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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Sauf qu'avant d'accéder à ce parcours-là je dois faire 40 minutes de vélo en traversant cette agglomération bruxelloise, puisque j'habite dedans. Une fois arrivé au départ, je remets mon compteur à zéro (quelque chose que je ne fais habituellement pas), puis je fais le parcours en question (route cycliste de la Flèche brabançonne). Je mesure mes progrès ainsi tout au long de l'année, en faisant ce parcours régulièrement. Mon record actuel est exactement de 25,4 km/h de moyenne. Si je ne réinitialisais pas le compteur au début du parcours, et si je ne le stoppais pas à la fin, ma moyenne serait certainement nettement plus faible une fois rentré chez moi. À cause de la circulation, des croisements, des feux cumulés rencontrés avant et après le parcours, et ce pendant quand même 2*40 = 1h20 min… Mais bon, je parlais bien de parcours entièrement dans l'agglomération bruxelloise, comme exemples de parcours un peu extrêmes j'en conviens. Je m'en suis concocté par moi-même, qui passent par des endroits que j'aime bien, et que je parcours de temps en temps. Je mets au défi quiconque le souhaiterait d'y dépasser les 25 km/h de moyenne ! Pas de meilleur moyen pour risquer… la mort subite.
  2. Elles ont raison. Comme elles, d'ailleurs, je roule à mon rythme. Si je veux progresser, je suis bien d'accord qu'il va falloir que je mette des braquets plus grands. Mais justement, sur les deux sorties que j'évoquais plus haut qui m'avaient vu faire des moyennes de vitesse nettement supérieures à mon habitude, j'utilisais des braquets plus grands et simultanément des fréquences de pédalages encore plus élevées (95 et 96 tours/min de cadence moyenne, au lieu de 90). Pour résumer : j'ai peut-être des progrès à faire question braquets en côte ; j'ai certainement des progrès à faire question braquets sur le plat. Mais il semble bien que cela ne signifiera pas que mes cadences diminueront, que du contraire (comme on dit en Belgique). Pour faire ces progrès, il serait sans doute intéressant que je sorte plus souvent en groupe à l'entrainement, pour bénéficier d'une certaine émulation. Problème, il faut que ce groupe me corresponde. Je vois autour de moi assez souvent des groupes de cyclistes se comporter de façon abominable, vis-à-vis des autres usagers de la route notamment, ou vis-à-vis des camarades largués. Ça ne me donne guère envie. En plus, comme l'a bien vu Michel, je suis un individualiste peu enclin aux compromis vis-à-vis des règles qui régissent forcément tout groupe existant. Le groupe des cinq dont j'ai parlé, et qui comprend Michel entre autres, me correspond très bien, le problème c'est qu'on ne peut pas faire souvent de sorties ensemble… 😪
  3. Il se débrouillait, comme nous tous d'ailleurs. Mais avec les disques on prend des habitudes, en termes de progressivité et de puissance notamment, qu'on ne retrouve plus quand on remonte sur un vélo à patins. Je suis bien placé pour en parler, mon ancien vélo à freins à patins est maintenant stocké chez mes parents dans les Alpes, et je le ressors quand je ne peux pas amener mon vélo actuel à disques chez eux. À chaque fois, pour les premiers coups de frein, je me fais peur. Et puis je me réadapte…
  4. Si tu arrives à rouler à 25 km/h de moyenne pendant au moins une heure dans l'agglomération bruxelloise, je te paie à boire à la Mort Subite ! (un bar à bières qui est une véritable institution à Bruxelles). Je crois que même le meilleur pro n'y arriverait pas, à moins d'être suicidaire (ou de choisir une journée sans voitures pour le faire).
  5. Je l'ai déjà dit : moi aussi j'ai utilisé les faibles cadences en côtes, comme presque tout le monde. Mais j'ai testé progressivement des braquets plus petits et des cadences plus grandes. J'ai donc pu comparer, et pour moi-même, la différence était sensible, en faveur des cadences plus élevées. Sans avoir révolutionné mes temps de grimpée, l'avantage était suffisamment sensible pour que je me tienne désormais à mes cadences actuelles. Sur mes temps de grimpée d'une part et surtout sur l'enchainement des cols d'autre part. Les féminines dont tu parles, roulent-elle en groupe ? Parce que vu la présence des portions roulantes sur LBL, ça ferait une jolie différence sur Liège-Bastogne-Liège par rapport à quelqu'un qui roule généralement strictement seul comme moi. Je n'ai jamais fait la longue distance de Liège-Bastogne-Liège, mais celle de Tilff-Bastogne-Tilff deux fois, dans les 250 km à chaque fois. Et seul la plupart du temps, donc. Je mettais en général entre 12 h et 13 h, pauses comprises, de quoi arriver confortablement avant la fermeture si je partais suffisamment tôt. Je m'attarde très peu aux ravitos en général, juste le temps de remplir mes bidons, et je ne fais aucune pause à part celles-ci, sauf urgence genre problème matériel.
