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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Si ça ne te tente pas, alors il n'y a rien à dire. Mais si ça te tente un jour, l'âge ne devra pas être un problème. Tu apprendras moins vite qu'un gamin, et tu ne seras sans doute jamais aussi à l'aise, mais tu pourras progresser suffisamment pour te faire plaisir. Et, oui, il vaudra mieux prendre des leçons alors. On peut suivre des cours à tout âge, y pas de honte à ça. 😉 En attendant, profite bien de ces vacances !
  2. J'avais déjà essayé d'expliquer ça à un certain Joachim Garreau : qu'il me fallait de telles pressions malgré mon faible poids pour éviter de pincer mes pneus sur les routes qui font la particularité de ce pays. J'ai en effet déjà crevé plusieurs fois par pincement ici avec des pneus à 7 bars (à l'époque des Conti en 23), dont la double crevaison dont j'avais été victime à Hoeilaart et dont je t'avais déjà parlé. 8 bars était donc mon minimum vital en 23 avec ces Conti. JG n'a jamais voulu me croire. Pour lui gonfler à 7 bars rendait les pincements impossibles, point barre. Donc j'étais un affabulateur à ses yeux. Tu auras peut-être plus de chance avec Christian…
  3. Un conseil : n'hésite quand même pas à prendre une ou deux leçons d'initiation au ski, ce serait dommage de ne pas profiter de l'occasion… Puisque tu es un débutant absolu, tu ne risquerais pas grand'chose… à part bien faire rigoler ton amie ! 😃
  4. D'après la biographie, ce n'était pas une question de technique chirurgicale, mais uniquement une question d'équilibre postural, perdu après l'amputation de l'orteil et que Vietto a dû réapprendre. Il semble que chaque orteil, même petit, soit plus important que l'on imagine dans la tenue de notre équilibre, notamment pendant la marche. Peut-être plus pour certaines personnes que pour d'autres. En podologie, d'après un article de Sport et Vie que j'ai lu récemment, on distingue les personnes qui reportent leur poids plus vers l'arrière de leurs pieds quand ils sont debout, de celles qui se tiennent plus sur l'avant, donc qui sollicitent plus leurs orteils. J'imagine que pour ces derniers la perte d'un orteil est plus significative que pour les autres.
  5. Après l'amputation il peut y avoir un temps de réapprentissage de la marche. C'était arrivé à René Vietto (champion cycliste des années 30-40) quand il s'était fait amputer d'un orteil, après le Tour 1947 pendant lequel cet orteil, qui en chevauchait un autre, s'était infecté en raison des frottements avec le cale-pied. D'après sa biographie par Jean-Paul Ollivier, après l'opération Vietto aurait mis des semaines à récupérer l'équilibre nécessaire à la marche.
  6. Liberia, c'était une référence à Grenoble, et leurs catalogues me faisaient rêver pendant ma jeunesse passée là-bas. Souvenirs !
  7. Tu es un peu injuste avec Terpstra au sujet du Ronde 2017. C'est tout sauf un bon samaritain (on connait ses frasques par ailleurs...) mais sur ce coup-là il n'était pas si noir. Il n'était revenu (seul) sur le groupe des poursuivants de Gilbert (Van Baarle étant intercalé entre Gilbert et ces poursuivants) que juste avant la dernière ascension du Paterberg. Ensuite il suit Van Avermaet lorsqu'il démarre dans ce même Paterberg et il le relaie jusqu'à rejoindre Van Baarle. Il n'a donc contribué à ramener "que" Van Avermaet sur Van Baarle, et Van Avermaet serait d'ailleurs probablement revenu sans lui. Il prend alors à nouveau un relais jusqu'à ce que sa voiture technique l'informe de la situation et à partir de là il fait de la patinette dans les roues jusqu'à l'arrivée. Ce relais-là, c'était en effet contraire aux intérêts de l'équipe, mais apparemment les coureurs de Quick-Step ne recevaient plus aucune information sur la situation de course sur l'oreillette (ce qui énervait visiblement Gilbert, en tant qu'échappé solitaire il n'était donc plus au courant de rien du tout). A cause de ce défaut dans la communication, peut-être Terpstra pensait-il tout simplement qu'il avait d'autres coureurs intercalés. Revenir sur des coureurs intercalés ne lui posait sûrement pas de problème de conscience, même si on peut juger que ça jouait en faveur d'autres coureurs, ici Van Avermaet. Il pensait sûrement ainsi assurer son propre classement, tout en jouant le (minimum vital du) jeu de l'équipe. Je ne suis pas sûr qu'on puisse le lui reprocher. En tout cas pas à lui seul. Matteo Trentin, un autre coéquipier de Gilbert ce jour-là, n'avait pas procédé autrement que Terpstra, plus tôt dans la journée : tant qu'il était dans le groupe juste derrière Gilbert il ne bougeait pas, mais dès que quelqu'un s'intercalait, il prenait les relais...
