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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Pour ma part c'est l'inverse que pour la plupart d'entre vous apparemment : je règle ma selle plus haut que recommandé par les méthodes habituelles, un bon centimètre de plus par rapport à la règle 0,885*HJ. Autrement mes genoux protestent assez vite. Aucune règle n'est à appliquer aveuglément, les sensations commandent. D'autant qu'il y a des paramètres qui interviennent dont on oublie souvent de tenir compte : différence de taille de pied, cambrure de la chaussure, usure/souplesse ou moins prononcée de la selle, hauteur de la pédale, souplesse des articulations, style de pédalage («de la pointe» ou «du talon»)…
  2. Bien reçu le parcours. Ça a effectivement l'air sympa. De quoi faire chauffer le 24 dents… celui que j'ai à l'avant. 😆 J'ai remarqué que la Voie des Chars n'est pas reprise dans le parcours, alors que je l'attendais comme dessert. Mais ça ne sera pas un grand détour pour la grimper… si on a encore des forces !! Pour la forme, actuellement c'est pas top. Je me suis bien laissé aller pendant ces congés de fin d'année. J'ai peut-être pris deux kilos voire plus en une semaine passée à Grenoble à (trop) bien manger et ne strictement rien faire comme entretien physique… J'ai pas osé vérifier sur la balance. 😳
  3. Moi qui suis matheux, et pinailleur, je remarque que dans la modélisation proposée par l'animation GeoGebra, il y a une lacune fondamentale : on n'y tient pas compte du pied du cycliste et du jeu de sa cheville, qui fait que la distance genou-pédale varie continuellement, même si légèrement, pendant le pédalage. Or, dans l'animation, cette distance est constante. On devrait donc faire intervenir un segment supplémentaire représentant le pied, et un paramètre supplémentaire, l'angle que fait le pied avec le segment inférieur de la jambe (tibia). Je n'ai pas trop le temps de me consacrer à tout ça en ce moment, mais ça m'intéresse aussi. Je vous ferai signe si je m'y mets.
  4. Au sujet de la différence de poids, j'ai eu des Schwalbe Durano Plus en 25 mm aussi bien en tringles souples que rigides, et je n'avais pas noté de différence à ce niveau. De fait, sur le site Schwalbe, la version tringles souples est indiquée à 410 g le pneu et la version tringles rigides à… 450 g. https://www.schwalbe.com/fr/road-reader/durano-plus.html Pour ce type de pneu, déjà lourd à la base et qui vise la robustesse d'abord et avant tout, une différence de 40 g est, je pense, vraiment négligeable. Ceci dit, quand je peux choisir entre les deux versions du Durano Plus, je prends toujours la version à tringles souples. Tout bêtement pour l'encombrement moindre.
  5. Vous ne vous rendez peut-être pas compte que vous êtes blessants, même si vous n'en avez pas l'intention. Surtout, n'allez pas vous plaindre s'il y a de moins en moins de monde à participer au forum. À moins que vous teniez à en faire un club select, réservé à ceux qui auraient la science infuse et qui se f… de la gueule de ceux qui ne l'auraient pas. Bonne année quand même.
  6. Et dire que tu me charriais il y a peu alors que je parlais de mon intérêt pour ce vélo à vitesses dans le moyeu: Et il y en a 14 de vitesses, dans ce moyeu-là, pas 3 comme pour le tien. Si je l'ai un jour, je crois que je vais provoquer certains de mes charrieurs en duel comme tu l'as fait… 😇
  7. J'ai moi aussi en stock un pneu de rechange à tringles souples, comme souvent, ça ne m'a jamais posé de problème. Comme je l'ai dit, je ne sais pas vraiment ce que vaut cette remarque que j'ai lue dans un magazine (Le Cycle, je crois, ça fait longtemps).
  8. Purée, si on continue à charrier tout ceux qui posent une question jugée naïve, plus personne ne va oser poser de question ici ! Moi, ça m'arrive encore de rouler avec des pneus à tringles rigides quand je n'ai rien trouvé d'autre. Par exemple, quand j'ai besoin de remplacer un de mes Schwalbe Durano Plus, disponibles dans le commerce en version à tringles souples comme en version à tringles rigides, et qu'il ne reste plus de disponible que la version à tringles rigides. Quand il s'agit de rouler, tringles souples ou rigides c'est kif-kif. Le très léger avantage en termes de poids des tringles souples n'est vraiment pas significatif. Mais quand il s'agit de les stocker, les pneus à tringles souples ont un avantage évident, ils sont forcément beaucoup moins encombrants ! Au point qu'on peut envisager d'en prendre un en dépannage quand on part faire du cyclotourisme avec bagages. Donc, quelle que soit la pratique, quand on dispose d'une version à tringles souples, les tringles rigides n'ont aucun intérêt. À une nuance près : dans un magazine, j'avais lu qu'un pneu à tringles souples, quand il est resté plié trop longtemps, peut développer une fragilité aux endroits de la tringle où elle est pliée. Je ne sais pas ce que ça vaut, je n'ai jamais eu de problème comme cela en tout cas.
