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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Figure-toi que j'envisage sérieusement de partir non pas de Grenoble mais d'encore un peu plus loin : de chez mes parents dans le Grésivaudan ! Mais il faudra vraiment que je sois au top question préparation aux longues distances. Sinon je mettrai un mouchoir sur mes scrupules et partirai de Bourg comme tout le monde.
  2. Sinon pour Franck, au delà du mythe, quel horreur de se taper la vallée de la mort (Séchilienne - Rochetaillé) J'ai passé les 28 premières années de mon existence (et pas mal d'années de vélo intensif) dans la vallée du Grésivaudan, pas mal non plus dans le genre. Ça a dû me vacciner ! 😃
  3. Elle n'a rien de terrible en valeur absolue, mais après 240 bornes par le Galibier et la Croix-de-Fer on peut la sentir passer, et c'était bien mon cas en 97, moi je n'avais pas récupéré ! 😬
  4. Du temps du retour à Grenoble, la côte d'Uriage en fin de parcours devait bien valoir, en guise de tradition, la trilogie montoise ! 🆒 J'étais déjà « Belge » (depuis 2000) quand le départ du BRA a été déplacé de Grenoble à Vizille, et j'ai mis longtemps à l'apprendre. Si j'étais resté Grenoblois, cette décision m'aurait fait râler auprès des organisateurs, sans doute. J'imagine qu'il y a eu d'autres pour protester mais enfin bon, c'est définitif, on dirait. Ne me reste plus qu'à espérer que le départ-arrivée à Bourg-d'Oisans ne soit pas définitif ;qu'une de ces prochaines années on reparte de Grenoble, et que la traversée de l'agglomération grenobloise ne fasse plus peur à personne.Comme j'ai baigné et «cyclé» dans cette agglomération depuis ma plus tendre enfance, elle me fait sans doute moins peur qu'à la plupart des gens ! Et en plus, je trouve qu'elle est nettement mieux aménagée pour les cyclistes depuis mon départ pour la Belgique : pistes et bandes cyclables bien plus nombreuses et surtout, relativement bien aménagées. Bon, bien sûr, en groupe c'est une autre histoire.
  5. La longue remontée de la vallée de la Romanche jusque Rochetaillée n'est pas particulièrement intéressante, dans l'autre sens non plus quoique plus rapide. Pour quelqu'un dont les racines sont ailleurs qu'à Grenoble, et qui vient essentiellement pour profiter d'un cadre montagnard, je peux parfaitement le comprendre. Mais pour le Grenoblois que j'étais et que je suis encore au fond de moi, le simple fait qu'une randonnée reliait cette agglomération de 500 000 habitants aux plus hautes routes alpines, présentait un cachet inégalé. Et perdu depuis, donc. 🙁 Pour mieux comprendre ce que je ressens, toutes proportions gardées, imagine un Mons-Chimay-Mons qui ne parte plus du centre de Mons mais, disons, de Beaumont. Il te manquerait quelque chose, non ? Et pas seulement parce que Mons figure dans le nom de la randonnée, je suppose. Pour un non-Montois comme moi, on peut faire l'économie de Mons et de ses environs proches qui ne sont pas particulièrement attrayants du point de vue cycliste (euphémisme), mais l'esprit de la randonnée serait-il conservé ?
  6. Je reste un peu déçu de ces départ et arrivée à Bourg-d'Oisans. Décidément on s'éloigne toujours plus de la tradition grenobloise du BRA… Je vais quand même essayer d'en être, pour la formule standard également. Ma participation n'est pas garantie d'avance, avec un emploi du temps qui ne va pas me permettre de m'entraîner beaucoup. Et je ne sais pas encore non plus si je serai libre de tout engagement à cette période. Mais je ferai au mieux.
  7. Problème plus vaste qu'il n'y paraît : doit-on privilégier la dénomination «française» de lieux non francophones ou respecter la dénomination originelle ? J'ai pu expérimenter les deux extrémités du spectre, entre les Hispaniques qui hispanisent l'immense majorité des noms de lieux hors pays hispanophones et les Néerlandais qui au contraire respectent généralement l'orthographe (et la prononciation !) du nom de lieu dans sa langue d'origine, quel que soit le pays, du moins quand il s'agit d'une langue en alphabet latin. Pour ma part, en Belgique, j'avoue que j'écris le plus souvent « Tervuren », ville flamande en bordure de Bruxelles, que « Tervueren » qui est l'orthographe usuelle chez les Francophones… Mais la prononciation est grosso modo la même. Comme «Bern» et «Berne» d'ailleurs. Et «Bern» est le nom originel de cette ville germanophone, après tout. En revanche, parler d'«Anvers» (prononcer le s !) me sera toujours plus naturel que de parler d'«Antwerpen» qui est le nom véritable de cette ville…
  8. 35 km cet après-midi à l'est de Bruxelles, comme d'habitude en semaine. Beau temps, bon tempo (lorsque la circulation le permet…) mais un genou qui couine. Ça sent la fin de saison…
  9. Ce sont des métiers de force en plus d'être des métiers d'endurance, ce qui est déjà autre chose.
  10. D'après ses coéquipiers français, Indurain parlait français et plutôt bien, mais se refusait à le faire en public. De peur de faire des fautes, peut-être : c'est une crainte assez répandue chez les perfectionnistes. J'avais remarqué en tout cas que s'il ne parlait pas notre langue, il la comprenait bien.
