Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 200
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    88

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 85 km cet après-midi par un temps idéal. Fallait en profiter, ça se gâte à partir de demain pour empirer ce week-end… Floppée de bosses dans l'est de Bruxelles avalées à fond avec à chaque fois un sprint dans les derniers mètres. Les sensations me semblent bonnes avant mon objectif de fin d'été qui a lieu ce samedi : la Vélomédiane — Claude Criquielion, à La Roche-en-Ardenne. 170 km, 3300 m de dénivelée. Vu mon retard irrattrapable en kilométrage, je ne m'attends pas à faire mieux que mon temps l'année dernière (quand j'avais 1000 km de plus au compteur…), mais je devrais pouvoir « lâcher les chevaux » quand même, et peut-être obtenir le « Sanglier d'Argent » comme l'année dernière et l'année d'avant. Malheureusement, la météo annonce pour samedi des conditions climatiques carrément automnales : vent fort, averses parfois orageuses et température maximale de 14°…
  2. Pendant une pause-café de ma sortie d'aujourd'hui, je feuillettais les pages sportives du journal flamand Het Nieuwsblad et je suis tombé des nues : ce soir, à Mexico, à 21 h (heure belge/française), un coureur néerlandais de 28 ans nommé Dion Beukeboom s'attaque au record du monde de l'heure de Bradley Wiggins. C'est apparemment retransmis sur Eurosport. Je n'étais pas du tout au courant et je n'avais jamais entendu parler de ce coureur avant, ou alors je ne m'en souviens pas. Très grand gabarit (201 cm, 88 kg), façon Ondrej Sosenka avant lui (recordman de 2005 à 2014). C'est un pistard et poursuiteur. Selon l'article, il serait capable de maintenir sur une heure une puissance comprise entre 450 et 470 watts. Il aurait déjà réussi à maintenir le rythme du record de Bradley Wiggins sur 40 minutes et au niveau de la mer, à Alkmaar au Pays-Bas, donc il semble avoir de bonnes chances de parvenir à ses fins sur une heure à 1800 m d'altitude. La version web de l'article en néerlandais que j'ai lu aujourd'hui, pour ceux qui connaissent cette langue : https://www.nieuwsblad.be/cnt/dmf20180821_03676699 J'ai aussi déniché un petit article en français : https://www.7sur7.be/7s7/fr/1508/Sports/article/detail/3280508/2017/10/11/Le-Neerlandais-Dion-Beukeboom-va-s-attaquer-au-record-de-l-heure-de-Bradley-Wiggins.dhtml et un autre d'octobre 2017 qui annonce la tentative, ce qui confirme que la préparation s'est faite sur le long terme: https://todaycycling.com/dion-beukeboom-bradley-wiggins/ Curieux de voir ce que ça va donner !!
  3. La Beauce, pourquoi pas? De quoi travailler les éventails et autres bordures. Ça plairait beaucoup à tout ceux qui adorent le vent… comme Michel D. Mais moi… Blague à part, un endroit tout aussi central, mais lui vallonné à souhait, et que je voudrais découvrir à vélo depuis quelques temps, c'est le Morvan. Je n'ai fait malheureusement qu'y passer en voiture, et ce que j'en avais vu m'avait beaucoup plu. En plus, j'ai de la famille pas très loin, donc l'hébergement ne serait pas un problème pour moi. 🆒
  4. La descente du Galibier par La Grave avec la Meije et le Lac du Chambon, c’est superbe. Ah bon ? 😇 Remarque, c'est plutôt la descente du Lautaret, qui a dû ainsi remonter dans ton estime. Si tu ne connais pas, fais la montée du col de Sarenne de ce côté-là, c'est magnifique aussi. Et si tu fais du VTT ou de la randonnée pédestre, la montée au plateau d'Emparis est un must.
  5. Vélos sans assistance et VAE cohabitaient également depuis longtemps sur le Rad am Ring, une série d'épreuves cyclistes organisées sur le gigantesque circuit du Nürburgring le dernier week-end de juillet. Mais cette année ils ont séparé les deux types de vélos, leurs épreuves ne se déroulent plus en même temps. Signe, me semble-t-il, que la cohabitation n'était pas idéale.
