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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Voilà, randonnée bouclée. Premier plus de 200 de l'année, et même depuis l'été 2017. 218 km au compteur, 11 h exactement de sortie dont 10 h 5 min sur le vélo en décomptant les arrêts au ravitaillement, soit une moyenne, correcte pour moi sur un tel parcours, de 21,5 km/h. Les jambes ont tourné assez bien aussi : 85 tours/minutes de fréquende de pédalage moyenne. La journée a commencé par un stress très malvenu : alors que je roulais en voiture, vélo dans le coffre, vers le départ, la jauge d'essence lance un signal d'alerte à mi-parcours : et m… j'ai oublié de faire le plein la veille ! Résultat, je dois rouler au ralenti pour pouvoir atteindre le site du départ et économiser du carburant le plus possible. Et j'atteins Landen plus tard que prévu, si bien que je me mets en route avec le vélo seulement à 6 h 50 au lieu de 6 h 30. La peur de ne pas finir dans les délais a donc fortement augmenté… Il fait froid au départ (8°) et l'imper et les gants longs (légers) sont donc les bienvenus par dessus le maillot à manches longues. On commence en douceur par la Hesbaye brabançonne et ses vallonnements peu prononcés. Inquiété par mon départ plus tardif que prévu, je décide de prendre les roues de deux cyclistes plus rapides que moi mais qui roulent de front en bavardant et en fournissant donc un abri conséquent. Un mauvais calcul, puisque ces cyclistes font pas mal de changements de rythme qui me pèseront vite dans les jambes… si bien que je les laisse filer un peu avant d'arriver à Jehay-Bodegnée, en bord de Meuse. Traversée de la Meuse, et première sérieuse côte de la journée, celle d'Hermalle-sur-Huy : longue et relativement pentue, un petit régal de grimpeur. Les jambes tournent bien, je rattrape et dépasse du monde. Et puis c'est le Condroz et sa tôle ondulée casse-pattes : peu de longues côtes, mais ça ne fait que monter et descendre, et j'ai déjà une sensation de jambes lourdes… Le premier ravitaillement, à Nandrin, est donc bienvenu pour faire une bonne séance d'étirements. Après Nandrin, on continue dans le Condroz : deux côtes répertoriées, plus longues que l'ordinaire de la région mais peu pentues, la Rue Houa et la côte de Xhoris. C'est à ce moment qu'une douleur au genou gauche, assez récurrente chez moi, se met à se manifester : une douleur due au fait que ma jambe gauche est nettement plus courte que l'autre, et qui survient quand mon pédalage devient trop saccadé et irrégulier… si bien qu'au moment d'arriver à la bifurcation des parcours de 160 et 220, j'hésite fortement à prendre le 160 pour abréger cette souffrance. Finalement, par fierté (mal placée?), je choisis de rester sur le 220. Mais je ralentis le rythme et me concentre à fond sur mon pédalage, et sur cette jambe gauche dont il me faut consciemment relever le genou à chaque coup de pédale pour éviter que la douleur survienne. C'est normalement un geste que je travaille systématiquement au début de mes sorties et qui est ensuite un automatisme, mais que j'ai oublié de pratiquer en me concentrant sur autre chose : rester dans la roue des deux cyclistes dont j'ai parlé plus haut… comme quoi ce n'est pas toujours une bonne idée de rouler en groupe. Après Xhoris, on entre en Ardenne. Ferrières d'abord et la côte sévère du «Trou de Ferrières», une borne sèche à 10 % et plus. Puis un long faux-plat montant menant à Werbomont, puis Bosson et le deuxième ravitaillement. La douleur est toujours là mais s'est calmée, les automatismes de pédalage correct reviennent petit à petit. De Bosson, on descend vers la vallée de la Lienne, qu'on suit sur un long passage plat (et donc pénible pour moi) avant de grimper une côte inconnue au bataillon, les Villentes, sur une route large comme un boulevard et un soleil brillant généreusement maintenant. Ensuite, redescente vers Basse-Bodeux, sur le territoire de la commune de Trois-Ponts : la moitié du parcours est faite. Mais il reste encore pas mal de difficultés sérieuses : d'abord la longue et très irrégulière montée de l'Ancienne Barrière par Haute-Bodeux, dans un cadre très agréable et verdoyant. Redescente rapide vers la vallée de la Lienne sur une route large et en très bon état où je m'amuse à prendre un position « à la Sagan », puis à nouveau du plat démoralisant jusqu'au pied du gros morceau de la journée : la côte de Chevron. Deux hectomètres à 18 % pour mettre dans le bain, et un long prolongement irrégulier jusqu'au hameau de Chession : ouf, ça tire dans les pattes ! Mais le genou va maintenant bien mieux, ce qui me redonne du cœur à l'ouvrage. Puis encore une belle descente, mais sur chaussé dégradée cette fois, dommage. Et c'est le pied de la côte de Lorcé, dernière difficulté ardennaise du jour. Longue (3 km) et deux portions pentue entrecoupées d'un faux-plat au village de Lorcé même. Les jambes deviennent lourdes, j'avance péniblement, surtout dans la portion finale où le vent de face s'invite… ainsi que la pluie. 