  8. Je me suis fait avoir par l'IRM, qui ne prévoyait qu'un vent de force 3 dans la région, autrement dit "modéré"... Je ne serais pas allé faire cette rando, que je connais déjà fort bien, si j'avais su ce qu'il en serait vraiment question vent. Comme pour la Hesbaye, on ne trouve quasiment aucun coupe-vent naturel dans les Ardennes flamandes, et en dehors des fin fonds de vallées les abris sont quasi inexistants. Seuls les "murs" nous abritent en fait, c'est peut-être entre autres pour cela que je les aime autant ! D'ailleurs j'avais mal au genou presque en permanence sur la fin... sauf dans le très raide Paterberg, où la douleur avait disparu. 😄 Pour réapparaître dans le faux-plat venté du Vieux Kwaremont..📢
  9. Welcome back ! 😄
  10. Quelle course de dingue avec ce vent! Les cyclistes qui sont sortis aujourd'hui dans le nord/Belgique comprendont... Oh oui, j'ai fort bien compris, j'étais sur la version cyclo du grand prix E3 aujourd'hui, donc pas très loin de Gand-Wevelgem… P… de vent de m… !! Quand j'ai bouclé cette sortie, un écran géant du site d'arrivée qui diffusait Gand-Wevelgem venait tout juste de montrer le sprint final. Si j'étais arrivé 30 secondes plus tôt, j'aurais pu en profiter… Enfin bon, j'ai pu voir les ralentis. J'aurais aimé que Degenkolb gagne, je trouve ce coureur sympa et il court derrière une victoire importante depuis quelques temps maintenant. Comme Kristoff jusqu'à aujourd'hui, d'ailleurs !
  11. Première rando officielle de l'année, la Johan Museeuw-E3-Classic. Ma 3e participation consécutive à cette épreuve. 148 km et 1800 m de dénivellation, avec l'essentiel des difficultés du Grand Prix E3 Harelbeke des professionnels, notamment les Taaienberg, Boigneberg, Stationsberg, Paterberg, Vieux Kwaremont, Karnemelkbeekstraat (à vos souhaits) et Tiegemberg. Parcours : https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/5114407/racefietsroute/johan-museeuw-e3-classic-148km-2019 Comme je me suis paumé vers la fin, n'ayant pas suffisamment été attentif au fléchage (effet de la fatigue, à coup sûr), le détour subséquent m'aura ajouté quelques kilomètres, qui ont contribué à la distance totale donnée par mon compteur (155 km)… Le temps était frais et (à nouveau) très venteux (coupe-vent de rigueur sur toute la sortie), mais sec. Malheureusement, à un endroit, vers Maarkedal (Taaienberg, Boigneberg, Stationsberg enzovoort), une drache conséquente venait juste de tomber, laissant les routes complètement détrempées et recouvertes de boue dégoulinant des champs voisins. Résultat, mon vélo est aussi dégueulasse que si j'avais roulé sous la pluie. 😕 Pour ne rien arranger, il y avait ce p… de vent de nord-est, glacial comme il faut, et suffisamment fort pour me faire pédaler penché quand il venait de côté. 📢 Avec ça, et le fait que j'avais à peine 1000 bornes d'entraînement depuis le début de l'année, j'ai fini complètement cuit, avec une douleur au genou gauche pour couronner le tout. Malgré que j'adore cette région et ses paysages, cette rando ne sera sûrement pas mon meilleur souvenir de l'année ! J'aurais probablement dû me contenter d'une des distances inférieures proposées, le 112 km par exemple.
