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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Quelqu'un qui fait du vélo.
  2. Je n'ai pas fait cette route depuis longtemps. Il y a quelques jours, lors d'une longue sortie dans le Vercors, j''avais voulu l'emprunter mais le tenancier de l'auberge au col de la Croix Perrin m'en a dissuadé, selon lui c'est actuellement en trop mauvais état pour un vélo de route. J'avais donc renoncé, mais peut-être avait-il surévalué le risque. De mémoire, la route est malgré son étroitesse fort fréquentée par les véhicules à moteurs (motos, voitures…) en période touristique, donc il faut être doublement prudent. Au pire, on peut toujours monter au tunnel du Mortier et à la Molière en passant par Autrans.
  3. Michel te répliquera qu'il lui aurait suffi d'avoir une selle Brooks (en cuir bien sûr) pour pallier tous ces problèmes ! 🆒 Au passage, j'ai vu que tu comptes participer à la Vélomédiane dans dix jours ? J'espère en être aussi, mais n'en suis pas sûr à 100 %.
  4. Certains peuvent perdurer plus d'une semaine avant d'être «mûrs». J'en ai eu peu mais suffisamment pour savoir ce que c'est. Dans mon cas ils étaient peu imposants et pour la plupart dus tout bêtement à des poils incarnés. Jusqu'à présent aucun ne m'a gêné pour le vélo.
  5. Décevant, aucune étape vraiment ardennaise. Habituellement elle avait lieu le jour d'avant l'étape du mur de Grammont. À la place de laquelle il y a cette étape Riemst — Sittard Geelen, or les bergen du Limbourg néerlandais n'ont pas l'ampleur des ascensions ardennaises. Les rouleurs-sprinteurs genre Van Avermaet auront la main haute sur les grimpeurs-puncheurs genre Wellens.
  6. Idem.
  7. C'est un ancien cyclo-crossman, il a même été double champion d'Italie juniors de la discipline ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Matteo_Trentin
  8. La Vendée, je connais un peu puisqu'une bonne partie de ma famille paternelle s'y est installée. Bien sûr, un vrai local comme Joachim peut en parler bien mieux que moi mais je vais me permettre une présentation en prenant un point de vue «belge». Question relief, c'est un peu la Flandre occidentale : plat pays côtier avec force stations balnéaires (Sables-d'Olonne, Saint-Jean-de-Monts, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, etc) que j'ai beaucoup fréquentées enfant. Terre sableuse, forcément. Vers l'est du département (Pouzauges, Les Herbiers…) on trouve de belles (petites) collines, un peu l'équivalent des monts de Flandre (Mont Kemmel enzovoort) Là-bas aussi le climat est océanique, donc les températures sont généralement douces et c'est assez pluvieux en temps normal. Deux grosses différences : la Vendée est nettement moins densément peuplée que la Flandre occidentale (100 habitants par km^2 contre 370…) donc nettement plus verdoyante, et les routes y sont généralement en très bon état. Et bien sûr question bâtiments ce n'est pas du tout la même architecture. D'ailleurs je préfère la brique rouge chaleureuse de la maison-type de Flandre aux murs blancs de la maison vendéenne, mais c'est purement arbitraire. La Vendée, c'est aussi le fief du vicomte Philippe de Villiers, homme politique, disons, clivant…
  9. Cap des 4000 km franchi aujourd'hui lors d'un long et rude périple en Chartreuse. Pour Michel Dury : j'ai pensé à toi quand je suis passé à Saint-Hilaire-du-Touvet, tu devines pourquoi ! 😉
  10. En parlant de casque tiens, je pédale en ce moment sur les routes d'Indurain, le port du casque étant obligatoire je le mets, et bien sous 35 degrés et plus je ne sais pas comment vous faites pour le porter sans obligation de le faire. C'est assez horrible comme sensation, vraiment. Et puis pas sain du tout, se couvrir ainsi la tête par ces températures relève du suicide autant que de la bêtise la plus grande. Ce sont des températures sous lesquelles j'ai roulé récemment dans les environs de Grenoble, dûment casqué comme toujours, et mon casque s'est fait oublier… comme toujours. Soit tu fais un blocage psychologique, soit tu devrais envisager de changer de modèle de casque. 🆒
  11. En l'occurrence, c'était même le 24/34 ! J'ai en effet monté un petit plateau de 24 dents sur ma bécane depuis le Rad am Ring. À cause de mon manque de kilométrage cette année, j'ai voulu m'octroyer une sécurité supplémentaire pour les raidards de cet été. Et je n'ai eu qu'à m'en féliciter. Si bien que mon triple TA Carmina a pour dentures 48-36-24 actuellement. Comme celui de ta randonneuse, si ma mémoire est bonne ! Après le mois d'août, soit je remets le 26 dents devant, soit je garde le 24 mais alors je m'installe une cassette 11-32.
