec ces pédales, il avait fait toute sa sortie comme ça ! 😃 Il m'a conseillé de persévérer, et donc il avait raison. J'ai gardé ces pédales pendant douze ans. Par contre, c'était toujours très facile déclencher avec ces pédales, même quand les cales étaient usées à mort. Un sacré plus pour la sécurité. Depuis que je suis passé aux Time Atac, les pédales VTT de la marque, jamais eu aucun problème pour enclencher ni déclencher.

Houla, je vois qu'en effet ça peut avoir des conséquences graves ! Pour ma part je suis tombé plusieurs fois à l'arrêt, mais sans dommage. Peut-être parce qu'à chaque fois j'ai eu le temps de «me voir tomber,» en quelque sorte, ce qui m'a permis d'amortir le choc… Une chute à un feu rouge parce que j'avais oublié que mes cale-pieds étaient serrés (oui, je sais, faut le faire 😳), les classiques chutes (deux fois) lors de mes débuts avec les pédales automatiques, une belle bugne sur le côté lors de l'escalade d'un mur pavé très raide lorsque la roue arrière s'est mise à patiner… Aucun dégât à chaque fois, sauf une patte de dérailleur tordue.

Mon vélo actuel est le premier qui m'ait causé ce souci. Il y a plein de qualités qui me l'ont fait conserver depuis longtemps, mais il a aussi ce problème. Je me suis fait de belles frayeurs plusieurs fois. dans quelques virages serrés abordés à faible vitesse, et surtout dans des redémarrages aux feux: quand ma roue avant est de travers lors de l'arrêt et que je la remets dans l'axe en repartant, elle est venue plusieurs fois buter sur mon pied. Ça me force à être attentif à maintenir ma roue droite ou les pédales à la verticale dans ces circonstances, mais parfois j'oublie, distrait par la fatigue ou par ce qui se passe autour. Je ne suis pas encore tombé, mais parfois ça a été limite. La chute en elle-même ne serait probablement pas grave, puisque ça se passe toujours à très faible vitesse, mais ma hantise est que ça se produise en plein milieu du trafic… 😬

Exception qui se produit fréquemment lorsqu'on habite en ville comme moi, avec toutes les manœuvres à basse vitesse que cela implique. Il y a eu récemment une discussion assez animée à ce sujet, entre ceux qui trouvent ce phénomène peu gênant voire normal, et les autres (comme moi) qui trouvent ça dangereux. Deux points de vue apparemment irréconciliables…

Pas la peine de te décarcasser : tu as beau avoir parfaitement raison, tu n'arriveras pas à les convaincre. Ça fait des années que j'essaie, en pure perte.

80 km à grimper un maximum de côtes dansl es vallées de la Dyle et de l'Ijse, à l'est de Bruxelles, ce matin. Sprints en haut des côtes, et rythme soutenu entre les bosses (contrairement à mon habitude). Signe de bonne forme. Prochaines journées libres pour une sortie : dimanche et lundi… Problème : grosses précipitations prévues pour dimanche. Lundi ce ne sera guère mieux semble-t-il, et en plus ce sera une journée venteuse. Va falloir choisir entre la peste et le choléra… 😢

Le Giro (comme la Vuelta) dure trois semaines aussi. 😉 Maintenant, dire qu'il est plus dur que le Tour, je ne m'y risquerai pas. Il n'y a pas que le type de parcours qui intervient…

Un autre Martin qui n'a pas été mal aujourd'hui, c'est Guillaume. Douzième à un peu plus d'une minute dans l'étape d'aujourd'hui, il pourrait jouer les trouble-fêtes pour le maillot blanc (il a 23 ans). Entre les trois Martin : Daniel, Tony et Guillaume, on va finir par ne plus s'y retrouver ! 😃