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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. C'était quel modèle de Limar que tu as essayé ?
  2. D'autre part, il ne me semble pas qu'il existe de cassettes genre 14-34 ou 13-34 en standard. Il faut recourir à des solutions de type Miche. Mais ce n'est pas ma priorité.
  3. C'est vrai que mes chiffres n'étaient pas assez précis. Reste que pour obtenir ces 14 ou 15 rapports différents avec un double, le prix à payer est un écart important entre les deux plateaux. Imagine le nombre de rapports supplémentaires s'il y avait un écart équivalent entre deux plateaux d'un triple… Mais ce genre d'écart se fait dans tous les cas au détriment de la ligne de chaîne. Même si les chaînes actuelles sont bien plus souples qu'avant et supportent bien mieux un croisement, le rendement d'une chaîne croisée restera toujours inférieur à celui d'une chaîne droite. Si on fait de longues distances avec une chaîne souvent croisée, cette perte de rendement ne doit pas être négligeable. C'est pourtant la tendance actuelle. Et c'est encore pire avec le mono-plateau. Bref, on sacrifie le rendement à la simplicité. Si ça continue, il serait temps de passer à autre chose qu'une transmission classique… Du changement de vitesses en continu façon Enviolo au boîtier de vitesses intégrées façon Pinion, des pistes s'ouvrent, mais il y a encore du boulot à faire…
  4. Le confinement à la française nous pend au nez aussi en Belgique. Il serait question d'instaurer ici également un « périmètre de sécurité », y compris pour les cyclistes… On en saura plus très bientôt.
  5. Si j'en crois les diverses rumeurs, tu risques de devoir faire des tours de ton pâté de maisons pour parcourir ces derniers 9 km. Il semble qu'on se dirige aussi vers une limitation des déplacements non essentiels en-deçà d'un certain rayon autour de son domicile en Belgique… même si on est seul à vélo. J'espère me tromper, on en saura plus après 13 h et la réunion du conseil de sécurité.
  6. J'ai mis 48 par étourderie parce que c'était ma denture de grand plateau sur mon précédent vélo (triple dix vitesses 48-36-24), mais les calculs sont bien effectués avec le 46 dents de mon vélo actuel (le triple onze vitesses 46-34-24 hérité de quelqu'un qui se reconnaîtra aisément 🆒). Je replace la liste quand même, corrigée. 46/11 = 4,18 46/13 = 3,54 46/15 = 3,07 46/17 = 2,71 46/19 = 2,42 34/15 = 2,27 34/17 = 2 34/19 = 1,79 34/21 = 1,62 34/23 = 1,48 34/25 = 1,36 34/27 = 1,26 24/23 = 1,04 24/25 = 0,96 24/27 = 0,89 24/30 = 0,8 24/34 = 0,71
  7. On n'a pas du tout les mêmes capacités ni la même pratique, donc on compare un peu des pommes et des poires 🆒. J'ai besoin de braquets bien plus petits que les tiens, et je dois composer avec les cassettes départ 11 dents dont nous gratifie le marché. Donc un des sauts de dentures entre les petits pignons peu confortables. Mais heureusement je n'utilise qu'en descente des pignons inférieurs à 15 dents, donc ces sauts sont gérables en pratique. Voici mes braquets effectifs : 48/11 = 4,18 48/13 = 3,54 48/15 = 3,07 48/17 = 2,71 48/19 = 2,42 34/15 = 2,27 34/17 = 2 34/19 = 1,79 34/21 = 1,62 34/23 = 1,48 34/25 = 1,36 34/27 = 1,26 24/23 = 1,04 24/25 = 0,96 24/27 = 0,89 24/30 = 0,8 24/34 = 0,71 17 rapports effectifs, donc, allant du 46/11 au 24/34… Quel serait le pédalier double, même à douze pignons, qui proposerait le même nombre de rapports effectifs avec la même amplitude entre les deux braquets extrêmes ? Il faudrait un double avec un écart gigantesque entre les deux plateaux, du genre 20 dents. Avec les croisements que cela impliquerait. Ou une cassette avec des trous énormes, bien plus gros que ma 11-34 à 11 pignons. Tandis qu'avec mon triple 48-34-24, je dispose d'écarts encore confortables entre les dentures. S'il me fallait absolument passer en double, c'est avec un pédalier genre 38/24 ou mieux, 36/24, pour conserver de tout petits braquets bien étagés qui sont une priorité absolue dans ma pratique. Et je devrai donc sacrifier quelques-uns de mes grands développements, ce qui m'embêterait dans les longues descentes. Mais ce serait un moindre mal par rapport à devoir choisir un double avec un gros écart de dentures (merci pour la ligne de chaîne) et donc des pignons avec d'énormes écarts eux aussi. Bref, sans triple, je vais devoir sacrifier quelque chose. Tant qu'à être obligé de «simplifier», autant simplifier à fond et c'est pour cela que j'envisage plutôt de passer à un plateau et un pignon: moyeu Rohloff à 14 vitesses intégrées ou boîtier de pédalier Pinion à 18 vitesses intégrées. Ligne de chaîne parfaite bien sûr. Et ça m'apporterait d'autres avantages, comme la possibilité d'utiliser une courroie, la durabilité et l'insensibilité aux intempéries, mais c'est une autre histoire.
