Franck PASTOR

Ça vous rend complètement fous, tu veux dire ! Incroyable ce qu'un peu de beau temps provoque chez les Belges. Et vas-y qu'on installe les bancs et les transats devant les portes ou dans les parcs, que les gens sortent en short et T-shirt (qu'il fasse 15° ou 25°), et c'est tout juste si les filles ne se baladent pas seins nus ! 😲

Et si ça caille ou s'il pleut, ils fournissent aussi des vestes aux couleurs de la cyclo ? 🙄

Ça m'étonne que personne ne l'ait encore évoqué ici, l'histoire me paraît pourtant assez remarquable ! La version junior de Paris-Roubaix aurait pu ne pas avoir lieu cette année, par manque de moyens financiers, si le vainqueur de l'épreuve pro en 2015, John Degenkolb, n'avait pas pris l'initiative d'un «crowfunding». Et ça a marché ! Les détails dans l'article ci-dessous. https://cyclismerevue.be/2019/02/17/john-degenkolb-sauve-paris-roubaix-juniors/

75 km dans le sud-ouest de Bruxelles, avec au passage les 45 km de la « route Herman Teirlinck » (Herman Teirlinckroute), circuit balisé pour cyclistes portant le nom d'un poète flamand qui a résidé dans le coin, à Beersel. Magnifique parcours bien vallonné, mais sur certains secteurs plus digne d'un circuit pour «graveleux» que pour routiers (Jérémie Laplac, c'est typiquement un circuit pour toi, même si c'est du côté de Bruxelles 😉). Pour les routiers, c'est donc faisable mais seulement par temps sec, comme aujourd'hui (temps magnifique, jusqu'à 22° au soleil, un peu gâché par un vent très sensible de secteur sud-ouest). Par endroits, vu l'état de la chaussée ou de la piste, il vaut quand même mieux mettre pied à terre, mais heureusement ce n'est pas fréquent. Un descriptif du circuit, en néerlandais seulement, mais avec de très belles photos : http://fietsknooppunten.blogspot.com/2007/03/herman-teirlinckroute.html Le plan du circuit pour ceux qui seraient intéressés, au format PDF: http://www.visitbeersel.be/download.ashx?id=1310

Comme si les fabuleuses routes locales n'étaient pas assez piégeuses en elles-mêmes, il faut encore que les chantiers en rajoutent. 😕 Ça va mieux aujourd'hui ? C'était où, d'ailleurs ? Que j'évite le secteur si je passe dans le coin !

Fichtre ! Un seul bidon, même grand, pour plus de 4 h de vélo bien sportif ! Je serais mort de soif en cours de route, si j'avais été à ta place.

Une petite vingtaine de km à la sauvette cet après-midi, au sud de Bruxelles, en grande partie dans la belle forêt de Soignes. Temps splendide, avec une température digne du printemps (15°). Pourvu que ça dure.

Oui, je pensais bien à cet itinéraire-là. Très plaisant pour le randonneur… pédestre. Je viens d'aller sur le site du refuge. En toile de fond de la randonnée, il y a un sommet particulier appelé «montagne des Agneaux». J'ai le souvenir, datant d'il y a une quinzaine d'années, d'une montagne impressionnante parce que recouverte de neige et de glace, même en été… Or les photos du site internent la montrent presque entièrement noire. Et dire qu'il y en a qui doutent encore du réchauffement climatique. 🙁

A priori non, à moins de faire du crapahutage vélo sur le dos pendant des heures, voire carrément de l'alpinisme. Entre Vallouise et la Bérarde, il y a les plus hauts sommets du massif des Ecrins qui font barrage, ça m'étonnerait fort qu'un sentier accessible aux vélos passe par là. D'autant qu'il s'agit d'un parc national, et très protégé. Tu peux éventuellement passer par le "Plan de l'Alpe" pour accéder à Villard-d'Arênes à partir de Briançon sans passer par le Lautaret, ce que j'avais fait à pied dans le temps. Mais même par là je ne vois pas trop comment un gravel peut passer (à moins qu'ils aient aménagé quelque chose depuis, mais ça me semble à nouveau peu probable à cause du statut du parc). Et puis après il reste quand même à redescendre de Villard-d'Arênes vers Bourg-d'Oisans... Donc, à moins de refaire tout ou partie de l'itinéraire aller en sens inverse, je ne vois pas comment tu peux éviter complètement l'ex-nationale Briançon-Bourg pour le retour...