  6. Vous commettez l'erreur trop répandue de juger les autres (moi-même, en l'occurrence) par rapport à vous-mêmes et à vos propres capacités. Pour grimper la Redoute à cette vitesse, vous disposez d'une « caisse » que je n'ai pas et que je n'aurai jamais, malgré tout l'entrainement du monde. Moi, sur la Redoute, je dois tourner autour de 10 km/h comme vitesse de croisière, et ce dans les parties les moins raides. Si je grimpe la Redoute en fin de sortie, par exemple sur la fin de Liège-Bastogne-Liège, c'est à 7-8 km/h que je grimpe dans la partie la plus pentue (20%). Tout ça pour dire que si 22 km/h de moyenne sur un parcours pareil vous paraît ridicule, pour moi c'est quelque chose dont je suis plutôt fier. D'ailleurs, habituellement, mes moyennes sur cette randonnées, c'était plutôt 20-21 km/h 🙂 De plus, les parties roulantes ne m'inspirent pas. Généralement, sur le plat, je pédale à l'aise en attendant la prochaine côte, ce qui ne favorise pas la moyenne. Tourner les jambes à 90 tours/minutes, en côte ou sur le plat, je ne le fais d'ailleurs pas particulièrement pour aller plus vite : je le fais parce que mon expérience m'a montré que je suis mieux à ce rythme. Je suis très à l'écoute de mes sensations. Et si je ne suis pas puissant, j'ai toujours eu une bonne coordination. L'année dernière, je me suis quelque fois piqué au jeu d'aller le plus vite possible sur des parcours roulants : j'ai atteint 25 km/h de moyenne tout seul sur 110 km en Brabant (1000 m de dénivellation quand même), et 28 km/h sur 100 km lors d'une sortie en groupe de cinq dans le Hainaut… à des cadences moyennes de 95 tours/minutes et 96 tours/minutes respectivement, donc nettement plus encore que 90 tours/minutes. Vous voyez que cette cadence moyenne de 90 tours/minutes n'est pas mon plafond… J'ai 50 ans très bientôt, en bonne santé, pas de problème particulier, et bientôt 30 ans d'expérience de randonnées et cyclosportives sur toutes sortes de terrain, en particulier en montagne (je suis originaire des Alpes) : je me connais donc bien, et je peux affirmer que du moins en ce qui me concerne, tourner les jambes (presque) aussi vite en côte que sur le plat est ce qui me convient le mieux. Et ça ne m'a pas handicapé, au contraire. Étant parti à mes débuts d'un braquet minimal de 40/24 en montagne, j'ai pu comparer. Peut-être devriez-vous en faire l'expérience de votre côté. Qui sait, vous grimperiez encore mieux. 60-65 tours/minutes, vous dites? Demandez-vous si vous ne vous sentiriez pas mieux avec un 34/28 comme plus petit braquet et à une fréquence de 70 tours/minutes, pour commencer. Et peut-être que cela vous donnera l'envie de poursuivre plus avant, comme je l'ai expérimenté. Ou pas. Mais avant de juger, essayez.
