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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Je te comprends… De fait, mes dents jouaient des castagnettes et mes bras s'étaient mis à trembler dans la descente vers le Rosier après le ravito de Francorchamps, et après ma crevaison, quand je descendais vers le pied de la côte des Forges… Il y a plus agréable comme sensations 😬… Heureusement, ça ne durait pas longtemps, pédaler me permettait de me réchauffer assez vite à chaque fois (encore une fois merci à mon 48/11 dans ces descentes !).
  2. 7295. Mais c'est pas sûr qu'il soit visible, on m'a pris en photo sur la ligne d'arrivée justement au moment où on enlevait ma plaque de guidon, où figurait ce numéro. Quant au dossard, il est resté sous ma veste de pluie pendant toute la sortie ! Allez, d'autres indices : la ligne d'arrivée est figurée par une arche gonflable sur laquelle est inscrit « Continental », mon vélo est bleu clair et ma veste de pluie est de couleur orange pétante.
  3. Sur le site web de la rando, on voit déjà les photos du jour et elles ne sont pas mauvaises du tout malgré le temps qu'il faisait : http://www.sport.be/lblcyclo/fr/ (cliquer sur « photos ») Exceptionnellement, j'y figure, si si ! Certainement pas sous mon meilleur jour, mais tant pis. Qui me trouvera ? 😃 Indice : c'est à l'arrivée.
  4. Je suppose que tu voulais dire le braquet mini, je fais ce tour sans descendre sous le 40 / 21, c'est vraiment du petit lait, et pourtant je ne suis pas costaud. Comme dit Thierry, tout est relatif, et d'ailleurs à côté de moi tu es Monsieur Univers ! Surtout avec des braquets pareils…Vu le pourcentage moyen de la côte de la Citadelle, que je n'ai encore jamais faite, je m'attends à la monter avec un braquet variant autour de… 24/21. Un peu plus ou un peu moins suivant l'état de forme et l'envie de me faire mal…
  5. De retour de Liège-Bastogne-Liège Challenge, le parcours médian de 148 km (152 au compteur), parcours évidemment ultra-accidenté effectué en 7 h 30 à 20 km/h de moyenne, par le temps exécrable que la météo prévoyait : pluie, vent, froid… mais bien content de l'avoir fait ! Tous les détails sont dans le sujet dédié sur le forum « cyclosport ».
  6. Il n'y a donc que moi sur ce forum qui sort par un temps de Belges ? 😇 Parcours médian bouclé donc, 152 km au compteur, 85 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage, 7 h 30 de vélo effectif et une heure de plus pour la sortie totale (ravitos et crevaison obligent). Effectivement, les conditions météo étaient assez… belges, et même pire : ardennaises ! 😛 J'ai pris la pluie dès le départ et elle ne m'a pas lâché jusqu'au pied de la côte du Rosier, en variant les plaisirs : crachins, bruines, déluges… Pas de problème particulier pendant la première moitié du parcours : j'ai avalé les côtes de l'Ancienne Barrière et de la Haute-Levée comme à la parade. Une (jolie 🆒) fille que j'ai rattrapée pendant cette dernière côte m'a dit que son compteur indiquait 3° à cet endroit… Ça n'avait pas l'air de trop la déranger, elle : elle pédalait en cuissard court et avec seulement des mitaines aux mains !!! Mais de fait, juste après, au deuxième ravitaillement, à Francorchamps, j'ai commencé à avoir vraiment froid. Il vallait mieux ne pas s'arrêter pendant le reste du trajet, parce que sinon c'était la séance de castagnettes garantie, jusqu'à ce que le fait de pédaler vous réchauffe. Au passage, c'est là qu'on ne regrette pas les grands braquets dans les descentes : ils vous permettent justement de pédaler et donc d'avoir moins froid ! À partir de l'ascension de la côte du Rosier, on est passé à un régime éclaircies-averses, et surtout des rafales de vent à décorner les bœufs. La côte du Maquisard ne m'a pas non plus posé de problèmes, ni la descente vers Remouchamps. J'ai par contre bien senti mes cuisses pendant la montée de la Redoute, mais ce n'était pas vraiment une surprise, c'était pareil pour presque tout le monde je suppose. Au troisième ravito (en plein cœur de la côte du Hornay, quelle idée !!), pour l'anecdote, j'ai eu le plaisir de retrouver un collègue de travail et son fils : apparemment ils avaient bien «tracés», ils étaient partis 1/2 h après moi ! Juste après la descente du Hornay, je crève de la roue arrière. Certainement en grande partie de ma propre faute : j'avais bien vu que le pneu était un peu usé la veille au soir, mais j'ai eu la flemme de le changer. Bien fait pour ma gueule donc ! 