  9. Ce serait intéressant de savoir qui avait "infiltré" l'équipe belge de Duitama. Une affaire PDM91 bis? J'ai sous les yeux l'article dont je parlais, dans la revue flamande «Bahamontes» (ben si, c'est son nom), dans le numéro de décembre de cette année. Ils ont interviewé Peter Verbeken, l'un des coureurs belges sélectionnés pour ce championnat du monde 1995 en Colombie. Apparemment la faillite de l'équipe belge était due à une combinaison de facteurs : les plus costauds absents de la sélection, mauvaise acclimatation à l'altitude, une part de malchance, motivation défaillante…Si le facteur dopage a joué un rôle, alors Verbeken n'en a pas parlé, ce qui peut se comprendre. 🤐 Mais peut-être que le problème, pour eux, ne s'est pas trouvé là. Déjà les gros poissons, effrayés par le circuit, l'altitude et l'insécurité colombienne, avaient décliné la sélection : Frank Vandenbroucke, Johan Museeuw et Johan Bruyneel. La sélection belge se composait donc de coureurs dits de «second plan» : Luc Roosen comme leader désigné, Nico Mattan, Geert Van Bondt, Kurt Van de Wouver, Wim Vansevenant, Geert Verheyen et donc Peter Verbeken. Peter Verbeken raconte que la préparation s'est faite à Colorado Springs, dans les Rocheuses, et déjà là l'acclimatation à l'altitude ne s'était pas bien faite, selon lui : « même à allure de promeneur, les cardio-fréquencemètres s'emballaient comme en pleine course ». Ensuite, une fois en Colombie même, lors d'un des derniers entraînements le groupe belge avait trouvé le moyen d'être rattrapé en pleine côte par un jeune en habits citadins et sur vélo pour femme. Là, Verbeken s'est dit que ça serait dur pour le championnat… 😃 De fait, Wim Vansevenant malade, n'a pas pris le départ, Luc Roosen, largué, a abandonné après cinq tours, Nico Mattan a cassé une cale et a dû bâcher également parce qu'il n'avait pas confié de chaussures de rechange au mécanicien (à la grande fureur d'Eddy Merckx — alors sélectionneur), Van de Wouver, Verheyen et Van Bondt ont également jeté l'éponge, et le dernier Belge à tenir a été justement Peter Verbeken. Il se trouvait en 19e position aux côtés du Mexicain Arroyo à trois tours de la fin, quand il a également décidé d'abandonner, démoralisé. Il s'en est mordu les doigts après coup, car il se sentait (physiquement) suffisamment fort pour terminer, et cet Arroyo a finalement fini précisément 19e (sur 20 classés). Avoir bouclé ce championnat, même dernier, aurait quand même été une belle prestation, selon Verbeken. Bref, pour la Belgique, un championnat à oublier !
  10. En effet, pas mal de confondre Poulidor et Thévenet… Pour Duitama, c'était 1995. 😉Et pour certaines équipes, même l'EPO n'a pas suffi. Par exemple l'équipe belge n'a pas pu s'acclimater, ils ont tous abandonné sans jamais avoir pu jouer le moindre rôle. J'ai lu un article récemment dans la presse cycliste flamande qui évoquait cette bérézina. Ce qui est surprenant, c'est que le circuit de Sallanches en 1980 ne figure pas dans ce classement. Apparemment la dénivellation totale n'était pas aussi importante qu'on l'imagine.
  11. Les championnats du monde 2018 se seront déroulés à Innsbruck sur un circuit, de l'avis général, très difficile. Mais d'après l'article ci-dessous, ce ne serait que le 10e circuit le plus difficile de l'histoire de ces championnats du monde. Je vous laisse découvrir quel aura été le plus dur d'entre tous, selon le journal L'équipe. Indice : ce n'était pas une surprise pour moi, je connais fort bien la difficulté de ce circuit pour le pratiquer chaque année. 🆒 https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Diaporama/Les-mondiaux-de-cyclisme-sur-route-les-plus-durs-de-l-histoire/7097
  12. Les maillots de corps Assos ne sont pas mal non plus, tu sais. Surtout celui pour l'hiver, une perfection !
  13. Bon ben ça sera 6363 km au compteur cette année… à des années-lumières de vous autres, et objectif perso de 7000 km non atteint bien sûr. Tant pis, j'aurai fait de mon mieux et c'est ce qui compte !
  14. Tu connais donc ce Marcel Robert pour ses écrits sur le vélo. A-t-il parfois des choses intelligentes à dire? Pour te faire ta propre idée sur ce type qui pour moi est une intelligence gâchée, voici tous ses articles sur carfree.fr : http://carfree.fr/index.php/author/marcelrobert/
  15. Le principal problème de la bagnole, c'est qu'elle est un amplificateur de bêtise. Ce type en a encore fourni un bel exemple. Bon rétablissement !
  16. Joyeux Noël tout le monde, vrolijke kerstmis iedereen! Dernière sortie de l'année en ce jour de Noël. 81 km pour fêter ça, sur un parcours brabançon très varié : Bruxelles, Tervuren, Huldenberg, Ottenburg, Archennes, Bossut, Pécrot, Nethen, Sint-Joris-Weert, puis Louvain et retour à Bruxelles. Aussi bien de bonnes côtes bien raides (le Smeysberg à Huldenberg, la rue de Pécrot à… Pécrot, le Tienne Vincent à Nethen) que de portions bien roulantes, comme la longue ligne droite Louvain-Bruxelles sur la N2.
  17. Pardon pour réagir un peu tard, mais quand même, ne te marre pas trop vite. J'utilise aussi des Schwalbe Durano plus depuis trois ou quatre ans. Rien à redire, les pneus les plus solides que j'ai jamais utilisés… mais j'ai quand même crevé deux fois avec. Du côté d'Esneux (épine) et à Bruxelles (bout de métal). Vivent les routes belges. Très bonne résistance quand même, donc, et fiabilité à la hauteur. Leur seul vrai défaut, à ces pneus, c'est leur manque d'adhérence par temps humide. Méfiance dans les virages quand la route n'est pas sèche… je me suis déjà pris une pelle dans un rond-point suite à une glissade de ma roue arrière, et me suis fait d'autres frayeurs, sur des bandes peintes notamment. Les Continental Grand Prix 4 Seasons que j'utilisais avant étaient moins robustes (surtout les flancs) mais avaient une bien meilleure adhérence.
  18. On en avait déjà parlé dans le temps. Halala, les apparences, l'image qu'on donne, l'importance qu'elle a aux yeux de certains… Il y en a pour qui c'est tout ce qui compte, comme pour ce Marcel Robert, que j'ai cessé de lire depuis cet article : je ne l'imaginais pas aussi superficiel.
  19. Franck PASTOR