  6. Ben, à Grenoble aussi, en fait, on peut faire du dénivelé toute l'année. En profitant des routes tracées entre la plaine à seulement 200 m d'altitude et le balcon de Belledonne, routes qui proposent une bonne variété de «points hauts routiers» variant entre 400 m et 1000 m, je ne faisais que très rarement des sorties sans grimpées conséquentes, même au cœur de l'hiver. À moins que la neige descende en dessous des 400 m, et c'est devenu plutôt rare depuis une trentaine d'années. D'ailleurs mieux vaut ne pas s'en réjouir…
  7. Un conseil : vas-y doucement pour cette reprise. Pas la même d'irriter la zone sensible…
  8. Tu as fait part de ton ressenti, j'ai fait part du mien. Ça s'appelle un échange de points de vue, et tant que ça reste respectueux, tout le monde y gagne. Et d'ailleurs à quoi sert un forum, sinon à ça ?
  9. Qu'est-ce qui empêche de combiner les deux démarches ? Le médecin a priorité, et recueillir des expériences de personnes ayant eu de semblables problèmes peut également aider, ne serait-ce que psychologiquement. Il y a treize ans j'ai souffert d'une algodystrophie très handicapante, dûment et correctement traitée par le corps médical, mais lire ici, après les avoir sollicité, les témoignages de personnes qui avaient souffert du même problème m'avaient beaucoup aidé à tenir le cap. Le furoncle en question sur ce sujet est un problème de santé lié au cyclisme, causé par le cyclisme et handicapant sa pratique, et il a donc parfaitement sa place dans cette catégorie du forum. Qu'on le veuille ou non, les problèmes liés à l'assise, furoncles mal placés, névralgies pudendales, hémorroïdes, etc, sont aussi une composante notre sport préféré. Pas les sempiternelles discussions trollesques qui font le bonheur de certains par ailleurs. Ces problèmes peuvent également servir d'expérience au lecteur, qui peut être ainsi capable de les repérer s'ils lui arrivent aussi, et de les faire traiter le plus vite possible, sans avoir à répéter les mêmes erreurs.
  10. Merci ! Justement, si tu es dans les parages samedi prochain et si ça t'intéresse, il y a la Vélomédiane — Claude Criquielion qui a lieu ce jour-là, à La Roche-en-Ardenne. Une des très rares cyclosportives avec classement qui demeure en Belgique, avec 170 km et 3300 m de dénivelée. Je devrais en être, et un ou deux autres participants du forum aussi.
  11. Cet après-midi, une petite trentaine de kilomètres de sortie-détente à l'est de Bruxelles après ma bataille des Ardennes de samedi dernier. RAS, à part une direction qui grince à chaque irrégularité de la chaussée, et c'est peu dire qu'elles sont nombreuses ici. M'en vais inspecter ça, c'est pas la première fois…
  12. À vous lire, je fais finir par me demander comment il se fait que, venant des Alpes, j'habite en Belgique et m'y trouve bien ! Enfin, sauf pour le vent (ça c'est peut-être seulement moi…) et l'état du réseau routier (ça c'est désagréable à tout le monde, sauf ceux qui sont chargés de l'entretien). Mais même là où j'habite, en plein cœur de la Belgique on trouve des bosses à foison. Et puis il y a les bosses des Ardennes flamandes, des collines hennuyères (coucou Eric), les «chavées» et «tiches» du Condroz, les bords escarpés de la Meuse, la vraie Ardenne et ses somptueux paysages. Tout est à portée de voiture si on le souhaite. Non, il n'y a pas de montagne au sens franco-français du terme, mais on y trouve d'excellent substituts pour ceux qui sont en manque de hauts sommets. C'est mon point de vue de Dauphinois et je le partage ! 🆒
  13. Tu peux y ajouter les environs d'Utrecht et Arnhem, qui présentent quelques bosses du genre Brabant. Liste ci-dessous (in het Nederlands uiteraard) https://www.klimtijd.nl/regio/midden-nederland Mais en dehors de ça et du sud-Limbourg… disons que le vent ne rencontre guère d'obstacles naturels !! 😬