  12. En effet… les mêmes souvent qui descendent postés en plein milieu de la chaussée pour se donner de la marge de manœuvre (bonjour pour les dépasser alors…) et qui parfois se déportent sur la gauche de la chaussée (sur route ouverte, bon sang !!) avant chaque virage serré à droite, de peur de louper le tournant alors qu'ils vont à 15 à l'heure…
  13. Dans le Tour 2016 je l'ai vu descendre l'intégralité du col du Grand Colombier mains aux cocottes, se faisant ainsi larguer par Jarlinson Pantano pour la victoire d'étape… Pour le Giro, voir l'appréciation de Dumoulin sur Reichenbach ici : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Dumoulin-attribue-son-retard-a-sebastian-reichenbach-qu-il-compare-a-une-vieille-grand-mere/904578
  14. Se limiter à une position est une erreur à mon avis. Les photos de De Vlaeminck mains en bas du guidon ne manquent pas, ce qui prouve qu'il variait les positions. Exemples : https://cycling-passion.com/nicknames-cyclists/roger-de-vlaeminck-paris-roubaix/ https://www.taptoe.be/regionaal-nieuws/voorspellingen-roger-vlaeminck-komen-uit On le voit également régulièrement mains en bas du guidon dans le fameux film « A Sunday in Hell » qui retranscrit Paris-Roubaix 1976. Mains aux cocottes est plus confortable certainement, plus efficace en bien des circonstances, mais c'est aussi une prise du guidon moins ferme (particulièrement sur mauvais revêtement à haute vitesse) et un centre de gravité plus haut, d'où moins de stabilité. Toujours question stabilité, avec un vent latéral, mains aux cocottes (courbé sur le guidon façon De Vlaeminck ou non) j'ai bien plus de peine à maintenir le guidon qu'avec les mains en bas… j'ai encore pu expérimenter cela ces dernières semaines, avec les vents violents qu'on a eu régulièrement. Comme l'a déjà dit Thierry, tout particulièrement en descente la différence est énorme. Chez les pros, j'ai repéré trois coureurs qui descendent mains aux cocottes : Reichenbach, Zakarin, Meintjes… et en descente ils sont tous les trois toujours à la traîne derrière leurs collègues. « Reichenbach descend comme une vieille grand-mère », disait Dumoulin ! 😃 À mon sens, quelqu'un qui descend mains aux cocottes doit revoir sa position à l'avant de son vélo, le guidon est probablement bien trop bas pour lui.
  15. Franck, comment fais tu pour avoir tant de misères sur nos routes!? Des fois, j'ai l'impression qu'on ne roule pas dans le même pays, toi et moi :-) Pour faire simple, je préfère risquer d'abîmer ma monture en roulant sur des pistes cyclables en mauvais état que de risquer ma peau en roulant sur la chaussée. Chaussée du reste pas forcément en meilleur état que la piste… … mais surtout, chaussée bourrée de bagnoles aux conducteurs stressés et peu enclins à la patience envers «ces *$*%*$§ de cyclistes qui ne roulent pas sur les pistes alors qu'elles sont obligatoires». Ce n'est pas à toi que je vais apprendre que le trafic automobile de Bruxelles et alentours proches, flamands comme wallons, est bien plus «prégnant» qu'au fin fond de la Hesbaye… que je te laisse d'ailleurs volontiers, à cause du vent qui y souffle un peu trop librement à mon goût. 😉
  16. Heu… On va dire que ça dépend desquelles. J'ai déjà fait exploser simultanément deux pneus Conti GP 4000 (ou 3000, je sais plus) sur une de ces belles routes belges, du côté de Hoeilaart… Les deux Brabants, entre toutes les provinces belges, doivent avoir globalement parlant le réseau routier en pire état de toute la Belgique. Sans doute en partie à cause de l'énorme densité de ce réseau. Donc d'autant plus lourd à entretenir. Mais Michel ne nous (*) fera pas passer par les champs de mine qu'on peut trouver dans sa région. Y a heureusement moyen de les éviter, sinon il y aurait de quoi devenir chèvre. (*) si j'en suis…
  17. S'il y en a un qui risque de ne pas être de la partie le 5 mai, c'est moi : empêchement d'ordre familial ce jour-là, et les différentes solutions que j'avais envisagées sont toutes tombées à l'eau. Il faudrait un miracle… 🙁 Par contre, je devrais en être pour LBL, la distance de 150 km également.