    Noël.

    Apparemment Santos ne prévoit pas de carter pour son Race Lite. Je ne sais même pas si c'est possible d'en monter (mais je n'y connais rien en carter de ce genre).
  20. Franck PASTOR

    Noël.

    Les transmissions par courroies seraient conçues comme «auto-nettoyantes», c'est-à-dire qu'elles se comporteraient au contraire très bien dans les conditions que tu décris. Un globe-trotter comme Alee Denham (cyclingabout.com), qui roule par tout temps et sur tous les terrains, n'utilise plus que ça, conjointement avec un moyeu Rohloff : https://www.cyclingabout.com/carbon-belt-drive-everything-you-ever-need-to-know/ Ça ne veut pas dire que c'est sans défaut : Denham a remarqué qu'une courroie pouvait faire beaucoup de bruit… par temps sec ! sur route poussiéreuse plus précisément. La parade serait de lubrifier la courroie au silicone, mais c'est malvenu pour un système censé nous épargner de l'entretien… Pour ma part, a priori, le principal défaut que j'y trouve, c'est le manque de rapport disponibles : le choix de dentures pour le plateau et le pignon est très, très restreint, trop à mon goût. Rien que pour cela je n'exclus pas de rester à la transmission par chaîne (Santos laisse le choix entre chaîne et courroie pour ses vélos).
  21. Franck PASTOR

    Noël.