  14. Puisqu'un pays à toi te dit que la vie est belle !
  15. Tu devrais essayer les Pays-Bas, le vrai Plat Pays! Jacques Vandewiele a participé une ou deux fois à la Fietselfstedentocht, la « randonnée cycliste des 11 villes ». 235 km au nord des Pays-Bas. Dénivellation totale (accroche-toi) : 50 m. /voirsujet/votre-200--30460/page:10 Et fais gaffe, ce n'est pas faute de dénivellation que c'est facile. Le vent (📢) et bien sûr la distance sont deux obstacles à ne pas sous-estimer.
  16. M… je suis donc un faux cycliste ! Pire même, je ne me suis jamais rien cassé à vélo. 😳 Remarque, ça va peut-être m'arriver à la prochaine sortie, qui sait… Au fait, une autre fracture qui semble très répandue chez les cyclistes, c'est celle du scaphoïde.
  17. Comme tu dis. N'empêche que j'avais raison quand je prédisais que les rouleurs-sprinteurs seraient avantagés dans cette édition. Quand on voit la liste des 10 premiers, il n'y a que Tim Wellens (3e) et peut-être Schachmann (4e) qui correspondent plus ou moins au profil du grimpeur-puncheur. J'espère que les Ardennes vont revenir au programme l'année prochaine !
  18. Et c'est parti pour le calvaire de la journée. Quelle plaie ce Lautaret. Franchement je ne sais plus qui me disait que le Galibier côté Sud était bien plus joli sur le versant Sud que sur le versant Nord (c'était pas Franck?), mais c'est juste pas possible pour moi ^^ Si, c'était bien moi. Et je maintiens ! Mais je ne parlais pas de la partie Lautaret, que je n'aime pas plus que toi, mais de la portion qui va du Lautaret au Galibier. Juste grandiose ! Par temps clair, avec les Écrins en toile de fond, je ne connais pas de plus beau panorama dans les Alpes. 🆒
  19. Après avoir passé les 30 derniers kilomètres à souffrir dans les côtes et revenir dans les descentes ou sur les portions plates, Mohoric a complètement craqué dans la dernière montée. C'était impressionnant, heureusement que l'arrivée n'était pas jugée au sommet du mur de Grammont, mais au milieu (les «Vesten»). Une quinzaine de secondes de débours en plus et Matthews empochait aussi le général.
  20. Et que penses-tu de celui-là ? https://www.cyclewerks.co.nz/product/co-motion-americano-pinion-gearbox Lui c'est le contraire : on le prendrait vite fait pour un VAE… mais ce n'en est pas un. La boîte de pédalier surdimensionnée contient le boîtier Pinion à vitesses intégrées : 18 vitesses, pas moins. https://pinion.eu/en/ Équipé d'un plateau de 32 dents et un pignon de 28, on obtient avec ce système un braquet maximal équivalent à 52/13 et un braquet minimal équivalent à 24/38… elles ne doivent pas être nombreuses, les côtes qui résistent à un braquet pareil. Et sans assistance. Il suffit d'être patient et d'aller à son rythme. Évidemment, si on tient à suivre une personne ou un groupe bien plus fort que soi, ou si on ne supporte pas d'être lent après avoir été si rapide pendant sa jeunesse, c'est une autre histoire. D'ailleurs, comme le Rohloff dont je parlais par ailleurs, on peut également l'utiliser en VAE.