  8. Je viens d’une famille de gens très minces, à la base. Depuis une vingtaine d’années mon poids à jeun oscille entre 61 et 64 kg. Je ne me freine que sur les grignotages, hors vélo, et surtout l’alcool. Je n’en bois pour ainsi dire jamais, par choix. Pour le reste, je ne me prive de rien, tout en restant raisonnable sur les quantités. Je ne m’empiffre jamais mais je ne saute aucun repas non plus. Tout ça me va très bien ;-)
  9. J'ai dit «un triple bien conçu». Je devrais peut-être dire «idéalement conçu». Idéalement, ça veut dire que le pignon médian (s'il y a un nombre impair de pignons) est parfaitement aligné avec le plateau médian, ou bien, dans le cas d'un nombre pair de pignons, que cette ligne de chaîne parfaite coïncide avec le milieu des deux pignons médians. Cf François Piednoir dans un de ses ouvrages sur le vélo (j'ai oublié le titre). Ça peut impliquer malheureusement de jouer sur la longueur de l'axe de pédalier, et donc peut-être sur la largeur du boîtier de pédalier et sur la géométrie des bases… donc dans ce cas de penser triple dès la conception du vélo ! Rassure-moi, les mono-plateaux sont quand même conçus comme cela ?
  10. Ma mère me dit la même chose depuis mon enfance. Relativisons quand même, je ne suis plus si maigre que cela : à 16 ans, je mesurais 172 cm et pesais… 47 kg. Et puis une de nos connaissances communes, un Calidifontain, pèse le même poids que moi pour une taille (légèrement) supérieure. Comment ça se fait qu'à lui tu ne dis pas de grossir? 😇
  11. Oui, aussi. Le fait d'avoir des difficultés à croiser, limite les développement possibles Pas pour le plateau médian. Si le triple est bien conçu, le plateau médian est aussi bien aligné avec le milieu de la cassette qu'un mono-plateau. Par acquis de conscience, sur mon triple 11v je ne mets quand même jamais le plus grand et le plus petit pignon lorsque je suis sur le plateau médian. Ce qui me laisse 9 vitesses accessibles, déjà. Ajoutes-en 5 ou 6 pour chacun des deux autres plateaux, ça te donne une vingtaine de combinaisons accessibles, donc au moins une quinzaine de réels (sans chevauchements), toujours si le triple est bien pensé. Quel double fait mieux que cela ? Je ne vois que le moyeu à vitesses intégrées Rohloff (14 vitesses) pour s'en approcher, et le boîtier Pinion à 18 vitesses pour faire encore mieux. Il y a toujours eu une erreur fondamentale dans l'esprit des gens vis-à-vis de la façon de voir un triple. Le triple, idéalement, doit se bâtir en fonction du plateau médian. Quelqu'un qui vit dans un pays vallonné mais sans beaucoup de côtes longues ou raides (donc la plupart des cyclistes) devrait choisir son plateau médian de façon à passer le plus clair de son temps sur ce plateau. C'est-à-dire en faisant correspondre son braquet de base au plateau médian et à un des pignons médians, plutôt petit que grand. De la sorte, les changements de plateaux sont fortement limités en nombre. Or 99% des cyclistes ont toujours vu le triple comme un double auquel on aurait ajouté un deuxième petit plateau. Si bien qu'ils jonglaient entre grand et moyen plateau la plupart du temps, et le troisième en cas de nécessité… Pas étonnant qu'ils se soient embrouillés dans les changements de plateaux ! Quant au coût supplémentaire, s'il y en a qui sont prêts à investir 500 euros pour perdre 500 g (!) sur leur vélo, moi je veux bien investir 100 euros de plus pour un triple… et même 500 euros pour un freinage plus efficace, ce qui est encore plus vital, et qui épargne mes jantes en plus. À chacun ses priorités : à 61 kg actuellement pour 178 cm, je peux me permettre de ne pas être à 500 g près pour mon vélo. 😛
  12. Je peux t'affirmer que le titane, c'est très bien aussi question confort. 😉
  13. La boue sablonneuse, ça court les petites routes de Hesbaye pourtant, dès qu’il fait humide. Mais toi, tu restes bien au chaud sous ta couette ou tu joues à cache-cache-pluie dans ces conditions. Facile alors de se moquer de ceux qui ont le courage, eux, d’affronter les turbulences de ton propre pays ;-)