  18. 59 km cet après-midi, dans mon terrain de jeu habituel : les bosses de la vallée de l'IJse, au sud-est de Bruxelles. Au passage, j'ai dépassé les 1000 km depuis le début de l'année. Cette fois-ci, travail de la « puissance » (pour autant que j'en aie) : les bosses avalées à fond, à haute fréquence de pédalage et avec des braquets plus importants que d'habitude. Au retour, crevaison lente à l'arrière 🙁. Pas pu en trouver la cause, malgré une inspection attentive du pneu. J'ai changé de chambre à air sur place et suis rentré sans autre problème. Ça faisait deux ans que je n'avais pas eu de crevaison… et je ne peux pas dire que ça m'avait manqué !
  19. Très, mais alors très fréquent en Belgique, ce panneau. 🙁
  20. Si ton but est de te redresser, une potence plus longue va au contraire t'allonger sur ton vélo... ce n'est pas forcément un mal en soi, mais je ne sais pas si c'est recommandé avec un lumbago !
  21. Si. 🆒 J'ai grimpé quelques côtes à basse fréquence de pédalage et à faible allure. À vrai dire, c'était moins un travail de la force qu'un travail du coup de pédale : j'essayais de rendre celui-ci aussi "rond", harmonieux et synchronisé que possible. Pour ce genre de travail, il est mieux de pédaler à basse fréquence, du moins en début de saison. Donc la « force » de pédalage y trouve aussi un peu son compte.
  22. 27 km à rouler en fin d'après-midi dans le sud-est de Bruxelles, sans dépasser les limites de la région-capitale. Plusieurs bosses, la plupart dans la forêt de Soignes, pour travailler un peu la force et le coup de pédale. Sensations médiocres, mais il faut dire qu'un vent méchant était (à nouveau 📢) de la partie…
  23. Même avis. Si gagner le Giro et faire un podium du Tour en 2018, ce n'est plus être que l'ombre de soi-même, alors que la saison 2019 est à peine commencée... Ca me rappelle un autre participant du forum qui affirmait "ne pas croire une seconde" que Froome allait remporter le Giro. Faut se méfier avec les jugements à l'emporte-pièce de ce genre-là, ça risque de vous retomber dessus plus tard, et ça peut faire mal à l'amour-propre. 😃
  24. Non, ça n'a abouti à rien de concret, ça ne correspondait pas aux plans de Van Aert.
  25. D'accord pour l'accroche, j'ai pu également le vérifier, les Conti GP 4 Seasons sont bien plus adhérents que les Schwalbe Durano plus. Mais je maintiens, leurs flancs sont bien plus fragiles, malgré cette «peau de reptile». Presque tous les ennuis (relativement peu nombreux certes, ce sont quand même de très bons pneus) que j'ai eus avec les Conti venaient des flancs. Pincements, ou perçures dues à des gros caillous sur la voie qui perçaient ou déchiraient le flanc. Un jour que j'ai voulu démonter un pneu GP 4 Seasons pour le remplacer, j'ai fait un petit test : j'ai appuyé la pointe d'un couteau de cuisine sur le flanc du pneu. Il ne m'a pas fallu appuyer fort pour qu'il perce !! C'est ce qui m'a définitivement décidé à «switcher» pour les Schwalbe Durano plus. Les flancs des Schwalbe Durano plus sont incomparablement plus épais et solides, en comparaison, que ceux des Conti 4 Seasons. L'inconvénient est que ça les rend nettement plus lourds aussi. Mais vu les champs de mine sur lesquels je roule assez souvent, je suis gagnant au change. Mais peut-être que la nouvelle génération de pneus Conti 4 Seasons (les 5000) a apporté du changement.
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