  21. Bon, ça y est, je l'ai faite, cette randonnée. Le grand parcours comme prévu, 153 km selon l'organisateur, 154,7 selon mon compteur. Levé à 5 h à Bruxelles, je déjeune, prépare mes affaires, embarque tout dans la voiture et hop, direction le Country-Hall de Liège sur le campus universitaire du Sart-Tilman, à une centaine de kilomètres. Une fois arrivé, je prends possession du nécessaire de départ : un dossard et une plaque de cadre. 8181, facile à retenir comme numéro ! Départ du Country-Hall à 8 h 45. À peine un kilomètre d'effectué et déjà un accident : une cycliste assise entourée de personnes, avec un bandeau sanguinolent sur la tête… On se trouve alors juste à côté du Centre Hospitalier Universitaire de Liège, donc les secours sont certainement venus très vite. Le temps est beau mais frais, et on commence directement par une longue descente sur Tilff (côte dite de l'Hôpital, vu la proximité du CHU). C'est limite si je ne claque pas des dents malgré mon coupe-vent. Un peu plus loin, la première côte, Dolembreux-Haugné, au cours de laquellle je retrouve Jérémie, venu avec son superbe vélo gravel orange pour faire la première partie du parcours avec moi. C'est donc ensemble qu'on termine cette côte et qu'on enchaîne avec les suivantes. D'abord la côte de Fays, puis la très difficile Chambralles. Un monde impressionnant dans ce raidard, au point qu'on doit parfois slalomer entre d'autres participants. Jérémie file loin devant. Il doit en écœurer quelques-uns avec son rythme de grimpée, sur son vélo à pneus sculptés de 40 de section ! Au sommet de Chambralles, beau point de vue sur les Ardennes liégeoises. La côte suivante, Niaster, est bien plus facile mais tout aussi pittoresque. Je commence à me sentir d'attaque et je la termine en accélérant sensiblement. Puis c'est la côte de Warmonfosse, assez raide mais vite avalée, et immédiatement suivie du premier ravito à Harzé. Comme j'ai une alimentation à base liquide (Hidrixir bio avec des réserves en sachets + boisson 640), je me contente de prendre une barre de céréales au chocolat, plus par gourmandise qu'autre chose, et de faire le plein de mes bidons. Et on repart, par la belle et longue descente de Lorcé. Au pied, vers Targnon le long de la route longeant l'Amblève, Jérémie prend congé pour faire la sortie qu'il avait prévue, avec sa thématique «gravel». C'est donc seul — c'est tout de suite moins agréable — que j'effectue la côte qui suit, du nom du village au sommet : Xhierfomont. Longue et moyennement pentue, avec des lacets, champêtre, une configuration quasi montagnarde qui m'a bien plu. Descente vers la vallée de la Lienne, court passage plat le long de cette rivière ardennaise avant de s'en prendre à un autre «morceau» du jour : les Forges-Chevron. 200 m à 18 %, un court répit puis 200 m à 13 % avant que la pente fléchisse progressivement : ça calme ! Au sommet un panneau placé par l'organisateur indique la côte suivante à 20 km. La bonne blague (belge) ! Ça n'arrête jamais de monter et descendre, en fait. Le mot d'ordre : s'économiser ! J'en profite pour profiter du paysage, magnifique dans ce secteur, forêts denses et vallées profondes.On passe sur le territoire de Ferrières, puis celui très fréquenté par les touristes en tout genre de Durbuy, notamment le site de Bomal-sur-Ourthe, km 80, où se trouve le deuxième ravitaillement. Qui a le malheur de retrouver proprement infesté de guêpes ! Mieux vaut faire attention à ne pas en embarquer une dans ses bidons… En quittant Durbuy, on quitte l'Ardenne pour le Condroz. Question vallonnements on ne gagne pas au change. Ça monte, ça descend, ça remonte… Retour des côtes répertoriées avec les longues ascensions de Septon-Borlon et Jenneret-Bende, et troisième ravitaillement à Anthisnes, km 120. Mieux vaut ne pas avoir traîné trop longtemps à ce ravito, parce qu'à la sortie c'est un vrai mur d'une centaine de mètres qui se présente immédiatement sous nos roues… 7 km/h de vitesse de pointe, qui dit mieux ? 