  11. Il y a quinze jours je m'engage dans un rond-point, bras gauche bien tendu pour signaler que je souhaite y tourner à gauche. Ça n'a pas empêché un taxi engagé dans le rond-point en même temps que moi mais placé un peu en arrière par rapport à moi, d'aller tout droit et de me couper la route. Heureusement j'avais anticipé en le surveillant et j'ai évité le choc en allant tout droit également… Ne jamais faire confiance vous sauve souvent, en effet.
  12. Anthony ne se fait pas crier dessus à chaque sortie, mais à chaque sortie il lui arrive quelque chose de la liste qu'il a faite. Et ce sont des comportements que j'ai pu constater aussi régulièrement. Pas à la fréquence d'un par sortie, mais ils restent toujours trop nombreux, parce que chacun d'entre eux est un risque mortel pour le cycliste.
  13. J'en suis a priori. Bon, y a toujours les aléas de la vie qui font qu'on ne peut pas toujours être à l'endroit où on veut quand on le veut, mais je suis partant en principe. Pour l'itinéraire, je ne vais quand même pas proposer à tout le monde mes routes bruxelloises habituelles…😇 Donc, si on part du point central de Belgique, je trouverais dommage de ne pas aller faire un tour du côté des bords de Meuse, genre vers Huy ou équivalent, vu que c'est à portée des 80 km que tu envisages à partir de chez toi. C'est juste mon point de vue, hein !
  14. Le code de la route enjoint de se mettre en file indienne si rouler à deux de front gêne un véhicule qui veut dépasser… et ça, c'est vrai que trop de cyclistes ne le savent pas, ou font semblant de ne pas le savoir. France : https://ffvelo.fr/randonner-a-velo/conseils-pour-debuter/rouler-en-groupe/ https://mdb-idf.org/code-de-la-route-a-velo-droits-et-devoirs/ À noter qu'en Belgique le code de la route n'impose de se mettre en file indienne, lorsqu'un véhicule veut dépasser, qu'en dehors des agglomérations… mais cela n'empêche pas de faire preuve de savoir-vivre : https://www.lavenir.net/cnt/dmf20150201_00594779
  15. «Stene», c'est la façon qu'ont beaucoup de Néerlandophones de prononcer « stenen », pluriel de « steen »: le «n» final devient muet. Peut-être y a-t-il donc un rapport avec la notion de pierre quand même.
  16. C'est rare de te faire doubler ultra vite sur une route ultra étroite, pour tout dire cela ne m'est jamais arrivé À moi non plus. Surtout qu'il s'agit souvent, dans mon cas, de rue étroite en pleine ville ! Mais pas besoin pour le véhicule qui te dépasse de rouler vite pour te forcer à sauter sur le trottoir, voire de buter contre ce trottoir si tu n'as pas eu le réflexe de sauter.
  17. Tout dépend de la largeur de la chaussée : en ville, il m'est arrivé sur voie étroite (qui est alors toujours à sens unique et presque toujours limité en vitesse, 30 km/h maxi, voire moins) de rouler bien à droite pour laisser passer le véhicule derrière moi… mauvais calcul quand le véhicule en question s'avère une camionnette, un 4*4 ou tout autre véhicule large, pour qui te dépasser signifie te laisser bien moins de 50 cm d'espace entre lui et le trottoir/fossé/bas-côté. Parfois j'ai été tout bonnement contraint de me manger le trottoir ou bas-côté en question… Maintenant, dans ces circonstances, je m'impose, jusqu'à me mettre carrément au milieu de cette voie à sens unique si j'en ressens la nécessité. Ça peut paraître paradoxal, mais c'est une question de sécurité. Le reste du temps, je serre toujours à droite. Je suis d'ailleurs comme toi, j'aime bien rouler sur les marques blanches séparant la route des bas-côtés… quand ces marques blanches sont là. C'est très loin d'être toujours le cas en Belgique, soit dit en passant !
