Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 192
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    88

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Franck PASTOR

    Tubeless

    À mon avis, ce n'est pas le tubeless qui te permet ce luxe-là (qui reste assez dangereux), mais l'état enviable de tes routes d'entrainement. Et le fait que tu ne sortes pas quand il pleut doit jouer aussi. 😎 Tubeless ou non, si j'essayais de les faire durer autant que les tiens sur mes routes à moi sous leurs conditions climatiques habituelles, mes pneumatiques seraient détruits bien avant qu'on voit les fibres de leurs carcasses.
  2. J'ai un vélo dont l'ensemble cadre-fourche, acheté d'occasion a été conçu pour le cyclo-cross comme pour le gravel (Lynskey Cooper CX, 2015, à disques). Comme j'en fais un usage sur route à 95%, j'y ai mis des roues à 24 rayons chaussées de pneus de 30 mm, mais son précédent propriétaire (Jérémie Laplac, ancien du forum), qui le faisait passer partout, utilisait des roues 36 rayons avec des tubeless de 40 mm de section: les pneus frôlaient les bases, mais ça passait. Je suppose si tu sors des standards du cyclo-cross en matière de section de pneumatiques, certains cadres seront plus tolérants que d'autres. Il faudra essayer et tester par toi-même, c'est probablement impossible de prévoir à l'avance.
  3. Franck PASTOR

    Tubeless

    Tu utilises un compresseur ? Ça semble quasiment une obligation pour le montage.
  4. Et tu te plains quand même du temps qu'il fait ? Je devrais dire quoi, moi, qui ne pouvais pas sortir hier ? Pfff, ces Belges, j'vous jure, toujours à râler…
  5. En Ecosse (peut -être) et au Groenland (sûrement) il fait trop froid pour faire du vélo en ce moment, alors qu’ici c’est possible si on a le moral 😉 27 km cet après-midi pour moi du côté de la forêt de Soignes et de Hoeilaart, pour ma première sortie 100% pluie de l’année. Certainement pas la dernière, d’ailleurs celle de dimanche s’annonce humide aussi… Travail du coup de pédale en côte. Bonnes sensations malgré la flotte, à part mon sempiternel problème de doigts engourdis par le froid. Mais ça, qu’il pleuve ou pas, c’est pareil.
  6. Rien à voir avec le type de freinage. Les jantes deviendraient plus larges, même pour les pneus de route (23, 25) parce qu'une jante de largeur (externe) approximativement égale à la section du pneu favoriserait l'aérodynamisme de l'ensemble. Évidemment il faut être capable d'aller très vite pour ce que ce soit sensible… Ce qui m'interpelle, c'est que cette tendance va à l'encontre des recommandations de la norme ETRTO sur la largeur minimale des pneus en fonction de la largeur de la jante. Par exemple, selon cette norme, la section minimale recommandée pour des jantes de 19 mm de largeur interne est de 28 mm… https://www.lecyclo.com/outils/quelle-taille-pour-mes-pneus-velo.html
  7. Heu… Et si on revenait à LBL, Messieurs les Lorrains ? 😇 Le prix d'inscription paraît élevé, c'est sûr, mais pour y avoir participé 4 fois (toujours sur la distance intermédiaire), je peux certifier que le service est quasiment parfait : les ravitaillements sont parfaitement achalandés (si pas toujours bien placés… le dernier au cœur d'une côte, celle de Hornay !), le fléchage est impeccable, les préposés (bénévoles ou non) font parfaitement leurs tâches. Et en bonus, on est chronométrés dans certaines ascensions et filmés à leurs sommets, généralement le Rosier, la Redoute et la Roche-aux-Faucons. Et bien évidemment, le parcours en Ardenne est magnifique et chargé de légende… bien sûr, s'il fait beau, ça aide d'autant plus à l'apprécier ! 😎
  8. Le Grinta Challenge part de et arrive à Tournai, normalement. Très belle épreuve d'ailleurs, à laquelle j'ai participé trois fois, la dernière en 2015. Si j'en ai l'occasion, je ne dirai pas non à une quatrième participation. C'est l'Ename Classic qui part d'Audenarde, mais celle-là devrait avoir lieu sans moi, je serai normalement en train de skier pendant cette période. 😎 https://www.proximuscyclingchallenge.be/fr/
  9. Franck PASTOR