😠 Troisième ravitaillement peu après le sommet de cette côte, sous la flotte donc. Tout le monde enfile les impers avant de repartir… on aura droit à cette pluie jusqu'au sommet de la côte suivante, à Comblain-au-Pont, la côte de Mont qui donne accès à nouveau au Condroz. Ensuite la pluie s'arrête, mais on aura le «plaisir» de rouler sur route détrempée jusqu'à la retraversée de la Meuse. Ce deuxième parcours du Condroz est donc un peu gâché, malgré une belle côte au nom à coucher dehors : Rotheux (!) Le quatrième ravito est celui du premier, à Nandrin. 180 bornes déjà parcourues, ça sent bon l'arrivée proche ! 😄 Juste une dernière côte répertoriée à franchir, après être descendue vers les bords de Meuse par une longue descente sinueuse. Et pour cause, cette descente s'appelle les 36 Tournants… Elle mène à Engis, puis Flémalle, et cette dernière difficulté répertoriée du jour se présente : deux kilomètres d'une côte malheureusement très bien nommée, les Cahottes, car la chaussée est vraiment dans un état… cahoteux. Mais au sommet, ça sent encore plus la fin de parcours. Une dizaine de kilomètres, et c'est le dernier ravitaillement, à Haneffe. Il ne reste ensuite que 25 km pour rentrer à Landen, sans relief notable, que j'accomplis à un rythme pépère, en essayant de ne pas trop penser à un derrière douloureux (ma plus longue sortie de cette année avant celle-ci faisait 160 km… et le revêtement bétonné de la Hesbaye, cher à Michel Dury, n'arrange pas les choses) et au vent devenu défavorable. Et puis c'est à nouvau Landen. Il est 17 h 50, donc 10 minutes avant la fermeture du site d'arrivée : ouf, objectif atteint ! Mais malgré un nombre conséquent de cyclistes qui arrive encore, les préposés commencent déjà à plier bagages. On peut encore boire une bière (pas de bol, je n'en bois pas), rendre sa place de cadre, mais on ne peut plus prendre un bon sandwich à la saucisse, ce qui est mon plaisir habituel de fin de sortie. Quand même, pourquoi diable ne ferment-ils pas plus tard ? Une clotûre à 20 h me semblerait plus adaptée à cette saison et à la longueur du grand parcours. Mais c'est le seul point vraiment négatif que je retiendrai de l'organisation, le reste était nickel (à quelques panneaux indicateurs près, parfois peu lisibles) et me laissera de bons souvenirs. 🆒
  2. Deux ravitaillements : tu auras donc fait le 110 km. Une bonne partie de manivelles quand même, et sur un parcours pas si facile que ça. La bifurcation que tu as loupée était juste à la sortie du premier ravitaillement, commun à tous les parcours (sauf le 60 km, le plus court), à Nandrin… mais c'était aussi le troisième ravitaillement du 160, et le quatrième et avant-dernier du grand parcours. À la sortie de ce ravitaillement il y avait deux panneaux d'orientation, l'un indiquant de tourner à droite pour les 160-215 km, l'autre indiquant droit devant pour les 110 km… et pour 160-215 à leur 2ème passage. Ce n'était pas très lisible, surtout si on est au cœur d'un groupe, et beaucoup ont dû croire qu'il fallait aller droit devant pour faire le 160 ou le 215… tu n'es donc certainement pas le seul à avoir fait cette erreur. Si ça se trouve, celui qui menait ton groupe a fait la même ! S'agissant de l'intérêt à trouver pour ce genre d'événement, pour ma part j'y trouve mon compte avec une pratique axée sur… moi-même : contrairement au 4/5 des participants qui y voient une occasion de se tirer la bourre, de préférence en groupe, j'essaie d'ignorer autant que possible les cyclistes autour de moi et je vais à mon rythme propre, en profitant des routes (vallonnées de préférence bien sûr) et des paysages. Hier je peux dire que j'en ai eu pour mon argent, le cadre était splendide, quasiment du début à la fin.
