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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. En effet… les mêmes souvent qui descendent postés en plein milieu de la chaussée pour se donner de la marge de manœuvre (bonjour pour les dépasser alors…) et qui parfois se déportent sur la gauche de la chaussée (sur route ouverte, bon sang !!) avant chaque virage serré à droite, de peur de louper le tournant alors qu'ils vont à 15 à l'heure…
  2. Dans le Tour 2016 je l'ai vu descendre l'intégralité du col du Grand Colombier mains aux cocottes, se faisant ainsi larguer par Jarlinson Pantano pour la victoire d'étape… Pour le Giro, voir l'appréciation de Dumoulin sur Reichenbach ici : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Dumoulin-attribue-son-retard-a-sebastian-reichenbach-qu-il-compare-a-une-vieille-grand-mere/904578
  3. Se limiter à une position est une erreur à mon avis. Les photos de De Vlaeminck mains en bas du guidon ne manquent pas, ce qui prouve qu'il variait les positions. Exemples : https://cycling-passion.com/nicknames-cyclists/roger-de-vlaeminck-paris-roubaix/ https://www.taptoe.be/regionaal-nieuws/voorspellingen-roger-vlaeminck-komen-uit On le voit également régulièrement mains en bas du guidon dans le fameux film « A Sunday in Hell » qui retranscrit Paris-Roubaix 1976. Mains aux cocottes est plus confortable certainement, plus efficace en bien des circonstances, mais c'est aussi une prise du guidon moins ferme (particulièrement sur mauvais revêtement à haute vitesse) et un centre de gravité plus haut, d'où moins de stabilité. Toujours question stabilité, avec un vent latéral, mains aux cocottes (courbé sur le guidon façon De Vlaeminck ou non) j'ai bien plus de peine à maintenir le guidon qu'avec les mains en bas… j'ai encore pu expérimenter cela ces dernières semaines, avec les vents violents qu'on a eu régulièrement. Comme l'a déjà dit Thierry, tout particulièrement en descente la différence est énorme. Chez les pros, j'ai repéré trois coureurs qui descendent mains aux cocottes : Reichenbach, Zakarin, Meintjes… et en descente ils sont tous les trois toujours à la traîne derrière leurs collègues. « Reichenbach descend comme une vieille grand-mère », disait Dumoulin ! 😃 À mon sens, quelqu'un qui descend mains aux cocottes doit revoir sa position à l'avant de son vélo, le guidon est probablement bien trop bas pour lui.
  4. Franck, comment fais tu pour avoir tant de misères sur nos routes!? Des fois, j'ai l'impression qu'on ne roule pas dans le même pays, toi et moi :-) Pour faire simple, je préfère risquer d'abîmer ma monture en roulant sur des pistes cyclables en mauvais état que de risquer ma peau en roulant sur la chaussée. Chaussée du reste pas forcément en meilleur état que la piste… … mais surtout, chaussée bourrée de bagnoles aux conducteurs stressés et peu enclins à la patience envers «ces *$*%*$§ de cyclistes qui ne roulent pas sur les pistes alors qu'elles sont obligatoires». Ce n'est pas à toi que je vais apprendre que le trafic automobile de Bruxelles et alentours proches, flamands comme wallons, est bien plus «prégnant» qu'au fin fond de la Hesbaye… que je te laisse d'ailleurs volontiers, à cause du vent qui y souffle un peu trop librement à mon goût. 😉
  5. Heu… On va dire que ça dépend desquelles. J'ai déjà fait exploser simultanément deux pneus Conti GP 4000 (ou 3000, je sais plus) sur une de ces belles routes belges, du côté de Hoeilaart… Les deux Brabants, entre toutes les provinces belges, doivent avoir globalement parlant le réseau routier en pire état de toute la Belgique. Sans doute en partie à cause de l'énorme densité de ce réseau. Donc d'autant plus lourd à entretenir. Mais Michel ne nous (*) fera pas passer par les champs de mine qu'on peut trouver dans sa région. Y a heureusement moyen de les éviter, sinon il y aurait de quoi devenir chèvre. (*) si j'en suis…
  6. S'il y en a un qui risque de ne pas être de la partie le 5 mai, c'est moi : empêchement d'ordre familial ce jour-là, et les différentes solutions que j'avais envisagées sont toutes tombées à l'eau. Il faudrait un miracle… 🙁 Par contre, je devrais en être pour LBL, la distance de 150 km également.