  7. More of the same: à nouveau une courte sortie (32 km) dans l'est de Bruxelles. Quelques éclaircies ont percé la couche de nuages grisâtres qui forment notre ordinaire actuel, et ça fait du bien au moral, malgré les routes toujours crades. Température assez douce (10°) et vent faible. Un effort improvisé sur cinq minutes environ lors du retour, lorsque je me suis amusé à essayer de suivre un type juché sur une trotinette électrique. Peine perdue bien sûr (allez suivre un engin dépassant les 30 km/h sur une côte à 3%-4%), mais ça motive. 😊
  8. Vieux sujet de conversation... Je suis en triple plateau, 46-34-24, avec une cassette à 11 pignons variant de 11 à 34 dents. Ce qui me fait une plage de braquets digne d'un VTT, de 46/11 à 24/34. J'aime tourner les jambes assez vite quelle que soit la pente, et c'est ce que ces braquets me permettent. C'est particulièrement bienvenu sur un parcours aussi vallonné que celui-là, avec des raidards impressionnants comme la Redoute et la Roche-aux-Faucons. Ajouter à ce parcours très vallonné le fait que je ne dispose pas d'un gros "moteur" (je suis ce qu'on appelait dans le temps un "cycliste de plaisance"), et vous avez l'explication de cette moyenne de 22 km/h. Les cyclistes qui vont aussi vite/lentement que moi et qui ont une fréquence de pédalage moyenne inférieure, n'utilisent tout simplement pas les mêmes braquets que moi en côte. Quand je grimpe à 85 tours/minutes dans un raidard grâce à mes tout petits braquets, eux forcent à 60 tours/minutes, voire moins. Ce dont j'ai horreur. Je n'ai jamais compris pourquoi on devrait tourner les jambes nettement moins vite en côte que sur le plat. Si les braquets le permettent (comme dans mon cas), mieux vaut au contraire essayer de maintenir une fréquence de pédalage relativement constante, si l'intensité d'effort est elle aussi relativement constante. Depuis que la plage de leurs braquets s'est considérablement élargie, c'est d'ailleurs ce que font aujourd'hui la plupart des coureurs en course : ils tournent les jambes à leur cadence favorite, quelle que soit la pente. Pour ma part, ça fait plus de 25 ans que je pédale comme ça.
  9. Faire ce que je n'ai pas pu faire les deux années précédentes pour des raisons aussi diverses que malvenues (pas seulement la Covid) : participer régulièrement à des randonnées en Belgique. Entre autres, si j'ai le temps de m'y préparer, Liège-Bastogne-Liège Challenge. Mais sur longue distance cette fois-ci. Et ce sera un sacré défi d'accumuler suffisamment de bornes d'ici fin avril pour se préparer à faire plus de 250 km dans les Ardennes en une journée… Pour l'été, revenir au « Rad am Ring » sur le Nürburgring, et passer plus de temps à faire du vélo du côté de Grenoble.
  10. 56 km hier, du côté de Huldenberg, Overijse et Hoeilaart. Mêmes conditions climatiques que pour Johan : gris, assez doux, vent sensible. Et les habituelles routes dégueulasses.
  11. Tu l'as dit toi-même : parce que ce compteur tient compte, lui (à raison, je pense), des temps de pédalage à faible cadence, que tu appelles « parasites », et d'autres non. Une question de configuration par défaut, sans doute. Tu as déjà pu éliminer les temps de cadence nulle sur ce Garmin 1030 plus, mais apparemment pas les temps de pédalage à faible cadence, et ça suffit pour plomber la cadence moyenne. J'ai souvent pu l'observer : entre deux sorties de longueur et dénivellation semblable, mais l'une avec une grosse part d'agglomération à traverser (et donc plein de temps d'arrêt qui entrainent des période de démarrage et freinage où je tourne les jambes nettement moins vite) et l'autre en permanence en pleine campagne, la différence de cadence moyenne indiquée par mon propre compteur est énorme. Parfois plus de 10 tours/minutes, justement.
  12. Ce qui nous surprend ici, c'est que pour toi c'est un problème, tandis que pour nous c'est comme cela que la cadence moyenne doit être calculée : en tenant compte également des temps de cadence très faibles (et même nulles). De plus, la cadence moyenne est comme la vitesse moyenne : quelque chose de très relatif, qui peut dépendre de pleins d'autres facteurs que la capacité athlétique du moment. Ce qui est plus instructif, c'est de voir comment elle évolue dans le temps, sur le même type de sortie et dans des conditions semblables, plutôt que sa valeur en elle-même.
  13. Tous mes compteurs de cadence ont fonctionné comme cela : tout enregistrer y compris les temps de cadence nulle ou très faible. Je ne suis pas encore passé aux compteurs GPS genre Garmin, mais s'ils ont le comportement de ton Garmin actuel, je ne serai donc pas dépaysé. En général mes cadences moyennes figurent dans une plage allant de 85 à 90 tours/minutes, d'une sortie à l'autre. Si mes compteurs ne tenaient plus compte des passages à très faible cadence, j'imagine que mes cadences moyennes seraient nettement plus fortes, étant donné que je vis en agglomération ! ?