  3. 😲 Je serai toujours estomaqué par les moyennes que tu réalises sur de tels parcours… Pis je sais bien que la météo dans les Ardennes n'est généralement pas folichonne, mais quand je leur rend visite, elles pourraient au moins faire un effort rien que pour moi ! 🤐
  4. Aujourd'hui, mon premier plus de 200 depuis deux ans, lors de la randonnée belge Landen — Trois-Ponts — Landen. http://www.landentroispontslanden.be/fr/ Officiellement ça faisait 220 km pour environ 2600 m de dénivellation. Pour mon compteur ça aura fait 218 km pour 10 h 05 sur le vélo (soit 21,5 km/h de moyenne) et exactement 11 h de sortie, en ajoutant le temps passé aux cinq ravitaillements. 85 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage. Temps très variable ! Froid au départ avec 8°, mais plus de 20° au cours de la journée. Pluie pendant une heure environ sur la partie ardennaise du tracé (décidément, les Ardennes c'est pas top cette année question climat), mais sec le reste du temps. Vent de nord-ouest sensible sans être très fort, et heureusement, parce qu'on l'avait dans la figure pour le retour… Plus de détails dès que possible dans le sujet dédié du forum « Cyclosport ».
  5. 50 km très tranquilles dans l'est de Bruxelles, en première partie d'après-midi. Encore une fois un très beau temps. Le vent d'ouest était fort mais supportable.
  6. Très, très peu probable que j'en sois. Si je n'ai pas de cours à assurer le lundi l'année prochaine (je suis enseignant à Bruxelles), ça ne poserait pas trop de problèmes mais sinon je peux oublier, je n'ai jamais su correctement encaisser les trajets nocturnes.
  7. Prévisions confirmées donc pour le moment. Voulant mettre toutes les chances de mon côté, je compte partir le plus tôt possible, donc idéalement à 6 h 30. Etant donné que les portions roulantes sont apparemment conséquentes, et mon rythme de croisière dès que ce n'est pas pentu étant ce qu'il est, il y a quand même de fortes chances que tu me rejoignes en cours de route… De fait, avec cette fermeture du site d'arrivée prévue à 18 h j'appréhende d'arriver «hors-délais». Mais le pire serait qu'un des derniers sites de ravitaillements ait fermé avant que j'y arrive. Ça m'est arrivé une fois il y a quelques années (randonnée Maxime Monfort, en 2009 je crois) et comme j'étais complètement à sec j'avais dû mendier une bouteille d'eau à une station-service voisine. Et lors des 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 2017, les deux derniers ravitaillements étaient sur le point de fermer lorsque j'y étais arrivé, mais là j'ai pu quand même remplir les bidons. Pourtant j'ai bouclé la randonnée une bonne heure avant l'heure de fermeture du site d'arrivée… Aucune envie de reproduire ce genre d'expériences et de ressentir à nouveau l'angoisse qui va avec.
  8. Sortie-détente après boulot, une vingtaine de kilomètres accomplis tout tranquillement, dont une bonne partie dans la forêt de Soignes au sud de Bruxelles. Rien à signaler de particulier. Ah si : il faisait beau !