😃 Mais il n'y a plus qu'une trentaine de kilomètres alors à effectuer, dans la vallée de l'Ourthe essentiellement. Le Ry d'Oneux, long, irrégulier et usant, où je m'amuse à «faire la course» avec plusieurs participants, puis le mur de Strivay. Il valait mieux passer sur le petit plateau avant de l'aborder, celui-là, car ça grimpe fort et d'entrée après un très sec virage à gauche qui ne laissait rien entrevoir de la pente. Au sommet, succession de trois ou quatre casse-pattes qui aboutissent au final d'une autre difficulté de l'endroit, la côte de la Roche-aux-Faucons, célèbre pour Liège-Bastogne-Liège. À partir de là, c'est presque terminé. La dernière montée, les derniers 900 m de la côte de l'Hôpital qu'on avait descendue au départ, sont avalés presto, et je rejoins le Country-Hall de Liège juste à côté. Bilan : 154,7 km au compteur, 7 h 30 de sortie dont 7 h 2 min de vélo effectif (pauses décomptées), 22 km/h de moyenne selon ce temps de vélo effectif. De bonnes sensations tout au long du parcours qui m'ont permis de faire du rythme dans plusieurs ascensions. La cadence de pédalage moyenne en témoigne : 90 tours/minutes, signe que les jambes tournaient joyeusement. Mais avec les braquets de type VTT (triple 10 vitesses 48-36-24 et cassette 11-34) dont je dispose sur ma bécane, c'est bien plus facile d'être véloce sur un parcours aussi accidenté. Les autres stats fournies par mon compteur : 120 tours/minutes de cadence maximale de pédalage maximale, vitesse maximale de 64,4 km/h. Il y avait de belles descentes tout au long du parcours, mais mieux valait ne pas se griser, vu l'état de certaines routes et l'inexpérience de beaucoup de cyclistes. J'ai pu d'ailleurs à nouveau pester intérieurement contre nombre d'entre eux qui en descente ne se gênaient pas pour occuper toute la largeur de la route (parfois même en virage !!), mains aux cocottes et bras raidis comme des piquets… Globalement une fort belle journée de vélo quand même, dans des paysages somptueux et par un temps idéal après la froideur du départ. Le soleil aura brillé toute la journée, le vent n'était pas trop gênant quoique bien présent dans certains creux de vallées, et la température aura fini par grimper à 25°. Que demande le peuple ? De revenir l'année prochaine, sans doute !
  22. Il a quand même 82 ans. Même pour nous, c'est pas évident de prédire à quoi on va ressembler trente ou quarante ans plus tard… si on y. arrive. À côté tu as Geminiani, «bouboule» depuis des lustres mais qui est toujours là à 93 ans.
  23. J'ai lu plusieurs fois qu'il continuait à faire régulièrement du vélo. Ceci explique probablement cela.
  24. Heu… quand on lit ceci en première phrase : C'est pourtant simple, quand je pars rouler je pars du principe que si j'ai un accident j'en serais responsable. et puis cela au deuxième paragraphe : Evidemment si j'ai accident ça ne dit pas que je suis responsable ça on n'en sert rien puisque ça n'a pas eu lieu. ça doit en rendre d'autres aussi perplexes que moi. 😕 (Et je suppose que tu voulais dire : « ça on n'en sait rien ».) Tu ferais mieux de supprimer complètement ta première phrase, elle ne fait qu'embrouiller les choses. Le reste prend alors tout son sens, et j'approuve d'ailleurs à 100 % ce que tu y dis, puisque je fais la même chose : C'est pourtant simple comme raisonnement, je ne coupe pas les priorités je ne fais pas confiance aux priorités, je ne passe pas si j'ai un doute, j'évite au maximum d'être surpris par le comportement de qui que ce soit. La ligne de conduite c'est éviter d'être surpris, c'est le fil rouge. Evidemment si j'ai un accident ça ne dit pas que je suis responsable, ça on n'en sait rien puisque ça n'a pas eu lieu. Mais ce qui compte c'est l'état d'esprit dans lequel tu pars rouler. Et comme j'ai relativement confiance en moi je me sens serein tout en respectant ces principes de bases.
  25. L'itinéraire «ter» ? Il y aurait donc un itinéraire bis ? Ce serait déjà bien que je découvre celui-là. 🆒
×
×
  • Créer...