  14. À te lire, on dirait que tu donnes à 500 g l'importance de 5 kg… Ce que je n'arrive pas trop à concevoir, c'est qu'on puisse faire autant d'histoire pour ces 500 g, le poids d'un (petit) bidon. Ou la différence de poids selon qu'on se pèse le matin ou le soir, selon qu'on vient de manger ou non… À moins d'être vraiment un compétiteur de haut niveau. Il y en a combien sur ce forum ? J'en vois au moins un, qui se reconnaîtra, mais c'est loin d'être la majorité ! Ça me rappelle d'ailleurs quelques polémiques sur les leviers de changement de vitesse intégrés aux cocottes, que certains trouvaient trop lourds. Au point que des coureurs comme Indurain ou De Las Cuevas les ont longtemps refusés, et que d'autres comme Jalabert ou Armstrong n'utilisaient que le levier intégré de changement de pignons, et une manette au cadre pour le changement de plateaux. Ça n'a pas empêché le système de se généraliser. C'est comme ça : un progrès matériel implique souvent une sophistication supplémentaire, et donc un supplément de poids. Par ailleurs, la plupart de ceux qui ont testé les deux systèmes de freinage sur la route (tu sembles ne pas en faire partie) n'ont pas constaté de baisse de leurs performances. L'inconvénient du poids supplémentaire semble compensé par d'autres caractéristiques, entre autres une meilleure rigidité (axes traversants) ou des gains en aérodynamisme, au niveau des jantes par exemple, compensant ici la perte aéro induite par les disques eux-mêmes. D'autant qu'avec le temps, ce poids supplémentaire va s'amoindrir, comme il l'a déjà fait. Tu nous donnais rendez-vous dans un ou deux ans ? Très bien, mais je crois qu'au contraire les disques auront pratiquement conquis tout le terrain.
  15. Il ne faudra pas traîner alors, parce que qui sait, les vélocistes seront peut-être obligés de fermer à partir de vendredi. Ou de réserver leur services aux cas d'urgence, et dans ce cas il y aura de longues listes d'attente… J'espère qu'ils seront autorisés au moins à honorer les rendez-vous déjà pris.
  16. Disclaimer 😉 : je n'ai pas ton vélo sous les yeux, donc ce que j'évoque ne correspond peut-être pas à la configuration de ton matos… Déjà, mes gaines sont externes, ce qui n'est apparemment pas le cas des tiennes. Si la gaine qui est en contact avec le dérailleur est externe (ça reste souvent le cas), l'autre extrémité de cette gaine vient se loger dans une butée située généralement sur la base (sur le haubant droit dans le cas de mon vélo actuel). C'est surtout juste au-delà de cette butée que la partie encrassée du câble apparaît à l'air libre quand le câble est détendu, et donc il faudrait aussi essuyer cette partie-là. Voilà pour ce que tu peux faire, a priori sans risque de tout dérégler. Pour le reste: sur la butée, il n'y pas de vis normalement, en tout cas je n'en ai jamais vu sur aucun de mes vélos. Il y a par contre, normalement, une vis de réglage de tension du câble à l'autre extrémité de la gaine, celle en contact avec le dérailleur. Mais cette vis est fixée sur le dérailleur, pas sur la gaine. Quand le câble est bien détendu, il est normalement possible de sortir la gaine de ses deux extrémités (celle en contact avec la butée sur la base et celle englobée dans la vis de tension sur le dérailleur), en tirant un peu sur ces deux extrémités, puis de faire coulisser la gaine le long du câble, en l'éloignant du dérailleur. C'est facile ensuite de la remettre en place. Par contre, il peut être nécessaire de refaire le réglage de tension du câble du dérailleur ensuite (avec la vis), donc si tu ne sais pas le faire, mieux vaut peut-être t'abstenir de déloger cette gaine.
  17. Sinon, ce matin, première sortie après presque deux semaines sans vélo pour cause de boulot prenant et d'imprévus domestiques. 42 km dans le sud-est de Bruxelles (Tervuren, Huldenberg, Overijse) sur des routes bien crades comme il se doit, et par un temps bien automnal, c'est-à-dire frisquet et surtout venteux, mais sec. En fait, rien de bien original à signaler.