  9. D'après RouteYou, la longue distance de l'édition de cette année ferait précisément 2614 m de dénivelé pour 221 km. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/5886051/racefietsroute/landen-trois-ponts-landen-2019-220-km?c=JN-o-yzwxyLh5rg6 Pour l'instant la météo prévoit une journée nuageuse avec des averses, et (snif) un vent sensible de secteur nord-ouest, ce qui fait qu'on l'aura en plein dans la figure au retour. Tiens, encore une configuration qui va me rappeler Mons-Chimay-Mons, l'édition de 2016 cette fois, le retour s'était fait avec le vent dans le pif également. 📢 Point positif, il devrait faire assez doux, 11° mini, 18° maxi.
  10. On est donc d'accord sur les difficultés comparées des distances intermédiaires ! Quelques remarques supplémentaires sur la longue distance dont j'étudie attentivement le parcours : On passera décidément par des routes connues, mais dans l'autre sens, puisqu'en plus de grimper la côte de Lorcé qu'on avait descendue le 5 janvier, on descendra la côte de Chambralles qu'on avait grimpée Eric, Michel et moi ce même jour ! Je me promets déjà de faire attention au panorama (en faisant attention à la pente quand même…), il est splendide à regarder. Juste après, direction Comblain-au-Pont et la côte de Mont, qu'on avait également faite en sens inverse il me semble.Faudra pas traîner en cours de route : on part au plus tôt à 6 h 30 et l'arrivée ferme à 18 h, ce qui laisse 11 h 30 maxi pour boucler la longue distance. En tenant compte des 4 ravitos, ça risque d'être limite pour moi, si j'en crois mes expériences sur des distances semblables (de mémoire, j'avais fait les 210 km de Mons-Chimay-Mons en 11 h et les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 12 h 30…).C'est étonnant d'ailleurs qu'ils ferment la ligne d'arrivée dès 18 h, alors que le soleil se couche tellement plus tard en cette saison.
  11. En même temps l'Extrême-orient asiatique est bien plus proche de l'Australie que la Suisse ou la Suède. 😇 Moi ce qui m'étonne chez Caleb Ewan (et qui en étonne beaucoup d'autres) c'est sa position à vélo lors des sprints. La tête sur la roue avant, pour ainsi dire. Comme Cavendish mais encore plus extrême. Moi je n'arriverai même pas à tourner les pédales dans cette position… mais question aérodynamisme, c'est le top.
  12. Actuellement, 24/34.
  13. J'étais dans la même situation que toi jusqu'à l'année dernière : impossible sauf exception de faire du vélo le samedi. Dans mon cas c'était parce que je devais garder ma fille, sa mère travaillant ce jour-là. Il se trouve que l'année dernière celle-ci a changé d'employeur. Maintenant elle alterne week-end entièrement consacré au boulot (samedi et dimanche) et week-end complètement libre, ce qui me libère donc un samedi sur deux. 😄
  14. D'après Thierry, il n'y a pas de côte "sérieuse" sur les distances inférieures, justement, entre Landen et Hamoir. Dans l'édition de 2017 de MCM, la seule que j'ai fait en distance longue, il y avait plusieurs morceaux assez costauds, tous entre Chimay et Couvin justement et donc sur cette distance longue. En tout cas, ils m'ont paru costauds. Pour toi et ton niveau ils étaient peut-être anodins 😆. D'ailleurs dans mon ressenti à moi, «côte difficile» n'est pas forcément synonyme de «côte ardennaise» ! En parallèle, les côtes notables de Landen — Trois-Ponts - Landen semblent concentrés dans une zone à peine plus étendue qu'entre Chimay et Couvin, à savoir entre Ferrières et Trois-Ponts.
  15. Les parcours précis sont dévoilés : http://www.landentroispontslanden.be/fr/parcours/ Le grand parcours correspond tout à fait à celui de 2018. Donc, peut-être pas aussi dur qu'un Liège-Bastogne-Liège, mais pas à prendre à la légère non plus. Quand j'y repense, ça ressemble quand même pas mal à Mons-Chimay-Mons, dans le profil comme dans le concept…
  16. Alors là vraiment, chapeau pour avoir tenu 270 km dans ces conditions-là ! Et en plus sans avoir jamais fait plus de 200 km en une seule sortie avant !