20 minutes de réparation, avec les doigts engourdis par le froid, mais j'avais encore de la force puisque j'ai eu par contre la satisfaction anecdotique, pour la première fois de ma vie, d'avoir réussi avec une mini-pompe à « claquer » le pneu sur la jante en le regonflant. Jusque là je ne réussissais à le faire qu'à la pompe à pied ! On a les consolations qu'on peut. 🆒 Ensuite, un peu après, encore froid, je grimpe la côte des Forges presque au pas, puis la Roche-aux-Faucons avec (il me semblait) un meilleur rythme, mais les jambes lourdes. Surtout dans sa deuxième partie, après la brève redescente, toujours aussi casse-pattes. 😬 Et enfin, procession finale et quasi triomphale dans ta bonne ville de Liège, où le parcours un peu artificiellement rallongé nous a fait passer par la gare des Guillemins, puis la place Saint-Lambert, où avait justement lieu la présentation officielle des équipes de la course de demain. Quand je suis passé, le commentateur présentait l'équipe Bora-Hansgrohe, et plus précisément les coureurs Burghardt et Schachmann… Sur le site d'arrivée, ma traditionnelle entorse au régime cyclisme avec un sandwich saucisse-moutarde particulièrement bienvenu dans ces conditions. Et puis retour, avec une bonne brochette de souvenirs, pas forcément tous digestes mais qui donneront matière à raconter le soir pendant les veillées ! 😄
  7. 38 km sous une pluie constante et un vent sensible, dans la vallée de l'IJse à l'est de Bruxelles. Que du bonheur, quoi. À part la température, plutôt clémente aujourd'hui, c'est probablement une bonne préparation mentale au temps pourri annoncé pour le Liège-Bastogne-Liège Challenge de ce samedi… Lundi, j'avais la tenue estivale. Aujourd'hui la tenue automnale (et l'imper par-dessus). Samedi, je prévois de mettre la tenue hivernale (et l'imper évidemment). Vive le printemps ! 📢
  8. Moi j'irai, sauf imprévu. Tant qu'à sortir pendant un week-end uniformément pluvieux, autant que ce soit dans un cadre bien organisé comme celui-là. J'ai déjà eu un avant-goût en sortant cet après-midi. Chanceux comme je suis, il a fallu que ma seule et courte plage horaire libre aujourd'hui coïncide exactement avec une période de pluie continue entre deux éclaircies… 😠 Bien sûr, j'ai dû nettoyer le vélo de fond en comble ce soir. 😢
  9. Franck PASTOR

    LBL

    Ce n'est pas du French Bashing que je fais pour ma part mais du Flèche Wallonne Bashing… Cette course me désespère autant qu'elle désespère Michel Roth (de la même façon que j'étais frustré par les dernières éditions de Liège-Bastogne-Liège). On doit attendre le dernier kilomètre pour qu'elle se joue, les échappées préalables n'ont pour ainsi dire jamais la moindre chance d'aller au bout, et c'est donc presque aussi frustrant qu'une étape de plaine lors du Tour. J'aime les courses au scénario imprévisible et à la Flèche wallonne, la majeure partie du scénario est déjà écrite. J'espère que dimanche il y aura de l'animation et des surprises. Au Tour des Flandres, que Bettiol ait gagné au nez et à la barbe des favoris et même de l'organisateur (Wouter Vandenhaute qui avait carrément affirmé que des coureurs comme Langeveld ou… Bettiol n'allaient pas gagner sa course), ça m'avait rendu tout guilleret. 😃
  10. Oui, j'ai vu. Pour la pluie, c'est pas folichon mais j'ai presque envie de dire que ce sera normal pour la saison et la région ! C'est le fort vent annoncé qui me fait le plus souci… Les prévisions ne sont pas encore vraiment fiables ceci dit, attendons encore deux jours pour qu'elles le soient.