    Tubeless

    Je risque les pincements, tout bêtement, et j'ai malheureusement une belle expérience en la matière. Ici, pour une section de pneu tubetype donnée, il faut gonfler plus qu'ailleurs si on veut les éviter. Un jour, j'ai crevé par pincements des deux pneus à la fois avec des Conti de 23 gonflés à 7,5 de pression, pour avoir roulé sur une pierre au rebord aigu qui a "mordu" mes pneus jusqu'à la jante. Après ça, quand j'avais des Conti en 23, je les gonflais systématiquement à 8 bars, et même 8,5 bars à l'arrière. J'ai crevé par pincement du pneu arrière avec un Conti GP 4000 de 25 mm de section gonflé à 7 bars : je n'avais pas vu que la dalle de béton sur laquelle j'allais passer s'était complètement affaissée, ce qui a fait comme si mon vélo avait descendu une marche d'escalier: avec tout mon poids sur l'arrière du vélo, ça a fait "paf"! Résultat, j'ai rajouté un demi-bar à l'arrière. Je suis parti de 5 bars pour mes pneus Specialized de 30 mm de section (j'ai lu que c'était aussi la pression que Jean Guy, poids léger comme moi, mettait dans ses pneus quand il utilisait cette section-là). Comme c'était un peu trop tape-cul, j'ai diminué de 0,5 bar, pour un résultat satisfaisant pour le moment : pas de crevaison de quel type que ce soit. Peut-être me risquerai-je à gonfler à 4 bars pour la suite. Mais si je "pince" à ce moment-là, je remettrai de la pression. Les routes belges sont un danger permanent de pincement pour les pneus à chambre sous-gonflés...
  10. Franck PASTOR