  18. J'envie ceux qui font ou ont fait du vélo sans crainte. Depuis que je fais du vélo de façon intensive et même avant, j'ai toujours eu de l'appréhension à chaque sortie. Toujours ! Je sais pertinemment et depuis longtemps que chaque sortie peut être la dernière. Mais ça ne m'a jamais empêché de sortir, même depuis les 18 ans que je vis en ville : le plaisir de faire du vélo est tout bonnement plus fort. Simplement, je suis sur mes gardes en permanence, ou du moins j'essaie. Ça ne suffit pas toujours, j'ai eu quelques accidents, mais rien de grave jusqu'à présent. Pourvu que ça dure, me dis-je et donc j'essaie de rester vigilant. Et en fait, c'est la même chose quand je conduis une voiture. En pire : non seulement je risque l'accident mortel dans cet engin, mais en plus je peux faire mourir quelqu'un d'autre… J'ai donc encore plus d'appréhension quand je suis au volant. Je crois fermement que l'insouciance, qui en soi n'est pas mauvaise, est une plaie potentielle pour l'automobiliste aussi bien que pour le cycliste, parce elle entraîne trop souvent l'inconscience, cause de tant et tant d'accidents…
  19. J'avoue ne pas me souvenir de cette histoire. C'est une roue libre à visser, c'est ça ? J'avais probablement chercher l'existence de cette roue libre sur le net, avec la certitude de cette existence puisque mon propre père utilise une roue libre Sachs à visser avec 8 pignons. Tant mieux si ça t'a rendu service !
  20. Attends-toi donc à une proposition dans ce sens courant novembre, si le temps se maintient. Et affûte tes petits braquets en prévision… 🆒 J'ai rencontré ma compagne lorsqu'elle habitait à Dworp, au sommet du Bruine Put. Sapristi, fichtre et diantre ! Ta chère et tendre a du goût, il y a des endroits plus moches que ce «puits brun» dans la région. Et c'est une des plus belles côtes du Brabant… tout pour te plaire, quoi. 😃
  21. Moi, quand j'en ai invité certains sur ce forum à partager pour une sortie mes routes d'entraînement dans les environs, ils se sont tous défilés sauf Olivier Darge (que je salue au passage s'il nous lit, il se fait rare !). Par contre, ils acceptaient volontiers ma compagnie… sur leurs propres parcours ou quelque part ailleurs. Et je n'ai encore jamais vu personne du forum pendant la Flèche brabançonne cyclo, la randonnée grand public qui emprunte mes routes d'entraînement. À croire que mes routes habituelles font office de repoussoir à tous les Belges d'ici, même les plus endurcis… 😢
  22. J'ai bientôt 47 ans, mesure 178 cm et mon poids varie généralement entre 61-62 kg l'été et 63-64 kg l'hiver. J'ai toujours été mince pour ma taille, mais un peu moins à une époque. Avant que je mette sérieusement au vélo, vers 22 ans, mon sport principal était le judo et j'ai pesé jusqu'à 68 kg, mon record de poids. Le poids perdu depuis est dû sans doute en bonne partie à la fonte progressive des muscles du haut du corps, beaucoup moins sollicités forcément avec le vélo. Côté régime alimentaire, j'ai toujours appliqué les mêmes principes : manger à heures régulières, éviter les grignotages et de façon générale les sucreries en dehors du temps passé sur le vélo. Mais je n'en fais pas non plus une règle absolue : j'adore le chocolat (notamment les «pralines» belges) et de temps en temps je me lâche là-dessus. Les seules choses que je m'interdis absolument sont les boissons alcoolisées, et pas pour des raisons de poids ou de religion, mais par crainte de l'addiction. Mais si ça peut contribuer à éviter des kilos en trop, c'est aussi ça de pris en passant.
  23. Mais je n'en doute pas. Les pertes sont néanmoins là. Pour ceux qui me connaissent, même si ce ne sont pas les principales raisons qui me motivent, ces problèmes de ligne de chaîne et de grandeur de pignons ne peuvent que me conforter dans ma résolution d'acheter un vélo à moyeu Rohloff 😇 : ligne de chaîne forcément parfaite, avec un pignon unique de… 16 dents, par défaut. Sûrement pas un hasard.
  24. Je comprends, mais je ne pense pas que la perte de rendement, si elle est diminuée, devienne négligeable. D'expérience, je sens très nettement la moins bonne fluidité avec ma chaîne 10 vitesses quand je croise. Par exemple, plateau médian — deuxième grand pignon de mon triple (36/30, plateaux 48-36-24 et cassette 11-34). Quand j'utilise un des braquets les plus proches avec le petit plateau (24/19 ou 24/21), la différence de fluidité est notable. Du reste, si j'avais un doute : en cas de chaîne encrassée par la boue, le 36/30 fait du bruit (et même le 36/26, d'ailleurs !), mais il n'y a pas ou nettement moins de bruit sur le 24/19 ou le 24/21. Serait-ce si différent avec une chaîne 11 vitesses ?
  25. Ces chiens en vadrouille, c'est vraiment une des calamités du cycliste… Patience et bon rétablissement !
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