  14. C'est pas du vélo qu'il vont faire à Val di Sole, c'est du ski !!! ?
  15. J'imagine très bien, puisqu'on est au même régime ici en Belgique. ? Pour moi, aujourd'hui, à nouveau une sortie très courte, 29 km, dans le nord-est de Bruxelles pour varier un peu, du côté de Zaventem, Diegem, Haren et Evere. Sortie essentiellement plate avec seulement quelques courtes bosses à Diegem et Haren. À propos de Diegem, chaque fois que je passe devant son église, je m'étonne à chaque fois du look particulier de son clocher, façon pièce montée. Style baroque, paraît-il: https://nl.wikipedia.org/wiki/Diegem#/media/Bestand:DiegemChurchSpire.jpg
  16. Une perte de liquide laisse des traces à l'extérieur : l'huile hydraulique est corrosive et attaque les peintures et plastiques. C'est vrai s'il s'agit de liquide de type DOT 5.1 (Sram, Hope…). Mais Shimano, Tektro, Magura, etc., utilisent des huiles minérales non corrosives qui leur sont a priori spécifiques (et pas du tout compatibles avec le DOT 5.1). https://dimensionsvelo.com/2020/06/11/quelle-huile-pour-les-freins-a-disque/
  17. J'ai des surchaussures « imperméables » de marque Endura, un modèle très semblable à celui-ci: https://www.amazon.fr/Endura-Luminite-Couvre-chaussures-cyclisme-imperm%C3%A9able/dp/B08GH6NCW4 Elles protègent bien du froid, et ne sont ni plus ni moins efficaces que les autres contre la pluie (elles finissent par prendre l'eau après deux ou trois heures). Mais leur fermeture à velcro me convient bien mieux que des modèles à fermeture-éclair, généralement trop larges pour moi et mes mollets style coton-tiges.
  18. Un petit 30 km cet après-midi, du côté de Tervuren et Overijse. 6° maxi, donc toujours assez froid, mais temps sec et, miracle! des périodes de ciel bleu, enfin !! ? Bon, bien sûr, les routes restent méga-crades, mais ce n'est pas comme si je ne m'y attendais pas. Une petite nouveauté au passage, l'ascension du Groeneweg (littéralement «chemin vert»), un petit mur pavé à Overijse, que j'avais déjà emprunté il y a quelques temps… dans le sens de la descente. ? On ne rigole pas là-bas au fond de la classe! je ne l'avais pas fait exprès cette fois, je n'avais fait que suivre un itinéraire balisé pour cyclistes. En Flandre, ils se croient obligés de corser ces itinéraires en les «agrémentant» de passages pavés (même en descente) ou gravel… Étonnamment, les pavés étaient propres… Alors que tant d'autres routes par lesquelles je suis passé aujourd'hui n'étaient plus que des tapis de boue. https://climbfinder.com/fr/montees/groeneweg-overijse
  19. Au cas où, je place cet article intéressant (en néerlandais malheureusement) mais en plein sur notre sujet de discussion à tous les deux : https://sporza.be/nl/2019/12/25/onderkoelde-veldrijders-sporters-tips-sportsarts-tom-teulingkx/ Titre : « Conseil aux cyclocrossmen et sportifs gelés : entraînez-vous par mauvais temps ». Pour résumer, un médecin du sport appelle les sportifs (les pros, mais pas seulement) à oser s'entrainer également sous de mauvaises conditions climatiques, pour apprendre leur organisme à mieux y résister. Il déplore le fait que les coureurs pros actuels négligent les protections contre la pluie et le froid, alors qu'ils déploient tout un arsenal pour se protéger de la chaleur et qu'ils préfèrent se préparer au soleil des Canaries. Ce qui contribuait à expliquer selon lui les cascades d'abandons bien dramatiques qu'il y avait eu lors du cyclo-cross de Namur d'il y a deux, couru sous le froid, la pluie et la boue tout cumulé.
  20. On parlait de pluie, pas de froid. Une sortie peut être pluvieuse sans être froide, même si les deux peuvent aller ensemble. Oui, le froid peut causer des troubles sévères, dont ceux dont tu parles. Mais non, je n'ai pas connu de bronchites, ni de refroidissement (si tu parles du dérangement gastrique) sur le vélo malgré toutes mes sorties sous la flotte, mais j'ai eu froid, en effet, sans tomber malade pour cela. Peut-être parce que, en plus d'éviter les endroits fermés et mal aérés au retour, j'ai toujours tendance à sortir trop couvert que l'inverse. Parce que paradoxalement, je suis très frileux… je me suis souvent fait charrier à ce sujet, d'ailleurs : je sors parfois en tenue longue quand tous les autres cyclistes sont en court. J'ai aussi toujours un imper en poche au cas où, dès que le moindre risque de pluie est annoncé, ce qui pour certains est du poids superflu inutile… Je maintiens également qu'il y a une question d'entrainement derrière tout cela. Si vous voulez que votre organisme résiste mieux à la pluie et/ou au froid, il faut oser de temps en temps sortir sous la pluie et/ou le froid (dans la limite du raisonnable). L'organisme développera à la longue des réflexes de défense qui vous seront profitables si un jour, malgré toutes vos précautions, vous vous faites surprendre par le mauvais temps. Ce qui n'empêche pas (au contraire) de sortir protégé autant que possible. Imper, veste adaptée, maillot de corps de saison (point important souvent négligé)… et surchaussures. Ça n'est pas efficace éternellement, mais ça permet quand même de tenir bien mieux que si on n'avait rien prévu.