    Tubeless

    Tu ne te rends pas compte de ta chance : toi , tu dois les chercher, ces défauts de revêtement susceptibles de provoquer des pincements. Dans les environs de Bruxelles, pas besoin de les chercher, ils sont partout : rustines, mauvais revêtement et plaques d'égoût bien sûr, mais aussi dalles de béton enfoncées ou surélevées, nids-de-poules, carreaux, pavés, rebords de pistes cyclables… y a l'embarras du choix ! ☹️ Résultat, les pincements sont toujours une hantise chez moi, et j'ai tendance à surgonfler plutôt que le contraire. J'ai des pneus de 30 mm de section que je gonfle à 4,5 bars. Forcément, la tentation est forte pour que je passe au tubeless, mais les difficultés de montage et de démontage dont j'entends parler un peu partout autour de moi m'ont empêché jusqu'à présent de franchir le pas.
  11. 65 km aujourd'hui, dans le triangle Bruxelles-Louvain-Overijse et bien sûr quelques belles bosses au menu, parmi lesquelles la Moskesstraat, qui a eu les honneurs du dernier championnat du monde. https://climbfinder.com/fr/montees/moskesstraat-terlanen C'était la première fois cette année que je repassais par ce mur pavé, et je me suis senti assez «poussif». Bon, c'était quand même vers la fin de la sortie. Températures toujours douces pour la saison (10° à nouveau). Les routes étaient détrempées par une belle «drache» tombée sur le temps de midi, mais au moment de mon départ, le soleil brillait. Puis le temps s'est couvert et j'ai essuyé une courte bruine du côté d'Overijse. Rien de bien méchant. (C'est juste que mon vélo doit être fatigué d'être couvert de sable à chaque sortie…)
  12. Tu prends le problème à l'envers. Ne cherche pas ta motivation dans le temps qu'il fait, ou tu risques d'attendre jusqu'en mai ! Trouve-toi un objectif cycliste qui te parle (pas forcément LBL), et tu trouveras la motivation pour sortir même par mauvais temps.
  13. Il y a cinq ravitaillements a priori, si c'est organisé comme les années précédentes. Si on y passe environ 10 min à chaque fois, on n'est donc pas loin d'y passer une heure en tout. D'autre part, c'est une randonnée sans classement, le temps passé aux ravitaillements n'est donc pas un problème. Sauf si on craint vraiment d'arriver hors délais, justement… Mais dans la plupart des cas chaque poste de ravitaillement fournit une occasion de se détendre et de discuter avec d'autres cyclistes (surtout si on est en groupe) ou avec les bénévoles, sans pression du chrono. On y passe clairement plus de temps que sur une cyclosportive avec classement.
  14. 12 h, c'est l'estimation de loin la plus optimiste pour moi… C'est grosso modo le temps que je mets à boucler Tilff-Bastogne-Tilff, et Liège-Bastogne-Liège Challenge est généralement un poil plus long et systématiquement plus vallonné.
  15. Quelques images et vidéos de cet enfer terrestre: https://sporza.be/nl/2022/02/06/bekijk-200-fiets-gekken-knallen-tegen-de-stormwind-op-het-nk-tegenwindfietsen~1644153019996/
  16. J'en serai aussi, normalement. J'aimerais faire le grand parcours, mais je ne m'y lancerai que si, le moment venu, je me sens capable de boucler une telle distance. Si tôt dans la saison, ce n'est pas gagné d'avance pour moi, mes possibilités d'entrainement étant limitées. Si ce n'est pas le cas, je ferai comme je l'ai déjà fait plusieurs fois : je me rabattrai sur le parcours médian, et c'est Tilff-Bastogne-Tilff, qui a lieu un bon mois plus tard, que je ferai en version longue.
  17. Yep, le vent était la vedette du jour au nord de la Belgique aussi, à mon grand désarroi. Le vent et moi, on ne s'est jamais bien entendus. Je n'ai jamais aimé pédaler penché sur le côté quand il est latéral, ni m'aplatir sur le guidon à moins de 20 km/h quand il est de face, mais j'y ai été contraint aujourd'hui, tellement il soufflait fort. Pour le reste, il faisait sec comme prévu, et toujours relativement doux pour la saison (8°C). Le soleil a même fait de belles apparitions, ce qui explique qu'il y avait bien plus de cyclistes dehors que d'habitude en cette saison. Certains en cuissard court… À 8° et avec ce vent, je pige pas comment ceux-là font pour tenir ! Bref : 50 km aujourd'hui, dans l'est et le sud-est de Bruxelles comme souvent (Tervuren, Huldenberg, Overijse), et comme d'habitude dans cette zone, le Smeysberg en point d'orgue de la sortie.
  18. Il y a eu neuf mois d'affilée, de début septembre 96 à fin mai 97, pendant lesquels j'ai roulé à vélo six jours sur sept. C'était pendant mon service militaire : je rentrais tous les soirs chez mes parents, à 8 km de la base où j'étais affecté, après mes classes du mois d'août. Loger chez les «civils» m'avait été autorisé, sans doute parce que ça faisait faire des économies à l'Armée. 😎 Et j'avais décidé de faire mes aller-retours domicile-base à vélo. Ceci du lundi au vendredi. Le week-end, j'y ajoutais une sortie vélo loisir. Il y a quand même eu une semaine où je n'ai pas sorti le vélo, en plein hiver. J'avais bien essayé, mais il avait neigé pendant la nuit précédente, et malgré le fait que les routes avaient été dégagées, j'ai chuté sur la première plaque de verglas que je n'avais pas pu repérer. Sans mal, mais je n'ai pas voulu tenter le diable plus que ça et j'ai donc ramené le vélo à la maison pour emprunter une voiture à mes parents. Je suis donc allé à la base en voiture, tant que la neige et le verglas n'avaient pas fondu, soit pendant une semaine. Je te conseillerais de pas prendre de risques s'il a gelé ou neigé : mieux vaut ne pas sortir le vélo dans ces cas-là, le jeu n'en vaut pas la chandelle à mon avis.