  12. Choix cornélien aujourd'hui : aller faire l'enchaînement Croix-de-Fer — Galibier comme c'était mon objectif depuis quelques mois, ou me « contenter » d'une sortie (costaude) en Chartreuse qui aurait le double avantage de ne pas nécessiter de déplacement en voiture et de pouvoir croiser le reste de la famille en chemin. Finalement, j'ai choisi la deuxième option. En bonne partie parce que, si j'étais à peu près sûr de réussir l'enchaînement Croix-de-Fer — Galibier, je craignais la circulation de ce week-end de mi-août et, vu mon manque de kilométrage, de finir à la ramasse. Donc, va pour la Chartreuse. Question difficulté, je n'ai peut-être pas gagné au change avec la boucle que je me suis concocté: départ des environs de Grenoble, puis la classique trilogie des cols de Porte, du Cucheron et du Granier à l'aller, descente vers Chapareillan et l'intégralité du plateau des Petites Roches au retour, avec entre autres le col de Marcieu, avant de redescendre sur la banlieue grenobloise. Un enchaînement de difficultés que je n'avais jamais tenté jusqu'à aujourd'hui. Le plateau des Petites Roches est un peu l'équivalent du Balcon de Belledonne, son vis-à-vis de l'autre côté de la vallée du Grésivaudan : une série de montagnes russes à mi-hauteur entre la vallée et les sommets. En moins habité et globalement moins fréquenté que le Balcon de Belledonne… sauf à Saint-Hilaire-du-Touvet, «spot» de pratique du parapente très réputé parmi les pratiquants de ce sport (clin d'œil à Michel Dury !). https://fr.wikipedia.org/wiki/Plateau_des_Petites_Roches J'ai pris soin de m'économiser pendant toute la sortie, ayant peur du coup de bambou. Ça m'a bien réussi, j'ai pu finir assez frais, sans histoire. Le temps était splendide, frisquet au départ au petit matin (particulièrement dans la descente du col de Porte) puis le mercure a progressivement grimpé jusqu'à atteindre 30° au retour. Pour ne pas changer, j'ai eu mes moins bonnes sensations dans le col du Granier, tout simplement parce que j'avais le vent dans la figure… Rien à faire, dès que le vent siffle dans mes oreilles, je prends toujours un coup au moral. Mais ça n'a heureusement pas duré longtemps. Au sommet du col de Marcieu, alors que l'essentiel des difficultés de la sortie était accompli, j'ai donc retrouvé mes parents et ma fille qui allaient à «l'espace ludique» de ce col. Pour les enfants, ça a l'air en effet bien sympa: http://www.col-marcieu.com/ En tout, cette sortie a dû faire entre 3000 m et 4000 m de dénivellation, au jugé (si quelqu'un peut confirmer, je ne suis pas équipé pour évaluer la dénivellation précise de mes sorties), pour 113 km de distance et 6 h 44 de vélo effectif, pauses décomptées, soit une moyenne de… 16,8 km/h. Ben oui, il devait y avoir en tout et pour tout 20 km de plat… et quelques jolis raidards dans le plateau des Petites Roches. Cadence moyenne de 84 tours/minutes, vitesse maximale de 71 km/h dans la descente de Saint-Pancrasse vers la vallée (qui correspond à la partie inférieure de la route du col du Coq versant est).