«Moins de pertes», non, quand même. De mémoire, Rohloff dit seulement que le rendement de son moyeu est équivalent à celui d'un système de transmission classique, en prenant en compte les déperditions liées aux lignes de chaîne «tordues» possibles sur une transmission classique. En pratique, d'après un test lu sur cyclingabout.com, apparemment effectué en toute indépendance, le rendement d'une transmission Rohloff n'est que légèrement inférieur à celui d'un système monovitesse, et meilleur que tout autre système à vitesses intégrées connu, que ce soit dans le boîtier de pédalier ou le moyeu. https://www.cyclingabout.com/speed-difference-testing-gearbox-systems/ Reste que c'est indiscutablement plus lourd qu'une transmission classique… et plus cher ! Quant au bruit, pas sûr que ça me dérangerait… avec le bruit que fait déjà ma transmission actuelle dès que les routes du coin sont boueuses, je suis probablement blasé. J'ai encore eu droit à une belle symphonie aujourd'hui, alors que je passais par malheur dans une zone à travaux, donc sur une route complètement tapissée de boue. Avec un système à vitesse intégrées, il n'y a pas de galets et les frictions des maillons de la chaîne sont réduites puisqu'elle reste droite, donc il y a moins de bruit de ce genre…

Je ne sais pas si c'est le même principe mécanique à la base, mais le changement de vitesse automatique et réglable en continu se retrouve en vélo chez NuVinci : https://www.fallbrooktech.com/nuvinci-technology https://road.cc/content/feature/5664-nuvinci-no-gears-all-gears-you-need Mais ça pèse le poids d'un âne mort, le rendement est très moyen et ce n'est pas particulièrement bon marché.

Oui, face au vent… et impers déployés ! J'avais lu ça dans un des bouquins de Claude Genzling, je crois. Et ça me paraît très valable comme solution de substitution aux cols Mais il faut être très costaud mentalement pour résister à un traitement pareil, s'il est répété souvent. On n'en voit pas la fin, de certaines portions à vent de face… je pense notamment à la voie sur berge de l'Escaut, que j'ai souvent pratiquée à Tournai. Lors d'une sortie, j'étais descendu à 15 km/h, en pédalant à fond pourtant… Imagine ça sur plus de 30 km ! Je serais incapable de supporter mentalement un truc de ce genre sur plusieurs sorties consécutives, alors qu'une longue ascension de col ne me pose pas ce genre de problème psychologique. Aujourd'hui alors qu'après un virage je prenais le vent de face sur une portion complètement plate, le compteur est passé instantanément de 27 à 17 km/h. Je me demande quelle vitesse j'aurais atteinte à ce moment si j'avais pensé à ouvrir mon imper…

Le même vent que pour Eric pendant ma sortie de cet après-midi, mais en essayant de profiter au maximum de l'abri (relatif) procuré par les creux des vallées de l'IJse et de la Lasne au sud-est de Bruxelles. 56 km au total avec quelques ascensions des belles petites collines de la région (mais j'en redescendais très vite vu la force du vent sur les sommets !). En cours de route, plusieurs «draches», notamment pendant la première heure, et au milieu de la sortie quelques grêlons se sont mêlés à la pluie pour corser le tout. Bref, j'ai eu l'occasion aujourd'hui de me prendre pour un «Flandrien» ! 😃

Je ne t'ai pas écouté et suis parti. 😛 Ces derniers temps les occasions de sortir se sont faits rares, alors j'ai voulu profiter de celle-là quand même ! Comme prévu, vent très fort et plusieurs averses (grêle comprise). Mais je ne me suis pas envolé, ça restait «cyclable» comme conditions climatiques, et j'ai croisé pas mal d'autres cyclistes pour le confirmer. De fait, j'ai connu pire comme vent, notamment vers chez toi en Hesbaye où Éole ne rencontre aucun obstacle (ne cherche pas pourquoi je n'irai jamais vivre en Hesbaye, moi…). Alors que dans les vallée de l'Ijse et de la Lasne où j'ai roulé cet après-midi, il y a quand même un peu plus d'abri.

S'il fait du côté de Mons le même temps qu'ici à Bruxelles, il aura évité la pluie ce matin. En ce qui me concerne, ce week-end, je ne pourrai sortir que cet après-midi… Entre le vent et la pluie, si je pouvais choisir moi je choisirais la pluie, sans l'ombre d'une hésitation. Mais je vais probablement devoir me farcir les deux. Que du bonheur. 🙁

40 km cet après-midi dans l'est de Bruxelles, profitant d'une fenêtre libre dans mon emploi du temps. Vent très fort qui m'a fait pédaler les mains en bas du guidon la plupart du temps. Je devais me pencher sur le côté quand le vent était latéral, et mettre la tête dans le guidon (même dans les montées) quand il soufflait de face… Pour une sortie-détente, je repasserai. Sinon, alternance d'éclaircies et de crachins, et température très douce pour la saison (dans les 10°)..