  19. Léger hors-sujet : en plus de l'éclairage et à défaut de gilet réfléchissant, très efficace mais qui peut tenir trop chaud si on a déjà une tenue cycliste complète en dessous, pensez à porter des vêtements cyclistes de couleurs vives et voyantes ! Je n'en peux plus de voir circuler par temps sombre (tard le soir, tôt le matin, pas seulement la nuit), à Bruxelles et dans son agglomération, des types à vélo habillés en noir de la tête aux pieds, et qu'on ne remarque qu'au tout dernier moment. C'est de l'inconscience pure et simple ! Même si le vélo est éclairé, avec tous les véhicules et les lumières des agglomérations, j'ai remarqué qu'on ne fait pas particulièrement attention à une lumière supplémentaire, si on n'est pas capable d'identifier celui qui la porte !
  20. Temps sec prévu pour demain samedi en Belgique. Si vous le pouvez, sortez donc le vélo demain! 🙂 Pas sûr de pouvoir le faire ni samedi ni dimanche du fait de mes obligations familiales, mais si je le peux je le ferai. De préférence samedi bien sûr...
  21. Du côté belge, encore des températures assez douces pour la saison (dans les 10° à nouveau) mais toujours du vent et toujours de la grisaille. Et une courte période de pluie en plus pour agrémenter ma sortie de 35 km cet après-midi dans l'est de Bruxellles (Tervuren, Vossem, Sterrebeek) Travail du coup de pédale et de la force avec quelques séances d'«unijambiste». Deux passages pavés, sur le plat et en montée, pour pimenter la sortie, assez anodine pour le reste. Les «grosses» séances de travail ne sont pas encore pour tout de suite. Mais ça arrive…
  22. 39,5 km pour ma première sortie du mois de février, en cours d'après-midi, du côté de Tervuren, Huldenberg puis Overijse. Température assez douce (10°) pour la saison, fort vent de secteur ouest, ciel d'abord gris puis dégagé. Coup de bol, la pluie prévue pour toute la journée s'était arrêtée peu avant mon départ. Mais évidemment les routes étaient plus sales que jamais, recouvertes de cette fichue boue sablonneuse caractéristique de la région. Au point que mon câble de dérailleur arrière commençait à se gripper vers la fin de la sortie. Pas d'intensité pendant cette sortie, juste de la récupération après la relativement longue distance et les sérieux raidards de la sortie de dimanche.
  23. Te plains pas trop, t'as un mulet toi ! Demain, c'est flotte, flotte et encore flotte de prévu par la météo belge pour ma sortie de mardi après-midi après le boulot. Et c'est mon beau vélo titane — le seul vélo que j'ai ici — qui va s'y coller. Celui qui faisait tant envie au Schtroumpf et qui lui a filé sous le nez. 😇 Je sais qu'il meurt d'envie de me coller une pénalité rien que pour les outrages que je fais subir à ma bécane en la sortant par ce type de temps… j'espère qu'il va résister à la tentation.
  24. En effet. On a quand même un aperçu (fiable ou non) de son compteur au sommet du Télégraphe, qu'il aurait gravi en 40 minutes environ, de mémoire. Donc autour de 18 km/h de moyenne : pas mal si c'est avéré ! Edit : en fait c'est un peu moins de 49 min, soit entre 14 et 15 km/h de moyenne, ce qui reste une performance appréciable sur un braquet pareil. Pour le reste, il est évident qu'il avait une assistance, ne serait-ce que pour le filmer dans la montée et l'assister avec le matos nécessaire (pneus de rechange, outils…) dans la descente. J'ai quand même tendance à croire qu'il a bien fait le Galibier « en une seule fois » (mis à part son arrêt au Télégraphe) même si c'est tout sauf prouvé. Peut-être existe-t-il une vidéo montrant sa grimpette sans interruption (pas cherché). Pour ce qui est de M. Lagoa, je réserve mon jugement, ne le connaissant pas et ne m'étant pas renseigné du tout sur lui. S'agissant des possibilités humaines, j'ai tendance à croire que bien plus de choses sont possibles que ce qu'on pourrait croire a priori (rappelle-toi les discussions enflammées sur José Del Castillo 😇). Alors pourquoi pas grimper le Galibier sur un 80/36=40/18 à 71 ans, après tout ?
  25. J'utilise ce système, pour ma part (le support prend la place de la bague de la potence Headset): https://sp-connect.eu/fr/products/micro-stem-mount-alu?variant=40025490246 Il y a d'autres variantes de fixation(sur le milieu de la potence, sur le cintre ou devant le cintre) mais elles ne me convenaient pas : le cintre est déjà « plein » avec le compteur — devant le cintre —, la sonnette et l'éclairage avant, et même une fixation du smartphone au milieu de la potence venait gêner le bazar. La protection contre la pluie est assurée par une housse transparente en plastique qui recouvre le dessus de l'iPhone. Il n'y a par contre pas de protection particulière contre les chocs, mis à part la coque inférieure rigide qui recueille le smartphone et qui vient se fixer sur le support.
×
×
  • Créer...