  13. Oui, j'ai vu ça dans un autre sujet. /voirsujet/velo-de-route-de-descente--42393/page:3 Apparemment tu t'en es bien tiré. Rassure-moi, le chevreuil aussi ? 😆
  14. Un peu plus de 30 km de sortie ce matin, mais avec un gros morceau au menu, le col du Coq (1434 m) versant Saint-Nazaire-les-Eymes, avec ses 12,7 km de montée régulière à 8,6 % de moyenne. (C'est le seul versant ouvert actuellement d'ailleurs, l'autre étant fermé suite à un éboulement. Voir le sujet dédié dans la même rubrique.) Montée effectuée en 78 minutes, soit 9,8 km/h de moyenne. C'est loin d'être mon meilleur temps, mais c'est beaucoup mieux que les 85 minutes d'il y a un mois… 🆒 Cadence moyenne : 88 tours/minutes. Braquets utilisés : toute la gamme du 24/21 au 24/34, avec prédominance des 24/26 et 24/30. Le 24/34 a été utilisé une seule fois, sur quelques centaines de mètres très raides (12 % - 15 % ?) au-dessus du hameau du Baure. Pluie intermittente dans la première moitié de la montée, constante ensuite… finie la sécheresse ! Un peu avant le col, un chevreuil m'aura fait la surprise de traverser juste devant moi.
  15. Pas la peine de réagir à cran, je parlais de sa carrière professionnelle. Pas du reste de sa vie. J'ai en tête l'exemple de Roger Rivière qui ne s'est jamais vraiment remis, physiquement mais surtout moralement parlant, de sa chute dans le col du Perjuret dans le Tour 60, à peine plus âgé qu'Adrien Costa. Il en était ressorti boiteux à vie. Il est tout jeune, certainement bien entouré, il peut faire encore des tonnes de projets, viser une "carrière" que ce soit dans le sport ou non. On est pas sur des rails, la fin de quelque chose c'est le début de 10 autres. La force s'est de s'adapter et non de renoncer... C'est tout ce que je lui souhaite : qu'il ait cette force, ou qu'il la trouve. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Autre exemple inspirant: Stig Broeckx. Sa lutte est loin d'être finie — sera-t-elle finie un jour ? — mais il lutte. C'est l'essentiel. « Ceux qui vivent sont ceux qui luttent (Victor Hugo) ». http://www.sport.be/fr/cyclisme/article.html?Article_ID=821239&v=08082017
  16. Quelle horreur… Vie sauvée mais carrière terminée avant d'avoir vraiment commencé. J'espère qu'il sera humainement bien accompagné, il en aura le plus urgent besoin.
  17. Simon Gerrans (à confirmer) arrêterait sa carrière C'est confirmé dans cet article de Sporza. Selon Gerrans, c'est de lui-même qu'il a décidé d'arrêter. https://sporza.be/nl/2018/08/07/gerrans-38-zet-een-punt-achter-zijn-carriere/
  18. Le Ventoux est tres raide 8,5% je crois de moyenne .... Plus exactement 7,5 % de moyenne aussi bien par Bédoin (1610 m de dénivellation) que par Malaucène (1570 m). Si on ne se fie qu'au pourcentage moyen et pour une dénivellation comparable (1550 m), le versant sud du col de la Madeleine (celui de Savoie, hein !) est plus raide : 8,1 % de moyenne. Sources : Atlas des cols des Alpes, Altigraph Éditions.
  19. Pour avoir un 32 dents à l'avant, même en double il faudrait changer ton pédalier pour en prendre un d'entre-axe plus petit. Ça se trouve dans les modèles VTT ou dans des pédaliers route chez Spécialités TA par exemple Je roule pour ma part en triple avec un groupe route, de plus petit braquet 24/34, mais je me suis équipé ainsi d'origine. Pour passer en triple, c'est exact qu'il te faudrait changer levier, dérailleur avant et pédalier. Ceci dit certains l'ont fait pour leur groupe 11 vitesses et il semble que ça marche bien, comme Jérémie Laplac pour sa randonneuse (leviers Gevenalle, dérailleur triple Shimano Ultegra — cassette 11-32 — et pédalier triple Spécialités TA Carmina 48-36-24 si j'ai bonne mémoire) ou Patrick Renard (levier Ultegra triple 6703 à gauche et Ultegra 6800 à droite, pédalier Dura Ace triple 6703, dérailleur arrière "double" Shimano Dura Ace 9000). Voir cette discussion : /voirsujet/velomediane-2017--40389/page:2 sur ce forum.