    Ça, ça reste à voir. Je perdrai en grand braquet, c'est sûr, mais dans le Fuchsröhre, l'important c'est l'aérodynamisme. En pédalant à 150 tours/minutes j'y ai atteint 83,5 km/h une année, et puis une autre année 89,5 km/h sans y donner un coup de pédale ! Un sacré souvenir ! Et dans la Hohe Acht, ce n'est pas un ou deux kilos en plus (oui, mon vélo actuel est déjà lourd) qui va me planter. Je passerai donc bien avec dans la Hohe Acht, et tant pis si j'y perd quatre ou cinq secondes. Avec le genre de vélo qui me plait, le but est de passer correctement partout, pas de faire une performance quelque part. S'il me prenait l'envie de «performer» je me dirigerais vers un autre genre de vélo.
  22. Franck PASTOR

    Noël.

    Avec ce genre de vélo, le but est moins d'aller vite que de passer correctement à peu près partout. Polyvalence ! C'est comme pour un spécialiste du décathlon, qui est bon partout sans être excellent nulle part. Pour moi qui ne cherche justement pas dans un vélo l'excellence dans un domaine particulier, ce serait parfait. Et puis, avec Rohloff j'aurais des rapports qui me permettent d'envisager sereinement le Pico Veleta ou un certain Wuling Pass, par exemple. 😇
  23. Franck PASTOR

    Noël.

    Celui-là : https://www.santosbikes.com/assortiment/lite-serie/race-lite Vu son prix, il serait parfait comme cadeau au pied du sapin pour moi ! 😃 Mais je crains que personne à part moi-même ne soit prêt à me faire ce cadeau-là… C'est typiquement le vélo polyvalent que je recherche actuellement : peut servir aussi bien pour mes longues sorties du week-end que pour les trajets quotidiens, le gravel ou pour les voyages avec bagages (légers). Et l'entretien réduit à presque rien avec son moyeu à 14 vitesses intégrées Rohloff et sa courroie de transmission. S'il n'était pas aussi cher, il serait déjà chez moi !
  24. Franck PASTOR

    Velo Eddy Merkx

    Mon père a roulé avec pas mal de 2CV. Avec chacune d'elles il lui est arrivé des histoires cocasses. Au point qu'il nous racontait régulièrement, à ma sœur et moi, des « histoires de 2CV » avant qu'on aille se coucher ! 😃 La plus belle : les freins de sa deuche qui lâchent en pleine ville de Grenoble, sans doute parce qu'il venait de faire la fameuse descente de la côte de Laffrey. Vous pouvez imaginer la frayeur rétrospective et la galère que ça a été de rentrer chez lui comme ça. Mais l'histoire ne s'arrête pas là : il amène sa voiture chez le garagiste pour faire changer ces freins… et la retrouve avec une carosserie flambant neuve quand il vient la récupérer. Le garagiste lui explique qu'il ne doit lui payer que les freins et non la carrosserie neuve : en rentrant la 2CV de mon père dans son garage, il avait tout simplement oublié que les freins étaient hors service…
  25. 70 km avec un max de bosses brabançonnes aujourd'hui, dans le secteur Overijse-Wavre-Huldenberg. Temps sec à quelques gouttes près, température très douce pour la saison (11°), mais du vent, encore du vent, toujours du vent ! 📢 Routes terriblement crades comme de juste après les dernières intempéries. Résultat, du sable s'est infiltré dans la gaine du dérailleur arrière, si bien que la descente du premier au deuxième pignon ne s'effectuait plus… Il m'a fallu relâcher pas mal de tension dans le câble pour que ça puisse passer à nouveau, au prix d'une montée des pignons moins franche. Vivement l'été, sa chaleur, son vent moins fort et surtout, surtout ses routes sèches !!!
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