  7. 59 km cet après-midi, dans mon terrain de jeu habituel : les bosses de la vallée de l'IJse, au sud-est de Bruxelles. Au passage, j'ai dépassé les 1000 km depuis le début de l'année. Cette fois-ci, travail de la « puissance » (pour autant que j'en aie) : les bosses avalées à fond, à haute fréquence de pédalage et avec des braquets plus importants que d'habitude. Au retour, crevaison lente à l'arrière 🙁. Pas pu en trouver la cause, malgré une inspection attentive du pneu. J'ai changé de chambre à air sur place et suis rentré sans autre problème. Ça faisait deux ans que je n'avais pas eu de crevaison… et je ne peux pas dire que ça m'avait manqué !
  8. Très, mais alors très fréquent en Belgique, ce panneau. 🙁
  9. Si ton but est de te redresser, une potence plus longue va au contraire t'allonger sur ton vélo... ce n'est pas forcément un mal en soi, mais je ne sais pas si c'est recommandé avec un lumbago !
  10. Si. 🆒 J'ai grimpé quelques côtes à basse fréquence de pédalage et à faible allure. À vrai dire, c'était moins un travail de la force qu'un travail du coup de pédale : j'essayais de rendre celui-ci aussi "rond", harmonieux et synchronisé que possible. Pour ce genre de travail, il est mieux de pédaler à basse fréquence, du moins en début de saison. Donc la « force » de pédalage y trouve aussi un peu son compte.
  11. 27 km à rouler en fin d'après-midi dans le sud-est de Bruxelles, sans dépasser les limites de la région-capitale. Plusieurs bosses, la plupart dans la forêt de Soignes, pour travailler un peu la force et le coup de pédale. Sensations médiocres, mais il faut dire qu'un vent méchant était (à nouveau 📢) de la partie…
  12. Même avis. Si gagner le Giro et faire un podium du Tour en 2018, ce n'est plus être que l'ombre de soi-même, alors que la saison 2019 est à peine commencée... Ca me rappelle un autre participant du forum qui affirmait "ne pas croire une seconde" que Froome allait remporter le Giro. Faut se méfier avec les jugements à l'emporte-pièce de ce genre-là, ça risque de vous retomber dessus plus tard, et ça peut faire mal à l'amour-propre. 😃
  13. Non, ça n'a abouti à rien de concret, ça ne correspondait pas aux plans de Van Aert.
  14. D'accord pour l'accroche, j'ai pu également le vérifier, les Conti GP 4 Seasons sont bien plus adhérents que les Schwalbe Durano plus. Mais je maintiens, leurs flancs sont bien plus fragiles, malgré cette «peau de reptile». Presque tous les ennuis (relativement peu nombreux certes, ce sont quand même de très bons pneus) que j'ai eus avec les Conti venaient des flancs. Pincements, ou perçures dues à des gros caillous sur la voie qui perçaient ou déchiraient le flanc. Un jour que j'ai voulu démonter un pneu GP 4 Seasons pour le remplacer, j'ai fait un petit test : j'ai appuyé la pointe d'un couteau de cuisine sur le flanc du pneu. Il ne m'a pas fallu appuyer fort pour qu'il perce !! C'est ce qui m'a définitivement décidé à «switcher» pour les Schwalbe Durano plus. Les flancs des Schwalbe Durano plus sont incomparablement plus épais et solides, en comparaison, que ceux des Conti 4 Seasons. L'inconvénient est que ça les rend nettement plus lourds aussi. Mais vu les champs de mine sur lesquels je roule assez souvent, je suis gagnant au change. Mais peut-être que la nouvelle génération de pneus Conti 4 Seasons (les 5000) a apporté du changement.
  15. Depuis le début de l'année en Belgique, je n'ai fait que deux sorties en cuissard court (et encore, en partant avec des jambières que j'ai enlevées en cours de route). Et rigoureusement aucune sortie en manches courtes. Qu'est-ce que j'envie les gens qui ne sont pas frileux…
  16. En Belgique la tenue d'hiver va ressortir pour la semaine prochaine, ça ne devrait plus guère dépasser les 10° en température maximale… 😠 Tenue Assos Habu de rigueur dans ces conditions.