  20. Merci David ! Un de ces jours j'aurai sur moi de quoi prendre en photo mes paysages alpins qui pourraient bien concurrencer tes paysages pyrénéens. 🆒
  21. 65 km aujourd'hui avec l'ascension de Chamrousse — Roche-Béranger (1735 m d'altitude) versant Prémol, déjà effectuée il y a un mois environ. Et même temps d'ascension, 1 h 40 min pour 18,5 km et 1340 m de dénivellation, mais cette fois-ci j'ai grimpé «à l'aise», en accélérant l'allure seulement sur les deux derniers km, et j'ai terminé assez frais alors qu'il y a un mois la grimpée avait été particulièrement pénible à partir du col intermédiaire du Luitel à 1260 m d'altitude. Signe de forme améliorée. 😄 Une fois arrivé au sommet habituel, au lieu de descendre vers Uriage j'ai choisi de quitter l'itinéraire classique (qui suit la D111) et de prolonger l'ascension jusqu'à ce qui semble le point le plus haut de la station atteignable par route, le « col de Chamrousse » à 1795 m d'altitude. Je n'avais jamais poursuivi jusque là et de fait je ne connaissais pas ce «col», qui n'a rien d'un col routier géographique au sens strict du terme (un endroit où la route franchit un point bas sur une ligne de crête). Mais la dénomination semble tout-à-fait officielle, panneau faisant foi. Je me demande s'il compte pour le «club des 100 cols» ? Description de la montée jusqu'à ce «col» : https://www.cyclo-alpes.com/boucles-cyclotouristiques/la-montee-de-chamrousse
  22. Grâce à leur liberté latérale (ne pas confondre avec liberté angulaire), on n'a pas ou peu ce problème avec les pédales Time. Peut-être une autre piste à suivre.
  23. C'est la norme actuelle en effet, ce n'est pas pour cela qu'elle est gage de sûreté. Je serais curieux de connaître des évaluations statistiques, s'il y en a, sur l'évolution de la position du cintre des vélos de pros, ou même des coureurs en général, depuis, disons, une vingtaine d'années. De ce que j'en vois chez les pros elle semble s'être abaissée de dix voire vingt centimètres, ce qui est énorme et impose de sérieuses contraintes supplémentaires au niveau cervical. Contraintes peut-être trop importantes pour certains, ce qui les inciterait à garder trop souvent la tête baissée. Un indice dans un tout autre domaine mais qui semble aller dans le même sens (c'est-à-dire une position du cintre trop basse pour nombre de coureurs), c'est le nombre de plus en plus élevé de coureurs pros, qui descendent les mains aux cocottes. Et ça, je le vois aussi au niveau cyclotouriste et cyclosportif, chez ceux dont les vélos singent ceux des coureurs. Ce n'est pas la cause de la chute de San Sebastian, mais ça pourrait peut-être en expliquer d'autres.
  24. Aucun rapport avec le fait de se retourner. Je donnais une autre explication possible à l'épidémie de chutes actuelle : le fait que la position standard sur les vélos actuels des pros, avec leurs directions ultra-basses, les inciterait à garder souvent la tête baissée plutôt que de maintenir la tête haute et regarder devant eux. Quelque chose qu'il est quand même important de faire pour prévenir bien des accidents.
  25. Peut-être que la position du guidon, vraiment très, très basse par rapport à la selle sur les vélos actuels, joue un rôle négatif. Garder longtemps la tête levée est plus difficile avec une telle position, or c'est quand même préférable si on veut mieux voir devant soi…
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