  11. Et s'il avait écrit "Muur van Hoei", ça serait mieux passé ? 😇 (je sais pas pourquoi mais je sens que je vais souffrir le 5 mai, moi...)
  12. Retour en Belgique hier, et aujourd'hui, dernier jour de vacances, 3 h de vélo tranquille, en suivant le cours de la Woluwe puis de la Senne entre Bruxelles et Malines. Retour idem. Après toute la dénivellation engrangée pendant la semaine dernière passée à Grenoble, ce parcours presque tout plat dégageait presque un parfum exotique.
  13. Qu'est-ce qui s'est passé ???
  14. Le vent d'est - sud est était idéal, pourvu qu'on ait le même! Ce sera alors vent de face à l'aller, sans aucune protection. On mettra Franck Pastor devant, il a besoin d'entraînement (Fraaaaanck, tu viens?) et nous on roulera peinard derrière lui! Par contre au retour, délice suprême, vent arrière tout du long, ça c'est vraiment super. Espérons, et si c'est l'inverse, on aura dur au retour. Franck? on compte sur toi! Mais quel sadique ! 😠 Toute ta malice risque de plus en plus d'être vaine, mon pauvre Michel, parce que mes chances de participation s'amenuisent toujours plus. Ma fille est chez moi ce week-end-là, et pas moyen de trouver quelqu'un pour la garder dimanche. Toutes les personnes que j'ai contactées se sont désistées une à une. J'ai encore un petit espoir de la part d'un de mes amis qui serait disponible, j'ai laissé un message, j'attend sa réponse ce soir… Au pire, on pourrait passer vous voir après la fin de la sortie, ce serait toujours mieux que ne pas venir du tout, non ?
  15. Ceci ? http://velaventure.org/croisierebelge.html Très intéressant, mais nombre de places limité à 55. Ceci dit, je n'aurais pas eu le temps de consacrer trois jours d'affilée au vélo pendant cette période. J'ai quand même prévu (si tout va bien…) de faire les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff le dimanche de ce week-end de Pentecôte.
  16. Patrick Sercu… Une autre époque, où une bien plus grande perméabilité régnait entre les différentes spécialités du cyclisme. Vous imaginez aujourd'hui François Pervis courir le Tour de France et finir avec le maillot vert ? Non, bien sûr. C'est pourtant ce qu'a fait Sercu (champion olympique du kilomètre et champion du monde de vitesse) en 1974. Aujourd'hui, ce serait de la science-fiction.
  17. Tout cela dépend aussi des braquets dont on dispose. Si on a prévu de gros braquets, on aura (dans la plupart des cas) plus tendance à grimper debout qu'assis, et vice versa. J'ai pour ma part une gamme très large de braquets pour grimper, de 36/19 à 24/34, et je privilégie la vélocité (entre 80 et 90 tours/minutes) et la position assise en côte. En fait, chacun fait comme il le sent avec les moyens (braquets et condition physique) dont il dispose.
  18. Bof bof bof, ces «sub-compacts» font pâle figure à côté de mon triple plateau et son petit braquet de 24/34 ! 🆒 Aujourd'hui, pour ma dernière sortie de vacances grenobloises, 6 h de sortie dont 5 h 30 de vélo effectif pour 97 km parcourus. Moyenne rikiki donc (18 km/h ?) mais j'ai une excuse : il y avait les balcons de Belledonne dans le parcours, dans le sens Allevard-Uriage : les cols du Barioz (la porte d'entrée des Balcons dans ce sens), des Ayes, du Lautaret, des Mouilles, et toutes les montées et descentes et remontées et redescentes de cette route-toboggan d'une soixantaine de kilomètres, oscillant entre 600 et 1050 m d'altitude. J'y ai ajouté quelques «raidards» en vue de Liège-Bastogne-Liège Challenge de samedi prochain, auquel je devrais participer (sauf catastrophe). En particulier la route de Rocharey, le mur qui relie Corps d'Uriage à la Croix de Pinet, connu seulement des vrais locaux et que j'avais déjà escaladé (le mot est à peine trop fort) lundi dernier. La dénivellation totale de la journée doit largement dépasser les 2000 m, soit à peu près ce qui nous sera proposé sur le parcours médian de LBL Challenge. Que je peux donc envisager avec sérénité. 🆒