  17. Avec un 34/32, pour avancer à 7 - 8 km/h un simple calcul montre qu'il faut tourner les jambes entre 50 et 60 tours/minutes (avec un diamètre de roue supposé égal à 2,1 m, correspondant à des roues de 700 chaussées de pneus de 23 voire 25). C'est a priori faible comme fréquence, mais tout dépend des habitudes de pédalage d'Isaac.
  18. 24/34 est mon plus petit braquet actuel: j'ai pris l'habitude de braquets de VTT qui me permettent de mouliner quelle que soit la pente ou presque. C'est un braquet que je mets quand la pente dépasse grosso modo les 15 % dans les raidards belges que j'affectionne. Quand je suis en montagne, donc dans des pentes bien plus longues qu'en Belgique, c'est au-dessus de 12 % environ que je mets le 24/34. Donc c'est assez rare, car on rencontre relativement peu fréquemment ce genre de pentes dans les Alpes dont je suis originaire. Une fréquence de pédalage qui revient très souvent en montagne sur mon compteur de cadence, c'est 85 tours/minutes. 24/34 à 85 tours/minutes, c'est 7,5 km/h. Ça paraît peu, mais allez maintenir cette vitesse sur une pente de plusieurs kilomètres à 12 % (Mont du Chat, côte de Chalais, par exemple), et on en reparle. Autour de 8 %, sur de longues pentes, c'est généralement 24/23, 24/26 que je mets… Donc une vitesse de 10-11 km/h à 85 tours/minutes. Au juste, j'aime descendre aussi 😉, malgré mes 61 kg de poids estival. Mon gros braquet de 48/11 aide pas mal à bien descendre, d'ailleurs. Mais en prenant le minimum de risques. Record personnel à 89,4 km/h sur le circuit du Nürburgring en Allemagne. C'était un jour où le circuit était fermé aux voitures et réservé aux cyclistes, bien sûr, sinon je ne me serais pas «lâché» autant.
  19. Mon premier 32 , mon Dieu ! comme je suis tombé en décrépitude pour mettre de tels braquets ! Moi qui à 47 ans utilise le 32 (et le 34) depuis bientôt 20 ans, et en triple plateau qui plus est, je me demande comment je ferai à ton âge… si j'y arrive.
  20. Du vent ici en Belgique, il y en a encore (il y en a quasiment toujours en fait) mais bien moins fort que la semaine dernière. Et le beau temps est de retour ! Ce que j'apprécie le plus, en fait, c'est que je n'ai pas besoin de nettoyer le vélo après la sortie d'aujourd'hui. 😄 Sortie qui a consisté en 55 km dans ma zone d'entraînement habituelle, à l'intérieur du triangle formé par Bruxelles, Louvain et Overijse, avec quelques petites côtes pour l'agrément.
  21. Un vent très fort est toujours casse-bonbons, par définition, ah mais ! Et toujours casse-jambons aussi, d'ailleurs. Enfin, pour moi, pauvre cycliste solitaire. 😢 Encore eu hier la vision surréaliste de plusieurs cyclistes en tenue d'été, par ce temps… Je l'ai déjà dit et je maintiens, certains Belges doivent descendre des Inuits.
  22. Ne pas confondre quand même les cycles Gitane avec la marque de cigarettes Gitanes. 😉
  23. Ce qui Christian pense, c'est son affaire, mais je ne vois pas en quoi ses points de vue seraient représentatifs du forum. Pour ma part, je souhaite à Aru, d'abord et avant tout, de se foutre complètement de ce que les critiques de fond de fauteuil pensent de lui. 🆒
  24. Maismaismais c'est exactement ça, « - 5 km/h » : un vent relatif contraire (d'où le signe -) de 5 km/h. James avait raison ! 😇
  25. Aujourd'hui, 115 km à tourner autour de Bruxelles (parcours balisé appelé « Gordelroute »). Carte du circuit : https://www.vlaanderen-fietsland.be/fietsroutes-regio/groene-gordel/215 (texte en néerlandais) Vent très fort avec rafales traîtresses comme d'habitude ces dernières semaines, mais ce n'était quand même pas l'apocalypse de dimanche dernier. Temps très nuageux mais sec avec quelques éclaircies, température variant entre 8° et 12°. Bien crevé au retour… Quelques visions curieuses sur le parcours, comme une carcasse calcinée de bagnole en travers d'un chemin pour piétons et cyclistes à Moorsel, ou une procession carnavalesque de chariots complètement délirants tirés par des tracteurs à Zaventem…
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