Cà n'a pas empêché Leblanc de planter à son tour Guimard pour aller au Groupement en 93 En l'occurence, c'était plutôt Bruno Roussel et Festina que Leblanc avait plantés, et c'était pour la saison 95. 😉

Franck Pastor, qui a je crois correspondu avec lui a peut-être qq chose à ajouter. Pas vraiment. Je ne m'en rappelais pas, j'ai dû faire une recherche dans mes messages… J'avais posté il y a 3 ans une réaction (non polémique) sur son site à un de ses articles, à laquelle il a répondu (sur le même ton), et ç'en était resté là. L'échange en question est rapporté ici : /voirsujet/aticle-tres-proche-de-la-realite--34994 Depuis lors, ou à peu près, je n'ai absolument plus entendu parler de lui.

Je viens de vérifier qu'Alejandro Valverde aussi a bouclé 21 grands Tours (dont un seul Giro). Mais comme lui a eu maille à partir avec la patrouille anti-dopage, c'était peut-être lui que Georges veut exclure de sa liste quand il écrit « jamais inquiété pour des "salades" de "soins interdits ».

J'allais répondre Maxime Monfort (Belge), mais je viens de vérifier qu'il n'a bouclé « que » 19 grands Tours… @Guillaume : Hubert Dupont semble la bonne pioche, d'après Wikipédia il a participé à 22 grands Tours et en a terminé 21.

140 km ? Je n'imaginais pas que ça puisse représenter autant de km de faire l'aller-retour Ottignies-Malines ! Moi aussi j'aime bien parcourir la région située entre Bruxelles et Malines. Le centre de Malines, est vraiment splendide, et entre les deux agglomérations, si on évite les grands axes on se retrouve à pédaler dans un secteur étonnamment vert, si bien qu'on se croirait presque en campagne. Mais c'est sûr qu'il ne faut pas y aller pour faire du dénivelé. 😃 Ça drache dur à Bruxelles en ce moment… J'ai eu de la chance avec le temps pour ma sortie de tout-à-l'heure !

Après deux semaines d'arrêt complet à cause des routes impraticables, j'ai enfin pu reprende le vélo aujourd'hui, pour une bonne balade de 54 km sur terrain plat entre Bruxelles et Malines. Arrivé à Malines, pause-café sur la Grand-Place avec la magnifique tour Saint-Rombaut en toile de fond. 😄 https://fr.wikipedia.org/wiki/Cathédrale_Saint-Rombaut_de_Malines#/media/File:St-Romboutskathedraal3.jpg Beau temps, température de saison (5°), vent assez sensible. La leçon du jour : si vous rencontrez des travaux routiers en Belgique, ne vous fiez pas aux déviations pour cyclistes conseillées par les panneaux : ils pourraient vous diriger droit vers des sentiers non bitumés, bien gadouilleux en cette saison… Vécu aujourd'hui du côté de Steenokkerzeel. 😠 Vivent les routes belges !

Vous me ferez toujours rêver avec vos braquets de fous furieux. Moi je me rappelle que je n'ai pas pu finir le col du Coq (8,5 % de moyenne sur 12,7 km) avec mon premier vélo de route équipé d'un 40/24, j'ai calé 2 km avant le sommet… J'ai dû échanger mon vélo avec celui de mon père, équipé d'un 32/24, pour finir comme je l'ai pu. Il y avait également un copain à moi qui nous accompagnait, celui-là avait un 42/21… Après coup, il nous a quand même avoué qu'il aurait préféré un 24 dents derrière. De quoi relativiser toute discussion sur « les braquets qu'il faut ».

Ça ne m'étonne pas, en Belgique le fait que les côtes soient toutes relativement courtes permet de se passer de petits développements, même si les braquets d'alors n'étaient pas optimaux pour certains raidards. Et donc pas de raison pour les fournisseurs de sortir des sentiers battus questions braquets. Alors qu'en haute montagne, la longueur des ascensions impose les petits braquets, surtout pour ceux qui ont moins de «coffre». Comme Jacques Roux, cyclotouriste qui n'a jamais fait de compétition… ou moi.

à l'époque en double on ne pouvait faire mieux que 39/28 en roue libre Maillard. Jacques Roux (Altigraph), dans son « Guide du vélo en montagne » parle ainsi de son tout premier vélo utilisé dans les Alpes en 1955 : cadre de marque Hurtu, roues de 650, pneus de 35… et pédalier à deux plateaux 48-34. Comme quoi cela existait déjà à l'époque. Mais sans doute fallait-il bien chercher.