  21. Le deuxième degré passe toujours très mal sur le web. ? Au sujet de tomber malade, comme je l'ai dit plus haut, ce n'est pas à cause de la pluie elle-même, mais à cause des endroits où on se réfugie pour lui échapper… des endroits généralement bien chauffés, mais aussi souvent fréquentés et mal aérés, et qui sont pour ces raisons de véritables nids à virus, bactéries et autre micro-organismes pas très bienveillants. Rouler sous la pluie peut présenter des risques : diminution de l'adhérence des roues, de la visibilité, risque accru de crevaison, d'usure du matos… mais pas celui de tomber malade. Du moins pas directement…
  22. Sans parler de l'autre filiforme, là, qui nous avait accompagné en fumant la pipe sur son vélo gravel à gros pneus pendant notre sortie brabançonne commune, alors qu'il avait fait déjà 100 bornes à vélo depuis Chaudfontaine pour nous rejoindre. Ce monde est décidément trop injuste. (Le bonjour à Jérémie aussi, en passant !)
  23. C'est sûr que si je vivais au Canada, en ce moment je ne ferais pas de vélo non plus, avec la neige et le verglas qu'il doit y avoir là-bas. Pour faire du vélo à l'extérieur il faut quand même pouvoir tenir sur deux roues ! Mais s'il ne s'agit que de pluie, ça ne m'arrête pas, ou plutôt ça ne m'arrête plus. Je me suis vite aperçu, avec les contraintes horaires que j'ai (mes sorties sont généralement à horaires fixes et non flexibles, à cause du boulot et de ma famille) et les caractéristiques de la météo belge, que ça signifiait supprimer beaucoup trop de sorties, alors que je ne peux généralement sortir que deux fois par semaine... D'autre part, une fois sorti sous la pluie, c'est très rare que je le regrette : la pluie, mine de rien, on peut s'y faire. Vêtements adaptés, pneus solides, vélo bien équipé, paysages parfois mis en valeur par la flotte (si, si). Et je ne suis jamais tombé malade après une sortie sous la pluie, et pourtant Dieu sait que j'en ai fait qui duraient longtemps (mon record : 8 h environ sous une pluie continue, et en montagne en plus, lors du Challenge du Dauphiné en 97). Ca ne veut surtout pas dire que je trouve la pluie agréable (surtout quand je regarde l'état du vélo ensuite...) mais c'est pour moi un moindre mal. Moi, mon pire ennemi, c'est le vent. Quand il souffle très fort, là j'ai du mal à garder la motivation, mais il faut quand même que ce soit une tempête pour que je ne sorte pas. A propos des surchaussures : j'en ai essayé un paquet, aucune n'a été une protection absolument durable. Au-delà de 2-3 h, l'eau finit par y pénétrer d'une façon ou d'une autre, de même que malgré l'imper le haut du corps finit par être humide également. Il faut s'y faire...
  24. Ton rhume n'est pas directement dû à ta sortie. Le rhume s'attrape dans les espaces fermés bien chauffés dans lesquels on se réfugie par mauvais temps (froid, pluie), et où les micro-organismes genre virus prolifèrent... Pas ou très peu à l'extérieur, ce qui explique pourquoi les gens qui travaillent en extérieur sont rarement enrhumés.
  25. Et si on n'a pas de home-trainer, on fait comment ? ? Dans certaines régions, il pleut souvent et longtemps. Ne pas sortir par temps de pluie signifierait annuler une sortie sur deux, voire beaucoup plus. Et on peut trouver plus intéressant de faire une sortie même sous la pluie, ce qui maintient le niveau d'entrainement et habitue l'organisme à ces conditions, que de "faire du surplace en respirant un air pourri" (la définition d'Antoine de Caunes pour le home-trainer). Chacun son point de vue sur la question. ?
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