  18. C'est à mon avis la gaine et le câble qu'il faut nettoyer (et lubrifier si les câbles ne sont pas doublés de téflon). Le dérailleur n'y est probablement pour rien, mais ça ne fait en effet pas de mal de le lubrifier de temps en temps. Sortant bien plus souvent que vous deux dans des conditions humides, c'est-à-dire boueuses et sablonneuses, je suis assez régulièrement confronté à ce problème de crasses qui s'invitent dans la gaine inférieure du câble du dérailleur arrière et qui finissent par empêcher le câble de coulisser librement. Généralement, comme pour Olivier, ça se traduit par une descente de pignons qui bloque. Quand cela se produit, je détends le câble au maximum en mettant la chaîne sur le plateau médian et le plus grand pignon puis en actionnant le levier de vitesses comme si je voulais faire descendre la chaîne sur le plus petit pignon, mais sans tourner les manivelles. Le câble est alors suffisamment détendu pour que, normalement, la partie encrassée du câble soit à l'air libre. Il suffit alors de l'essuyer avec ce qu'on peut (j'ai un petit chiffon dans la sacoche de selle au cas où). C'est Jérémie qui m'a appris cette petite manip (merci à lui !) qu'on peut faire sur le bas-côté de la route. Ensuite je teste si les vitesses descendent correctement. Généralement ça marche. Quand cela ne suffit pas, c'est que l'ensemble gaine-câble s'est encore plus profondément encrassé. Dans ce cas, une fois rentré chez moi je refais la manip mais mais je fais alors carrément coulisser la gaine le long du câble vers le pédalier, après l'avoir sortie de son emplacement, pour libérer complètement la partie du câble qu'elle recouvre. Puis je nettoie et lubrifie toute cette partie-là. C'est ce que j'avais dû faire il y a une quinzaine de jours, et ça m'a résolu le problème.
  19. Quelle aigreur ! :-o
  20. Ah, et au juste, en supposant que tu avais des pneus 25 standards, tu as tourné des jambes à 133 tours/min dans ta descente ultra-rapide ! Mon record de cadence étant à 159, tu as encore du boulot devant toi pour me dépasser. :-b
  21. Très probablement la partie du câble coulissant dans la gaine inférieure qui s’est encrassée.
  22. Vélo à nettoyer (gaine ou câble dérailleur récalcitrant, j'avais eu du mal à faire redescendre la chaîne samedi). Tiens, comme c'est curieux, il y en a pourtant ici qui affirmaient que ça n'arrivait qu'à moi, ce genre de trucs… Je pense en particulier à un certain Schtroumpf… 😇
  23. Je n'ai pas dit non plus que c'est tout le temps réparable...
  24. M'obstiner n'est pas le mot, je ne change tout simplement pas volontiers un cadre qui me convient bien. Ensuite, pour un cadre, après le fait qu'il soit adapté à mes cotes, je cherche avant tout la solidité, vu les routes désastreuses sur lesquelles je dois l'employer. Les cadres carbones, ça peut être solide aussi, dépendant de sa conception, mais ça peut aussi casser sans prévenir. Comme ils peuvent casser en cas de gros chocs et sont alors bons pour la poubelle, tandis que les cadres métalliques ont une chance d'être seulement déformés et alors peuvent être retapés. Et les cadres métalliques supportent sans broncher les éraflures de toute sorte. Vu les endroits où je les fais passer, c'est bon à prendre. Bref, si le dernier cadre que j'ai acquis est un cadre de cyclo-cross en titane, c'est pour ces bonnes raisons...
  25. Je t'envie tes certitudes et ta propension à former des généralités sur des cas particuliers, mais tes certitudes et tes généralités confortables sur l'usure des jantes ne s'appliquent pas à mon cas particulier. Je (ré)explique : mes jantes s'usaient bien plus vite que la moyenne parce que je roule par tous les temps dans un pays très pluvieux (Belgique) ;les routes sur lesquelles je roule, en Brabant sont très souvent tapissées de boue sablonneuse par mauvais temps. Et même par beau temps en mauvaise saison, quand il fait trop froid pour que la boue des jours pluvieux précédents ait le temps de sécher ;donc, quand je freinais avec mes freins à patins, c'était souvent du sable, abrasif par nature, que les patins appliquaient sur la jante ; Il se trouve aussi que je roule sur des parcours avec le plus de bosses possible. Donc avec de nombreux freinages.J'espère que tu comprends maintenant pourquoimes jantes se creusaient à grande vitesse ;je suis particulièrement ravi de ne plus avoir ce problème, grâce aux freins à disques.
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