  17. … et c'est bien pour cela que je les ai installés sur mon vélo, ces développements très courts. 🆒 J'adore grimper des raidards, ça fait le sel de mes sorties. Et la meilleure façon de dompter ces monstres, c'est de mettre tout petit, petit…
  18. Les habitués finissent par identifier la plupart des coureurs rien qu'en se basant sur leur carrure globale, leur style et leur allure à vélo. Bon, c'est sûr que ça ne suffira pas pour distinguer Adam Yates de Simon Yates, s'ils courent ensemble ! 😃
  19. Porte-vélo Norauto à fixer sur boule d'attelage (place pour 2 vélos). Modèle ancien dont j'ai oublié le nom précis. Il était à peu près du même prix que celui de Michel Serres. Côtés positifs : attelage facile à mettre en place et à enlever, vélo facile à placer et fixer dessus, possibilité d'ouvrir le coffre sans avoir à démonter le vélo ni le porte-vélo, ce dernier pouvant être basculé, attelage et poignées de serrage du vélo pourvus de serrures de sécurité. Côtés négatifs : les poignées de serrage ont rendu l'âme (tournant à vide) au bout de trois ans. Il faut dire que je serrai comme un malade. Et surtout il n'y a rien de prévu pour fixer un vélo pour enfant. C'est un point à vérifier au moment de l'achat, ce que je n'avais pas fait moi il y a dix ans, ma fille venant pourtant juste de naître. 😳
  20. Environ 35 km (l'affichage de mon compteur m'a lâché…) aujourd'hui pour ma dernière sortie de cette semaine, aux loisirs restreints pour cause d'emploi du temps. Tant qu'à faire court, j'ai décidé de faire intense et je me suis coltiné quelques raidillons locaux pas piqués des vers, notamment la rue Félix Sohie à Hoeilaart et le Kardaan à Overijse. Les deux sont pavées et très étroites, surtout le Kardaan. Michel Dury va encore me traiter de fou furieux. J'assume. 😇 Rue Félix Sohie : https://www.climbbybike.com/climb.asp?Col=Rue-Felix-Sohie&qryMountainID=1015 Kardaan : https://www.climbbybike.com/climb.asp?Col=Kardaan&qryMountainID=702 Celle-ci a un passage de deux ou trois mètres tellement raide (30% ? on le voit sur une des photos, juste à côté d'une maison) qu'à chaque fois que je passe dessus je redoute de basculer en arrière. Mais, touchons du bois, ça ne m'est encore pas arrivé. 🆒
  21. Ah tiens ? Quelqu'un au moins m'aura lu… 🆒
  22. À part ça, une grosse vingtaine de km en toute fin d'après-midi, du côté d'Evere puis Machelen et Zaventem, pour décompresser après une journée de boulot pénible, et me «remettre en jambes» après l'éprouvante excursion dominicale au pays de Sven Nys.
  23. Le béton rend déjà moins bien en tant que tel, c'est sûr, mais quand les plaques sont régulièrement disposées je ne le trouve pas si gênant que ça. Pour moi, c'est quand ces plaques sont disjointes que ça devient vraiment spécial : soit les roues «tombent» d'une dalle à la suivante, soit elles butent dessus. Pénible, surtout quand on est fatigué. Et quand en plus on a déjà mal au c.. à cause de la distance, ça devient l'enfer. Je peux comprendre que les Français de France qui n'ont jamais roulé sur ce genre de revêtement aient du mal à imaginer ce que ça représente, c'est vraiment particulier. Leur côté un peu amusant, à ces plaques de béton, c'est que lorsqu'on roule dessus assez vite ça fait un bruit qui me rappelle celui qu'on entendait de l'intérieur d'un train pendant ma jeunesse : bodom bodom bodom bodom… un bruit que les trains modernes, TGV, Thalys et autres Eurostar ou TER sur les voies ferrées modernes ne produisent malheureusement pas. C'était très berçant. 🆒
  24. Alors comment ça s'est passé ?
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