  19. Le Keperenberg, à Itterbeek, je connais bien, en effet. Mais en fait je ne sais pas exactement de laquelle tu parles parmi deux montées différentes et parallèles. Il y a la rue appelée officiellement Keperenbergstraat que je ne l'affectionne pas particulièrement, elle est large, plutôt fréquentée et peu raide. Juste à côté, et partant quasiment du même endroit, tu as la Zakstraat (la rue qui descend !) qui a un tracé parallèle mais distinct, et qui me convient bien mieux : la route est plus étroite, plus verdoyante, moins fréquentée et présente des pourcentages intéressants par endroits. D'où son nom, j'imagine ! J'ai toujours connu ces deux montées asphaltées. Mais j'ai dû grimper l'une et l'autre pour la première fois vers 2005 ou 2006. Pour qui veut se faire des sensations sur pavés genre Tour des Flandres mais en restant proche de Bruxelles, je conseille la Moskesstraat à Terlanen, ou le top du top question vacherie, le Kardaan en plein centre d'Overijse (passage à 24 %). Vidéo grimpée de la Moskesstraat : Profil et photos du Kardaan : https://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Kardaan&qryMountainID=702
  20. Bah, tu n'es pas si loin que ça des Balcons de Belledonne. Comparé à moi qui habite Bruxelles maintenant… j'adore cette ville, mais il lui manque des montagnes tout autour ! 🆒 Heureusement que je peux revenir à Grenoble en vacances, comme en ce moment.
  21. 80 km hier matin en contournant le massif du Vercors par le nord, sur un parcours presque complètement plat entre Grenoble et Saint-Just-de-Claix, aux portes du Royans, où ma famille avait rendez-vous pour y passer deux jours. Retour cet après-midi, à nouveau 80 km, mais cette fois-ci en passant en plein dans le massif. Direction Pont-en-Royans d'abord (et ses pittoresques maisons suspendues), ensuite remontée de l'intégralité des gorges de la Bourne (déconseillées aux personnes souffrant du vertige mais quelle splendeur!) jusqu'à Villard-de-Lans (1000 m) puis le plateau de Lans vent de face jusqu'à Lans-en-Vercors et la montée finale vers Saint-Nizier (1168 m). Enfin descente rapide sur Grenoble et retour at home sur route plate.
  22. Je n'étais certes pas là pour en juger contrairement à toi, mais à en croire sa biographie par Jean-Paul Ollivier, avoir battu le record de l'heure détenu depuis 43 par le cycliste le plus prestigieux de l'époque, Fausto Coppi, a eu un retentissement énorme, probablement aussi grand que le Grand Prix des Nations 53 qui aurait pu n'être qu'un coup d'éclat éphémère. Un record sur lequel Bobet, entre autres, s'était cassé les dents. Et Anquetil n'en était toujours qu'à ses débuts en 56 (fin de carrière en 69).
  23. Belle coquille de l'Équipe d'hier sur le braquet de Campenaerts : 64/11 (au lieu de 61/14). 64/11 emmené à 100 tours/minutes, ça fait aller à 73-74 km/h… je crois que de l'eau va couler sous les ponts avant que le record arrive à ce niveau ! 😃
  24. David est le premier enfant d'Adrie Van der Poel et Corinne Poulidor, en fait. Dommage que je n'ai pas pu suivre cette course qui passe par mes routes d'entraînement, mais je suis en vacances loin de là et je n'ai même pas eu l'occasion d'en suivre une retransmission. 🙁 Pub : pour les Belges et frontaliers que ça intéresse, la version cyclo a lieu samedi, départ à Heverlee (Louvain). Je ne pourrai pas y participer cette fois, mais je l'ai fait de nombreuses fois, et ça valait toujours le coup, malgré l'état souvent… perfectible… des routes (peu de pavés ceci dit). Belles côtes et paysages souvent étonnamment agrestes pour une région aussi densément peuplée. http://www.brabantsepijlcyclo.be/fr/
  25. Il y a eu bien des coureurs qui étaient peu connus avant leur record de l'heure : Anquetil lui-même (son 1er record date de 1956), Bracke, Ritter, Obree, Boardman… et pour beaucoup d'entre eux, le gros de leurs succès a suivi ce record et non précédé… Il en sera peut-être de même pour Campenaerts.
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